J'accuse Valls d'armer le bras des agresseurs de militants FN

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Liste des agressions perpétrées contre des adhérents et des candidats du Front National par des « Je suis Charlie »…
Il était 23h ce mardi 3 mars lorsque deux candidats qui collaient leurs affiches à Savigny-le-Temple (77) ont été « violemment » agressé par « un voyou se réclamant du parti socialiste » hurlant que « Seul le PS et l’UMP peuvent coller des affiches et certainement pas le FN ! » avant d’étrangler le candidat et de frapper violemment à plusieurs reprises l’un des deux candidats, lui répétant « je vais te tuer ! je te jure, tu vas mourir ! ». Le communiqué du Front National note que les médias ont oublié de faire allusion à cette tentative de meurtre, ajoutant que « si notre candidat avait frappé un membre du parti socialiste, tout le gouvernement serait descendu dans la rue ».
Mais la gauche a la caution morale qu’elle s’est elle-même attribuée, elle a bien fait voir à tout le monde qu’elle était Charlie, alors maintenant elle peut violenter les candidats des autres partis. Là c’est permis, vous comprenez ? Mais en tout humanisme, bien sûr.
Un candidat FN de Saint-Junien dans le Limousin a été agressé alors qu’il collait des affiches avec quatre autres militants dont Vincent Gérard, lui-même candidat dans le canton, lequel a vu sa voiture couverte d’affiches tandis qu’il était bousculé par des individus accourus du stade de football voisin.
Des footballeurs encore, à Vélizy dans les Yvelines, où un autre colleur d’affiches a été attaqué par « trois ou quatre jeunes gens » qui ont lancé un ballon de football sur la voiture dans laquelle il se trouvait avec d’autres militants. Un autre groupe d’agresseurs se joint au premier, lançant des projectiles sur les frontistes. Les policiers ont constaté l’agression, relevant des griffures sur le visage du militant et les dégâts sur la carrosserie du véhicule.
A Suresnes dans la proche banlieue de Paris, Laurent Salles a retrouvé au matin sa voiture avec les quatre pneus crevés, tout comme Claude Van Lierde sur le canton du Val du Dropt (Lot-et-Garonne) dont la voiture a subi la même dégradation. « Je sais bien que l’on n’est pas apprécié des autres partis, mais on est en démocratie et on ne peut pas se permettre ce genre d’attaques », faisait remarquer un autre militant frontiste du même canton.
Mêmes méthodes encore dans le Lot où le FN dénonce le « climat de menace et d’intimidation dans lequel se déroule cette campagne », avec un candidat victime d’appels téléphoniques anonymes et de tags sur son véhicule et son domicile qui rappelle les inscriptions délatrices que l’on répertoriait pendant la guerre et que l’on appose aujourd’hui sur les maisons des Chrétiens d’Orient pour les désigner à la sauvagerie consistant à les frapper, à les violer, à les massacrer. La méthode, tout comme le but – inavoué chez ces gauchistes qui n’osent pas encore assumer haut et fort leur désir assassin – sont pourtant identiques. La dénonciation et la vindicte sont décidément toujours bien ancrées chez les collabos de gauche traditionnellement antipatriotes.
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A Vénissieux, ce sont les communistes fièrement nostalgiques du parti aux 100 000 000 de morts qui font régner la terreur et agressent les militants afin de leur donner des leçons d’antifascisme. En raison de sa nouvelle appartenance, Christophe Girard, ancien militant de l’UMP encarté au FN, a été menacé de représailles physiques sur sa personne ainsi que se voir incendier sa maison « s’il militait publiquement pour la liste Vénissieux Bleu Marine », laquelle maison a par ailleurs été dégradée.
Des colistiers de la liste de Damien Monchau ont par ailleurs reçu la visite de quatre aimables personnes qui « les ont intimidés, ils leur ont dit qu’ils allaient faire gagner les communistes et qu’ils risquaient d’avoir des ennuis à l’avenir avec la mairie », relate le secrétaire départemental Christophe Boudot.
Mais il n’y a pas que les gauchistes qui en connaissent un rayon en démocratie, il y a les UMPistes aussi. Ainsi, au Crès dans l’Hérault, excédé par la dégradation systématique de ses affiches, un militant avait décidé de guetter le fautif. Le prenant sur le fait, il a alors sorti son téléphone afin de conserver une preuve de l’arrachage, une méthode cependant classique, tous partis confondus. Pris en flagrant délit, l’arracheur, militant actif de l’UMP, n’a pas apprécié d’être repéré et encore moins immortalisé dans son méfait. Il a donc tout naturellement cassé la figure du militant frontiste.
Mais en même temps, Sarkozy n’a-t-il pas appelé à « attaquer le FN brutalement, question de vie ou de mort ».
Le 3 mars dernier dans le quartier du Puchot à Elbeuf trois militants FN ont été agressés par un individu « d’une trentaine d’année, accompagné d’un chien » alors qu’ils distribuaient des tracts dans les boîtes aux lettres. L’homme les a tout d’abord insultés avant de frapper une militante qui s’est vue prescrire une ITT de trois jours.
A un commentaire justifiant l’agression et la lapidtion en ces termes : « Aller dans le Puchot distribuer des tract FN… si c’est pas de la provocation ça… quand on alimente la haine, normal de récolter des jet de pierre », Isabelle Gilbert, élue municipale de la ville, a répliqué qu’étant « élue municipale d’Elbeuf et je ne pourrais pas aller dans certaines rue de ma ville ? Le Puchot est interdit à des catégories de la population ? Discrimination ? Apartheid ? Qui fut haineux dans cette histoire, qui fut l’agresseur ? ».
Là encore, nous voyons tout de suite où se situent les véritables fascistes, ces ennemis de la liberté d’opinion et de circulation…
La bijouterie d’une candidate Front national à Commercy dans la Meuse a été taguée avec cette inscription « Front National : SS ». Bien entendu, on attendra encore longtemps la justification de cette affirmation sans cesse réitérée comme un mantra mais jamais argumentée.
A Bain de Bretagne au soir du premier tour c’est une jeune candidate qui a été tout simplement menacée de mort au sein de la mairie par des militants socialistes, ceux-ci ayant probablement fait partie des adorateurs de la liberté d’expression du 11 janvier dernier, une date qui décidément marquera à jamais certains du sceau de l’hypocrisie la plus crasse puisque telle ne semblait plus être leur ambition en ce soir de raclée collective.
« A l’annonce des résultats déjà, une grosse partie de la salle nous a conspués, insultés, alors même que nous nous félicitions de la qualification au second tour, dans la simple joie », a déclaré la jeune candidate frontiste Marie Desoize, condamnée à quitter les lieux avec son binôme avant que la situation ne dégénère. Au moment de partir, quelqu’un a menacé « on va vous tuer »… Des menaces confirmées par un témoin qui ajoute : « je suis venu assister au dépouillement comme je le fais à chaque fois. On sentait que l’atmosphère était tendue, très hostile à l’égard des deux candidats. (…) J’ai entendu  ‘on va te tuer sale pute’ suivi de ricanements, mais impossible de voir qui a dit ça ».
Le 23 mars, entre les deux tours et alors qu’elle se faisait allègrement insulter sur les réseaux sociaux pour son engagement, c’est Nejma Drici du 1er canton de Nantes, jeune maman dont le père d’origine algérienne était lui-même sympathisant du FN, à qui l’on a frappé la tête contre le pare-brise d’une voiture alors qu’elle attendait un autre militant, la contraignant à se retirer de la campagne et plus largement même de la vie politique. « Deux individus,  âgés de 25 à 30 ans, se sont approchés d’elle. Ils  ont cogné sa tête sur le pare-brise de sa voiture, en la traitant de « sale pute » et de « sale facho« . Ils se sont enfuis peu après à bord d’une 206 grise ».
Bel exemple encore du respect de la démocratie et du courage des agresseurs… On notera au passage à quel point le FN est un parti raciste et xénophobe, n’est-ce pas ?
Dans le bureau centralisateur de Fabrezan, petite bourgade de l’Aude, le candidat Christophe Klouchi a été publiquement menacé de mort. Il apporte cette précision : « avant de m’agresser il discutait avec le ‪@narbonneps (PS de Narbonne, NDLR) et le Front de gauche, je sais pas si c’était prémédité… ».
M. Klouchi ajoute qu’au bureau de Bram, à l’annonce des résultats « le candidat et sa maman ont été bousculés et insultés dans la mairie par le maire et son équipe ». Le fait est que la maire socialiste Claudie Mejean semble faire du combat contre le FN une priorité absolue, à en croire sa page Facebook.
Claude Mouflard, le candidat du canton d’Hirson a, lors de sa sortie du bureau de vote d’Origny-en-Thiérache, été victime d’insultes, de crachats et même de coups de la part d’un grand démocrate.
Dans la nuit du 11 au 12 mars, c’est la vitrine de la permanence du FN de Roanne qui a brisée. Les responsables locaux ont nommément accusé Manuel Valls d’avoir armé le bras des coupables avec son surréaliste discours en réponse à la question de Marion Maréchal-Le Pen. « Il est étonnant de constater que cet événement, d’une violence inouïe, arrive au lendemain de l’appel public à la “stigmatisation du Front national” par Manuel Valls » (…) Nous dénonçons fermement ces propos exprimés avec fureur, entraînant de graves conséquences pour notre sécurité, encourageant n’importe qui à perpétrer des actes violents contre les membres du Front national ».
Il est évident que Valls doit assumer ses responsabilités pour avoir donné un blanc-seing aux opposants au FN.
Le tractage de Louis Valmenier, responsable du FNJ 72, sur le marché des Sablons avait été bien accueilli par la population jusqu’au moment où…« Alors que je discutais avec un commerçant, une personne ayant entre 25 et 30 ans, portant un collier de barbe s’est présentée à moi sur un ton très agressif. Puis, arrachant les tracts, il les a jeté à terre violemment. Ensuite, il m’a saisi par le blouson pour en découdre avec les poings, me frappant à plusieurs reprises. Voyant cela, le commerçant et les passants ont essayé de le retenir. Il a pourtant réussi à me pousser contre l’étal du commerçant, renversant des produits présenté pour la vente. L’ayant maitrisé, ils lui ont demandé de partir ».

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Main courante de Louis Valmenier, candidat aux Sablons (72)

 
Dans le riant département de la Seine-Saint-Denis, le 13 mars dernier au matin, le secrétaire départemental adjoint du FN Gilles Clavel a été agressé par un militant socialiste alors qu’il collait des affiches. Le socialiste, lui retirant les affiches des mains et le menaçant d’un balai à encoller, lui a donné un grand coup dans l’épaule en lui disant de la manière la plus démocratique qui soit « Dégage ! On ne veut pas de tes merdes ici ! ».
Comble de l’hypocrisie, le militant socialiste a donné une autre version aux policiers dans laquelle c’était lui la victime. Pas de chance, « la version du PS ne tenait pas la route et était très confuse. L’officier de police judiciaire n’a pas jugé sa plainte recevable ». Le dangereux mythomane a donc été débouté tandis que la véritable victime verra sa plainte instruite pour violences volontaires.
Selon Jordan Bardella, secrétaire départemental, depuis le début de la campagne les militants frontistes se font « invectiver et menacer régulièrement par des militants d’extrême gauche », grands humanistes devant l’Eternel, citoyens du monde, etc.
A Hénin-Beaumont, c’est une tentative d’incendie criminel qui a été perpétrée dans la mairie, tentative agrémentée de menaces de morts envers le maire Steeve Briois, mais là encore toujours dans un esprit de démocratie et de respect des valeurs républicaines.
« Le ou les auteurs de l’incendie se sont introduits dans le service de documentation où ils ont endommagé du matériel informatique » a déclaré Bruno Bilde, conseiller de Marine Le Pen et élu d’Hénin-Beaumont. Ils ont mis le feu aux locaux du service courrier qui sont entièrement à refaire.
Mais l’agression sans aucun doute la plus odieuse s’est déroulée à Sartrouville (78) où la suppléante Marie-Françoise Lagroua, âgée de 83 ans, a été lâchement tabassée alors qu’elle collait des affiches sur des panneaux par un couple d’environ 25 ans.
Cette brave dame a été menacée de mort, insultée puis frappée violemment sur le crâne avec son seau avant de se voir vider le contenu de colle sur la tête, les coups brisant ses lunettes.
http://www.legifrance.gouv.fr/affichSarde.do?reprise=true&page=1&idSarde=SARDOBJT000007118441&ordre=null&nature=null&g=ls
http://www.legifrance.gouv.fr/affichSarde.do?reprise=true&page=1&idSarde=SARDOBJT000007118441&ordre=null&nature=null&g=ls

J’accuse Manuel Valls d’être le meneur et le premier responsable de cette inacceptable situation par ses attaques et ses appels à la violence perpétuels contre le FN, par son mépris pour les plus de cinq millions de Français qui ont voté pour ce parti. Valls, celui qui avait donné l’ordre de gazer des familles avec des enfants lors des Manifs pour Tous, celui qui se laisse envahir par une colère hystérique et ridicule face à une Marion Maréchal-Le Pen très posée et calme, ce Valls devrait être pénalement poursuivi pour appel à la haine et à la violence physique envers un groupe de personnes en raison de leurs opinions politiques, comme le prévoit la Loi.
Car, après les insultes, les dégradations, les menaces et les coups, la prochaine étape ce sera quoi ? L’appel au meurtre ? Mais bien républicain le meurtre surtout, bien dans l’esprit du 11 janvier…
Quand on entend parler de soi-disant « dérapages », qu’on voit un Cambadélis accusant, sans le moindre début de preuve, Marine Le Pen de faire « les fonds de poubelle du racisme, de l’antisémitisme, de l’homophobie », quand on voit les sympathisants FN sans relâche traînés dans la boue, catalogués tour à tour comme des imbéciles, des êtres influençables incapables de penser par eux-mêmes, des angoissés de la vie, des sans-dents, des gros beaufs, quel mépris pour le peuple et quel mépris pour la démocratie !
Oser traiter les électeurs du FN de beaufs quand on voit la baudruche mal fagotée qui dirige ce pays, cette espèce de vieille semelle aux cheveux teints qui nous ridiculise à la face du monde, ce plouc qui au Salon du Livre demande si un écrivain décédé va venir, on s’abstient de ricaner de gens qui comptent dans leurs rangs bien des têtes pensantes et des érudits dont il y aurait matière à prendre exemple, notamment en Histoire et en littérature.
Ces gens-là veulent éliminer leurs opposants, leurs adversaires politiques, pour leur perspicacité à voir et à clamer leur absolue incompétence et leur gabegie. Et pour cela, ils sont prêts à tout, jusqu’à pousser des bas du front à violenter des vieilles dames de 83 ans. Ces gens sont dangereux, il devient urgent de les ficher dehors à coups de pompes où je pense !
Caroline Alamachère

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