Boumédiène, Khomeiny, Erdogan, Khadafi… depuis plus de 30 ans, ils annoncent la couleur !

« Je ne savais pas ». Tel est l’argument auquel recoururent nombre d’Allemands et de collabos lorsque, à la fin du deuxième conflit mondial, la situation se retourna en leur défaveur. Un bien pauvre argument car Hitler avait explicité en clair son ignoble programme dans « Mein Kampf ».
Cet argument n’aura pas plus de crédibilité aujourd’hui, quand y feront appel la plupart de ceux qui ont trahi leur pays et leur peuple. C’est-à-dire la quasi totalité de la classe politique et médiatique convertie au multiculturalisme et au relativisme culturel, chers à l’européisme bruxellois, marche-pied de la mondialisation financière. Mais aussi leurs soutiens institutionnels et associatifs (HALDE, SOS racisme, MRAP, CRAN, LDH, LICRA) qui assurent la fonction de camisole juridique pour empêcher la résistance des populations autochtones confrontée au désastre civilisationnel et économique engendré par les flux migratoires continus de peuples sans culture démocratique.
Les traîtres de toutes obédiences, thuriféraires de l’immigration, défenseurs des immigrés clandestins et sans-papiers en période de chômage de masse ne pourront pas dire qu’ils n’avaient pas été prévenus.
Dès 1974, Boumédiène annonçait les intentions colonisatrices du monde musulman du haut de la tribune de l’ONU : “Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour faire irruption dans l’hémisphère nord. Et certainement pas en amis. Car ils y feront irruption pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant de leurs fils, c’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire.”
En 1980, rendant par le mépris la protection que Giscard lui avait accordée pendant des années en lui offrant l’hospitalité à Neauphle-le-Château, l’ayatollah Khomeiny revenait à la charge : “Nous exporterons l’islam partout dans le monde”.
Recep Erdogan, premier ministre turc que nos politiques dévoyés et notre presse couchée qualifient de « musulman modéré » pour justifier l’introduction de la Turquie en Europe, ne fait pas mystère des intentions belliqueuses et conquérantes de l’Islam et de leurs modalités stratégiques : « Nous vous conquerrons par vos valeurs démocratiques et nous vous dominerons par nos valeurs musulmanes ». « On ne peut pas être musulman et laïque à la fois ». « Les mosquées sont nos casernes, les coupoles de nos mosquées nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats ». « On changera définitivement le système laïc. La république vit ses derniers temps », ajoute Abdullah Gül, président d’une Turquie qui régresse vers le fondamentalisme islamique, sans que s’en inquiètent les fous de Bruxelles, moins soucieux de l’effacement de la démocratie et de la civilisation européenne qu’avides de bénéficier d’une main-d’œuvre à bas prix.

Le 31 août 2010, invité en Italie par Sylvio Berlusconi, Khadafi enfonce le clou en déclarant publiquement que « l’islam doit être la religion de toute l’Europe ».
Un dicton populaire dit qu’il faut toujours écouter ceux qui vous veulent du mal. Pourquoi les ploutocrates de droite et de gauche, aux ordres des despotes de Bruxelles, de la City de Londres et de Washington, y sont-ils sourds ? Parce qu’ils se réjouissent que les peuples européens (et plus largement occidentaux) soient exposés à la menace en première ligne. Et pourquoi ce sinistre dessein ? Parce que ces peuples souhaitent ardemment conserver un régime démocratique que leurs « élites » veulent voir disparaître car il est devenu un obstacle à la sauvegarde du capitalisme financier.
Mais au fur et à mesure que l’islamisation de l’Europe se concrétise, que s’y importent les nuisances, la disgrâce, l’archaïsme et la violence des mœurs islamiques, les esprits se libèrent et les langues se délient.
Dans son livre intitulé « L’Allemagne se détruit » qui vient de paraître outre-Rhin, Thilo Sarrazin, membre du SPD et du directoire de la Bundesbank, considère que les musulmans minent la société allemande, refusent de s’intégrer et vivent aux crochets de l’Etat. Exprimant sans ambages son légitime attachement aux mœurs et à la culture allemandes ainsi que son désir de les transmettre, il déclare notamment : “Je ne veux pas que mes petits-enfants et arrière-petits-enfants vivent dans un pays à majorité musulmane où le turc et l’arabe seraient largement répandus, où les femmes porteraient des foulards de tête où les journées seraient rythmées par l’appel du muezzin.“ Cette déclaration suscite la désapprobation d’Angela Markel, mais… 96% d’opinions favorables dans les sondages. Ce divorce vertigineux entre le peuple et les « élites » rappelle à ces dernières que les peuples de culture démocratique sont toujours vivants, majoritaires et prêts à défendre leurs droits. L’indignation des médias commence à faiblir, un soutien mesuré dans la presse commence à paraître… Il se pourrait bien que la peur change de camp.
Victor Hallidée

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