La France était notre pays…

1° Je pense que pour revenir au terrain de la vie de tous les jours, et les incidents graves entraînant des déménagements forcés ou des traumatismes se multipliant, pas seulement dans les dites “cités”, il devient urgent qu’une organisation/association ou autre, recueille les témoignages des victimes et chiffre les préjudices économiques et psychologiques. ET les publie. Les idéologues ne sont pas ‘au charbon’ ni ne payent de leurs deniers, ni de leur projet de vie.
J’invite aussi à étudier la possibilité de demander des indemnités à l’Etat : lorsque le Maire (qui en est responsable légalement) n’arrive plus à assurer la sécurité dans des quartiers entiers de sa ville.
Ou encore, intenter des demandes d’indemnisation à l’Etat français, par exemple lorsque après avoir payé des droits dits de ‘Notaire’, c’est à dire des Impôts, il est impossible d’habiter chez soi : coups injures, menaces de mort, dégradations etc… et qu’il faut de nouveau déménager et assumer de nouveaux frais importants – sans aucune garantie que l’Etat assume le contrat social lié à l’Impôt de mutation dans le nouveau logement… où beaucoup trouvons-nous les mêmes problèmes. En d’autres termes le contrat social Impôts pour obligations de l’Etat n’est plus respecté.
Alors, quitter la France ? La laisser aux ex colonisés? En guise de réparation?
Je rappelle que la génération précédente, a déjà ‘casqué’ : parfois envoyée comme salariés dans les colonies…elle.y a souvent perdu 25 ans de travail (investis dans un logement pour la famille) et resté “las-bas” sans indemnisation aucune. ça et les équipements…la dette a été payée.
2° Face à la démission pour ne pas dire la trahison de la classe politique française de droite comme de gauche, je crois urgent de faire connaitre la phrase publique du V. POUTINE, au mois d’aout : répercutée par la presse espagnole – mais très vite tue par les médias français : “D’ici 2020, le France sera devenue la colonie de ses ex-colonisés”.

3° Le problème est avant tout politique : QUI a fait venir massivement des populations déracinées et de cultures légitimement très différentes? Entreprises en mal de main d’oeuvre bien souple et au noir ; particuliers recrutant une domestique – qui fait venir ensuite toute sa famille : non pas au frais des ‘importateurs’ mais au frais des services sociaux (CAF, logement etc). Les frais (logement, soins médicaux etc) auraient du incomber à ceux qui s’étaient rendus responsables de déplacer ces populations et de les préférer à des européen(nes) ….à l’heure de la construction de l’Europe!
Il n’est pas trop tard pour les identifier et leur demander d’assumer aujourd’hui ou demain.
4° Politique et histoire : je rappelle que le peuple français en 1961-62, tout comme les ex-colonisés ont voté pour les autodéterminations, les indépendances : c’est à dire le divorce. Ni au moment de de Gaulle, ni après, le peuple français n’a JAMAIS voté pour donner la France, comme une maison de ‘tolérance’ à ceux qui avaient voulu se séparer – et parfois récupérer légitimement LEUR pays. Après un divorce, on peut se respecter et se visiter : mais je n’avais jamais vu qu’on aille s’installer chez son ex….pour continuer à le/la rejtter, l’injurier et la spolier !
La France était nôtre pays : je dis ETAIT ; dans la vie quotidienne, à moins d’habiter les 6ème, 7ème, le 16ème,la Croisette et de rouler en voiture sans jamais prendre les transports en commun… c’est la maltraitance quotidienne subie.
Outre la souffrance, l’absurdité est notre lot : à l’heure des problèmes de la mondialisation et de la construction de l’Europe….nous pratiquons de fait la FranceAfrique et la FrancoMagrhébie – et perdons notre temps en querelles religiosexistes… moyennageuses.
Marisol Duroc

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