Le ramadan s'annonce, avec son lot d'accommodements raisonnables…

Loin de moi l’idée de vous écrire de façon hebdomadaire, à chaque fois que je termine un article, je me dis “ce sera le dernier, je pense que j’en ai assez écrit sur le sujet, que j’ai transmis ma plupart de mes pensées”, et pourtant, chaque semaine, je lis de nouvelles horreurs qui me forcent à réagir.
Cette semaine, nous avons donc eu droit à la police londonienne qui a tiré sur un parti de la liberté, des chrétiens assassinés après leur acquittement quant à un éventuel blasphème, la piscine toujours en haut de l’affiche, etc, etc. Tout ces faits m’ont bien évidemment choqués, mais ne m’ont pas vraiment donné envie d’en écrire quoi que ce soit, dans la mesure où ces faits apparaissent de plus en plus comme “divers”, “normaux”, à mon grand damne.
Non, cette semaine, un fait que je considère comme hautement inintéressant est sur toutes les lèvres, tout les sujets de conversations, et inquiètent bien des personnes : je veux parler du ramadan. Cette fête des plus hypocrite qui nous pourrit la vie durant la journée, en nous rabâchant sans cesse qu’ils ne mangent pas, qu’il faut y’aller molo avec eux, qu’ils sont faibles, qu’ils risquent leur vie pratiquement ; mais sans jamais nous interroger sur ce qu’on pense de leurs odeurs, sur ce qu’on pense du fait qu’on doive prendre leur part de travail sans rechigner, sur ce qu’on pense de leur victimisation qui est, en plus, volontaire. Qui nous pourrit la nuit aussi, avec des festins à la limite de l’orgie et aux bruits chaleureusement insomniaques.
Ainsi, et cela dure depuis des années, j’ai lu un article fort intéressant sur les retardaires de la rentrée (1). Je me souviens quand j’étais en classe, quand on allait en vacances (pas toutes les années), mes parents devaient procéder à un véritable casse tête pour coordonner leurs vacances aux nôtres, sans même parler de la rentrée où l’on devait obligatoirement être présent ; rater le premier jour de rentrée était totalement impensable, absurde, et, à l’époque, il était courant de penser qu’une personne qui ne venait pas le premier jour était quasiment voué à l’échec le restant de l’année (ce n’était pas forcément le cas, cela dit).
Sauf que, de l’eau a coulé sous les ponts, et bien des immigrants sont arrivés, les choses ont changé.
Ainsi, il est devenu quasiment normal (!!) que des élèves arrivent en retard lors de la rentrée, plus de deux semaines après si il le faut. Et que fait-on ? Encore une fois, rien. Ah, si, pardon : on leur trouve des excuses.. Les pauvres. Ils sont obligés de prendre des charters aux dates indéterminées, et ne parlons même pas du fait qu’ils n’ont pas toujours les moyens de rentrer, ils sont donc obligés d’attendre pour prendre l’avion le moins cher.
“Chaque année, en effet, des élèves retardataires font leur rentrée plusieurs jours, voire plusieurs semaines après la date réglementaire. L’administration n’a pas chiffré ce phénomène”
Tu m’étonnes ! Mieux vaut ne pas chiffrer ces abbérations que vous laissez faire, le peuple pourrait -légitimement- s’en offusquer.
Parce que, non seulement ils se permettent de prendre des vacances (je croyais qu’ils étaient pauvres ? Et si ils ont le mal du pays, qu’ils y restent une bonne fois pour toute), mais en plus, ils osent donner l’excuse qu’ils ne peuvent pas rentrer, faute d’argent et/ou d’avion ?
Excusez moi, mais… Qu’est ce qu’on en a à faire ? C’est votre problème, votre responsabilité, si vous vous permettez de prendre des vacances (bien des enfants n’ont pas de vacances), c’est à vous d’assumer jusqu’au bout, quitte à revenir en bateau ou à la nage.
Le pire étant que, comme d’habitude, ce sont les autres qui en pâtissent : une classe fermée à cause de retardaires, mais où va t-on ? Droit au mur, oui, je sais. Et c’est justement en le sachant pertinemment que je n’arrive pas à comprendre cette lâcheté de plus en plus importante de la part de bien des personnes.
Le pire, c’est que cela concerne tout les domaines : l’immobilier ne fait pas exception (2) et (3).
Non seulement on finance à hauteur de plusieurs millions d’euros moult projets, plans de relances, aides aux pays d’Afrique et du Moyen orient, en plus de quoi, on se permet d’avoir une sécurité sociale qui crève les comptes tout les ans, pour nous retrouver avec quoi ? Des aides à la charia. On marche sur la tête, ce n’est pas possible autrement. Comment on peut dignement lire ceci et rester calme ? Alors que le marché de l’immobilier a récemment explosé et que des centaines de milliers de personnes se sont retrouvés ruinés, quasiment à la rue, que fait-on ? On aide les islamiques à mieux saisir nos biens. Oui, c’est certain, ils n’ont pas assez d’argent comme ça, avec le pétrole.
Continuons sur la lancée, on est plus à ça près, nous allons nous faire trucider par un peuple d’opportunistes, d’égoïstes, aux lois arriérées, qui vont finir par dévaster un monde déjà bien entamé par nos bêtises successives, et continues.
Bien sûr, notre société n’est pas parfaite. Bien sûr, elle est injuste à certains niveaux, et bien des gens en profitent. Mais c’est pareil pour toutes les sociétés, tout les régimes. Mais de là à la remplacer par une idéologie qui cafouille depuis 1500 ans, qui n’a pas évolué d’un iota, je m’insurge.
La aussi, notre société, l’occident, a ses torts : cela fait plus d’un millénaire que personne n’a rien fait contre l’islam. On a toujours laissé faire, et on s’est contenté de se défendre lorsqu’il le fallait (4). Mais, on le sait désormais, le coran a été traduit et commence enfin à être relaté un peu partout, l’islam est opportuniste, et sa défaite ne sera jamais effective tant qu’on n’aura pas sectionné le mal à sa racine ; pour cela, de deux choses l’une : soit on anéantit cette religion jusqu’au bout -chose peu réaliste, ou alors, on la modifie. Mais quand je dis “on”, nous, non islamiques, ne le pouvont pas : on serait considéré comme blasphémateurs. Non, les seuls qui le peuvent, ce sont les musulmans eux-mêmes, ceux qui se sont intégrés à nos sociétés, qui les aiment, sans pour autant renier leur religion.
Et pour cela, je pense qu’il est le devoir de l’occident de les appuyer, en arrêtant de nous plier à des exigences qui tuent notre propre société, en arrêtant de nous plier à ce communautarisme sordide.
Alors, messieurs les politiques, je pense qu’il est de votre devoir de vous prendre en main, d’agir fermement, de faire bouger les choses dans le sens que votre peuple désire.. Parce que si vous ne le faites pas, ce sera le peuple qui le fera, et tout le monde sait très bien ce qu’il arrive quand le peuple en a ras le bol et prends les choses en main…
Olivier Pfister
(1) : Les-ecoles-attendent-larrivee-des-derniers-eleves-retardataires
(2) : immobilier-paris-essaie-d-attirer-les-investisseurs-respectant-la-loi-islamique_1392215_3234.html
(3) : http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20080513/fin.html#toc4
(4) : http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Martel

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