A ceux qui, par des procès, veulent m’interdire de comparer islam et nazisme

muftiSSPlutôt que poursuivre des femmes et des hommes pour leur islamo-incompatibilité et vigilance active et républicaine à l’égard de l’islam, n’est-il pas plus juste et cohérent – en tant que défenseurs de l’islam qui confondent foi et race qu’ils gratifient des vertus qui n’ont jamais été les siennes et dont il est à des années-lumière -, de poursuivre l’auteur du coran lui-même pour incitation à la haine de l’autre, de racisme, d’antisémitisme, d’esclavagisme, de bellicisme, de nécrophilie, de zoophilie, d’apologie de la violence, d’appels au meurtre, de sanctification du génocide des mécréants, d’ethnocentrisme, de sacralisation des inégalités entre les hommes, de légitimation de la violence dans toutes ses formes à l’égard des femmes et de pédophilie ?

Les mêmes qui veulent faire la peau de Riposte Laïque et me lyncher aujourd’hui pour offense à l’islam et racisme anti-musulman, on ne les entend jamais élever la voix pour condamner Qaradhaoui et son abomination du juif dont il appelait à l’extermination et d’adulation du nazisme, ni exprimer leur répulsion à l’égard du terrorisme musulman ou le djihad du nikah, de la montée, ni manifester la moindre inquiétude du péril islamiste et les atteintes graves et répétées aux valeurs de la république.

A croire qu’ils ont trouvé avec leur nouvelle vocation une aubaine pour leur rédemption désintéressée, l’est-elle vraiment ? Il n’y a que le Qatar et l’Arabie Saoudite qui le savent.

Leur action militante est bénévole et leur dévouement un engagement louable sans faille sur lesquels le doute n’est pas permis, comme pour les vérités coraniques frappées d’interdits de peur que des esprits malveillants ne les déflorent comme leurs vierges déflorées sur le front syrien par de djihadistes vauriens, et les hadiths hagiographiques et apocryphes rapportés par un biographe 2 siècles après la cruelle disparition de leur Saint Prophète, un humaniste hors pair, que tout bon musulman qui ne veut pas rater sa vie dans l’au-delà après avoir raté celle sur terre doit en faire le phare qui éclaire le chemin ( charia) qui relie sa vie misérable à sa vie prometteuse dans le monde des morts.

Grâce à leurs combats sur le terrain de la terreur pour les plus violents et suicidaires et les deux pièces cravates qui ont choisi le terrain des prétoires de la république dont certains d’entre eux furent radiés pour avoir navigué dans les eaux troubles infectées de spécimen issus des bas-fonds de la société, les musulmans mènent une campagne tous azimuts pour ouvrir la voie au règne d’Allah sur terre et instaurer la dictature de l’islam.

Censure, massacre, terrorisme, tuerie, décapitation, boucherie, égorgement, lapidation, racisme, antisémitisme, homophobie,exécution des apostats, bannissement des opposants et des athées, nettoyage religieux, relégation des femmes, c’est toute la panoplie criminelle qui assure aux fidèles musulmans l’élection à cet univers dédié au sexe à gogo et à l’alcool à flot qui fait saliver tous les obsédés et dépravés sexuels duquel seront exclues les femmes pour défaut d’islamité et déficience mentale.

Tous ceux ou presque qui rêvent d’un monde où ils pourraient donner libre-cours pour l’éternité à leurs penchants alcooliques et pulsions sexuelles sans interdit et sans limite, s’érigent désormais en procureurs-inquisiteurs des offenseurs de l’islam sans qu’ils n’en connaissent eux-mêmes sa véritable signification idéologique et politique, profitant ainsi de la générosité et de la cécité des lois de la république dont ils n’ont cure pour les retourner contre ceux qui s’inquiètent des menaces que présente pour ses fondements la montée du péril musulman dont les dégâts sont incommensurables dans les pays musulmans eux-mêmes.

meluchehitlerislamAu nom des lois antiracistes, ils veulent étouffer la voix de ceux qui dénoncent le racisme de l’islam lui-même et le statut de dhimmis octroyé aux gens du livre. Quant au sort de ceux qui n’appartiennent pas aux religions abrahamiques, ils n’ont le choix qu’entre l’exil si ce n’est la mort ou la conversion.

Ces nouveaux cavaliers noirs de l’islam se sont-ils émus quand le président déchu Mohamed Morsi avait lancé un ultimatum aux coptes de choisir entre l’islam et le bannissement ? Peut-être que cet avocat tombé en disgrâce saurait-il y répondre ?

S’est-il lui et sa ligue autoproclamée de défense d’une religion qui s’est discréditée elle-même et qui fait peur à 75% de français, qui ne lui a confié aucun mandat pour lui rendre sa vertu mise à mal par Riposte Laïque et moi-même, inquiété un jour du sort des apostats de l’islam, des athées, des laïcs, de la petite enfance, des femmes et du régime liberticide auxquels sont soumis les populations musulmanes captives de l’islam ?

Quand on se veut animé d’un esprit d’équité et de probité, on ne tombe pas dans le jeu du sectarisme et de l’ostracisme. La plume ne tue pas, les djihadistes musulmans tuent.

Si l’islam a peur à ce point de la critique pour vouloir la bâillonner en France après l’avoir dissoute dans un bain d’acide chez lui, il témoigne de lui-même de son incapacité à s’adapter à un environnement républicain et de ses velléités antidémocratiques.

Il doit savoir que la liberté d’expression est un droit inaliénable pour laquelle des dizaines de millions de femmes et d’hommes de par le monde ont donné leur vie, elle ne tolère aucune exception pour restreindre son champ de liberté ou l’annuler.

Au nom du sacré de l’islam, on veut assassiner les libertés par la voie judiciaire au nom du suprématisme de ses lois. Si l’islam était aussi respectueux des libertés et des droits humains, pourquoi ce qu’il revendique pour lui en terre mécréante ne l’accorde-t-il pas à ses ouailles et traite-t-il les autres de sujets de seconde zone, d’êtres impurs. Pourquoi les Etats les plus hostiles aux droits de l’homme et du citoyen sont-ils tous musulmans à l’exception de la Corée du Nord ?

Que les défenseurs de la cause indéfendable de l’islam aillent exercer ailleurs leurs talents d’avocats de la cause de leurs coreligionnaires qui veulent exercer leur liberté de conscience dont certains d’entre eux sont condamnés à mort en Iran, au Pakistan et en Arabie Saoudite, ou à la prison au Maroc, en Egypte, en Algérie ou en Tunisie.

Quand on a le sens des valeurs et le réel souci du bien vivre ensemble on se fait d’abord l’avocat de la république et non afficher publiquement son appartenance communautaire, le vrai mal qui gangrène l’unité de la France.

Ce n’est pas la similitude troublante entre l’islam et le nazisme dont j’ai fait écho dans certains de mes articles et je ne suis pas le seul de surcroît à l’avoir fait qui doit provoquer leur émoi et les ébranler dans leur foi pour m’intenter un procès en sorcellerie, c’est l’avenir sombre que leur foi laisse préfigurer pour l’humanité qui doit les effrayer et éveiller leur conscience si jamais ils en sont pourvues.

A moins que de par leur silence, ils valident la thèse de la parenté idéologique entre l’islam et le nazisme.

Salem Benammar

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