Ai-je encore le droit de critiquer l’islam sur cette terre de France ?

Ai-je le droit (naturel ou moral) de critiquer l’islam, sur cette terre de France qui est, apparemment, la patrie des droits de l’homme ?
Car, j’ai cru naïvement que je pouvais le faire en écoutant les bien-pensants qui squattent les plateaux des télévisions pour vendre leur morale infantilisante.
Ai-je le droit de renier (ou d’apostasier) la religion de mes ancêtres qui ont été menés en bateau depuis le 7e siècle par des conquérants venus d’Arabie les soumettre par le glaive ?
Ai-je le droit d’avoir peur de l’islam ?
je le dis comme je le pense : la violence sacrée de l’islam me donne froid dans le dos.
Ai-je encore le droit de douter en toute liberté dans la patrie de Voltaire ?
A toutes ces questions qui me taraudent l’esprit, la bien-pensance française peut-elle m’apporter des réponses claires et sans détour ?

Maintenant que le ver islamique est dans le fruit, peut-on espérer un réveil même tardif des Français pour éviter qu’ils ne soient engloutis comme mes ancêtres, les Amazighs, dans le magma mahométan ?

Rien n’est sûr, car pour le moment, ce peuple de France est hypnotisé par les médias du système qui font matin et soir la promotion de l’islam qui est apparemment une religion universelle qui appelle à la sagesse du vivre ensemble et au respect de l’autre mais uniquement envers le musulman et pas le non musulman qui doit être soumis de gré ou de force. Quant aux non musulmans, ils doivent se soumettre ou passer à la trappe. La caste dominante oublie de préciser que l’islam qu’elle défend, est hégémonique, conquérant, fasciste, esclavagiste, haineux, misogyne, homophobe et surtout terroriste. Et gare à celui ou celle qui oserait prétendre le contraire, parce qu’aucune personne sur terre n’est autorisée à porter un jugement qui va à l’encontre des valeurs prônées par la religion de paix et d’amour. Cette décision est d’ordre divin voulue par Allah et surtout Mahomet.

Evidemment le mensonge et la takkia sont les deux armes dont excellent les musulmans pour ne pas dévoiler le vrai visage de leur religion qui est basée sur la haine de tout ce qui n’est pas musulman et notamment des Juifs et des Chrétiens (se référer aux nombreux versets coraniques médinois).

La critique de l’islam est une aventure dangereuse qui peut coûter cher à son auteur, parfois jusqu’à sa décapitation. Et celui ou celle qui prétend le contraire, c’est qu’il ne connait rien de l’islam ou bien qu’il est de mauvaise foi.

Afin de clarifier la situation que vit la France face à l’islam, et par extension tout l’Occident, un débat de fond est nécessaire pour démystifier la religion de paix et d’amour qui ruse et triche pour gagner les cœurs et les esprits de l’oligarchie mondialisée qui ne pense qu’aux fruits qu’elle récolte pour services rendus aux bédouins d’Arabie.
Pour se propager en Occident et particulièrement en France, l’islam utilise l’islamophobie dans le but de faire taire tous ceux ou celles qui apportent les preuves de sa dangerosité.

Il est prouvé qu’une sainte alliance s’est nouée entre les adeptes de Mahomet et l’oligarchie politico-médiatique française. Et pourtant dans le pays de Voltaire où la critique libre de la religion y était encouragée, depuis des siècles, le blasphème n’y est pas encore criminalisé mais on ne sait pas ce que l’avenir réserve aux apostats. Il ne faut pas perdre de vue que dans les pays de Dar El Islam,le moindre écart envers Allah et son Envoyé conduit son auteur directement au cachot dans les meilleurs des cas, sinon à la potence ou bien à la décapitation par le sabre à la fin de la grande prière du vendredi.

Critiquer l’islam est une piste dangereuse depuis 622 de l’ère chrétienne. Pour contrer cette critique louable, pourtant de salubrité publique, les mahométans, en accord avec la caste dominante, ont pondu des fatwas diverses et variées afin de décourager ceux ou celles qui dénoncent au péril de leur vie, les méfaits engendrés par cette belle religion de paix et d’amour. Et pourtant, cette caste politico-médiatique continue de traîner dans la boue le christianisme mais n’ose pas lever le petit doigt pour dénoncer la barbarie de l’islam car elle a peur de se faire flinguer par les fous d’Allah. Cette façon de raisonner des élites françaises déboucherait inéluctablement sur un suicide collectif, tôt ou tard, ce n’est qu’une question de temps.

Pour le pouvoir en place en Occident (et notamment en France) critiquer l’islam, c’est s’attaquer aux musulmans et de cette manière, il encourage l’islamisation de facto de la France et interdit de fait tout argument mettant en cause le terrorisme qui puise son idéologie dans la matrice coranique.

Et en brandissant le glaive de l’islamophobie, les musulmans ont trouvé la parade pour tuer dans l’œuf toute critique de l’islam. D’agresseurs, ils deviennent des victimes, il fallait y penser, oubliant que leur livre saint ( le coran, surtout celui de Médine) est rempli de haine et d’agressivité envers le reste de l’humanité, celle qui ne croit à la prophétie de Mahomet.

Les textes coraniques et ceux de la sunna sont la base de l’initiation à la haine de tout ce qui est non musulman et particulièrement les Juifs et les Chrétiens.

N’est-il pas écrit dans le coran ( sourate 2, verset 109) : « Nombre de gens du Livre aimeraient par jalousie de leur part, pouvoir vous rendre mécréants après que vous ayez cru. Et après que la vérité s’est manifestée à eux…
( Lire aussi les versets 105 et 120 de sourate 2 et le verset 71 de la sourate 3).

Devant un livre de surcroît sacré qui appelle au meurtre de tout non musulman, pourquoi les chantres des droits de l’homme restent-ils silencieux ?

Pourquoi, en Occident, ne fait-on pas un droit d’inventaire sur l’islam ? Pourquoi, refuse-t-on de débattre de la place de l’islam en France et ailleurs et démasquer ainsi sa dangerosité ?
Peut-on encore fermer les yeux sur l’islam qui est l’incubateur du terrorisme et de la haine ? Et jusqu’à quand l’humanité restera-elle les bras croisés face aux menaces véhiculées par l’islam ?

Pourquoi les musulmans refusent-ils de reconnaître que leur religion est basée sur la terreur pour soumettre l’humanité toute entière (versets coraniques) ? Où se trouvent-ils l’amour et la paix dont ils se parent matin et soir pour cacher le vrai visage de l’islam ? Alors chiche qu’ils ouvrent le coran et la sunna en reconnaissant qu’ils ont tort et en commençant à faire les premiers pas vers l’humain, leur frère celui qui ne croit pas en Allah et son Envoyé. Mais comme le non musulman est impur et c’est Allah qui l’a décrété d’en haut, ils continueront à croire que les kouffars (les Infidèles) sont leurs ennemis et par devoir religieux, ils devront les combattre jusqu’à la fin des temps, sinon, ils iront en Enfer comme l’exige d’eux leur prophète Mahomet. Et c’est là où le bât blesse.
L’hypocrisie a trop duré, et le temps de la vérité, c’est maintenant et ce n’est pas demain, car désormais les masques sont tombés.

Mais en attendant un hypothétique réveil de la conscience de l’oligarchie occidentale, le racisme anti-mécréant (c’est-à-dire contre les juifs, les Chrétiens et les apostats) voulu par Allah et son Envoyé a encore de beaux jours devant lui.

Quant à l’islamophobie, elle n’est qu’un paravent que les musulmans utilisent pour cacher le vrai visage (mensonger, hideux et mortifère) de leur religion.

Hamdane Ammar