«Nous devrons travailler plus longtemps car nous allons vivre plus vieux.»
- est-il possible de travailler plus longtemps ?
- allons-nous vivre plus longtemps ?
Travailler plus longtemps est-ce possible ? Ça dépend de nombreux paramètres qui sont tributaires de la santé de la personne et de la pénibilité de la profession.
Exemple : vers 50 ans la ménopause bouleverse le fonctionnement des femmes à cause des changements hormonaux qui sont inévitables. Certaines se sentent mieux, d’autres commencent un enchaînement de problèmes dont l’ostéoporose est le plus célèbre. Il y a bien sûr les traitements hormonaux contre la ménopause à condition qu’ils ne soient pas cancérigènes…
L’andropause est moins spectaculaire mais existe quand même. Ben oui, l’activité de l’individu fait partie de son activité “naturelle”, du bouillonnement de ses hormones… Quand les hormones perdent leur punch, tout le reste des activités faiblit y compris l’activité professionnelle…
Inutile de répéter que les métiers lourds affectent la charpente osseuse des travailleurs. Il suffit d’un affaissement de la voûte plantaire pour déséquilibrer le squelette et donc les muscles et autres fonctions ce qui démolit même le gaillard le plus solide.
Les dégâts invisibles sont plus pervers. Les dépressions, burn out et autres épuisements nerveux poussent au suicide même les paysans qui devraient être les gens les plus vigoureux et les plus sains puisque leur environnement et leur vie au bon grand air de la campagne devrait être la plus saine.
Plus insidieux encore : les gens qui travaillent immergés dans les électro smog. Notre corps est un sac qui contient des liquides dans lesquels flottent des particules soumises à des réactions chimiques et des «courants électriques» comme la transmission des impulsions des nerfs vers les muscles. Exemple : les pompes dans le cœur sont activées par des impulsions électriques. Question : l’électro smog peut-il perturber le nœud sinusal, le réseau de Purkinje ou le faisceau de Hys ? Autrement dit : Que se passe-t-il avec les transmissions électriques dans le corps de Monsieur Machin qui travaille, apparemment pépère, assis toute la journée devant son ordinateur dans un openspace rempli de dizaines d’ordinateurs ? Wireless et autres (micro) ondes ? Ajoutons-y les perturbateurs endocriniens et les neurotoxines qu’il mange à la cantine, sans même le savoir.
Et les allergies ? Exemple : les produits d’entretien dans les bureaux, hôpitaux, écoles… et les “poussières” qui planent dans les ateliers, garages, menuiseries, usines textiles… On connait bien la silicose des mineurs ou l’asbestose, mais combien d’autres “fibres” ou «émanations» toxiques ?
Bien sûr il y a le prof. Un Tel qui, à 95 ans, remplit le Parc de Princes avec ses conférences, est la coqueluche des plateaux télé et bat le record de bicyclette sur piste… Certes, il y des phénomènes mais on ne nous montre que quelques “heures publiques” sans parler des vicissitudes quotidiennes inhérentes aux outrages du temps chez les vieux messieurs…
Bref, sans parler des agressions dues aux conditions de travail, l’activité est un aspect de la maturité hormonale/sexuelle du mammifère que nous sommes. Avec l’adolescence notre activité augmente, à la maturité elle est maximale et avec la ménopause/andropause elle diminue parce que la nature est comme ça. Il est illusoire de vouloir faire travailler plus vieux comme il est illusoire de faire rouler votre voiture au delà des km pour lesquels elle a été conçue. Quand “on commence à avoir des frais” on pense à en acheter une autre… Idem pour les gens : quand ils commencent à avoir des accrocs… mieux vaut les pensionner car les rafistolages finissent par coûter plus cher que de donner le travail aux jeunes qui sont au chômage.
Mais, allons-nous vivre toujours plus longtemps?
Mes grands-parents paysans vivaient de leur production bio dans une campagne où il n’y avait pratiquement pas de pollutions, insecticides, additifs alimentaires, antibiotiques, hormones etc. Ils avaient survécu à la sélection naturelle avant d’atteindre l’âge de la reproduction. Mes parents, eux aussi, ont fait le même parcours, mais en plus, après la guerre 40-45 ils ont bénéficié des améliorations des conditions de vie (ex : machine à lessiver) et des progrès de la médecine.(ex : antibiotiques) Disons que, quand je suis née en 1946, j’avais un excellent héritage santé. Mais quand même, à l’âge de 6 semaines je serais morte d’une broncho pneumonie sans la pénicilline des soldats américains. Mon mari aussi avait été sauvé in extremis à l’âge de 8 ans. Donc accroc à la sélection naturelle et affaiblissement de notre progéniture? En plus, quand nous sommes arrivés à l’âge de la reproduction nous avions déjà subi “les nouvelles pollutions” comme les retombées atomiques, l’alimentation qui contient des “produits chimiques” ou la pollution de l’air. Ma génération s’est ruée sur le coca-cola, hamburger et même les cigarettes… Mais disons que grosso modo nos enfants sont nés dans d’encore bonnes conditions quoi que moins bonnes que celles de nos grands-parents. Nos petits-enfants, eux, ont été conçus dans les années 2000 en pleine prolifération des électro smog, ondes de toutes sorte, aliments frelatés, pollutions de l’air, lumineuses et phoniques, etc.
Donc, depuis ma génération les conditions de vie dégénèrent. Mes parents ont bénéficié de l’héritage santé d’avant guerre et cumulé les bénéfices de l’après guerre, mais les générations suivantes héritent de toujours moins de capital santé et doivent affronter toujours plus d’agressions…
Avant, on mourait à 40 ans et maintenant l’espérance de vie est à 80 ans?
La génération de mes parents qui sont morts à 92 et 100 ans constitue un pic de longévité. Jusqu’à eux la longévité a augmenté, ils se situent au sommet à partir duquel la longévité va diminuer…
Ce qui, par contre, va augmenter ce sont les maladies causées par les pollutions dans tous les domaines (comme l’alimentation) avec comme conséquences: de plus en plus de gens malades à charge de la communauté et de moins en moins de gens capables de travailler pour subvenir aux besoins de ceux qui ne savent plus travailler.
Exemple: en Belgique la presse dit que 33% de la population (1 homme /3 et 1 femme /4) est concerné par le cancer et que d’ici 2030 on prévoit une augmentation de 75 %… pire dans certaines zones défavorisées une augmentation de 90%…
http://www.lalibre.be/actu/international/explosion-de-cancers-d-ici-2030-51b8ebbbe4b0de6db9c6bfa7
Sans parler de toutes les autres maladies dégénératives qui frappent même les enfants… Les téléthons n’y feront rien car ils rassemblent de l’argent pour financer la recherche pour soigner les maladies mais pas pour supprimer les causes des maladies…
Sait-on résoudre toutes les situations inquiétantes? Exemple :
http://www.tdg.ch/suisse/Des-tonnes-de-munitions-au-fond-des-lacs-suisses/story/26047625
Des tonnes d’armes ont été déposées au fond du Lac de Thun. Impossible de les en retirer. Il n’y a aucun danger pour la population de la Vallée de l’Aar (comme la ville de Bern) qui en boit l’eau. Mais on constate chez les poissons des modifications génétiques de l’appareil reproducteur… Et ça c’est un cas abondamment commenté, combien de cas semblables sont cachés ?
J’oubliais : on nous importe les «forces vives» des autres continents… sauf que nous, nous nous sommes adaptés à notre habitat depuis des millénaires et que ces migrants sont adaptés aux conditions de vie de leur habitat qui est bien différent du nôtre… Alors, quand on voit le temps qu’il faut pour acclimater des plantes, combien de temps va-t-il falloir pour acclimater des humains ?
On nous rassure : des mesures sont prises avec l’objectif 2050 ou 2100… Mais avec les changements climatiques et tous les autres bouleversements, l’humanité existera-t-elle encore d’ici là ? Le monde oui, bien sûr il continuera à tourner mais qu’en sera-t-il des êtres vivants ? Quand dans une espèce animale il y a surpopulation, une épizootie élimine 90% et les 10% qui survivent recommencent à zéro. Sommes-nous arrivés à ce tournant ?
Conclusion : avant de voter il serait intéressant de demander aux candidats comment ils pensent résoudre la question non pas selon les idéologies et les théorie des économistes, mais selon la réalité de la nature.
Anne Lauwaert
Vrai qu’on ne peut pas travailler au-delà d’un certain âge et que la retraite existe pour ceux qui sont fatigués…par l’âge ou par les pollutions diverses ou les deux! LE problème: 1/ Le jeune commence le travail de plus en plus tard, travaille de moins en moins longtemps et donc 2/ qui va payer ces retraites?
L ESPERANCE de vie est toujours la meme depuis l antiquite peu importe les conditions sauf le nombre change 120 ANS sauf pour les vampires infectes par un parasite vivant4500 ANS ET induisant des modifications genetiques
oui mais… c’est aussi notre faute: personne ne nous oblige à acheter et manger les produits qui sont pleins d’additifs cancerigènes, nous sommes capables de lire l’étiquette et de ne pas acheter!
Mais qu’ont’ils fait de notre planéte depuis40 ans ? Ils l’on laissé s’affaiblir ,et on en est à la plaindre ,mais les lobbys pharmaceutiques s’en sont mis plein les poches ,par contre la recherche ,cherche du financement ,et la mer commence à être polluée,ce qui aggrave le problème,des tas d’animaux meurent,ou sont infestés ,mais ont les mangent quand même………………
Nous devons travailler plus longtemps non-pas parce que nous vivons plus longtemps mais simplement parce qu’il nous faut nourrir des improductifs comme les MIGRANTS par exemple.
Ces derniers sont logés, nourris, blanchis, soignés, chauffés, et en plus ont leur donne de l’argent de poche.
Alors mes amis patriotes, travaillons autant qu’il le faudra pour que nos envahisseurs soient bien à leur aise chez nous !
Guerre ou (et) “epizootie” humaine, je pense que nous y arrivons ou arriverons dans un avenir proche, car la Nature, si elle a horreur du vide, a encore plus horreur du trop plein. La surpopulation, avec la multiplication des inadaptations qu’elle implique, trouvera inexorablement sa solution, sa limite.
Bobby, bien sûr le prof Peter Piot spécialiste de Ebola et SIDA écrit que l’Europe n’est pas prête à affronter une épidémie genre grippe espagnole qui pourrait faire des centaines de millions de morts. L’immigration va bien sûr apporter ses maladies avec elle. Nous étions dans tous les domaines (sécurité, enseignement, santé, pensions ) arrivés à un équilibre mais il est délicat et dès que les dominos commenceront à tomber on ne les arrêtera plus. Et oui, tout ça ce n’est pas le fruit du hasard : on tire des ficelles en coulisse, mais sommes-nous obligés de l’accepter ?
Non. Nous n’allons pas vivre plus longtemps, au contraire. La génération de personnes nés il y a un siècle a bénéficié de 2 facteurs qui expliquent sa longévité:
1° une alimentation saine, à une époque où tout n’était pas trafiqué aux produits chimiques et aux hormones.
2° de formidables avancées en médecine depuis 50 ans
Il y a présentement 100 000 composés chimiques utilisés par l’industrie dont on ne connaît pas les effets sur le corps humain.
De nombreux cancers sont à prévoir, maladie mortelle souvent incurable.
Vivre plus longtemps. Oui. Mais certainement pas en bonne santé ..Les gens atteints d arthrose. Rien pour les soulager . Les rares médicaments ne sont pas remboursés et on rembourse de moins en moins alors que l IVG est entièrement prise en charge tout comme la tritherapie . Les soins dentaire sont hors de prix. Ah oui nous allons travailler plus longtemps mais en béquilles et édenté. Ça va drôlement le faire dans une société de paraître .
Je trouve article excellent.
Anne, sans compter les maladies que ces “migrants”, entre autres “joyeusetés”, nous “apportent !!!
Entre PANDEMIE et EPIDEMIE, c’est comme entre l’ISLAM et le MONDIALISME, ou encore la PESTE ou le CHOLERA, peu importe le choix, le PIRE est au bout, si je puis l’écrire ainsi !!
Je pense que la guerre, comme le chômage est VOULU, ce qui explique un tas de choses et de faits, décisions de justice, INVASION migratoire, DESTRUCTION des services publics et des droits sociaux…
Nous n’avons jamais été aussi près, tout en étant si peu prêts, du et au cataclisme européen qui se profile à l’horizon …