Au Mali, les chrétiens savent qu’ils seront les premiers égorgés

Profondément, je crois que la prolifération des attentats islamistes se multipliant à grande échelle depuis ceux du World Trade Center en septembre 2001 ( Irak, Pakistan, Afghanistan, Indonésie, Arabie Saoudite, Yémen, Algérie, Maroc, etc…) n’est pas la seule cause pour laquelle l’Islam effraie.

Pour l’instant en France, qui provisoirement n’est pas encore un pays à dominante musulmane, on n’en est pas encore là. Non, l’Islam file surtout les chocottes à cause de cette salle manie qu’ont les musulmans de trucider leurs adversaires en leur coupant le cou.

Continûment, bien ancré dans les us et coutumes depuis sa fondation et conformément aux prescriptions d’Allah dans le verset 91 de la 4ème sourate du Coran : « S’ils ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent pas leurs mains (de vous combattre), alors saisissez-les et tuez les par derrière ( c-a-d par égorgement) où que vous les trouviez », où que vous alliez dans un pays musulman,  depuis des lunes on a égorgé à tour de bras pour aller au Paradis. Et de préférence, comme me l’ont appris mes anciennes fréquentations musulmanes, avec un couteau à la lame bien ébréchée pour que la victime souffre le maximum.

Hommage au Père Marek d’origine polonaise, qui fut égorgé à Tunis de manière atroce – la tête n’étant plus raccrochée que par un lambeau de peau – par son menuisier au début de la révolution tunisienne qui a renversé Ben Ali

Les trois ou quatre premiers califes de la religion musulmane ont été égorgés les uns après les autres. Si on connaît bien quelques oulémas comme ceux avec qui j’ai pu discutailler dans mon jeune temps, j’en retire l’impression que toute l’histoire de l’Islam est une sorte de Borgia-Story  à la sauce mahométane qui dure depuis quatorze siècles.

Le sacrifice rituel par la lame d’un couteau est très présent dans la religion musulmane depuis que le Coran a trafiqué la scène où Abraham offre de sacrifier son fils et qu’Allah lui en fait grâce aux dépens d’un pauvre mouton qui, d’après la tradition musulmane, est tout fier et tout content d’être égorgé par un musulman (cf. L’islam expliqué aux enfants de Tahar Ben Jelloun).

L’Islam pratique également depuis toujours le sacrifice humain par égorgement  Progressivement, cette coutume barbare qui avait disparu avec les apports de la colonisation occidentale en Afrique,  commence à réapparaître.

Aujourd’hui, la communauté chrétienne au Mali vit dans une grande inquiétude Il y a quelques mois, tous les chrétiens du nord du Mali ont été contraints de fuir. Il n’y a plus aucun prêtre ni aucun des vingt mille chrétiens qui vivaient dans cette région.

http://www.aed-france.org/actualite/un-pretre-francais-au-mali-tenir-envers-et-contre-tout/

Les courageux curés qui se sont risqués à rester, ont fini par s’enfuir les uns après les autres avec la conscience rétrospective qu’à vingt minutes près pour certains d’entre eux  avertis par des coreligionnaires qui venaient d’apprendre qu’un des camps militaire de la zone était tombé aux mains des assaillants musulmans, les troupes armées islamistes étaient venues  dans leur cour pour les égorger.

Clairement, les chrétiens savent qu’ils seront les premiers désignés pour être égorgés si la guerre arrive jusqu’à Bamako, capitale du Mali située ans le sud-ouest.. Très minoritaires, les chrétiens se demandent même si un jour ils n’auront pas à s’enfuir de leur pays. Ce qui est inquiétant, c’est que l’on sent de grandes tensions à Bamako. Des coups de feu émanent régulièrement des forces de police. Le grand banditisme est là. On sent une pression de l’islamisme radical. Même si ce n’est pas encore un islamisme armé.

Huineng

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