Castres : comment l’AFP traite une agression Vladimir contre des paras

Le titre de la dépêche AFP/Le Figaro donne dans l’euphémisme : « Castres : heurts entre jeunes et militaires ».

Résumons. Une dizaine de militaires parachutistes prennent un verre dans un bar, et défendent une jeune fille qu’importunent des « jeunes » (sic !). Ils se font alors traiter de « sales militaires » et « sales Français ». Il s’ensuit une bagarre à l’extérieur de l’établissement avec des « renforts » des deux côtés. La police use de balles en caoutchouc et de gaz lacrymogènes pour séparer les belligérants. Un para perd l’usage d’un œil, blessé par un tesson de bouteille. Deux « jeunes » sont interpellés.

Et la dépêche parle de « heurts », alors qu’il s’agit d’une attaque en règle et raciste contre nos soldats ?

Et la dépêche parle de « jeunes », alors qu’il s’agit manifestement de voyous ne se sentant aucunement français, et ayant de la haine pour les militaires et les Français ?

C’est du « Vladimir » tout craché.

Evidemment, et comme d’habitude, on risque d’attendre indéfiniment les communiqués et les plaintes du Mrap, de SOS-Racisme, de la LDH et de la Licra.

Imaginons la situation inverse : une bande de militaires attaque un groupe de Maghrébins en les traitant de « sales Arabes »… Les réactions des « antiracistes » seraient alors immédiates !

On attend également la réaction des ministres de l’Intérieur et de la Défense dans la « France apaisée » de François Hollande. Peut-être faut-il classer Castres en « Zone de sécurité prioritaire » ? D’ailleurs les promesses de nouvelles ZSP se multiplient en ce moment : Toulouse, « quartiers sensibles » isolés dans le sud de Marseille, etc.

Le nouveau gouvernement ne semble pas prendre la mesure de la situation. Il y a une véritable volonté de la part de « jeunes » de s’en prendre délibérément aux policiers, aux militaires et à tout ce qui représente l’Etat, avec un racisme et une haine à l’encontre de la France et des Français, avec nombreux passages à l’acte. Et Manuel Valls ose affirmer qu’« il n’y a pas d’ennemi intérieur »

Roger Heurtebise

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