Dounia Bouzar veut halaliser, hijabiser, ramadaniser, salatiser et burkiniser toute la société française

Dounia Bouzar s’autoproclame « anthropologue sur le fait religieux », « expert européen (mazette !) sur les discriminations », et use et abuse des mots « laïcité », « diversité », « vivre-ensemble », etc.
Faux-nez que tout cela. L’hypocrisie – que l’on peut appeler takia dans son cas – de Dounia Bouzar est apparue clairement à tous les Français dans une interview sur I-Télé (1). Robert Ménard lui rappelle qu’elle est « favorable à des salles de prières dans les entreprises ». Et Dounia Bouzar de lever les mains au ciel : « Nonnnnn ! Non-non-non-non-non-non ! Absolument pas ! Je suis pour des salles de repos, transversales, pas des salles sacrées, (…) ça doit être un endroit où on peut jouer au scrabble, écouter de la musique, et éventuellement, pendant les moments de repos… voilà ! » Robert Ménard a traité Dounia Bouzar de « faux-cul », et il a eu parfaitement raison.
Car la « laïcité », la « diversité », le « vivre-ensemble », et tout ce baratin que nous livre Dounia Bouzar, ainsi que tous les titres gonflants qu’elle s’attribue ne servent qu’à masquer sa véritable mission : islamiser, islamiser et encore islamiser le moindre recoin de la société française. Son dernier ouvrage « Laïcité, mode d’emploi » ne parle absolument pas de laïcité, mais de conseil pour imposer ici la viande halal, là le hijab, ailleurs l’aménagement d’horaires et de locaux pour la prière, et le ramadan, etc. Et évidemment uniquement au profit de l’islam et de lui seul.
Autre preuve de cette fausse laïcité et de cette vraie islamisation : Dounia Bouzar tient une chronique dans la même veine, et devinez où ? Sur un blog spécifique ? Dans un média d’information ? Sur un site laïque ? Pas du tout. Sur le site islamique SaphirNews, qui se présente comme « quotidien musulman d’actualité », et qui est consacré exclusivement à l’actualité musulmane et à la défense des musulmans.
Cette chronique est intitulée « Ma foi, le droit et moi ». Elle devrait plutôt s’appeler : « Mon islam, comment l’imposer ostensiblement aux mécréants ».
Et la takia commence dès l’introduction de sa rubrique : « Vous avez vécu une situation de discrimination liée à votre religion dite « minoritaire » (protestante, bouddhiste, juive, sikh, musulmane…), et souhaitez poser une question sur vos droits et devoirs ? N’hésitez pas à proposer votre cas. »
Tartufferie là encore, puisqu’absolument aucun cas de « discrimination » de protestants, de bouddhistes, de juifs, de sikhs n’est proposé à l’étude ! Et d’ailleurs tous ces gens de religions minoritaires n’ont jamais voulu protestantiser, bouddhistiser, juiviser, sikhiser notre société. Hypocrisie de mettre le mot « musulmane » en dernier de cette liste, alors que c’est le seul qui intéresse Dounia Bouzar ! Et nous allons d’ailleurs vérifier tout cela en passant en revue les différents articles de cette chronique.
« Prendre un congé pour l’Aïd, c’est mon droit »
Tous les articles sont construits sur le même canevas : « Que dit la loi ? », « Mise en situation », « Eléments du débat », « Que faire ? » Il s’agit de donner aux militants de l’islamisation tous les arguments et moyens de pression pour imposer leur but. Ici, en l’occurrence, obtenir auprès d’un patron un jour de congé musulman (et pas juif, bouddhiste ou sikh…)
Dounia Bouzar joue de la victimisation en criant à l’injustice : « le calendrier français est du pain bénit (sic !) pour les chrétiens » et qualifie cela de « discriminatoire ». Salauds de racistes français et chrétiens ! Et évidemment elle demande que toutes les fêtes musulmanes soient des jours fériés puisque l’islam « fait partie du patrimoine français » (Ah bon ?)
« Travailler dans une crèche en portant le voile »
C’est évidemment une réaction à la fameuse affaire de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines). Dounia Bouzar prend bien sûr la défense de la militante voilée et condamne son licenciement, mais qualifie également tout règlement intérieur « laïque » d’« illégal » alors que cela est parfaitement faux.
Notre islamisatrice en chef balaie l’objection du prosélytisme envers de très jeunes enfants en disant que porter un hijab, c’est « transmettre auprès des enfants le message que toutes les visions du monde sont égales ». Hé bien non ! La charia n’est pas « égale » aux droits de l’homme, le Coran n’est pas égal aux Evangiles et à la Constitution française, Mahomet n’est pas égal à Jésus et à Bouddha. Militer pour l’islam dans une crèche, c’est « transmettre » aux enfants comme respectable la « vision » du beau modèle sanguinaire, polygame, pédophile, sexiste, raciste Mahomet. Est-ce cela que nous voulons pour nos bambins ?
« Halal, casher, végétarisme : la dame de la cantine a forcé mon enfant à manger de la viande »
Après l’aïtisation de nos entreprises et la hijabisation de nos petites filles, voilà la très classique revendication de halalisation des cantines scolaires. Evidemment, le casher et le végétarisme ne servent là encore que d’écran de fumée pour l’islamisation.
Dounia Bouzar prodigue ses bons conseils. Tout d’abord, faire pression sur « l’élu municipal chargé de la restauration scolaire ». Il faut revendiquer le fait que les musulmans sont « chez eux » en France, et procéder par étapes : d’abord demander « le minimum : qu’au moins on n’oblige pas votre enfant à manger de la viande non ritualisée ! » et donc revendiquer un repas « avec poisson, œufs, fromages ou équivalent ». Le halal, ce sera pour une seconde étape.
On note là encore l’hypocrisie de Dounia Bouzar : il faut permettre « à tous ceux qui ne mangent pas de viande de s’inscrire à la cantine pour prendre leur repas avec leurs camarades, sans qu’il soit question de religion à un moment ou à un autre. » Le « vivre-ensemble » n’est qu’un prétexte, et on balaie carrément l’argument « religieux » alors que c’est le sujet même de l’article. Parfaitement « faux-cul », comme pour les salles de scrabble athée et de prières musulmanes en entreprise…
« Un Noël pour tous »
Dounia Bouzar invente un cas d’école : « Vous êtes animateur au sein d’une maison des jeunes, chargé de l’organisation du buffet de la fête de Noël pour tous les habitants du quartier. » Il faut « assurer la cohésion sociale », et blablabla. Evidemment, le classique rappel de la loi : « assurer la liberté de conscience ».
Concrètement, Dounia Bouzar demande déjà que le même animateur organise aussi un « Aïd pour tous » dans les mêmes conditions que le « Noël pour tous ». Ensuite, votre « Noël pour tous » devra obligatoirement respecter la charia alimentaire : « foie gras habituel, foie gras halal et casher ». Et pour ne pas vexer les hôtes musulmans si sensibles, interdiction de toute référence chrétienne pour ce Noël : il faut bannir les crèches (pourtant élément traditionnel de cette fête), et… les chants de Noël ! Par contre, bien sûr, on peut apporter son hijab…
Et dans une note, Dounia Bouzar raconte que : « Cela se passe ainsi à Marseille, où tous les Marseillais fêtent l’Aïd, quelles que soient leurs convictions, de manière cultuelle pour les uns et de manière culturelle pour les autres. « L’Aïd dans la cité » est ainsi organisé depuis de nombreuses années par l’Union des familles musulmanes (UFM). »
C’est parfaitement faux. Les manifestions publiques de cet « Aïd dans la cité » marseillais ne comportent que des repas exclusivement halal, sans « foie gras habituel », on y chante moult hymnes islamiques, et « tous les Marseillais » n’y participent pas, loin de là ! A part les musulmans et quelques responsables politiques ou associatifs venus faire de la retape, on n’y trouve quasiment aucun « Marseillais de souche ». Et c’est amusant de voir Dounia Bouzar présenter cet Aïd marseillais comme s’il était fêté « de manière cultuelle pour les uns et de manière culturelle pour les autres », alors qu’elle veut interdire toute référence chrétienne dans son « Noël pour tous ».
Comme je le disais dans un commentaire de l’article de Dounia Bouzar : « Non mais franchement, vous me voyez débarquer dans une “maison de jeunes” à La Mecque ou au Maroc, avec un saucisson pur porc et une bouteille de Beaujolais, et expliquer aux autochtones qu’il faut qu’ils enlèvent leurs icônes de leur caillou (la Kaaba) et tout ça ? Ce serait exactement comme Madame Bouzar qui nous demande d’enlever nos crèches et d’acheter du halal pour financer le culte de Mahomet. »
Cet exemple du « Noël pour tous » est symptomatique de la dissymétrie des situations, de la non-réciprocité mais aussi du véritable dessein de Dounia Bouzar : il faut déchristianiser, dé-jésuiser, ces fêtes traditionnelles et populaires de Noël dans les lieux publics, et les halaliser et les hijabiser pour la plus grande gloire d’Allah et de son Prophète. C’est donc une véritable substitution culturelle et religieuse qui est recherchée, une colonisation islamique des lieux et des esprits. Et si vous, pauvres mécréants, n’obtempérez pas, alors vous aurez affaire à la Halde voire à la justice.
« Accusée d’entrave à la laïcité, une association est interdite de salle municipale »
« Vous êtes le président d’une association de loi 1901 qui se réunit tous les dimanches, depuis des années, dans un local du centre social. Récemment, le nouveau directeur de ce centre social est venu vous voir pour vous signifier que le foulard (de la vice-présidente) ne pouvait être porté dans un bâtiment public. Il a également estimé que certaines de vos activités entravent la laïcité. Pour toutes ces raisons, il tient à vous prévenir qu’il remet en question le prêt de la salle jusque-là octroyée. »
Et un beau morceau de langue de bois : « Vous avez fondé votre association pour renforcer la cohésion sociale de votre commune. En effet, depuis les événements du 11-Septembre 2001, vous avez constaté qu’un certain nombre de citoyens amalgament islam et intégrisme et que le « choc des ignorances » s’accentue. Du coup, votre association développe le dialogue interculturel, les actions socioculturelles, la sensibilisation à l’initiative citoyenne et aux valeurs de l’islam actualisées dans le contexte français. »
Donc en fait, la « cohésion sociale » sert là encore de paravent à la promotion « des valeurs de l’islam », et uniquement à celles-ci. Il est d’ailleurs remarquable de constater que jamais Dounia Bouzar ne fait la promotion inverse : la « sensibilisation » des musulmans aux valeurs chrétiennes, athées ou laïques dans les quartiers islamisés de nos villes ! Toujours ce sens unique, ce rabotage de notre civilisation pour imposer l’islamisation. On islamise la France au lieu de franciser l’islam. C’est un dogme musulman : les « infidèles » doivent se convertir ou se soumettre à la seule religion authentique.
Dans sa grande habitude de la takia, Dounia Bouzar conseille au président de l’association d’agir par ruse : enlever tout simplement « la sensibilisation aux valeurs de l’islam » des statuts de son association. C’est là encore parfaitement « faux-cul », tout comme la pseudo-absence de la « question de religions » dans la revendication de bannir la viande non halal dans les cantines scolaires. Nous connaissons tous ces associations communautaristes qui cachent leur but islamique sous des dénominations neutres, du genre « Vivre-ensemble à … », « Amicale culturelle du quartier de… », etc.
« On me refuse une formation pour port de signe religieux »
Dounia Bouzar propose le cas suivant : une voilée veut effectuer une formation professionnelle dans un établissement public, mais le règlement intérieur stipule que « ne peuvent être admis le port de tenues provocantes, d’une casquette ou de tout autre couvre-chef. »
Dounia Bouzar explique longuement « ce que dit la loi », puis nous affirme que l’interdiction de « couvre-chef » est « discriminatoire » envers les musulmanes voilées, mais également « les hommes portant le turban sikh ou la kippa ». Toujours le même alibi fallacieux, puisqu’à ma connaissance, ni la justice ni la Halde ni les gazettes n’ont eu à traiter de telles revendications de la part de juifs et de sikhs, alors que les voilées et leurs gourous ne cessent de nous emm… depuis 1989.
Là encore, je vous renvoie à mon commentaire : « On vient chercher une formation pour s’intégrer dans la société ou on vient faire du prosélytisme religieux ? Pourquoi pas demander que les cours s’arrêtent au moment de la prière tant qu’on y est ! » Car évidemment, ça viendra en son temps. C’est la méthode de ces soldats et soldates de l’islam : avancer peu à peu, et dès qu’on obtient un doigt de charia, on en demande un autre, puis toute la main y passe, et enfin tout le bras. Dans les entreprises, on tolère déjà le voile (sinon Halde et tribunaux), donc on est passé à la salle de prière et aux horaires du Ramadan. Et ainsi de suite. C’est la technique de la grenouille chauffée peu à peu dans une marmite d’eau : quand elle se rend compte qu’elle va mourir, il est trop tard. Et Dounia Bouzar alimente largement le feu sous la marmite, pour tuer la grenouille française.
C’est extraordinaire, ces affaires de voiles qui nous pourrissent la vie depuis trois décennies, et qui continuent de plus belle. Comme si ces femmes et ces filles avaient leur hijab collé à la glue sur la tête, comme si le ciel leur tombait dessus si elles l’enlèvent ! Le vrai problème que devrait aborder Dounia Bouzar, c’est « l’actualisation dans le contexte français » d’une « valeur de l’islam » aussi fétichiste et abêtissante. Et ça favoriserait bien mieux le « vivre-ensemble » qu’elle appelle de ses vœux, puisqu’aujourd’hui, 3 Français sur 5 sont opposés au voile islamique… dans la rue (4).
C’est le fond du problème, que j’ai d’ailleurs signalé maintes fois à Dounia Bouzar dans mes commentaires à ses articles et qu’elle refuse d’entendre. Toute sa croisade – ou plutôt sa croissantade – pour halaliser, hijabiser, ramadaniser, salatiser (et j’en passe) tous les rouages de la société civile française ne fait que donner raison à ceux qui combattent cette islamisation, et renforce ce que Dounia Bouzar appelle « l’islamophobie ». Nous sommes en France, tout de même, pas en Arabie saoudite ou en Iran ! C’est incroyable de prôner une telle régression intellectuelle et obscurantiste quand on se prétend scientifique.
Mais j’ai sans doute été trop naïve en voulant interpeller Dounia Bouzar, puisqu’elle n’a jamais répondu à mes objections. J’aurais dû écouter les conseils d’un ami marocain, qui m’expliquait que ça ne sert à rien de « leur » parler, que leur islam c’est tout leur être, toute leur vie, et qu’ils se fichent royalement de ce que peuvent en penser « les Français ». L’islamisation, c’est leur but, par tous les moyens. Dounia Bouzar utilise l’hypocrisie, la méthode « soft », la culpabilisation, l’instrumentalisation de l’antiracisme. D’autres se chargent de méthodes plus musclées, comme les prieurs de rue ou les racketteurs de financement public. Et les plus extrêmes passent au jihadisme. Mais toutes ces méthodes se complètent parfaitement : Dounia Bouzar ose invoquer le 11 septembre pour victimiser les musulmans (ce qui est tout de même paradoxal), et son combat pour imposer des signes ostentatoires partout permet aux extrémistes musulmans de terroriser leurs coreligionnaires qui ne s’y soumettent pas. Le cas du voile est exemplaire de cette double démarche : plus les filles seront voilées dans les cités, dans les administrations ou les entreprises, et plus celles qui refusent de le porter seront harcelées comme mauvaises musulmanes et traîtres à l’islam. Beau service que leur rend Dounia Bouzar !
« Porter un burkini dans une piscine municipale, est-ce possible ? »
Voilà le dernier article de la chronique de Dounia Bouzar (pour le moment), qui illustre parfaitement son jusqu’auboutisme. Vous avez tous entendu parler du « burkini », ce maillot de bain intégral et intégriste, sorte de burka aquatique pour nager à la mer ou en piscine. On atteint évidemment là le comble du ridicule et de l’obstination ostentatoire, discriminante et sexiste (car il n’y a ni burkini ni hijab pour hommes). Hé bien pas pour Dounia Bouzar, qui se fait l’avocate du « burkini » dans les piscines municipales !
« Que dit la loi ? ». Rien, et donc Dounia Bouzar va devoir trouver autre chose : refuser le burkini, c’est une « atteinte fondamentale » à la « liberté de conscience » des musulmanes, et une « pression psychologique » contre elles. Ah bon ? Et l’islam, n’est-ce pas en soi une montagne de « pression psychologique », qui pousse ses adeptes à de telles extrémités ?
Autre argument de Dounia Bouzar, le « vivre-ensemble », idéologie impérieuse dans notre « pays multiculturel », qui se décline ici en « nager ensemble ». Quelle bonne blague ! Franchement, je n’ai guère envie de « nager ensemble » avec des burkinisées qui ne cherchent qu’à se singulariser et se ridiculiser, et je suis sûre que 95% des femmes françaises sont comme moi.
Mais comme Dounia Bouzar ne peut pas utiliser son chantage à la Halde et aux tribunaux dans le cas du burkini, elle propose une solution, et tenez-vous bien, cette solution ce sont les horaires réservés à la mode de Martine Aubry à Lille ! Comme « nager-ensemble », on fait mieux, mais ça prouve une fois de plus que l’objectif de Dounia Bouzar est bien l’islamisation et non la convivialité.
Evidemment, Dounia Bouzar use de la même tartufferie que le maire de Lille : les créneaux horaires islamiques en piscines doivent être déguisés par des locations exclusives, de la part d’« associations » qui comme dans le cas de la salle municipale (voir plus haut) cacheraient leur objectif islamique sous une quelconque étiquette non religieuse.
C’est justement ce que prétend actuellement Martine Aubry, interpellée par Jean-Jacques Bourdin sur les horaires de piscine municipale pour musulmanes à Lille (5). Comme l’opinion publique est désormais sensible à la mise à mal de la laïcité par l’islamisation, elle change de stratégie. Au lieu de refuser de répondre aux journalistes sur cette question, elle passe au déni total. Mais non, nous assure-t-elle, il n’y a jamais eu d’horaires de piscines réservés pour les femmes musulmanes à Lille. Et de nous inventer sur le champ une fable de femmes obèses qui ne voulaient pas se montrer en maillot de bain. Martine Aubry assure que tous les journalistes qui sont venus enquêter à Lille sur cette affaire l’ont constaté.
C’est un mensonge sur toute la ligne, puisque justement plusieurs reportages télévisés ont montré que ces horaires étaient exclusivement réservés aux musulmanes, avec interdiction à tout personnel masculin. Et que la piscine en question était fermée lors de ces horaires islamiques pendant le mois de ramadan…
Takia et chariatisation sur toute la ligne
« Faux-cul », Martine Aubry, qui nie également dans cette interview qu’il y a ait la moindre femme portant le voile intégral dans les rues de Lille (malgré là encore plusieurs reportages de la presse locale), et même que les musulmans y posent le moindre problème. Quelle menteuse ! Et elle prétend devenir Présidente de la République ?
« Faux-cul » et menteuse tout comme Dounia Bouzar, dont désormais nous connaissons la responsabilité éminente dans l’islamisation de la France, à l’encontre de toutes les valeurs humanistes, républicaines ou laïques qu’elle prétend défendre. Dounia Bouzar est non seulement une militante de la charia et du communautarisme musulman, mais également une soldate zélée qui veut imposer l’islam aux Français par un maximum de signes et manifestations prosélytes et conquérantes dans toute la société civile.
On peut donc résumer sa fonction dans l’islam politique et dominateur par le mot de « chariatisation » de la France et des Français.
Djamila GERARD
(1) http://www.youtube.com/watch?v=LZrhe5PPRK8
(2) Éditions Eyrolles, 2010
(3) http://www.saphirnews.com/dounia-bouzar/
(4) http://www.ifop.com/media/poll/1365-1-study_file.pdf
(5) http://www.bfmtv.com/video-infos-actualite/detail/martine-aubry-972475/

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