A mourir de tristesse !
(Photo Getty images)
L’imagination fertile de l’Etat Islamique n’a plus de bornes, surtout quand il s’agit d’humilier la femme, de l’asservir comme butin de guerre, de la vendre aux enchères sur les marchés aux esclaves, de la lapider sur la place publique en cas de suspicion d’adultère et même de lui interdire les soins médicaux élémentaires…
Dans l’islam, en général, la femme fait partie des biens de l’homme au même titre que les meubles. Elle est confinée et emprisonnée dans la maison. Elle ne peut sortir qu’en compagnie d’un membre masculin de la famille proche. Elle doit être vêtue d’une burqa, islamiquement réglementaire.
La dernière découverte de l’Etat Islamique, dans la panoplie de la terreur qu’il fait subir à la femme, est une torture d’un nouveau genre. La nouvelle a été rapportée de Mossoul (Irak) par Patrick Cokburn du journal britannique The Independent. Une torture qui a vu le jour dans cette ville, ce qui lui a fait décerner le label de « ville de la brutalité ». Il s’agit de l’invention d’un appareil de torture mobile, portable et qui est appliqué à toute femme qui commet le crime de ne pas respecter le port du vêtement réglementaire. L’appareil, non encore breveté pour en assurer l’exclusivité et éviter tout piratage, est muni de dents métalliques. Il ressemble à une grosse pince, à un piège à rongeurs. Il est destiné à mordre les muscles de la femme pour provoquer une douleur intense et laisser des traces d’ecchymoses et d’hématomes sur la peau et les muscles. Les Anglais ont dénommé l’appareil « biter » ou « clipper » et en arabe « ‘addâda » (عضّاَضة) (1). Une femme a été ainsi punie et torturée de façon sadique pour avoir oublié de mettre les gants noirs de rigueur. Cet instrument est devenu une source d’inquiétude et d’angoisse pour toutes les femmes. C’est ce que recherchent d’ailleurs les promoteurs de cet outil de torture. Comme il recule sur tous les fronts, l’Etat Islamique déborde d’ingéniosité et fait grimper sa barbarie.
Il ne faut pas prendre les gants pour un élément d’élégance dans la haute couture islamique : les gants sont imposés en Arabie Saoudite aux caissières des supermarchés, non par mesure sanitaire (pour éviter de se salir les mains par la manipulation de la monnaie), mais pour empêcher tout contact épidermique entre la femme-caissière (la grande tentatrice par définition) et le client-loup masculin (prêt à bondir sur sa proie) et pour leur éviter ainsi de basculer dans l’antichambre de l’adultère. Le même phénomène, le port du gant, est observé en Europe chez la femme niqabée qui doit impérativement porter cet accessoire. « Cachez cette peau que je ne saurais voir … »
Si un jour la charia est appliquée en Europe, mesdames les féministes, il sera trop tard pour réagir ! Q’attendez-vous pour agir dès maintenant ?
Bernard Dick
(1) Biter : appareil à mordre (to bite). Clipper : appareil à poinçonner (to clip). ‘Addâda : appareil à mordre (‘adda, عضّ).
Au 04/03/2016, nombre d’attaques terroristes islamiques mortelles :
“Comme il recule sur tous les fronts, l’Etat Islamique déborde d’ingéniosité et fait grimper sa barbarie.”
Il en allait de même avec les nazis dans les mois précédant la fin de la guerre, et leur défaite.
Excusez mon ignorance mais vous parlez dans votre articles de féminichépaquoi…
c’est quoi ? des travelos ?
Ah non, je me rappelle … c’est Hollande qui a dit dans le magazine “elle” qu’il était féministe !
Le pauvre , il ne ressemble même pas à un homme, comment peut il être féministe ?
En saquant Trieweller en direct à la TV par un msg de 15 secondes ? en abandonnant la femme qui lui a donné 4 enfants et pour se faire pardonner lui donner des ministères dans son gouvernement “irréprochable” ?
Bref c’est quoi cette merde de féminisme AUJOURd’HUI ?
les féministes couchent avec les musulmans dont elles sont devenues les esclaves !
Les “féministes” de salon, qui se réunissent pour boire le thé chez Angelina ou chez Ladurée sont beaucoup plus préoccupées par la nécessité semble-t-il vitale de dire Madame LA députée ou Madame LA juge que par le sort de leurs consœurs dans les pays musulmans. Quand quelques femmes se battent courageusement dans leur pays (quand on sait ce dont sont capables les juges et les gouvernants de ces “gentils” pays musulmans) pour refuser ces accoutrements moyenâgeux ou pour avoir le droit de voyager sans l’autorisation d’un “mâle” de la famille, certaines imbéciles osent dire chez nous que porter la burqa, le tchador ou le voile sont synonymes de la liberté de la femme; à désespérer de tout. Ces tarées, probablement en mal d’exotisme, sont les mêmes qui défendent bec et ongles les jeunes migrants musulmans, quand bien même ces derniers seraient-ils des machos de la pire espèce.
Les fémini quoi ???.
Celles qui se contentent de lutter sur les fronts où elles savent pouvoir gagner ne peuvent plus être appelées des féministes