Face à l’islam, ne vous prosternez surtout pas !

Radu Stoenescu l’a expliqué dans nos colonnes : le tueur Norvégien est un jihadiste anti-jihadiste(1). Tout être civilisé sait que la violence est cette peste qui n’a jamais fini de hanter notre humanité. A moins d’être habité par l’esprit de vengeance à l’identique qui est, fatalement, sans fin, à moins d’adhérer à l’antique principe juridique et biblique « œil pour œil, dent pour dent », on ne peut s’élever contre la prescription et la pratique du jihad islamique et succomber à son application en recourant à ses moyens.

Malgré les violences subies, Mandela a compris les vertus libératrices de la non-violence. Lutter pacifiquement, résister au travers du verbe qui nous fait humains, rester dignes, y compris dans l’adversité, ne jamais succomber aux folies de la violence, voilà ce que Anders Behring Breivik n’a pas du tout saisi. Il n’a pas compris que notre civilisation mérite son nom parce qu’elle respecte la vie, y compris celle des pires assassins comme il l’est devenu. Une partie des Américains continue de donner la mort en croyant que c’est justice, Marine Le Pen veut rétablir la peine de mort comme certains Norvégiens crient « A mort Breivik ! » tout en croyant contrecarrer les penchants morbides et vengeurs de notre humanité.

Breivik a finalement répondu présent aux jihadistes qui appellent de leurs vœux un Occident réduit dans leurs logorrhées à une simple « Alliance judéo-croisée ». Adhérer à une idéologie, religieuse ou profane, qui n’a pas comme principe fondateur le fameux « Tu ne tueras point, point final ! », c’est ne rien comprendre à  l’humanisme qui fait la civilisation. Ceux parmi les détracteurs de Riposte Laïque qui en sont encore à mâchouiller le « choc DES civilisationS » n’ont certainement pas compris ou entendu Wafa Sultan. Elle a subi l’islam dans sa chair et elle a bien expliqué pourquoi, face à l’islam, nous sommes bel et bien confrontés à la  barbarie ; à l’état pur.

L’épreuve subie par les Norvégiens et l’usage politicien qu’en font certains de nos progressistes et humanistes d’opérette, m’amènent à recommander aux Français et à toute l’humanité que j’aime, de ne jamais faire allégeance à la violence,  de ne jamais se prosterner  et de ne jamais admettre qu’on puisse vénérer le Coran et Mahomet, ‘beaux modèles’ qui inspirent les jihadistes et, tout compte fait, l’anti-jihadiste nordique qu’est Anders Behring Breivik.

Il y a six ans de cela, j’ai proposé aux musulmans, dont font partie mes parents, de relever la tête, de ne plus inscrire la soumission dans le corps, l’espace et le temps, d’en finir avec la vénération d’un prophète misogyne, pédophile, violent, conquérant et d’un livre, soi-disant sacré, qui, sans respect pour la conscience humaine, prescrit le qitâl (du verbe qatala = tuer) à TOUS les musulmans (2).

Il est clair pour moi que l’islam est avant tout vénération d’un héros macho, de sa brutalité, de sa violence, de ses conquêtes, féminines et territoriales, du désir de puissance, y compris phallique, qu’il inspire. Les frasques de Mahomet, racontées par ses biographes musulmans, en témoignent largement (3). C’est bien ce désir de toute-puissance qui, de tout temps, habite et les potentats d’Orient et leurs semblables d’Occident. La pseudo-gloire de Mahomet a fait celle de mes ancêtres arabes. Au prix de massacres, de conquêtes, d’esclavage et de butin partagé par Mahomet, en toute mauvaise conscience. C’est de cette façon qu’il a corrompu ses premiers adeptes et c’est de cette façon que son enseignement et son exemple continuent de corrompre nos contemporains musulmans, en leur promettant la gloire et le triomphe de l’islam sur toute autre croyance ou religion. C’est pour réaliser ce rêve que certains musulmans adhèrent aux commandos jihadistes. Sans aucun scrupule, sans aucune humanité, ils ne visent rien de moins que la toute-puissance et le triomphe de l’islam. Je rappelle à ceux qui seraient tentés de ne pas comprendre mes propos que l’islam est une fidélité aux prescriptions et aux pratiques du Prophète. Ces (ses) pratiques se perpétuent dans des massacres sans nom et dans des prises d’otages que des musulmans continuent de monnayer, au vu et au su de la terre entière, exactement comme le feraient de vulgaires malfrats, sans foi ni loi, sauf celle dictée par le rapport de force.

Honte à l’islam, à ses prescriptions et aux pratiques de son héros qu’est Mahomet !

Comme je l’ai publiquement proclamé lors des Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, l’islam, tel qu’il est, n’a pas sa place en France. Il n’a pas sa place en Europe et il n’a pas sa place dans aucun pays qui aspire à la paix et à la démocratie. Notre humanité gagnera à amputer l’islam de ses deux pieds que sont le Coran et Mahomet. Faute de quoi leur gangrène finit toujours par tuer toute humanité dans le cœur des musulmans qui ont la faiblesse d’y croire et, par contagion, dans le cœur de tous ceux qui sont amenés à supporter, au quotidien, les massacres et les méfaits dont des musulmans se rendent coupables. L’islam ne respecte pas la conscience des humains et il ne peut avoir sa place dans un monde qui aspire au respect des êtres et de la vie. Même s’il date du septième siècle, l’islam est un ensemble d’idées hautement archaïques. Il appartient au temps des Hercule tout-puissants, des héros (c’est à dire demi-dieux), des monstres et des géants. Il y a bien longtemps que l’islam n’est plus de notre temps. Son agonie et l’extinction de ses feux n’en finissent pas. Elles sèment la mort autour des foyers où il est encore incandescent. Comme toute idéologie violente, conquérante et irrespectueuse des êtres, il nous faut renvoyer l’islam aux oubliettes de l’Histoire.

C’est de cette façon que je compte contribuer à la libération de mes concitoyens musulmans des carcans islamiques et éviter à tous mes concitoyens français qu’ils ne se prosternent devant l’islam ou tombent au contraire dans le piège d’une croisade que les fidèles aux pratiques guerrières de Mahomet appellent de leurs vœux. La paix et le respect des êtres, y compris musulmans, est au prix d’une totale et déchirante lucidité. J’ai fait le choix d’enterrer le plus célèbre de mes ancêtres morts afin que les vivants puissent se libérer de son spectre pesant et très, très menaçant.

 Pascal Hilout, né Mohamed
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(1) – Notre rédacteur a analysé le document-testament d’Anders Behring Breivik et il a déjà livré à nos lecteurs ses deux premiers articles. Le sujet étant ce qu’il est, deux autres articles sont en instance de publication :
a – http://ripostelaique.com/le-tueur-norvegien-un-jihadiste-anti-jihadiste.html
b – http://ripostelaique.com/le-tueur-norvegien-un-jihadiste-anti-jihadiste-2eme-partie.html
(2) – Coran, chapitre 2, verset 216 (entre autres chapitres et versets).
(3) – Aux musulmans, Mahomet a légué neuf veuves dont la plus jeune n’avait que 18 ans. Le Coran leur a interdit d’épouser ces veuves après sa mort en leur suggérant qu’il était leur père et que, par conséquent, elles sont leurs mères (Coran, chapitre 33, versets 6 et 53 ). Les biographes de Mahomet nous racontent que, contrairement aux us et coutumes des temps pré-islamiques, il s’est permis de faire divorcer son fils adoptif afin d’épouser sa femme qu’il avait aperçue en petite tenue. A cette occasion, le Coran s’est arrangé pour ne plus reconnaître les liens de l’adoption et les interdits d’inceste qui y sont associés, dans toute société civilisée. En islam, point d’adoption après ces ‘glorieuses’ étreintes et épousailles prophétiques ! Rien que des contrats de prise en charge (kafâla) où tous les rapports sont permis.

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