« … changer les âmes
changer les cœurs avec des bouquets de fleurs
la guerre au vent
l’amour devant
grâce à des fleurs des champs »
Les Français font peine à voir. Ils sont comme ces chrétiens des premiers âges qui marchaient, résignés, vers le lieu de leur supplice en ayant d’avance pardonné à leurs bourreaux.
En tous cas, c’est l’impression qu’ils donnent quand on observe leur comportement moutonnier après chaque agression, chaque meurtre, chaque attentat sanglant qui s’ajoutent, jour après jour, à la longue liste des méfaits de l’islamisation sans freins de notre pays dopée par une immigration hors de tout contrôle.
Les manifestations silencieuses de soutien aux familles brisées, les marches blanches, les océans de bougies tremblotantes au gré du vent, les messages de sympathie vite souillés par les intempéries, les brassées de fleurs qui font le bonheur des commerçants locaux sont autant de manifestations de cette démission collective face aux malheurs qui accablent la France par la faute de ses dirigeants.
Comment des êtres doués de raison peuvent-ils se comporter de manière aussi peu réactive, aussi stérile, aussi peu porteuse d’avenir pour les générations futures ? Passe encore pour les enfants et les adolescents conditionnés par une éducation qui n’a plus de « nationale » que le nom, mais leurs aînés, leurs parents, leurs grands-parents qui bien souvent ont connu les horreurs de la guerre voire de l’occupation étrangère ?
Ne voient-ils donc rien venir en observant leur horizon immédiat, la tiers-mondisation de leur quartier, la paupérisation des centres-villes, l’insécurité grandissante qui gagne même les campagnes, l’ensauvagement général des rapports sociaux dû à l’émergence de « communautés » qui se côtoient mais surtout ne se mélangent pas ?
Ne voient-ils rien venir en croisant le chemin des enturbannés de frais ou des belphégors fraîchement convertis qui pullulent dans certains quartiers et celui des barbus salafistes, toujours plus nombreux, affublés d’un pantacourt, d’une chemise de nuit et d’un bonnet du même métal ?
Ne se sentent-ils pas floués par ces pantins ridicules et agités qui ont pour mission d’assurer la pérennité de nos institutions et de veiller à l’avenir du pays en élevant son niveau de vie, en assurant la paix civile et en maintenant son rang dans le concert des nations ? Pensent-ils vraiment que nos « politicouards » font le job pour lequel ils sont grassement rémunérés, bien à l’abri dans les palais dorés de la « ripoublique » ? Vont-ils accepter longtemps l’accroissement continu de la fiscalité des classes moyennes au profit d’une légion d’assistés, parasites venus d’ailleurs se goinfrer aux frais d’un contribuable atonique qui sera bientôt ponctionné avant même d’avoir touché son maigre salaire ?
Je n’entrevois qu’une seule explication à ce comportement suicidaire : les Français non seulement continuent de croire au Père Noël mais ils croient désormais au « pouvoir des fleurs », pouvoir magique censé écarter tous les obstacles de leur chemin vers la rédemption, le jour où tous « les hommes vivront d’amour », où « il n’y aura plus de misère » et où « les soldats seront troubadours » comme le chantait si joliment le regretté Félix Leclerc.
Eh bien, ces Français-là pourront vérifier inéluctablement le bien-fondé de leur théorie en allant sucer bientôt les pissenlits par la racine ! Il leur faudra se soumettre ou mourir le jour où la France deviendra définitivement terre d’Islam, ce qui semble être en bonne voie pour autant qu’on puisse en juger par les démissions successives du pouvoir politique et les « accommodements raisonnables » consentis par les municipalités qui croient ainsi acheter la paix civile. Ces Français-là se trompent et ils se trompent lourdement : le pouvoir est au bout du fusil et la rue appartient à celui qui y descend. Notre histoire contemporaine comme lointaine est remplie d’exemples qui en témoignent, mais les Français deviennent de plus en plus ignares en matière d’histoire…
Eh bien, il est plus que temps de se ressaisir, de prendre le taureau par les cornes, de mettre au pas les populations importées réfractaires à notre civilisation et de renvoyer d’où elles viennent les « cohortes étrangères » qui voudraient faire « la loi dans nos foyers », comme l’a écrit Rouget de Lisle dans sa Marseillaise. Et si cela ne convient pas aux sempiternels donneurs de leçons rouges-verts, si cela émeut nos grands « humanistes » de droite comme de gauche, laissez-moi leur dire que les patriotes que nous sommes n’en ont strictement rien à cirer et que le jour où les Français se réveilleront, si cela arrive jamais, ils n’auront pas intérêt à se mettre en travers de leur chemin.
Bernard Campan
hélas beaucoup de nos concitoyens, ont perdus le peut de dignité et de fierté qu’ils pouvaient avoir . on leur balance en boucle le pad amalgame hollandisé ,le vivre ensemble la mixité ,l’islam religion,d’amour et de paix.soyons un peut sérieux tel des moutons ils vont a l’abattoir en chantant.il est pourtant tellement facile aujourd’hui pour ceux et celles qui le désir de savoir ce qu’est l’islam . mais non on préfère avaler tous ce que les pseudos journalistes a la solde du pouvoir crachent a longueur de journée tous comme ceux gavé de subventions qui répète en boucle le fn c’est cela et pas autre chose. enfin de compte il ne restera que les patriotes pour défendre notre patrie qui ce nomme toujours la FRANCE le pouvoir n’est pas aux fleures mais aux armes. n’oublions pas notre histoire.
N importe comment les bobos Français aussi bêtes que les bobos Belges il y a plus rien a dire ………….
un bouquet de fleur face a une kalachnikov vous faites pas le poids les bisounours
C est un cachemar voir les français déblatérer sur l islam….1400 après?
“Eh bien, ces Français-là pourront vérifier inéluctablement le bien-fondé de leur théorie en allant sucer bientôt les pissenlits par la racine !”
“Mourir pour des idées.. d’accord mais de mort lente”
deux vers de Brassens pour rendre absurde le titre :
mourir pour des idées c’est mourir de ne pas avoir d’idées.
..de mort lente, c’est en somme, vivre pour défendre des idées.
“pouvoir des fleurs”. Des idées ils en ont, mais surtout des idées pour nous enterrer avant l’heure.
Félix Leclerc (remplacer bonheur par clandestin)
C’était un petit bonheur Que j’avais ramassé
Il était tout en pleurs Sur le bord d’un fossé
Quand il m’a vu passer Il s’est mis à crier:
“Monsieur, ramassez-moi Chez vous amenez-moi”.
Mes frères m’ont oublié, je suis tombé, je suis malade
Si vous n’me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade !
Je me ferai petit, tendre et soumis..”
La suite à méditer
https://www.nomorelyrics.net/fr/Flix_Leclerc/Le_ptit_bonheur-paroles.html
Si vis pacem, para bellum – « Si tu veux la paix , prépare la guerre »
une page wikipédia fort intéressante à lire jusqu’au bout
https://fr.wikipedia.org/wiki/Si_vis_pacem,_para_bellum
Un siècle de pacifistes, par Isaac De Barbanègre, 2003
https://sitamnesty.files.wordpress.com/2010/06/un-siecle-de-pacifistes.pdf
Là où il n’y a le choix qu’entre lâcheté et violence, je conseillerai la violence.
Mahatma Gandhi
Pourtant c’est bien avec des tonnes de fleurs que lors du débarquement les Alliés et les Résistants ont fini par faire fuir les Allemands, terrorisés par tant de gentillesse; non c’est pas comme ça ? On nous aurait encore menti ?
Les pacifistes sont tous de l’Occident Chrétien, les porteurs de guerre viennent tous de l’Orient Musulman. Mais je prends vite mes pilules de Padamalgam et de Vivrensemble, et je me sens mieux.
Monsieur bravo mais nos con citoyens sont les lapins crétins du système qui nous condamné à mort
Bon dieu qu attend le français pour se réveiller et combattre pour protéger ses enfants et petits enfants
En a t il encore le courage
Honte à ces con citoyens qui mettent en dans leurs enfants
Aucun mot pour pouvoir qualifier une telle lachete
SI c’est le même Bernard Campan que celui des Inconnus, ce commentaire ne me surprend pas. C’est un homme de grand talent, d’une grande intelligence et d’une grande sensibilité.
Cher ami, désolé de vous décevoir, je ne suis qu’un modeste homonyme mais je partage votre opinion sur le comédien.
De mon côté, je partage votre opinion, exprimée dans cet article.
La survenue de ces attentats, encore et encore, aurait dû déclencher une colère massive contre les tueurs, contre les envahisseurs…mais non! on met des bougies, on marche, on se réunit pour pleurer ceux qui ne sont plus là au lieu de vouloir éviter que d’autres perdent la vie, que des familles soient brisées, des enfants orphelins ou morts!!..une débauche de dessins, de fleurs, de discours, ne va pas les protéger…ni ceux qui allument des bougies!! ..aucune colère! aucune réaction de rejet devant les ministères! RIEN !! Contre la loi El’Khonnerie…oui …mais nous n’aurons peut-être pas la possibilité d’envisager l’avenir et CDD, CDI, indemnités, heures de travail…..là on se mobilise, c’est nécessaire aussi bien sûr, mais….et les massacres??on ne marche pas sur l’Elysée, on fleurit …
relire ” l’ enfant grec de Victor Hugo”…plus que jamais d’actualité ….
Les Turcs ont passé là. Tout est ruine et deuil.
Chio, l’île des vins, n’est plus qu’un sombre écueil,
…
Tout est désert. Mais non ; seul près des murs noircis,
Un enfant aux yeux bleus, un enfant grec, assis,
Courbait sa tête humiliée ;
…
Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois,
Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois,
Plus éclatant que les cymbales ?
Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l’oiseau merveilleux ?
Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus,
Je veux de la poudre et des balles.
Qui pense encore que la classe politique actuelle est capable de résoudre les problèmes de la France ?
À quoi sert-elle vraiment ?
Avons-nous besoin d’elle ?
La France irait-elle mieux sans elle ?