Le ramadan, c’est trente jours pour emmerder les non-musulmans et les empêcher de dormir

Les non-musulmans ont-ils oui ou non le droit de dormir pendant le ramadan ?

Voilà la question que je me pose depuis trois jours.  Trois jours que je suis à Paris, dans le 17ème arrondissement, dans un studio ordinairement très calme qui donne sur un jardin.

Mais non, c’est ramadan.  Alors tout est permis, les cris, les grands éclats de rire jusqu’à point d’heure.  Il est presque trois heures du matin et je dois renoncer à dormir jusqu’à ce que la gent islamique décide de fermer son clapet.

On a beau réclamer le silence, demander qu’on ferme les fenêtres, rien n’y fait. A l’évidence, l’éducation de ces gens-là n’est pas la nôtre.

Et me viennent des bouffées de haine pour ce mépris du voisin qui va devoir, lui, se lever pour aller travailler pendant que les noceurs d’Allah s’en donnent à coeur joie, faisant profiter de leurs empiffrailles sacrées rien moins que quatre immeubles alentour.

Que faire ?  Appeler la police ? Mais ma bonne dame, vous n’y songez pas : c’est ramadan ! Il faut être tolérante, Madame. C’est une fois par an.  Oui, une fois par an mais pendant trente jours.

Ramadan, c’est trente jours pour emmerder les autres. Trente jours à prendre des têtes de victimes dans l’autobus lorsqu’un koufar ose mordre dans un sandwich ou vider sa petite bouteille d’eau, comme s’il fallait que tout le monde se mette à l’heure du chamelier du désert d’Arabie.

Mais comment font ces gens qui ne boivent que de l’eau pour faire autant de bruit ?  M’est avis qu’ils feraient mieux de se prendre une biture pour sombrer dans un sommeil comateux et foutre la paix à leurs voisins. En attendant, demain matin, c’est moi qui aurai la gueule de bois.

Et pendant que j’écris ces lignes,  Monsieur Valls, lui,  dort du sommeil du juste.

Eh Manu, la prochaine fois que tu vas rompre le jeûne chez nos compatriotes musulmans, rappelle-leur de mettre en pratique leur religion d’amour, de tolérance et de paix en commençant par respecter l’Autre.

L’islam ? Non merci, très peu pour moi.

Eve Sauvagère

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