Le socialisme à l’école : entre préservatif et morale borgne

Le socialisme à l’école, vaste problème. Le socialisme est toujours tellement proche de la société et surtout de ce qui lui permet d’essayer de la surmodeler à l’image qui lui convient exclusivement. Car le Socialisme, comme l’Islam est exclusif ! Ils sont les bons, les justes, les purs et gare à ceux qui ne sont pas d’accord !

Et c’est en cela que ces deux larrons peuvent encore cheminer apparemment de concert, tels l’aveugle et le paralytique. Mais le pire de l’histoire, c’est que ces deux handicapés, au lieu de chercher à progresser, désirent surtout aveugler et couper les jambes de ceux qui voient et marchent différemment d’eux, et parfois mieux qu’eux.

L’égalité pour tous, mais à minima, toujours plus de minima. Surtout en matière de libertés.

L’école vue par le Socialisme doit produire du bon citoyen socialiste, pas du  bon citoyen tout court. Monsieur PEILLON est peut-être profondément convaincu de ce qu’il  avance et à ce titre, il est sans doute respectable.

Ri7Peillon cannabis kif kifMais le problème est trop grave pour que nous restions à gober ces énièmes réformes, qui font chaque fois reculer un peu  plus une classe d’âge sur l’échelle de la culture et de l’éducation. Il y en a qui semblent fort bien s’en accommoder et que cela doit même particulièrement arranger.

Le citoyen attentif à l’avenir des enfants remarquera que la réforme Peillon porte avant tout sur des rythmes….les paroles ne changent qu’en s’appauvrissant. Nous connaissons tous  la chanson !

Si l’on considère le parcours de l’Education Nationale et de l’Enseignement Public en France depuis 40 ans, il y a sans doute beaucoup à prendre mais encore plus à jeter.

L’Education Nationale, de même que le milieu socio-culturel, (sans oublier la Magistrature)….sont les lieux d’élection où le socialisme s’est reproduit en écrasant tout sur son passage. Sans doute une nouvelle mutation du syndrome du coucou !

Le milieu de l’Education Nationale est en coupe réglée, sous l’influence de la Gauche depuis assez longtemps, pour que les résultats mitigés ne soient pas plus contestables que les responsabilités avérées. Ils ne peuvent pas dire, c’est la faute de la Droite. Une fois de plus, celle-ci avait bravement baissé l’oreille et les bras, et elle a littéralement abandonné et bradé l’éducation à la Gauche. Ce n’est pas un secret d’état que le corps enseignant vote majoritairement à gauche et que les gouvernements socialistes essaient toujours de les bichonner.

Cette gauche a népotisé, maffié entre anciens soixante-huitards, s’est auto congratulée autour de vieilles idéologies mixées avec de soi-disant nouvelles théories éducatives : on en mesure les piètres résultats. Un nombre effarant d’enfants arrivent en sixième sans savoir très bien lire, écrire et compter. Et en ayant une idée très vague des notions de respect et d’intégrité,  de soi, comme de l’autre.

Quand au système de passoire prétendument égalitariste du baccalauréat, il laisse arriver en première année de faculté des jeunes incapables de s’adapter et de suivre. Si vous connaissez des profs de fac honnêtes, ils avoueront qu’ils reçoivent régulièrement  des étudiants qui ne savent ni écrire correctement, ni développer une idée.

Mais ils ont eu le sacro-saint bac ! Qui permet aux ministres consécutifs de plastronner tout en digérant vite  la réalité dans leurs gésiers !

Donc le sot-cialisme nous prépare une nouvelle réforme de l’école ; et les enfants recevront des préservatifs, avec des cours de morale (islamo-socialiste ?) en prime.

Comme ça ils mettront peut-être un préservatif avant de violer des filles dans des tournantes. La Sécurité Sociale économisera au moins sur les MST, et les grossesses prématurées.

C’est dans ce type d’élément qu’on pressent que les mamours entre gauche et Islam ne dureront pas éternellement. En effet, on peut douter que des musulmans, comme toutes les personnes sensées, trouvent normal de distribuer des préservatifs à leurs enfants.

Pour le reste…

Quand on voit ce que la Gauche a fait de l’histoire, géographie en tentant littéralement d’éradiquer tout ce qui peut donner le sentiment d’appartenance à une communauté  nationale,  basée sur une culture et une identité, tout se qui fonde le passé pour mieux construire l’avenir…. Et en tentant de dénier tout ce qui peut nourrir la fierté d’être, de se savoir, et de se penser français, sans que cela comporte la moindre notion de supériorité envers qui que ce soit. ….

Nous avons vraiment du souci à nous faire pour l’avenir de nos enfants !

Voilà le programme éducatif de la Gauche : un programme’ de gauche’, et c’est tout.

Des programmes de gauche incapables de former des générations de jeunes avec un travail dans les mains, et une vision réellement respectueuse des différences de pensée. Ceux qui s’en sortent le doivent : soit à un caractère bien trempé, soit à une famille qui tient la route, soit à des rencontres de qualité avec de vrais enseignants.

Pour d’autres enfants, l’école de gauche ne les a pas éduqué aux véritables valeurs républicaines, mais elle leur offrira des salles de shoot, pour finir en « beauté » une vie qui n’aura jamais réellement commencé à produire des fruits. C’est vrai qu’il vaut mieux valoriser les salles de shoot, la légalisation du cannabis et le préservatif prématuré, plutôt que d’apprendre aux jeunes que le travail, l’autonomie, et le respect ne sont pas des mots réservés aux has-been !

L’école de la gauche ne s’inquiète pas vraiment de l’avenir des enfants, puisque de toute façon, ils savent que le système social est là pour les récupérer et les fera vivoter entre allocations et stages bidons à pôle Emploi. Et qu’il y a aura encore des citoyens pour payer de gré ou de force les impôts pour éponger leurs âneries.

La gauche se soucie surtout de reproduire toujours plus ses troupes stratégiques, c’est-à-dire de former  des générations ‘d’intellectuels’ qui verrouilleront l’accès à la pensée, de même que les médias. C’est vrai que l’on a bien besoin de sots-ciologues, filou-sophes, etc…histoire d’entretenir le système de la pensée unique de gauche. Donc, on envoie en faculté des tas de gens qui n’ont rien à y faire, et qui finissent même par y obtenir des doctorats ‘à l’usure’ (plus de 8 ans…),  notamment pour certains étrangers qui ont bien profité du système !

Et après on s’étonne de la décote de notre enseignement supérieur sur la scène internationale !

Pour parachever le tout, on a laissé démonter une partie de l’enseignement supérieur en abolissant l’épreuve de culture générale dans certains concours. Ils ont une peur bleue de la vraie culture à gauche ! Dés fois que le quidam apprenne à voir les choses sous un autre angle.

Quand on voit à quel strictissime minimum sont réduits les cours de français, philosophie, c’est-à-dire tout ce qui peut amener un jeune à devenir un adulte responsable, et maître de sa communication, comme de sa pensée, on ne peut qu’être très inquiets à l’idée de la morale que la gauche va transmettre.

Car ne nous illusionnons surtout pas : quand la gauche parle d’enseigner la morale, ce sera bien d’une morale version ‘gauche’ qu’il s’agit. D’ailleurs quelques éléments ont déjà filtrés, qui ne présagent rien de bon pour l’avenir. Quand la gauche évoque la laïcité, se sera de toute façon une laïcité à géométrie variable. On visitera les mosquées en apprenant à faire la prière, pendant que des maires démontent les églises ! Qui est assez naïf pour imaginer qu’un professeur tiendra tête à une classe à majorité musulmane pour évoquer LIBREMENT la question religieuse ?

On va ressasser aux enfants jusqu’à  endoctrinement complet, que seuls existent les pavés du ‘multiculturalisme’ et la ‘tolérance’,  mais à la sauce rose, rouge et vert.

Pour cela on leur apprendra toujours plus à psittaciser les mots clefs qui fondent les préjugés et idées fixes de l’islamo-gauche. Sans avoir pourtant un total contrôle sur les évènements.

Un ami m’a raconté une discussion révélatrice avec une jeune fille de 17ans, française d’origine espagnole : celle-ci était très remontée contre les populations de jeunes ‘chances pour la France’, et elle était inquiète pour l’avenir, mais….il ne fallait pas tomber dans le piège du ‘nationalisme’ ! Le mot qui tue était lâché. Il semblerait que les cours d’histoire géographie et philosophie soient désormais tellement infectés par la pensée de gauche, que mêmes les jeunes qui vivent au contact de réalités détestables (racket, deal, violence, etc…) n’arrivent plus à retrouver leur latin.

Puisque ce petit peuple de l’herbe veut parler multiculturalisme, que les enseignants racontent à leurs petites ouailles l’histoire du peuple KALASH, une tribu qui survit dans quelques vallées du PAKISTAN, et de la manière dont les Musulmans les ont décimés et tenté de les convertir.

http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EEVVuyuuppUVhmJfHt.shtm

http://metamag.fr/metamag-1052-PETITION-POUR-LES-KALASHS-DU-PAKISTAN-Un-voyage-au-c%C5%93ur-de-notre-plus-longue-memoire%E2%80%A6.html

Par contre je doute que nos historiens de gauche aillent raconter aux enfants l’histoire des Hyksos et des Egyptiens. Les Hyksos avaient envahi l’Egypte, accaparant le pouvoir et les richesses. Mais après plus de 100 ans de règne hyksos, des princes égyptiens finirent par vaincre et expulser les Hyksos….

La tolérance qui va servir de base à l’enseignement de la morale se révèlera bien univoque.

Comme toujours une tolérance borgne et à sens unique.

On ne va pas évoquer ce qui gêne, et surtout pas de manière neutre : la guerre d’Algérie, le colonialisme, etc…

On en rajoutera sur ce qui n’est pas essentiel : notamment un multiculturalisme qui est une baudruche idéologique et rien d’autre.

En espérant que les plus tordus finiront même par devenir magistrats et membres de syndicats du crime contre l’intelligence, et que pour prouver leur complète allégeance à une idéologie régressive et exclusive qui veut se la jouer haute autorité de la République, ils iront même écrire sur le mur des cons. C’est bien la preuve qu’ils sont les fruits pourris du système.

Vraiment soyons fiers de l’enseignement socialiste et non républicain qui a formé des magistrats de cette envergure. Soyons fiers des « fruits » de l’ENA et des facultés de médecine qui ont vendu leurs âmes aux lobbies pharmaceutiques pour vous faire avaler bien des médicaments qui n’auraient jamais du arriver sur le marché !

Soyons fiers de ces éducateurs, enseignants, prêtres, etc, dont la pédophilie a détruit la vie d’enfants !

Soyons fiers de ces enseignants, historiens, démographes, sots-ciologues, etc… qui détruisent l’idée même de la France, qui est NOTRE pays.

Soyons fiers d’un enseignement qui a produit des énarques, des X, des HEC, qui nous prouvent chaque jour leur incapacité à gouverner économiquement et moralement la France.

Sans oublier les journalistes qui leur baisent les pieds pour cela !

Si notre pays est dans la tourmente économique, de même que l’Europe, posons-nous la question : qui gouverne depuis 40 ans ? Les peuples sont victimes de la mauvaise partie de leurs élites. Ceux qui sont incapables de tenir tête à la finance internationale sont le pur produit d’une éducation minée par la gauche. Et cela est valable, même pour des politiques qui se prétendent de droite mais qui ont été essorés dans la grande lessiveuse de l’Education Nationale (il y en a plus d’un à gauche, qui doit lorgner sur ce « nationale » et ronge son frein en attendant de lui faire sa fête).

Cet enseignement, les générations présentes et à venir en sont les victimes. Et en plus, vous payez pour cela.

A bon électeur, salut !

Lucie Clavijo

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