L’enfumeur Malek Chebel recommande une lecture sexuelle du Coran… pour les hommes

Ne perdons pas notre temps à présenter Malek Chebel, conférencier bardé de diplômes, philosophe tortueux et auteur d’une récente traduction du Coran. Vaine recherche de gloriole d’un individu sur le tard de sa vie !

Président du jury des lecteurs du Var de la Fête du Livre à Toulon, il a confié à une journaliste de Var-Matin complètement ignare en matière d’Islam, espèce malheureusement extrêmement répandue dans le milieu journalistique français, sa nouvelle thèse sur la vraie nature de l’islam exposée dans son dernier essai « L’Islam de chair et de sang ».

Pour lui «  un certain  nombre de versets coraniques ne peuvent être compris que replacés… (un) contexte porté sur la sexualité » ! «  l’hypothèse sexuelle nous permet là de comprendre un certain nombre d’occurrences qui sont très compliquées »  Que du charabia malekchebelite qui  jette cependant un jour inattendu les obsessions existentielles de son auteur qui arrive sur la soixantaine.

Tous les gros mots sont au rendez-vous dans la bouche de ce conférencier prétentieux et rodé aux ruses du discours «  C’est un gigantesque effort pour sortir de son quotidien et pour pouvoir interroger l’islam dans une perspective humaniste, anthropologique et philosophique. Moi, je prétends qu’à travers le désir, le musulman ordinaire va s’affranchir de ces croyances pré-islamiques ou para-islamiques, mais rarement islamiques » Traduction en clair, « baisons, baisons » mes frères, c’est là la grandeur de notre religion.

Il enchaîne «  C’est un passeport pour la liberté, que les musulmans n’utilisent jamais ou très peu » . Alors là Malek Chebel, on ne doit pas connaître les mêmes. Dans mes jeunes années quand je fréquentais encore les milieux maghrébins – à l’époque on ne parlait pas encore de musulmans – chacun d’eux se vantait très facilement d’avoir eu «  avec l’argent » des rapports avec en moyenne une centaine de partenaires. Et je confirme que la prostitution est encore extrêmement répandue dans les milieux musulmans en France. Vous ne pouvez pas imaginer toutes les histoires salaces que j’ai entendues colportées par le «  téléphone arabe » en fréquentant les bars du même nom. Ah, sociologie sur le terrain quand tu nous tiens. Bourdieu, mon cher, tu peux aller te rhabiller !

Evidemment, la caution du comportement de tout musulman, c’est the big chief, j’ai nommé Mahomet lui-même «  Le prophète a démontré toute sa vie qu’il était amoureux de la chair –soit le péché de chair dans le christianisme – de la femme, des parfums et de la prière »  Je confirme : pendant les années de guerre civile en Algérie de 1991 à 2000, certaines algériennes ont confié qu’après avoir été violées, les barbus, après s’être bien vidé les bourses, faisaient la prière. Quelles bandes de cochons infects !

Pour Malek Chebel certains musulmans font faussent route : «  Au lieu de choisir le prophète, qui est le modèle sur lequel on doit établir sa vie, eux choisissent les options fermées fondamentalistes, qui ne sont que des dérives d’une religion saine et spontanée qui fonde sa force sur le désir, sur l’amour, la tendresse et la beauté »

Il se trouve que j’ai étudié pendant des années en français et ensuite en arabe littéraire, tous les détours de la vie de Mahomet, dit le prophète.. Et puisque je vis encore dans un pays laïc ayant la liberté de dire et de penser, voici une extrait de ma version de la vie du bourreau des cœurs nommé Mahomet.

En janvier 624, en un lieu appelé Nakhlah, douze acolytes de Mahomet attaquent une caravane de La Mecque. Ils tuent un homme d’une flèche et font deux prisonniers. Ils ramènent aussi un butin consistant dont ils remettent un cinquième au Prophète conformément à une obligation de la 8ème sourate du Coran (Le Butin) . L’affaire fait grand bruit car elle s’est produite pendant le mois de rajab, période sacrée qui exclut le meurtre, selon le paganisme arabe.

Dans un premier temps , Mahomet désapprouve ses disciples. Ceux-ci sont consternés mais, mais … Mahomet rusé comme un Malek Chebel sort son joker : une révélation qualifiée de divine vient fort à propos les disculper (sourate 2, verset 217). Cette sourate précise qu’il est certes répréhensible de combattre pendant les périodes sacrées, mais qu’il l’est encore plus de se tenir en-dehors du sentier d’Allah, comme les non-musulmans de La Mecque.

En d’autres termes, la guerre sainte en vue d’étendre le domaine de l’islam peut excuser le meurtre dans les périodes sacrées. Cette forme de guerre est l’aspect le plus brutal du jihad qui recouvre un ensemble de prescriptions qui vont de l’approfondissement spirituel à la guerre sainte contre les infidèles en vue de propager l’islam dans le dar al-harb, – domaine de la guerre- désignant le monde non-musulman hostile où il est licite de mener la guerre sainte, par opposition au dar al-islam – domaine de l’islam- et au dar-el-dawaà, terre de prédication vouée à rejoindre le domaine de l’islam : aujourd’hui, l’équivalent de nos quartiers sensibles qui reçoivent des financements quataris.

Après l’Hégire (622) à Médine, Mahomet impose brutalement son autorité. Selon les récits de la tradition, Asma, une poétesse ayant brocardé Mahomet dans ses vers, est poignardée dans son sommeil par Omeir, un musulman aveugle. On rapporte même que Mahomet aurait lançé «  Mais qui va se charger de faire taire Asma »

Dès le lendemain celui-ci obtient un non-lieu de Mahomet. Le même sort attend Afak, un juif centenaire qui est décapité à son tour.

Kab ibn al-Ashraf, un troisième poète, met en rage les musulmans en adressant des vers d’amour à leurs femmes. Mahomet réclame des sanctions et le soir même la tête de l’impudent roule à ses pieds.

C’est exactement, ce qu’on applique aujourd’hui dans de nombreux pays musulmans, à la moindre parole de travers : c’est ce qu’on appelle bien connaître sa religion. Il est grand temps d’ouvrir les yeux.

http://prophetie-biblique.com/forum-religion/persecutions-religieuses/chretiens-decapites-indonesie-t1545.html

Huineng

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