Les religions ne sont pas favorables à l’environnement…

Les religions sont-elles écologiques ? On pourrait le croire, vu que leurs textes prônent la tolérance vis à vis des êtres vivants en général, mais ces rares lignes font pâles figures par rapport au reste du texte. En effet, on nous demande de respecter la nature mais on nous dit aussi que la nature toute entière a été façonnée par Dieu pour servir les êtres humains.
On doit respecter la nature tout en l’utilisant, comment y arriver ? D’autant plus qu’on nous indique que la nature passe après nos besoins vitaux, donc, on peut la détruire si cela nous est vital. Or, ce concept est très flou et peut desservir n’importe quelle cause : on peut raser une forêt pour en faire une monoculture, cela servira à nourrir une partie de l’humanité, c’est vital. On peut tuer tout un troupeau, si il y a un risque de maladie, ça pourra nous sauver. Les exemples pratiques pour justifier le viol de l’environnement sont très nombreux et couramment pratiqués.

De plus, même si l’on doit respecter la nature, dans les 3 religions monothéistes, certains animaux sont maudits ou impurs : poissons sans écaille, porc, lapin, escargots (http://dafina.net/forums/list.php?54 ) pour les juifs, chiens et porcs ( http://forum.fr.assabile.com/topic8.htmlp ) pour les musulmans , serpent, ours (http://fr.wikipedia.org/wiki/Ours_dans_la_culture#Point_de_vue_des_autorit.C3.A9s_chr.C3.A9tiennes ), corbeaux, chats noirs (http://www.eurothai.fr/article-les-chats-et-le-satanisme-par-sonia-110206337.html ) pour les chrétiens. Ces malédictions donnent forcément droit à des massacres généralisés sur ces animaux, au nom de la religion, alors, impossible de nier le fait que les religions sont écologiques, bien au contraire.

Mais ce n’est pas tout. Les religions prônent la multiplication des humains et la colonisation de toute la planète, afin de pérenniser l’espèce mais aussi et surtout, pour augmenter leur nombre d’adeptes. L’objectif parait largement réalisé et pourtant, la surpopulation continue de plus belle, et aucun des religieux ne veut ne serait-ce freiner cette hérésie qui nous sera forcément fatal à un moment ou à un autre.
http://lelision.com/Reponses-de-Demographie.html

Et si l’on se penche du côté des extrémistes, c’est encore pire, surtout du côté de l’islam. Souvenez vous, cet énergumène qui interdisait aux femmes de toucher aux concombres et aux bananes
http://www.postedeveille.ca/2011/12/un-religieux-musulman-interdit-aux-femmes-de-toucher-aux-concombres-et-aux-bananes.html

ou ces salafistes ennemis des tomates.

http://www.courrierinternational.com/article/2012/06/26/la-tomate-ennemie-des-salafistes

Mais l’islam n’est pas que l’ennemie des fruits et des légumes, elle l’est aussi pour les forêts puisqu’ils n’hésitent pas à déclencher des incendies pour leur cause…

http://tempsreel.nouvelobs.com/vu-sur-le-web/20120504.OBS4695/al-qaida-donne-le-mode-d-emploi-pour-declencher-des-incendies-de-foret.html

Quant au respect de l’environnement pourtant indiqué dans le coran, il est bien peu mis en œuvre : il suffit de regarder certains pays musulmans pour réaliser l’ampleur des dégâts, qui ne sont pas forcément pires que chez nous certes, mais pas vraiment meilleurs non plus…
Et pour les populations, il suffit de regarder leurs déplacements et leur implantation : l’immigration bouleverse les paysages, piétine, tue, pollue plus que de raison, et une fois les populations implantées, on ne peut pas vraiment dire qu’elles soient respectueuses de leur environnement.

http://blog.gagny-abbesses.info/post/2010/01/25/Janvier-2010-%3A-La-pr%C3%A9sence-des-roms-dans-la-carri%C3%A8re-Saint-Pierre-de-Gagny

http://www.bondyblog.fr/201301040001/des-ordures-comme-s%E2%80%99il-en-pleuvait/#.Umvnx1M6bK0

Alors, c’est un NON ferme qui vient en réponse à la question “est-ce que les religions sont favorables à l’environnement ?”, et c’est un OUI tout aussi définitif qui arrive à la question “est-ce que l’immigration est dommageable à la nature ?”. Messieurs les pseudo verts, j’attends votre réponse, vous qui êtes censés être du côté de l’écologie. Une réponse écologiquement parlant uniquement, peu importe le reste.

Olivier Pfister

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