N’en déplaise au Monde, le Grand Remplacement des Français de souche est une réalité

LE GRAND REMPLACEMENT“Mais le plus grand danger vient de l’instrumentalisation politique de ces discours. ‘En associant immigrés et ‘remplacement“, on désigne les Français de l’immigration comme des envahisseurs, poursuit le sociodémographe Patrick Simon. “Cela fait que, partout où ils vivent, même quand ils sont minoritaires, on en fait un danger potentiel. C’est la responsabilité des hommes politiques de dire qu’ils sont français, et de leur permettre de s’intégrer.” C’est ainsi que le journal “Le Monde” dans une resucée d’un article de janvier 2014, fait paraître le même article en août 2014.

La date est intéressante, en effet c’est au moment où apparaît dans toute son horreur la visée criminelle de l’islam à travers les crimes de l’armée du califat en Syrie et en Irak, au moment où dans la population française et européenne croit la crainte de la propagation en France et en Europe du virus ebola, au moment où soit par l’Espagne soit par l’Italie des dizaines de milliers de noirs africains sont ‘secourus’ et rentre ainsi le plus tranquillement du monde en Europe ou plus précisément en France dont ils connaissent les avantages sociaux accordés aux immigrés clandestins ou non. La seule question que se posent les Français, c’est : que faire ?

Pris dans l’étau de leur naturel confiance dans l’état (même s’ils grognent un peu) et leur désarmement technique et moral, les Français n’attendent qu’une chose : l’incident qui mettra le feu aux poudres. Comme le proverbe cité souvent par Mao Tsé Toung ils attendent l’étincelle qui mettra le feu à la plaine et jettera cul par dessus tête leurs inhibitions et leurs craintes de la désobéissance civile et militaire.
À force d’avaler de la diversité, de la discrimination positive aux intitulés ubuesques et surtout véritablement discriminants pour les Français.

Je ne donnerai que deux exemples de ce genre d’appel à la victimisation : l’association Solid’Ere a conçu cette formation afin d’aider les demandeurs d’emploi à recontacter l’estime de soi nécessaire à la recherche d’emploi.
Cette formation est particulièrement ouverte aux publics demandeurs d’emploi ayant le sentiment d’avoir vécu une situation de discrimination à l’emploi.
Et last but not least, une coproduction état et Medef, le Label diversité qui vise à promouvoir la diversité et la prévention des discriminations dans le cadre de la gestion des ressources humaines. À cette fin, il entend valoriser les meilleures pratiques en matière de recrutement et d’évolution professionnelle non seulement au sein des entreprises, mais encore dans les services publics, les collectivités territoriales et les associations engagées de façon volontaire et active dans la promotion de la diversité.

Mais de quelle diversité parlent-ils, la diversité culturelle, sexuelle ou raciale ?
Au-delà de la culpabilisation des vrais Français visant à leur faire accepter les tonnes de confiture diversité sur leurs malheureuses tartines matinales, le principe général qui est à l’œuvre dans ce déferlement de diversité à tous les étages, réside dans la nouvelle conception de la lutte contre ce qui est appelé’ les discriminations” que l’engouement des élites pour la diversité les a conduits à formuler : on ne cherche plus à faire disparaître la différence, on doit au contraire l’apprécier comme un enrichissement.

Ainsi en ce qui concerne la race, l’idée n’est plus seulement que le racisme est une mauvaise chose, mais que la race elle-même est une bonne chose.
La diversité est devenue un concept sacré auquel nul ne doit toucher sous prétexte de mettre en l’air tout l’édifice idéologique mis en place par ceux qui gouvernent et défendu par tous ceux qui en vivent de l’association de “quartier” tenu par des islamistes, aux grandes associations politiques, syndicales ou étatiques, chargés de l’après-vente idéologique.

Je voudrais citer longuement un article de Guillaume Faye parut sur son blog : Immigration, islam : vers la guerre civile ? Analyse polémologique. Guillaume Faye 17 juillet 2014.

“Nous assistons actuellement à la mise en place de tous les éléments d’un conflit intérieur violent en France, pratiquement inévitable. Les ingrédients de l’explosion sont tous présents. La question n’est plus de savoir s’il va se produire, mais quand il va éclater. Passons en revue, en forme de diagnostic, les éléments socio-chimiques de l’explosion du mélange :

1) Une très nombreuse population de plusieurs millions de ‘jeunes’, en croissance constante, d’origine immigrée, très mal scolarisée, en situation de chômage, d’assistanat, dont une bonne proportion se livre à l’économie souterraine (drogue, trafics de biens volés, etc.) et à une délinquance polymorphe, constitue la masse de manœuvres, les gros bataillons d’un soulèvement général possible.

2) Cette jeune population est travaillée au corps (vecteur internet, entre autres) par un islamisme revendicatif et identitaire allogène, d’essence polémique. Dans l’inconscient – ou le conscient – collectif d’une partie (minorité agissante) de cette population, il s’agit, de manière très primaire de porter le djihad en France, comme accompagnement d’une stratégie de révolte, de revanche et de conquête.

3) En concomitance : l’islamisation de la France, visible par tout le monde tous les jours, soigneusement minimisée par l’oligarchie, mais qui se manifeste non seulement par la multiplication des lieux de culte, mais par la transformation, la » défrancisation » de zones entières. Cette islamisation est en quelque sorte » anesthésiée » par les discours pleins de duplicité des autorités islamiques officielles, avec l’oxymore passe-partout de l’” islam modéré » ou de l’ » islam laïc ». En réalité, l’islam agit, dans cette montée des tensions ethniques, comme un levain. Et ce, dans une ambiance internationale médiatisée de guerre globale islam/Occident (2).

4) La montée d’un racisme anti-autochtones (et anti-juifs violents, qui posent un énorme problème à une idéologie dominante perdant tous ses confortables repères) est objectivement observable partout. Il est le parallèle de manifestations quotidiennes de rejet de la culture et de l’appartenance française et européenne. La multiplication des femmes voilées comme signe de provocation (et pas du tout de ferveur religieuse) est un moyen de défi ethnique et de marquage territorial. De même, il suffit d’écouter les paroles des groupes de rap, diffusés partout, pour mesurer le degré d’agressivité et l’envie d’en découdre.

5) Depuis 2005, des émeutes urbaines de basse et de moyenne intensité sont récurrentes, sous n’importe quel prétexte. Avec un cortège de vandalisme, d’incendies, d’agressions, d’affrontements avec la police. Qu’il s’agisse d’un match de foot impliquant l’Algérie, d’une manifestation étudiante, d’un » incident » avec les forces de l’ordre opérant contre des délinquants, des fêtes du Nouvel An ou du 14 juillet, les émeutiers, les » bandes ethniques », sont toujours au rendez-vous. Sans oublier, toujours, ce mélange alchimique de délinquance et d’insurrection. Le phénomène s’amplifie, mais on s’y habitue…

6) Cependant, tout le monde ne s’y habitue pas. Ces signaux forts d’agressivité, visibles dans la vie quotidienne, comme autant d’intersignes, jamais repérés ou niés par les sociologues de cour, sont pourtant bien visibles. Le peuple, lui, les perçoit et les subit ; les élites se bouchent les yeux. Jusqu’au moment où leur sanctuaire sera violé… C’est le dernier ingrédient de l’explosion du tonneau de poudre : la réaction du peuple autochtone de base.

On assiste à un mouvement géographique progressif d’émigration intérieure. Le territoire devient une » peau de léopard », avec des zones de plus en plus nombreuses conquises, occupées, où les Français de souche ne sont plus les bienvenus. Ces » invisibles », devenus étrangers dans leur propre patrie, abandonnés par un État collaborateur objectif des populations précitées largement aidées et favorisées bien qu’elles se posent hypocritement en victimes, pourront entrer en rébellion.

Dans son livre : “la diversité contre l’égalité”, le professeur de littérature américain, Walter Benn Michaels pose et répond à la question : Une société ou les classes dirigeantes reflètent la diversité a-t-elle vraiment progressé sur le chemin de la justice sociale ?
Bien sûr, il répond par la négative. Selon lui et beaucoup d’autres (Jean-Claude Michéa, Èric Zemmour), la promotion incessante de la diversité et la célébration des « identités culturelles » permettent au mieux de diversifier la couleur de peau et le sexe des maîtres, sans remettre en cause la domination qui traverse toutes les autres ; celles des riches sur les pauvres.

C’est tout en même temps pour asseoir cette domination que la classe politique et le patronat français défendent contre toute évidence l’importation d’une immigration massive qui a comme destinée historique de remplacer au fur et à mesure les Français, Français qui par leurs impôts payent l’implantation de ces immigrés, logement, école, allocation familiale, quotient familial, etc.…..

Cela rappelle étrangement les termes de la Convention d’armistice franco-allemande signée le 22 juin 1940 qui prévoyait : « les frais d’entretien des troupes d’occupation allemande sur le territoire français seront à la charge du gouvernement français ». La somme journalière était fixée à 400 millions des francs. En janvier 1941, elle est ramenée à 300 millions, soit 109 milliards portés au service de la dette à la fin de l’année 1941. Tout comme aujourd’hui, les Français devaient payer leurs envahisseurs, pour reprendre une formule de Giscard, dans l’exercice de ses fonctions.

Lazare Zylbergleitt

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