Puisqu’on vous dit que ces émeutes sont sociétales, c’est la faute à la pauvreté et au chômage

Bretigny, Trappes, Toulouse, Longwy, quarté gagnant
Le cheval islamique poursuit sa chevauchée,
Et les racailles islamisées leurs « doux » projets
Sous le regard bienveillant du gouvernement.
Les lèche-babouches leur ont déjà tout pardonné :
Il faut taire, nier ou le poisson noyer,
Surtout en période de ramadan consacré,
Menfin puisqu’on vous dit : une religion de paix !
En gare de Brétigny, il ne s’est rien passé !
Ce n’était qu’un sentiment d’insécurité,
Au pire, des gamins qui voulaient s’amuser,
Tout au mieux des sauveteurs pour le moins zélés !
Ni vol, ni caillassage, répètent les perroquets,
Tous médias confondus, aux ordres de Mou Premier.
La faute à pas de chance, au défaut d’entretien,
Certainement pas dû à un acte malsain.
Si, par malheur, une voix dissidente s’élevait,
Le hourvari des bien-pensants la couvrirait.
C’était le 12 juillet, depuis, l’actualité
A rempli son office et l’affaire est classée.
Par un très malicieux hasard, il s’est trouvé
Qu’un norvégien néo-nazi l’a détrônée…
Simple coïncidence, mais têtus sont les faits.
La religion d’amour a de nouveau frappé.
A Toulouse, on prétend et raconte qu’une mosquée,
Ou local à prières puisque non déclarée,
Aurait été profanée par… un policier,
Aurait ainsi déclenché des échauffourées.
Ben quoi, un mécréant dans un endroit sacré,
Ça vaut bien quelques jets de pierres ou autres objets.
Trente « jeunes » ont exprimé leur désapprobation
A ce qu’ils considèrent comme une provocation :
Des étrangers auraient franchi leur territoire
Ce qui induit une réaction comminatoire.
Car il faut les comprendre, il faut les excuser
Déjà, ils ne peuvent pas en toute quiétude prier
Si en plus, la police se met à surveiller
Les lieux de culte des bigots de Mahomet,
Faudra pas s’étonner du retour de bâton,
Des risques d’embrasement voire de rébellion.
C’est en Lorraine, un petit coin perdu de France,
Qu’a dû subir la religion de tolérance
Un camouflet, que dis-je, pire offense, un soufflet !
Le projet de construire un vaste havre de paix,
Une mosquée, a été lâchement refusé,
Au motif dérisoire que les couleurs étaient
Trop criardes pour un périmètre sauvegardé.
Tout serait donc prétexte à les stigmatiser !
La colère a fusé, las d’avoir attendu
Un maire, surement islamophobe convaincu,
Ils ont tenté de pénétrer dans la mairie
Pour apporter des arguments aux arguties.
Mais la démonstration manquait de pertinence
Et je doute qu’on ait pris compte de leurs doléances…
Le pire est à venir de toutes ces abjections,
A Trappes, ville sous le charme de la diversité,
Une femme nikabée bravant l’interdiction
Aurait eu droit à un contrôle d’identité
Un peu musclé, elle aurait été dévoilée.
Son mari, bon croyant, serait intervenu
Aurait même tenté d’étrangler un policier
Et aurait fini la soirée en garde à vue,
Un jugement qui a « enflammé » les quartiers.
Il n’en fallait pas plus, il n’en fallait pas moins,
Comme un seul homme, se levèrent ses concitoyens
Faisant preuve d’esprit de solidarité.
Bon, il faut bien admettre que la situation
Aurait un peu dégénéré voire mal tournée.
Il y aurait même eu des coups de feu échangés,
Disent les autorités, officielle version !
Car la mère en témoigne : « Nous on est innocents,
Ça ne se passe pas comme ça entre musulmans,
On peut attaquer un chrétien ou toute personne
Mais pas un frère » laissant les journalistes atones.
Michael, Cassandra, prénoms non modifiés,
Sont les pauvres victimes d’un jugement inique,
La charia exclut les lois de la république
Et ces violences urbaines n’en sont que le reflet !
Comment peut-on si outrageusement bafouer
Les principes érigés par la communauté ?
Faut pas se plaindre après, encore moins s’étonner
Si vous n’êtes pas les bienvenus dans les cités.
Car la moindre des choses serait de respecter
Nos us et nos coutumes et nos femmes voilées.
Nous sommes la nation quoi que vous en pensiez.
Nous disent-ils en chœur au mépris des Français.
Ce sont leurs territoires avec leurs propres lois,
Ces banlieues aux si nombreuses cités de non-droit
Ces zones que la police ne peut plus pénétrer
Où même les pompiers ne peuvent plus opérer.
Mais chut ! Faut pas le dire, faut pas stigmatiser
Faut pas amalgamer, faut pas discriminer
Faut pas ostraciser ! Menfin tout ce battage !
Puisqu’on vous dit que ces émeutes sont sociétales,
Ni religieuses, ni ethniques, ni raciales,
C’est la faute à la pauvreté et au chômage !
L’islam racaillisé ne serait qu’un fantasme
Et dormez braves gens, tout va très bien madame…

Oréliane

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