Faudra-t-il une révolution populaire pour sauver la France d’une islamisation fatale ?

Outre une impressionnante liste de faits qui montrent l’état de guerre civile larvée dans lequel se débattent comme ils peuvent les Français aujourd’hui face à leur islamisation, l’auteur expose ici les raisons pour lesquelles selon lui seule une révolution populaire peut faire ce qu’aucun gouvernement officiel ne peut tenter contre cette idéologie barbare conquérante.

Les socialistes français d’aujourd’hui trahissent
l’esprit fondateur du socialisme et ses valeurs universelles

Rappelons ces extraits du discours que prononça Jules Ferry, pilier du socialisme, le 28 juillet 1885 à l’Assemblée Nationale : ” Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures […] parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. […] “. En langage politiquement correct d’aujourd’hui cette déclaration pourrait ainsi s’énoncer : “Les civilisations avancées (notamment sur les droits de l’homme) ont le droit et le devoir d’amener à leur niveau d’évolution celles qui sont en retard.”

La construction de mosquées et leur inauguration officielle par le ministre socialiste de l’intérieur, la construction d’un Institut des Cultures d’Islam (doublon de l’Institut du Monde Arabe déjà existant) par la mairie socialiste de Paris, la célébration officielle de l’Aïd également par la mairie socialiste de Paris, la rupture du jeûne par des ministres socialistes du gouvernement Hollande, les forces de l’ordre désavouées lorsqu’elles sont agressées par des musulmans (émeute pour une niqabée à Marseille il y a quelques jours), etc., constituent autant d’encouragements au développement de l’islam, idéologie guerrière et criminogène, aimant la mort comme nous aimons la vie, homophobe, antisémite, sexiste, pédophile et esclavagiste, idolâtre (la Pierre Noire de la Qaâba), sectaire (apostasie punie de mort) et totalitaire, cruelle envers les animaux (abattage rituel halal, maltraitance des chiens…), cruelle envers les humains (égorgements, lapidations, mains coupées, mutilations sexuelles…), par conséquent barbare, barbare dans son texte fondateur le Coran, barbare dans les recueils de la Sunna (Hadiths et autres) qui détaillent et recommandent comme modèle la vie scandaleuse de leur auteur Mahomet, assassin, violeur, pédophile, voleur de caravanes, rétrograde sur tous les plans, en retard de 1400 ans sur les avancées sociales et humanistes de notre civilisation — avancées qui ont été en grande partie la victoire du socialisme des siècles précédents.

Ces socialistes français d’aujourd’hui trahissent l’esprit fondateur du socialisme et ses valeurs universelles, dont ils ont perdu le fond et n’ont semble-t-il retenu que la forme. Sous je ne sais quels prétextes en effet — dont l’espoir utopique de créer un schisme dans l’islam en modifiant “la parole d’Allah” sous la forme d’un “Islam de France” (certes initié par un précédent gouvernement) expurgé pour le rendre compatible avec la république, ce qui est une parfaite impossibilité — le socialisme de France d’aujourd’hui, en se faisant complice de l’islam, affiche et proclame sa reconnaissance de ce modèle barbare et renie de fait ses propres progrès, amenant peu à peu le modèle français vers le modèle du Qatar et de l’Arabie Saoudite.

Les musulmans sont les premières victimes de l’islam
pourquoi le serions-nous aussi ?

Il est important de faire remarquer à ses thuriféraires que l’islam ne peut pas être facteur de civilisation par lui-même car le Coran interdit tout esprit critique et toute recherche de vérité hors lui-même : “Tout est dans le Coran”. C’est toujours au contact de civilisations extérieures (dont l’Espagne ariano-judéo-chrétienne autrefois et l’Occident aujourd’hui) que des musulmans ont pu évoluer et contribuer aux progrès de l’humanité. Rappelons qu’en islam un “savant” est un magnétophone capable de réciter par cœur l’intégralité du Coran et des Hadiths ; sa science s’arrête là.

Il serait bien sûr fort injuste d’en vouloir aux musulmans de la doctrine barbare dont ils sont imprégnés et victimes involontaires, l’avancée des études cognitives sur l’évolution du cerveau à partir de la naissance et au cours de la prime jeunesse ayant démontré que nous sommes tous esclaves du phénomène d’imprégnation (Konrad Lorenz) dès notre naissance puis au cours de notre prime enfance. Pas plus que chacun d’entre nous, un musulman n’est responsable d’avoir été “imprimé” de l’empreinte, que l’on sait aujourd’hui indélébile, de son éducation — de son formatage pour être plus précis. Il est presque impossible de modifier le programme de base, sinon par un élargissement culturel et intellectuel très approfondi. C’est dire que notre liberté et notre esprit critique sont fortement limités par notre conditionnement socio-familial et en particulier religieux. La quasi totalité des croyants sont croyants de ce fait.

Mais cela ne signifie pas que nous soyons tenus de supporter toutes les idéologies barbares, ignorantes et fanatiques de la terre : c’est ce que nos gouvernants ne veulent pas comprendre ou ne peuvent pas mettre en œuvre. C’est pourquoi seul un soulèvement populaire, voire une révolution, pourrait, aux yeux de certains, nous permettre de sauvegarder nos acquis républicains, notamment de liberté d’expression, que rejette l’idéologie islamique comme contraire à leur loi divine, la charia. Nous y reviendrons en détail plus loin.

Le pouvoir politique ne peut plus censurer internet
car dépassé par le nombre d’internautes
hostiles à l’islamisation de la France

De nombreux groupes de résistance se sont constitués au fil des ans et communiquent entre eux, non seulement par des publications, organes de presse, conférences, meetings, mais surtout grâce à internet par emails et réseaux sociaux, dont l’ampleur est telle aujourd’hui qu’une surveillance systématique et une censure par les services de renseignement locaux s’avèrent difficiles voire impossibles, en tous cas fort délicats à mettre en application.

Ces groupes de résistants rassemblent des écœurés et révoltés de tous bords :

— identitaires, patriotes, nationalistes et autres “souchiens”, qui voient leur territoire envahi avec des centaines de zones de non-droit où ils ne peuvent même plus pénétrer et où les lois de la république ne s’appliquent plus, aggravé par le fait que leur souveraineté nationale est mise en question au sein même de l’Europe-des-régions,

— pieds-noirs, qui n’ont pas digéré la valise ou le cercueil d’hier, et aujourd’hui le projet de repentance,

— juifs, visés en première ligne par l’islam à cause du conflit israélo-palestinien, et que le Coran voue à l’extermination,

— chrétiens, dont la religion d’amour s’oppose en tous points à la religion de mort, et dont les massacres de chrétiens dans le monde par des musulmans leur sont insupportables,

— athées, qui ne supportent pas la reconquête religieuse du pouvoir, dont la remise en question de la loi de 1905 sur la laïcité et le financement de mosquées,

— apostats musulmans, condamnés à mort par l’islam, à la merci d’un fanatique,

— apostats de gauche et apostats de droite, qui estiment avoir été trahis par l’UMPS,

— journalistes muselés ou remerciés pour avoir rapporté des vérités censurées,

— hommes et femmes politiques traînés dans la boue, dont la droite patriote qualifiée de raciste et de “bête immonde”,

– philosophes et écrivains obligés de se cacher sous la menade d’une fatwa,

— défenseurs des animaux profondément choqués par le traitement cruel des bêtes par les musulmans, notamment lors de l’abattage rituel halal sans étourdissement comme de l’horrible massacre des moutons pour l’Aïd-el-Adha,

— médecins et accoucheurs tabassés dans leurs hôpitaux par des islamistes refusant que leur femme soit examinée ou soignée par des hommes,

— victimes d’agressions condamnées par une justice partisane, et Blancs victimes de racisme anti-Blanc puis condamnés au profit d’associations droit-de-l’hommistes à sens unique,

— militaires, gendarmes, CRS et policiers désavoués dans l’exercice de leurs missions et souvent condamnés par le pouvoir politico-judiciaire,

— esprits libres nés musulmans, et devenus apostats, qui ne veulent plus entendre parler de l’islam et de ses archaïsmes, et veulent vivre dans la modernité,

— et sans doute bien d’autres mécontents voire furieux d’être contraints de manger halal et de financer mosquées et festivités musulmanes par leurs impôts, contribuables scandalisés par les détournements de la Sécu par certains Maghrébins et la dilapidation d’aides sociales au profit de pseudo-chômeurs immigrés, travailleurs excédés de payer pour les autres, chefs d’entreprises confrontés au jeûne du Ramadan et aux heures de prière, responsables de cantines et crèches contraints de supprimer le porc de leurs menus, commerçants menacés parce qu’ils vendent de l’alcool ou du saucisson, restaurateurs sommés de fermer pendant le ramadan, libraires du 93, loueuses de gîtes en montagne, habitants confrontés aux prières de rues, passants injuriés ou agressés, crachats, regards haineux, tabassages, harcèlements et viols en réunion de jeunes filles, drogues, raps menaçants et insultants, voitures brûlées…, qui vu leur nombre et leur fréquence ne peuvent plus être qualifiés de faits divers, bref jeunes et vieux qui, au-delà de leurs différences et de leur engagement personnel, partagent le même attachement à leur culture, à leurs valeurs, à leur langue, à leur terre ancestrale, à leur histoire, à leur mémoire.

Le pouvoir peut difficilement s’opposer au domaine sacré de la patrie tant il est naturel et légitime d’aspirer à vivre en paix chez soi, sur la terre de ses pères et dans le respect et l’amour de son histoire et de ses valeurs.

D’où la réaction prévisible des Français autochtones. Submergé par le nombre d’internautes hostiles à l’islamisation de la France et au remplacement de sa population par une autre n’ayant pas les mêmes valeurs, le pouvoir politique ne peut plus censurer internet. De plus, une telle mesure liberticide ne serait pas acceptée par le peuple dans son ensemble.

Voici donc ce pouvoir pris entre la peur des émeutes racailles et/ou islamistes, et maintenant la peur des émeutes que pourraient déclencher en réaction les patriotes. L’armée et les forces de l’ordre étant patriotes par essence, le pouvoir socialiste actuel, qui sait ne pas disposer de la réelle majorité des électeurs, a une marge de manœuvre fort réduite.

« N’oublions pas que la France est en passe d’atteindre le seuil de tolérance sociologique (environ 10% d’étrangers) au-delà duquel un déséquilibre s’établit et des troubles éclatent, ici dans un climat de guerre civile en présence d’un certain nombre de barbares islamistes du Dar-el-islam qui s’estiment en devoir de conquête du Dar-el-harb (“la Maison de la guerre”) comme le Coran c’est-à-dire leur dieu Allah leur en intime l’ordre, ajoutant à cela une petite partie de la communauté d’expatriés maghrébins et africains animés envers leur ancien colonisateur d’un fort ressentiment doublé d’un complexe d’infériorité soigneusement dissimulé. Leur désir de revanche s’exprime notamment par leur refus d’intégration.

Il est très important que les Français comprennent que les vêtements islamistes, en particulier le qamis des hommes, ne sont pas des vêtements traditionnels (comme la jellaba) mais les uniformes militaires des soldats d’Allah en campagne, ces vêtements n’ayant jamais, jamais, JAMAIS existé auparavant dans les pays maghrébins d’où proviennent la plupart des émigrés. Tout musulman en qamis nous provoque en s’affichant comme notre ennemi, et devrait être traité comme tel suivant les lois de la guerre — puisqu’il se proclame lui-même en guerre, le fameux jihad, contre l’Occident. Il nous fait peur car nous le savons violent, mais nous ne devons pas le tolérer.

Le réseau informel qui relie les résistants à l’islam
toutes tendances confondues
pourrait permettre une action commune imprévisible

Un réseau informel s’est établi, une sorte de maquis virtuel de résistants, sans leader, échappant à tout contrôle, où la colère s’exprime avec de plus en plus de véhémence, de virulence et d’audace, où les pseudonymes prudents des années surveillées cèdent la place à la véritable identité des intervenants, excédés.

Il suffirait peut-être d’un mot d’ordre relayé instantanément par Internet à tous ces résistants pour les entraîner dans des actions simultanées pour une Reconquista du pays, et en premier lieu pour renverser le pouvoir collaborateur en place — un pouvoir élu par dégoût du précédent et tout aussi incapable de répondre aux aspirations de la majorité jusque- là silencieuse.

Comme l’écrit Ivan Rioufol citant Trotsky : Pour lancer une révolution, “les masses ne servent à rien ; une petite troupe suffit”. (1)

Le réseau informel qui relie les résistants, toutes tendances confondues, à l’islam pourrait permettre une action commune imprévisible sur un simple mot d’ordre général, anonyme, à l’instar du “printemps arabe”.

Seule une révolution populaire peut faire
ce qu’aucun gouvernement officiel ne peut tenter contre l’islam

Compte-tenu des engagements, relations diplomatiques, lois, conventions et traités internationaux, et de la mondialisation, un gouvernement pourrait-il se permettre aujourd’hui d’affronter le monde arabo-musulman, qui plus est producteur d’un pétrole dont la pénurie entraînerait son propre pays dans le chaos ?

Il semble bien que non. Sans compter que le ou les responsables de telles déclarations et mesures se retrouveraient entraînés dans un tourbillon de violence dont ils ne sortiraient pas indemnes. Le Tribunal International les guette au tournant.

Par contre une révolution populaire échappe aux traités comme à tout engagement. Nul chantage ou pression de pays pétroliers n’aurait d’effet sur un printemps français, voire européen, nulle menace de Bruxelles ne serait entendue, et l’on ne peut traîner tout un peuple devant la Cour pénale internationale de La Haye !

Or, l’idée semble faire aujourd’hui son chemin chez les Résistants, dont la majorité sont profondément pacifiques, mais leur amour de l’indépendance et de la liberté semble primer sur tous les autres risques.

Et les moyens d’action ne manquent pas, et nombre de résistants sont déjà très actifs…

Outre les grandes réunions internationales, conférences, assises, meetings, colloques (dont la toute dernière “Déclaration de Bruxelles”) organisés sur des initiatives personnelles, outre les nombreux journaux en ligne de riposte, de résistance, de veille, etc., et les encore plus nombreux blogs personnels et vidéos, qui s’élèvent contre l’islamisation de la France et de l’Europe, on assiste déjà à une action directe informelle de la population dans des domaines normalement de la responsabilité de l’État.

Ainsi en est-il des appels au boycott d’enseignes commerciales nommément désignées pour leur engagement halal, tels Quick, Carrefour, Casino, Franprix et quelques autres, là où l’État devrait faire appliquer la loi sur l’étourdissement obligatoire des animaux avant leur abattage.

Des bouchers de plus en plus nombreux se voient avertis par leurs clients de ne plus s’approvisionner dans les abattoirs halal (plus de la moitié des abattoirs en France), dont la liste est largement diffusée depuis ces derniers mois.

Certains proposent même de publier sur internet une “Liste Noire des Collahbos”, sans autre précision : de quoi inquiéter les démocrates, mais aussi les personnes désignées, qui peut savoir à l’avance ce dont des gens excédés ou peu cultivés pourraient être capables avec cette liste ?

Le projet honteux de repentance, ce déni de l’histoire relevant de l’ignorance ou du révisionnisme le plus abject, réveille également toute une arrière-garde de patriotes, qui, tout pacifiques qu’ils soient,  se demandent s’il ne faudra pas prendre les armes un jour, pour défendre une certaine idée de la France ! Le pouvoir touche ici à l’honneur, c’est-à-dire au sacré.

Grève fiscale et désobéissance civique sont également évoquées, mais par contre sans aucune chance d’être suivies en raison des risques de représailles personnels.

Les émeutes d’octobre 2005 ont fait vaciller le pouvoir. L’insurrection possible  à venir pourrait le renverser. Devant le refus des autorités et des responsables musulmans d’expurger le coran des versets incompatibles avec la loi française, de nombreuses voix s’élèvent pour une proclamation solennelle interdisant l’islam sur l’ensemble du territoire français, assortie d’un autodafé des publications coraniques ainsi que de l’expropriation des mosquées au profit de centres ludico-culturels français pour la formation des jeunes issus de l’immigration. Bien sûr un tel projet ne pourrait être mené que par le peuple, souverain depuis la Révolution française, si l’on persistait à ne pas l’entendre.

Certains à cet effet n’ont pas oublié l’Article 35 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 : “Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.”

Mais ça, bien sûr, c’était hier… Sommes-nous vraiment prêts à tout perdre ?

Jean Ducluzeau

(1) — Ivan Rioufol, “De l’urgence d’être réactionnaire”, éd. PUF, Paris, 2012, p.18.
(2) — Voir la carte de France sur le site : viande-laique.fr//carte_abattoirs.php  —  En Île-de-France tous les abattoirs sont halal.

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