Si votre boulanger ouvrait un million ou deux de boulangeries, pensez-vous qu’il se sentirait responsable de la santé de ses clients comme s’il les rencontrait tous les jours ? Évidemment non… Ce principe vaut pour toutes les entreprises. Qu’elles s’inscrivent dans un réseau de proximité et animent l’économie de nos villes et campagnes profite à l’intérêt général. Ce n’est pas le cas lorsqu’elles se délocalisent pour tirer profit de main-d’œuvres sans protection ou qu’elles se dilatent en multinationales chevillées à la finance mondialisée, qui fonctionne comme un casino tenu par des spéculateurs jouant du monde du travail comme de pions à miser ou jeter à la casse !
Le sur-dimensionnement des activités humaines, la distance qui s’instaure ainsi entre les dirigeants dotés de pouvoirs (et revenus) exorbitants et des « masses » considérées comme un troupeau de gueux anonymes, conduisent inéluctablement à un traitement inhumain des plus vulnérables.
Tous les verbiages autour des « droits de l’Homme » et autres « libertés » sociétales ne sont que pudiques paravents pour occulter cette réalité délétère, devenue criminelle, du mondialisme et donner aux vices qui le portent les apparences de la vertu.
Les acteurs politiques dits « de droite » ou « de gauche », relayés par les médias aux ordres, sont pour la plupart des courroies de transmission de cette « gouvernance » financière occulte, immorale et déterritorialisée. Ils ont en partage une idéologie qui repose sur un individualisme narcissique, fossoyeur de l’intérêt général et des fantasmes soixante-huitards de jouissance sans limite. Un prototype libidinal qui n’a pas tenu ses promesses sexuelles et qui s’est reporté sur des ambitions et profits compensatoires de vastes dimensions… celles de la mondialisation économique et financière.
Depuis des lustres, la mondialisation est présentée aux peuples comme l’horizon indépassable, inéluctable, de la « modernité ». Mais c’est un soleil vert qui s’y présente : dissolution des grandes Nations européennes, des guerres un peu partout (Ukraine, Irak, Libye, Syrie), ruine de milliers d’entreprises, grandes et petites, constitution de monopoles qui imposent leurs diktats aux politiques qui servent leurs intérêts… La démocratie dès lors n’est plus qu’empêchement et mascarade et doit le plus vite possible disparaître. Ce n’est pas une mince affaire d’imposer un despotisme (comme le préconisait Jacques Delors) dans les territoires où la démocratie a vu le jour. Il est donc nécessaire d’effacer jusqu’à son souvenir. Et vite ! Car la roue tourne et la génération en charge des affaires a beau rêver d’immortalité, elle voit disparaître nombre de ses héros (David Bowie, Prince…) et redoute de ne pas atteindre au fastueux banquet de sa destinée. Le chantier de la démolition est passé à la vitesse supérieure : casse de l’éducation (via celle de la famille), de l’enseignement public, notamment des langues, de l’Histoire et de la culture européennes (une mise en application ajustée d’une sentence de Nietzsche : « Si l’on veut un peuple d’esclaves, il ne faut pas lui donner une éducation de maîtres »), dissolution du code du travail, corruption syndicale et institutionnelle tous azimuts…
Le résultat est probant : une régression sociale et culturelle vertigineuse qui crée les conditions propices au règne de « gouvernances » échappant à tout contrôle, sur des peuples déculturés,voués à l’esclavage et à la soumission. Reste quand même une angoisse élitaire liée à l’incertaine pérennité de cette domination, au devoir de rendre peut-être un jour des comptes… Comment exclure en effet un sursaut de survie des populations spoliées et sacrifiées ? Le moyen choisi est celui que Bertold Brecht évoquait avec humour, sans penser qu’il eut jamais pu être mis en œuvre : « Quand un abîme se dessine entre un peuple et ses élites, il faut dissoudre le peuple et en élire un autre ». La solution finale, vitale pour les « gouvernances mondialistes », est la submersion des pays européens par de gigantesques déferlantes migratoires porteuses de traditions et mœurs inconciliables avec la démocratie. Le retour de l’opium du peuple et une camisole de force qui a fait ses preuves. L’ange mondialiste fait la bête et elle a les dents longues car elle est aux abois… Que lui importent les attentats meurtriers commis par les islamistes arrivés avec les flux de « migrants », la déferlante migratoire, organisée en toute illégalité, contre l’avis et aux frais des populations européennes, sera maintenue coûte que coûte ! Salauds de pauvres qui ne veulent pas accueillir toute la misère du monde et subir sans broncher les crimes qu’elle importe ! Que ne prennent-ils modèle sur leurs gouvernances qui ont leur porte ouverte et le cœur sur la main !
Victor Hallidée
Je n’ai pas de téléphone portable, pas de compte tweeter, je n’utilise pas Facebook, je ne regarde jamais la pub, je mange bio et végé, j’ai assemblé moi-même l’ordinateur de bureau que je suis en train d’utiliser, je n’achète jamais de marques ni aucun produit de luxe, je n’achète jamais de médicament car je sais que le meilleur remède pour tuer la maladie à la racine est la chaleur ( on vous le cache à tous pour enrichir médecins et surtout industrie pharmaceutique mais c’est véridique : ça fonctionne ) et ma voiture était la moins chère du marché au moment de sont achat : je suis la ruine des multinationales !
Moi, ils ne m’auront jamais !
Résistez citoyens !
Qu’attend-on pour le poursuivre si les faits sont avérés. La C.P.I vite pour apologie de crime contre l’humanité!
Est-il possible d’arrêter de faire la promotion de cet individu, svp ? Merci.
Avec, à la clé, j’espère, une victoire de Marine.
Jacques ATTALI est né le 1er novembre 1943. Il est encore vivant ?… Merde alors !
au fait quel Age a t il , ah oui 72 ans , aller une piquouse et dégage , pauvre con !!
Très bonne analyse que les mainstream ne feront certainement pas et qu’il est indispensable de partager très largement .