Soutenons Riposte Laïque, notre ultime barricade…

pierrechristine4-9Jusqu’où trop loin ? Les forces tectoniques politiques et sociales ont leur propre dynamique physique que nos « élites » marsupiales semblent totalement négliger voire ignorer.

La désinvolture, la trahison, le parasitisme, la lâcheté et la suffisance se donnent quotidiennement en spectacle dans une sorte de sinistre partouze médiatique qui ne trompe plus que leurs auteurs ; les galipettes politiques, médiatiques, financières et judiciaires se sont substituées à l’intérêt public.

L’illusionnisme politico-administratif a atteint ses limites car, pour nous qui sommes au ras du sol des nécessités quotidiennes, pour nous les soutiers laborieux de la République fiscalisée, il est une évidence : les tensions sont extrêmes, le point de rupture imminent, l’étincelle imprévisible.

Les soupapes de la Démocratie Française sont coincées, la pression monte, les politiques, l’administration, les corps intermédiaires et les medias sont assis au sommet du volcan bien verrouillé, tous occupés à harceler le citoyen libre pour conforter leur chapelle. Ils ne perçoivent que l’anecdotique, l’accessoire le secondaire, déroulent une rhétorique archaïque, polissent leurs brillantes gamelles où ils se délectent de leur propre image et jonglent délicieusement avec les mots « gauche, droite, centre, extrême, populisme, racisme, xénophobie, islamophobie, stigmatisation, dédiabolisation, arrière-boutique …. », déniant la réalité des fondements de chaque secousse populaire, ils s’apprêtent à porter plainte pour intimider tout citoyen hors norme  et font confiance en l’instrumentalisation de la Justice de notre pays aux mains des glorieux bâtisseurs du mur des cons.

Risible, illusoire et dangereux

Leur grille de lecture, d’analyse et de compréhension de notre société affiche pour le moins 80 ans de décalage horaire, nous oscillons gaiment entre 1933 et 1936, tout ce qui est hors eux-mêmes est extrêmement nazi, et à défaut de réflexion le terme facho tient lieu de ponctuation. Le slogan fait le dogme, le slogan est la norme, la caricature est un raisonnement.

La réaction tient lieu de stratégie, l’horizon de la République se lit avec les œillères de l’agenda électoral, expert au jeu des urnes musicales, le ronronnement fiscal berce la pacification par la mendicité sociale institutionnalisée.

RAS, il ne se passe rien… tout comme l’écrivit Louis XVI dans son journal intime à la date du 14 juillet 1789 « …  Rien … ».

Rien en effet…, sous le joug judicaire et fiscal, abusée, violée et trahie  la société française vibre, gronde et se cabre, elle ne se reconnaît plus, plus dans le gouvernement amputé de ses pouvoirs régaliens, ni celui des ministres menteurs, ni dans le Parlement savate politicarde aux privilèges indécents, ni dans l’Etat multicouches chancre fiscal parasitaire, ni dans le fonctionnement clientéliste de ses institutions dévoyées, ni dans ces divas médiatiques faisant culs chemises et bourses communes avec les politiques.

Ils ne représentent plus rien, ils ne reflètent plus rien, ils sont vides, vide est la noblesse politique, vide est le clergé administratif.

Ils n’incarnent  pas l’avenir des Français. L’abandon, les lâchetés et les dérives annoncent le naufrage autant que le bruyant sursaut.

Nous rappellerons au moignon nostalgique de la gauche lobotomisée cette phrase de Jaurès : « A celui qui n’a rien, la Patrie est son seul bien. » et, ceux qui n’ont rien qui vivent au quotidien la désintégration, votent Marine Le Pen…. surprenant ?

Et aux européanistes la phrase de Péguy « Le pauvre défend sa patrie et le riche la vend. » et, le pauvre qui pointe à Pole-Emploi se rebiffe contre les délocalisations industrielles et les lobbyistes apatrides de la finance euro-mondialiste et leur veau d’or d’Euro, Euro érigé en divinité salvatrice unique … Pour Einstein : « On ne résout pas un problème avec les modes de pensée qui l’ont engendré. » ….surprenant ?

Voilà pourquoi, malgré tous les matraquages judicaires, financiers, politiques et médiatiques, malgré les menaces, les intimidations, et le déni de leurs Droits fondamentaux :

Les Français en ont soupé de la censure du polit-bureau.

Les Français ne supportent plus les miliciens collabo-islamistes dissimulés sous des déguisements de fonctions judiciaires.

Les Français ne supportent plus les frasques des associations subventionnées des souteneurs communautaristes.

Les Français ne tolèrent plus les petits califats de banlieues et le violent apartheid musulman qui y règne.

Les Français ne veulent pas être dépossédés de leur quotidien, de leur futur, de leur passé et de leur citoyenneté par les spéculations des marchés, par le vote d’étrangers ou la bestialité islamique.

Les Français ne tolèrent plus que l’on piétine leur dignité de citoyens, que l’on crache sur leur histoire, sur leur langue, que l’on nie leur Nation, brûle leur drapeau, insulte leur hymne national, nourrisse les ennemis de la république avec leurs impôts…

Les Français veulent que l’on arrête de les harceler fiscalement au bord des routes et leur enlever des points quand la racaille criminelle fait la loi dans des milliers de quartiers hors juridiction nationale ou coran rime avec narco. Les Français veulent que les vacances djihadistes soient sanctionnées par le retrait de la nationalité française, les mosquées fermées et Mein Coran interdit.

Les Français ne veulent pas prendre de leçons de Démocratie des collabos associatifs car les français vomissent l’islam.

Les Français veulent décider de leur avenir, veulent que le parlement soit réduit au moins de moitie et élu au suffrage universel et proportionnel intégral direct, les Français veulent se réapproprier leur espace géographique, leurs écoles, leurs hôpitaux, leur armée, leur police, leur justice, leurs assiettes, leurs rues, leur voisinage, leurs institutions, leur parlement, leur gouvernement…

Les Français refusent l’euro-calibration des peuples autant que celle des fromages…  La carte d’identité ne fait pas un Français, car les Français veulent Charles Martel et Lyautey, Condorcet et Voltaire, toutes leurs fautes et toutes leurs gloires, ils veulent du pinard et du saucisson pur porc, du Charolais surtout pas hallal, ils veulent la pilule et pas de bâches musulmanes, ils veulent une école laïque et républicaine, ils veulent que les parasites revendicatifs exogènes soient expulsés vers de bien meilleurs pâturages que n’est la France généreuse.

Les lâches n’ont de cesse que de réduire nos aspirations patriotiques à une forme arriérée et frileuse de retour à la terre de nos ancêtres, se raillant de notre histoire tumultueuse, histoire qui seule leur donne gratuitement et sans risque le droit de penser, parler et vivre libre.

Grossière méprise, la Patrie ne se réduit pas à la terre de nos morts, c’est la terre où poussent nos enfants et nos idées.

Les Français ne veulent pas être sous contrôle des lobbyistes européanistes, les Français n’en peuvent plus des privilèges auto-consentis des castes politiques et administratives, les Français refusent le parasitisme social institutionnalisé, et refusent que la morgue, l’abandon, la lâcheté et le parasitisme soient promus au rang de vertu civique.

Des jugements comme ceux contre Riposte Laïque sont une insulte pour chaque citoyen, ce ne sont pas des défaites mais des franches victoires contre l’obscurantisme totalitaire et la criminalité islamique, une victoire pour le droit d’être. Je n’ai plus aucune confiance dans la justice de mon pays parce qu’elle n’est ni justice ni de mon pays ; ils ont oublié que ce sont les Droits universels de l’homme qui fondent la Loi et non la Loi qui donnent des Droits, mais quoi de neuf, il n’est aucune révolution « légale ».

Heureusement qu’il y a des espaces comme Riposte Laïque car comme disait John Kennedy, « A vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes ».

Pourquoi donc la vive et cruelle actualité politique fait-elle résonner la phrase de Shakespeare :“‘Tis the time’s plague when madmen lead the blind.”

Peste est de l’époque où les déments dirigent les aveugles.

Les cahiers de doléances sont bien longs et autant méprisés qu’en 1789, nos « élites » de droit juridico-administratif divin se pensent autant immunisés contre la populace que les privilégiés de Versailles ; aussi dans cet affrontement des volontés nous sommes contraints de prendre à nouveau la Bastille, les Bastilles…

Aussi chargeons nos arquebuses républicaines et laïques en commençant par soutenir financièrement Riposte Laïque, qui est notre décisive barricade.

Jean-Carlo Sitzia

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