Tout savoir sur Benoît Hamon, passé des jeunesses socialistes au caïdat

Si Macron représente l’hyper classe et l’objectif de gouvernement mondial, Benoît Hamon est une
synthèse de « l’islamo-gauchisme » s’appuyant sur les masses musulmanes, sas d’entrée vers une
« république islamique » sous l’impulsion coordonnée de l’islam politique et de Terra Nova.

http://ripostelaique.com/macron-mene-son-opa-hostile-sur-la-france.html

La déclaration de Benoît Hamon concernant la victoire possible de Marine « Si Marine Le Pen arrive au pouvoir, c’est l’embrasement garanti des banlieues » montre l’évolution de l’ex premier parti de France. Certes, le « PS » après 1983 a à de nombreuses reprises usé de coups tordus, (il entame des dérives euro-libérales et initie des points de fixation sur l’immigration), sur le thème de « l’anti-racisme », tarte à la crème culpabilisatrice qui rameutait tous les manipulables, à commencer par « les jeunes », mais il feignait d’incarner la mesure seyant à un parti dit « de gouvernement ». Force est de constater que les « socialistes », plus justement « gauchistes », ne font plus l’effort de la décence ayant tout trahi, Ils usent de l’intimidation et de la violence, (y compris contre les familles), ou de leurs nervis de la magistrature.

La victoire d’Hamon à gauche entérine l’évolution du parti vers les « accommodements nécessaires » (compromissions) avec les courants islamistes, en même temps qu’elle met en scène la montée dans l’arène politique d’un apparatchik. Breton, fils d’un père ingénieur aux arsenaux et d’une mère secrétaire, on note dans sa biographie 5 années à Dakar comme « la folle du Poitou ». Il faut croire que ces séjours ne préparent pas à aimer notre pays puisqu’à leur retour, les ingrats et coûteux expatriés ne pensent plus qu’à l’ensevelir.

Né en 1967, patron du Mouvement des Jeunesses Socialistes en 1993 alors qu’il n’est plus si jeune, il a, pour devenir président de cette organisation fait passer l’âge limite de 25 à 29 ans, ce qui montre que l’individu a su vite s’affranchir des règles. Jeune vieux au sein des MJS, il semble qu’il ait toujours préféré le marigot aux études et au travail (il n’a jamais occupé de « vrai métier »). A noter des occupations dans des officines dans les périodes de « vaches maigres » après son échec électoral de 2009, où il est propulsé membre du conseil d’administration de Paris VIII, et où, peu diplômé il devient curieusement professeur dans cette « université ZUP ». Son parcours de combinard oscille entre la gauche du parti, (Nouveau Parti Socialiste fondé avec Peillon et Montebourg, qu’il trahira violemment pour Hollande, lune de miel avec Mamère, Emmanuelli, Mélenchon, Aubry), et des ralliements opportuns à l’aune d’échéances électorales. Il faut lire dans ce lien comment Hamon peut se comporter en chef de bande ou en caïd ou « caillera » à différentes occasions.

Du MJS à la primaire : Benoît Hamon, 25 ans de combines au PS

http://www.marianne.net/du-mjsprimaire-benoit-hamon-25-ans-combines-au-ps100249240.html
Ne jamais être en rupture tout en surjouant l’inflexibilité lui permet d’obtenir différents portefeuilles ministériels sous Ayrault, (délégué à l’économie sociale et solidaire, secteur prisé des militants professionnels avides de ce fromage), et Valls (éphémère ministre de l’enseignement). Ce gauchisme n’est pas pour rien dans sa victoire avec le bilan calamiteux des Hollande-Valls. Entendons-nous sur les termes : la gauche d’Hamon n’est ni « populaire », ni en phase avec les classes moyennes notamment les « street level bureaucrats » de Michael Lipsky correspondant aux salariés du public allant du guichetier jusqu’aux médecins aux prises aux agressions, ni laïque dans le sens de la distinction temporel-spirituel. Hamon approuve Terra Nova, cénacle auquel il participe, qui a initié notre remplacement pour des raisons électorales. C’est aussi un idéal type de la « génération Mitterrand », furieusement en faveur du « Big other de Jean Raspail» par croyances et opportunisme, et rompue aux manœuvres de culpabilisation et de mobilisation des « jeunes » et des banlieues depuis les « potes ».

Profil abouti d’un islamo-gauchiste par son énergie à installer, instrumentaliser et institutionnaliser le fait islamique. Pour l’attester, nous relèverons sa complaisance envers l’islam, son soutien à l’immigration de remplacement, et l’étude de son programme. Ils démontrent qu’Hamon est factuellement et officiellement toujours plus engagé dans notre destruction :
Dans le Télégramme de Brest, Hamon, a fait une déclaration édifiante. Il y suggère explicitement qu’il y a trop de Bretons en Bretagne en racialisant à outrance son discours (alors que de manière
schizophrénique et hystérique la gauche est censée nier les races) : « Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique ». Avant ces propos anti blancs qui devraient dissuader tout autochtone de voter pour lui, il avait à maintes reprises donné des gages d’allégeance aux islamistes qui devraient cette fois dissuader toute femme libre de voter pour lui.

Des déclarations à confronter avec son déni factice et ses mensonges historiques énoncés après un
reportage sur les bars de Sevran et de Rillieux-la-Pape, montrant que les femmes y étaient interdites. Déniant l’ostracisme sexiste et religieux « des cités », il avait affirmé faussement qu’elles en étaient aussi exclues dans ceux des ex quartiers ouvriers de la France d’avant. Ce qui a fait dire à Xavier Frison de Marianne qu’il mentait pour ne pas froisser sa clientèle : « Au nom de la paix sociale, voilà les habitantes de Sevran et de Rillieux-la-Pape priées de garder le silence » (Marianne 18 décembre 2016). Nous laisserons sur ce point BELLICA (blog au féminin) évoquer cette France qui nous manque cruellement : « Du temps de nos aïeules (…) les occasions de guincher ne manquaient pas. Les bars, caf’conc’, guinguettes et bals où s’amusaient les ouvriers des deux sexes ne ressemblent en rien au sinistre café de Sevran défendu par Hamon et Clémentine Autain pour nier les facteurs culturels et religieux de la non-mixité en banlieue Bien loin des acrobaties rhétoriques (…) nos grands-mères s’amusaient et dansaient sans doute plus souvent que nous. N’en déplaise aux professionnels de l’enfumage : la mixité dans les cafés est bel et bien une tradition française ».
Cafés, guinguettes, estaminets… quand nos grands-mères allaient guincher
http://bellica.fr/guinguette-bal-estaminet-quand-nos-grands-meres-allaient-guincher

Comme député de Trappes, ville proche de Versailles et Rambouillet connue pour être sous contrôle des salafistes, Hamon s’est employé à soigner sa clientèle via les associations communautaires au point d’en dégoûter des militants sincèrement de gauche, dont son assistant parlementaire, ce que relate Etienne Girard le 25 janvier 2017 dans Marianne : Même au sein de la gauche locale (…) l’ex-ministre ne fait pas l’unanimité. Son suppléant à l’Assemblée nationale, Jean-Philippe Mallé a claqué la porte du PS (…). Stéphane Dubouchy, militant PS à Trappes pendant près de vingt ans est lui aussi parti après l’arrivée de Hamon : «Il ne dit jamais qu’il y a un problème avec la place de la religion à Trappes. Il se complaît dans une certaine désinvolture, aux relents électoralistes», reproche ce postier (…). En 2014, le candidat a déjà été taxé d’électoralisme, après les propos qu’il aurait tenus (…) sur l’indépendance de la Palestine. «Il s’agit du meilleur moyen pour récupérer notre électorat de banlieue et des quartiers, qui n’a pas compris la prise de position pro-israélienne de Hollande».

Aucune surprise qu’il se soit joint à l’hallali dans l’affaire « Théo », confortant son statut de « parrain des cités » actives à voter Hamon alias « Bilal », son nom chez ses fidèles soutiens musulmans durant la primaire (Bilal est muezzin de Mahomet qu’Hamon appellerait « le prophète » ouvrant l’hypothèse d’une conversion), ce que notait RFI en titrant « Trappes, la banlieue derrière Benoît Hamon ».

François-Xavier Laisné

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6 Commentaires

  1. On ne juge pas sur le physique, mais il est de cruelle réalité que ce type avec ses oreilles décollées est un régal pour les caricaturistes. Bon je dis ça, je dis rien… Mais bon… j’avais envie… Vais pas bouder mon plaisir quand même ?

  2. Hamon sera en concurrence avec Mélenchon : donc la dispersion des voix ne peut qu’affaiblir la gauche. Ce dhimmi, avec sa tête de mouton, devrait se méfier, il va peut-être se faire égorger à la fin du prochain ramadan. Bêêê !
    Quand à nous, Macron reste notre objectif premier: c’est l’homme à abattre, par tous les moyens démocratiques.

  3. La photo résume bien la personnalité d’Hamon avec le rongeur à côté qui pointe du doigt ses directive d’islamiste.

    • De quelle espèce vivante définiriez-vous le rongeur d’à côté cher Mr White Skin?

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