Vivre libres débarrassés de la tyrannie islamique

VAinvasionmosquiesComment expliquer notre attitude à l’égard de l’islam ? Nous jugeons ce dogme imbécile et barbare, mais ce n’est pas la raison suffisante pour nous impliquer dans un combat contre lui. Il y a bien d’autres choses que nous n’apprécions pas mais que nous tolérons à contre cœur sans les combattre activement. Nous savons que nous ne pouvons être entourés que par ce qui nous plaît. Ce qui détermine notre position c’est le caractère conquérant, totalitaire et définitif de l’islam. Le « Reich de 1000 ans » voulu par les nazis n’a pas duré beaucoup plus de 20 ans. Après ses crimes horribles il a succombé et son idéologie haïssable a été extirpée de l’Allemagne.

En revanche, pour l’islam, là où il s’est implanté, il subsiste après 1400 ans. Sans parler de ses crimes abominables, assassinats, esclavage, persécutions, il a placé des zones immenses sous sa domination implacable, annihilant les civilisations brillantes qui l’avaient précédé, pour les remplacer par une société pétrifiée imprégnée de ses préceptes immuables et cruels. Peu de revers dans sa marche conquérante : citons parmi eux, l’arrêt par l’armée franque de Charles Martel, la « reconquista » en Espagne et au Portugal, la libération des pays balkaniques du joug ottoman et la fondation de l’Etat d’Israël. Par contre sa marche continue actuellement dans tous les continents et particulièrement en Europe.

Notre amour de la France et de son peuple nous pousse au combat contre l’islam

Notre amour de la France, notre pays, s’explique par notre désir de vivre et de persévérer. Nous n’aimons pas la France uniquement parce qu’elle est la France mais parce qu’elle est ce que nous sommes, l’organisme vivant dont nous sommes des éléments. Notre pays a des caractères géographiques et matériels qui nous ravissent, mais son souffle de vie, son âme c’est son peuple, c’est lui le principal objet de nos pensées affectueuses. Changer le peuple de la France et de L’Europe comme le fait l’immigration invasive actuelle, principalement d’Afrique, d’Asie mineure et de culte islamique, c’est changer l’âme de notre pays. Permettre à l’islam de se développer en France et en Europe c’est préparer l’asservissement du peuple de France et des peuples européens aux préceptes totalitaires de l’islam. C’est corrompre l’âme de notre pays.

Nos hommes des médias ou nos intellectuels snob, sont fiers des richesses du patrimoine accumulées dans les musées et des monuments restaurés qui foisonnent à travers la France. Tant cela a de valeur à leurs yeux qu’aucune des charges financières qui en sont la conséquence ne les gêne. Cela est peut-être fort bon de conserver notre patrimoine, mais que nous importe de pouvoir admirer les chefs d’œuvre du passé quand le principal trésor de notre pays, son peuple, est altéré. Permettre aux familles françaises de vivre, encourager notre jeunesse et l’aider à bâtir son avenir me paraît plus nécessaire. Aussi merveilleuse qu’elle soit, une œuvre de notre patrimoine ne m’émouvra pas autant que de voir une famille française se fonder et des jeunes français trouver leur voie.

Les problèmes qui touchent la France et l’Europe sont multiples, économiques, financiers, d’organisation politique. Mais aucune des conséquences de l’absence de solution correcte qui serait apportée à ces problèmes n’est irrémédiable. Un pays peut se relever d’une période de décroissance. Il peut retrouver le plein emploi après le chômage endémique. L’engouement des prêteurs et investisseurs peut suivre un état de cessation de paiement. Un mauvais traité international peut être renégocié ou carrément abrogé si l’organisation politique auquel il a donné naissance ne convient plus aux parties. L’altération de la population et l’implantation de l’islam sont des maux aux conséquences irréversibles. C’est la raison pour laquelle le combat contre ces deux maux est le point essentiel de toute stratégie politique en France et dans les autres pays européens.

La classe politique refuse d’exercer ses responsabilités

Nous, simples citoyens, connaissons la gravité de la situation. Qu’attendent les hommes politiques dont la fonction devrait être d’identifier les problèmes et de proposer et de faire adopter les mesures adéquates ? Que les dirigeants de gauche et d’extrême gauche qui exercent le pouvoir évitent de parler du problème est compréhensible, puisque l’immigration islamique a été un des facteurs déterminants de leur victoire électorale. Mais comment expliquer la passivité de l’opposition de droite ? Mises à part quelques phrases prononcées lors des campagnes électorales propres à plaire à son électorat, la droite n’a jamais abordé le problème sérieusement, en produisant des rapports et des propositions intéressantes et en exécutant, lorsqu’elle détenait le pouvoir, une politique efficace.

Nos responsables politiques sont-ils devenus assez misérables pour sacrifier les intérêts fondamentaux du pays à leur carrière électorale ? C’est bien ce que nous voyons se passer. Ils ne se contentent pas de manifester laxisme et indulgence envers la « religion » de « paix », ils font tout pour favoriser son développement comme le montrent les interventions de la gauche ou de la droite pour l’érection de mosquées à travers tout le pays. Leur passion à pourchasser les persécutions imaginaires dont l’islam serait l’objet, comparée à leur indifférence en face des exactions des tenants des partisans de mahomet est une autre preuve de leur préférence. Ils ont pris leur parti du développement de l’islam et de l’immigration invasive. Avec le concours de la plupart des médias ils ont tenté de rassurer l’opinion inquiète en leur disant d’abord qu’il n’y avait pas d’augmentation de l’immigration ou de l’islam, puis en leur disant que l’immigration et la présence de l’islam étaient une chance pour la France. Puis une fois leur présence bien établie, ils nous disent que c’est un fait accompli qu’on ne peut plus changer.

Cette attitude se constate chez tous les partis politiques. Elle est plus marquée à l’extrême gauche où on a présenté une candidate voilée et à l’extrême droite où l’on côtoie des islamistes et où l’Iran est présenté comme un modèle. Mais même au Front National ou au Rassemblement Bleu Marine on en voit des signes.

Les périls qu’annonçait l’instauration du nazisme en Allemagne ne furent pas non plus pris au sérieux en France et en Grande Bretagne. Le réarmement allemand, en infraction avec le traité de Versailles, la militarisation de la Rhénanie, l’annexion de l’Autriche, l’occupation et la destruction de la Tchécoslovaquie, ne modifièrent pas la bienveillance des occidentaux envers Hitler. Mais au moins il y avait des hommes politiques, comme Winston Churchill, qui certes était alors écarté du pouvoir, mais qui était prêt à y revenir, qui était conscient du danger et avait des idées claires sur la façon de le surmonter. Nous ne voyons aujourd’hui aucun Winston Churchill en France.

Cherchons la bonne voie mais trouvons la vite

Nous cantonnerons-nous dans l’attitude de Cassandre qui annonçait des malheurs véritables mais que personne ne croyait ? Nos ennemis se réjouiraient de notre désespoir. Qu’ils ne comptent pas sur notre abandon. Les signes encourageants existent, il faut les exploiter. L’opinion populaire est majoritairement consciente du risque que font peser l’immigration de masse et le développement de l’islam. Les dernières élections municipales, les sondages sur les prochaines élections européennes montrent que le Rassemblement Bleu Marine et le Front National sont récompensés pour être les seuls à faire des propositions claires sur ces questions de base. Les formidables manifestations contre le mariage homosexuel ont révélé l’existence des convictions patriotes d’une partie de la population française distincte des partisans de Marine Le Pen. L’alliance de ces deux courants, l’un, celui de Marine, plus populaire, l’autre plus répandu dans les milieux aisés, donnerait à la France une bonne alternative au pouvoir moribond des socialistes et de l’extrême gauche. Les patriotes sincères, de quelque parti qu’ils soient, devraient avoir conscience de l’enjeu essentiel de l’immigration de masse et du développement de l’islam. Notre rôle n’est pas d’attendre benoîtement l’évolution favorable de la situation politique. Il doit être de rappeler inlassablement aux forces politiques patriotiques leur responsabilité dans le traitement de cette question fondamentale pour l’avenir de la France.

Comme Caton l’ancien avait identifié Carthage comme l’ennemi fondamental de Rome il terminait, dit-on, ses discours par les mots « Carthage doit être détruite » (Carthago delenda est), nous devrions terminer les nôtres par « la tyrannie islamique doit être détruite » puisque nous pensons qu’elle est l’ennemi principal du peuple français.

Armand Catonien

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