Kafala : Taubira introduit les discriminations racistes de la charia

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L’islam impose la Kafala interdit strictement l’adoption. Cette interdiction prive les enfants abandonnés du droit universel à l’adoption et à la filiation. Cette discrimination se base sur les préceptes du Coran qui ont permis à Mahomet d’épouser Zaynab, la femme de son fils adoptif Zayd. Pour arriver à ses fins, Mahomet renia son fils qu’il avait adopté par serment public en lui accordant tous les droits de la filiation.
Taubira introduit en France les discriminations de la Charia.
En reconnaissant la Kafala et l’interdiction de l’adoption de l’islam, Taubira devient ainsi complice de ce précepte discriminatoire et raciste. Elle accepte ainsi le précepte musulman qui prive l’enfance abandonnée du droit à l’adoption. (http://www.textes.justice.gouv.fr/art_pix/JUSC1416688C.pdf )
En privant l’enfance abandonnée du droit à l’adoption, l’islam se définit comme raciste, puisqu’il instaure une injustice envers les enfants abandonnés au seul motif de leur origine. En terre d’islam, tous les enfants abandonnés, orphelins ou sans filiation connue, subissent cette injustice qui relève du racisme le plus abject.
Le droit à l’adoption, est un droit universel reconnu à tous les enfants abandonnés ou orphelins. C’est un droit fondamental qui permet à ces enfants d’être traités sur un pied d’égalité avec les autres enfants. À tous les enfants abandonnés, l’adoption offre une chance d’accéder à la filiation. Ce droit leurs évite de subir l’exclusion dont ils seraient victimes à cause de leur origine. Ce droit était reconnu depuis la nuit des temps.
Il y a eu un homme qui a enlevé ce droit à l’enfance abandonnée : il s’appelle Mahomet. Dans ce qui suit, on rappellera comment Mahomet a interdit l’adoption. On se basera sur le Coran et la Sunna, pour constater que ce bédouin immoral a instauré ces discriminations dans un seul but : épouser la belle Zaynab, femme de son fils adoptif.
Mahomet adopte Zayd et le renie pour lui prendre sa femme.
Pour adopter Zayd, Mahomet l’emmena dans l’endroit où on se réunissait pour traiter les affaires publiques, et proclama cet engagement solennel : “Soyez témoins : Zayd est mon fils, il hérite de moi et j’hérite de lui”. Depuis ce jour, Zayd fut appelé Zayd Ibn Muhammad (fils de Mahomet).
Zaynab était la cousine de Mahomet. Lorsque Zayd grandit, Mahomet décida de le marier avec Zaynab.
Quelque temps après, Mahomet s’était rendu à la maison Zayd pour s’entretenir avec lui. Comme Zayd était absent, Zaynab décida d’accueillir son beau-père à la fenêtre. Elle était alors en tenue légère, et la tenture qui tenait lieu de porte se souleva sous une brise légère, révélant ainsi son corps aux yeux de Mahomet, qui baissa la tête, rougit. Il s’écria alors, troublé par la beauté de Zaynab : « Louange à Allah le Très Grand ! Louange à Allah qui change les cœurs ! » Mahomet reparti aussitôt chez lui.
Lorsque Zayd rentra, sa femme lui raconta ce qui s’était passé. Zayd va trouver Mahomet et lui fit part de sa décision de divorcer d’avec Zaynab. Mais Mahomet lui dit : « Garde ton épouse et soumets-toi à Allah ».
Juste après, Mahomet reçu ce verset :
(S33, V37) : « Quand tu disais à celui qu’Allah avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l’avais comblé : “Garde pour toi ton épouse et crains Allah”, et tu cachais en ton âme ce qu’Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c’est Allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eût cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu’il n’y ait aucun empêchement pour les croyants d’épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d’Allah doit être exécuté. »
Mahomet chargea Aïcha d’aller dire à Zaynab qu’Allah lui avait permis de la prendre pour épouse. Cette « révélation d’Allah » étonna Aïcha qui s’écria : « je vois que ton Dieu s’est vite empressé d’exaucer tes désirs. »
En Arabie, à cette époque, l’union du père avec l’ex-femme de son fils adoptif était très mal vue par la société qui la considérait comme relation incestueuse.
Mais Allah vola au secours de Mahomet, en lui « révélant » le statut légal du mariage avec Zaynab :
(S33, V4 et 40) : « Allah n’a pas fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants.
Mahomet n’a jamais été le père de l’un de vos hommes, mais le messager d’Allah et le dernier des prophètes. »
De ce fait aussi, l’islam établit de façon claire une distinction raciste entre l’enfant naturel et l’enfant adoptif, en privant ce dernier de tous les droits qui résultent de la filiation.

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Ces versets bouleversèrent ainsi une coutume arabe vieille de plusieurs siècles. Mahomet instaure la différenciation entre le fils naturel et le fils adoptif alors que les deux avaient jusqu’alors le même statut juridique dans la société arabe.
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Ainsi, Mahomet instaure une discrimination abjecte entre enfant adoptif et enfant naturel. La tradition d’accueil des enfants orphelins ou abandonnés en tant qu’enfants adoptifs ayant les mêmes droits que leurs frères et sœurs biologiques, fut interdite par Mahomet. Cette interdiction d’une tradition d’amour et de générosité ancestrale chez les Arabes, fut la conséquence directe de la convoitise de Mahomet.
L’islam développa alors tout un arsenal juridique, discriminatoire et raciste, aux conséquences désastreuses pour les dizaines de millions d’orphelins et d’enfants abandonnés en terre d’islam.
L’arsenal juridique raciste de l’islam, envers l’enfance abandonnée.
Le précepte de la Kafala, porte en lui deux dispositions qui relèvent du racisme.
La première discrimination concerne la religion des parents adoptifs. La Kafala n’est accordée qu’aux parents de religion musulmane. L’islam interdit à toute famille non musulmane d’agir avec amour et charité envers un enfant abandonné ou orphelin. Cette interdiction se base uniquement sur la foi religieuse et relève du racisme. Elle prive un enfant abandonné à la naissance ou orphelin, du droit d’avoir une famille qui l’accueillir comme son propre enfant.
L’autre discrimination établit une ségrégation entre les enfants naturels et les enfants adoptés dans le cadre de la Kafala :
* L’enfant naturel possède des droits sur ses parents, ce qui n’est pas le cas de l’enfant adopté.
* L’enfant adopté n’a pas le droit d’être inscrit sur le livret de famille.
* Il n’a pas le droit de porter notre nom de famille.
* Il n’a pas de droit à l’héritage
* Sa protection juridique n’est pas assurée.
* Comme la Kafala n’est accordée qu’au père de famille, l’enfant adopté est remis aux services sociaux en cas de décès et parfois de divorce.
* Le père adoptif (Kafil) peut épouser sa fille adoptive, une fois qu’elle est devenue majeure !
On notera que ces discriminations sont liées à l’origine de l’enfant. Elles figurent dans les législations officielles des pays musulmans. Ainsi, ces pays membres de plein droit de l’ONU et du Conseil des Droits de l’Homme, pratiquent ouvertement le racisme et la ségrégation au mépris total de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Des témoignages vivants que Taubira ignore et méprise :
À la Direction de la santé de Boumerdès en Algérie, Madame Fatima Abadlia, porte ce témoignage bouleversant (http://associationparaenam.free.fr/data/34.pdf ) :
« Le sujet des enfants abandonnés, qu’on appelle communément les ‘X’ est rarement évoqué, même lors des réunions officielles ; car cela sous-entend non seulement grossesses illégitimes qui constituent chez nous un tabou du point de vue social, mais aussi un péché du point de vue religieux. Or, le nombre de ces enfants nés de relation illégales est en hausse permanente !
Devant l’ampleur de ce problème, faudrait-il se résigner, continuer à cacher cette vérité et laisser ces enfants innocents livrés à leur avenir incertain (pourtant ils n’ont ni choisi leurs parents, ni demandé à venir au monde), ou bien, en parler et affronter ce fléau, pour offrir à ces enfants une meilleure prise en charge et un cadre de vie digne. En un mot, respecter la convention des droit de l’homme en général et de l’enfant en particulier…Les droits de l’enfant ne doivent pas être considérés comme une option, une faveur, une gentillesse ou une aumône que l’on ferait aux enfants, mais des obligations et des responsabilités que nous devons tous respecter. »
Madame Abadlia se réfère à la Convention internationale sur les droits de l’enfant du 20 novembre 1989 :
«Considérant que, conformément aux principes proclamés dans la Charte des Nations Unies, la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine ainsi que l’égalité et le caractère inaliénable de leurs droits sont le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.
Ayant à l’esprit le fait que les peuples des Nations Unies ont, dans la Charte, proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme et dans la dignité et la valeur de la personne humaine… Stipule :
(Art.2) : « les états prennent toutes les mesures appropriées pour que l’enfant soit protégé contre toutes formes de discrimination ou de sanction motivées par la situation juridique, les activités, les opinions déclarées ou les convictions de ses parents, de ses représentants légaux ou des membres de sa famille. »
En conséquence, toutes les nations devraient refuser le Droit musulman, qui instaure des discriminations envers des enfants en fonction des convictions religieuses, des décisions prises par leurs parents ou d’évènement qui ont affecté la vie de ces parents.
Et pourtant, Taubira et le gouvernement socialiste de François Hollande reconnaissent ces discriminations et leurs donnent force de la loi en France. Au nom de l’enfance abandonnée, je condamne Taubira et tous ceux qui se sont faits complices des discriminations racistes prescrites par l’islam.

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26 Commentaires

  1. Je ne supporte plus de voir le mot “raciste” mis à toutes les sauces, utilisé à tout bout de champ pour tout et n’importe quoi. D’autant qu’en réalité, il ne devrait pratiquement presque plus jamais être utilisé par personne compte tenu qu’ici en Occident, le racisme n’existe plus. Je ne suis pas en train d’approuver la kefala, simplement, il n’y a aucun rapport entre cette disposition inique et la moindre notion de racisme, même la plus détériorée et éloignée de son sens primitif. C’est le moyen de le faire utiliser contre nous à la moindre expression de vérité manifestée que de le prêter à tous les sens qui peuvent nous intéresser, pourvu qu’il garde son pouvoir diabolisateur.
    Non mais franchement Zohra qu’est-ce qui vous arrive ? Aviez-vous vraiment besoin de faire appel à ce terme désensé pour dénoncer une absurdité aussi inique que cette reconnaissance dans le droit français de cette abjection musulmane ? Je ne comprends pas. Désolé.

    • Dans la Déclaration universelle des droits de l’homme :
      ( http://www.un.org/fr/documents/udhr/ )
      Article premier
      Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
      Article 2
      1.Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, D’ORIGINE NATIONALE OU SOCIALE, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
      Comme vous pouvez le constater, le statut de la Kafala et les préceptes musulmans qui l’accompagne, instaurent une ségrégation entre les enfants adoptifs et les enfants naturels. Il s’agit bien d’une ségrégation basé sur l’origine de l’enfant : si à l’origine, l’enfant a été abandonné, s’il est né de filiation inconnue ou a perdu ses parents. Cette ségrégation est définie clairement dans l’islam et les enfants adoptifs sont privés des droits dont bénéficient les enfants naturels. Cette discrimination abjecte, touche des dizaines de millions d’enfants abandonnés dans le monde musulman. L’islam reproche à ces enfants leurs origines pour leur appliquer des discriminations liées à cette origine. Il s’agit bien d’un racisme abject. Comment le définir autrement.
      Je ne comprends pas votre position, qui refuse de reconnaitre le caractère raciste de ces discriminations. Je prendrais juste un deuxième exemple : si la France instaure des discriminations entre les enfants nés de parents musulmans et les autres enfants français, tout le monde s’insurgerait à juste titre contre ces discriminations et les qualifierait à juste titre de raciste. Il faut garder un minimum de cohérence et reconnaitre les discriminations que l’islam et les pays musulmans, instaurent officiellement contre les enfants abandonnés, au seul motif de leur origine, ne peuvent être considérées que comme racistes. Il s’agit bien d’un racisme abject, institué par l’islam et appliqué par les pays musulmans dans leurs lois racistes.

      • Zhora, vous utilisez ici le mot race en un sens extrêmement peu usité, c’est-à-dire celui d’un terme générique qui correspondrait au mot classe, catégorie ou autre. Le seul fait de souligner une ségrégation est suffisant, où est l’intérêt de jeter le trouble avec cet emploi excentrique du mot race. D’autre part, même dans ce sens, il est inapproprié car le racisme établit une distinction entre deux races préexistentes, or la kefala précisément, crée elle même deux races dans une population où il n’y en a quasiment pas, à l’abandon près, lequel justement devraient être souligné comme non dénaturant, un enfant étant un enfant qu’il soit abandonné ou pas, et il n’y a rien de phylétique dans son caractère d’abandonné ( on n’est pas abandonné de père en fils ).
        Comme je l’ai mentionné dans le post précédent, il nous est particulièrement nuisible de laisser se généraliser l’usage du mot “racisme” à tout escient, et ce n’est pas quand il sert notre argumentation qu’il faut en profiter pour se féliciter de son caractère diabolisateur alors que lorsqu’il nous envoie devant les tribunaux on grince des dents, pour le moins.
        Mon avis est que nous devrions nous limiter à l’usage de ce mot uniquement dans le cadre d’une hyérarchisation d’estime de races ethniques, ou d’une volonté suprématiste d’un tentant de l’une sur les autres. Dans notre plus grand intérêt.

        • Je n’ai pas utilisé le mot “race” dans mon exposé. J’ai utilisé le terme “racisme”, parce que la définition de ce terme inclut les discriminations imposé à des êtres humains à cause de leur appartenance ethnique, de la couleur de leur peau, de leur appartenance religieuse, de leur origine sociale ou de leur sexe. C’est ainsi que le mot de racisme est défini d’une manière universelle. Le terme “racisme” n’est pas lié uniquement à l’appartenance ethnique : cela reviendrait à faire une hiérarchie entre les discriminations imposées à des groupes de personnes. Cette hiérarchisation des discriminations n’a aucun sens, parce que cela reviendrait à faire une discrimination entre les victimes en fonction de la nature du bourreau, ce qui serait la pire forme du racisme. Toutes les discriminations imposées à un groupe de personnes parce qu’elles partagent une même appartenance ( en l’occurrence : c’est leur appartenance au groupe d’enfants abandonnés) relève du racisme le plus abject.

          • Cette définition est totalement dévoyée et destinée à faire accuser ceux qui critiquent l’islam de racisme, c’est une évidence que vous ne pouvez pas ignorer. La définition de mon dictionnaire, qui date de l’époque de mon enfance se contente de dériver le mot racisme du mot race, suivant démarche parfaitement logique, et de considérer le mot race dans son acception conventionnelle ethnique. Nous ne pouvons pas nous soumettre aux déformation des sens des mots qu’on veut nous imposer précisément pour interdire toute pensée critique. Je ne hiérarchise absolument aucune discrimination, votre argument est spécieux, je me contente bien évidemment ( ! ) de les distinguer. Je vous trouve de plus en plus suspecte à chaque minute qui passe ! Et discriminer des objets en fonction de ce qui les distingue n’a rigoureusement rien de raciste ( on est là en plein délire ).
            ( Alerte @ RL )
            Je ne sais pas pourquoi vous cherchez à ce point à confirmer la dénaturation du sens du mot racisme qui nous cause tant de tort mais je vous barrerai toujours la route, j’en fais serment.

            • @ Zhora
              J’ajouterai que je n’ai pas trouvé sur internet de définition correspondant à celle que vous en donnez. Spécieuse, et tricheuse. Bizarre.

              • Vous trouvez qu’imposer des discriminations à un ensemble de personnes, pour leur couleur de peau, leur appartenance ethnique, leur foi religieuse ou leurs origines, ne relève pas du racisme le plus abject. Et vous accusez celles et ceux qui condamnent ce racisme d’être des tricheurs!!!! Vous trouvez bizarre de condamner ce racisme abject !!!!

                • @ Zhora
                  Je suis pour imposer aux musulmans une très très très forte discrimination, à savoir l’interdiction totale de toute pratique de leur religion et je ne suis en rien raciste. Est-ce-que ça commence à cheminer dans votre esprit ou il en faut encore ?

    • Vous dites que le racisme n’existe plus en Europe. Ceci n’est pas conforme à la vérité. L’Europe est complice du racisme musulman. Je rappellerais entre autre, que les femmes qui portent la nationalité d’un pays musulman (Algérie, Maroc etc…) se voient refusé leur mariage si leurs maris ne se convertissent pas à l’islam. Les ambassades et les autorités consulaires, appliquent officiellement ces lois racistes en France, comme dans le reste de l’Europe. Ma propre fille s’est vue refusée la reconnaissance de son mariage par le Consulat algérien. Et la France, par son silence et par le fait de reconnaître que ces pays ont le droit d’appliquer à des citoyens français résidant en France et ayant la double nationalité, des lois à connotation clairement raciste. se rend complice de ces pays racistes.
      Dire que le racisme n’existe pas en France, n’est pas conforme à la vérité. Non seulement le racisme musulman existe en France, mais il est appliqué d’une manière officielle par les ambassades et les autorités consulaires des pays musulmans, d’une manière officielle, en toute impunité et avec la complicité du Gouvernement français, qui interdit aux médias et aux responsables politiques de dénoncer cette situation. Bien au contraire, ce gouvernement comme les médias à sa solde et les politiciens qui le servent, n’hésiterons pas une seule seconde à condamner comme “raciste” toute personne qui oserait dénoncer le racisme musulman et informer les français sur ce racisme abject.

      • Oui Zohra, nous sommes bien d’accord, mais quand je parle de racisme en Occident, je parle de racisme par les occidentaux de souche, et j’en exclue donc les musulmans. Comme je l’ai précisé plus bas, il n’est pas bon de disperser le sens du mot racisme et il serait préférable de ne l’utiliser que pour un racisme ethnique et seulement lorsqu’il est question de hiérarchie d’estime ou de suprématisme. Sinon, on finit par évoquer le racisme de l’industrie chimique qui sépare des énantiomères. ça part alors dans tous les sens

        • Je n’ai pas parlé du racisme de Français de souche ou d’autres Français. Je précise mon propos : la Kafala est un précepte raciste. Taubira et le gouvernement français reconnaissent d’une manière officielle ce précepte raciste. Ils lui donne la légitimité d’être appliqué en France. Cela représente une complicité active avec le racisme et les préceptes racistes de l’islam. Limiter le racisme à ce que vous appelez le “racisme ethnique” n’a aucun sens. Il faut condamner le racisme sous toutes ses formes. Trouver des excuses aux discriminations imposées par l’islam, sous prétexte qu’elles ne relèvent pas du racisme, c’est une manière de les banaliser. Ceci me parait un mépris total envers les millions de bébés, condamnés à la naissance par cette idéologie totalitaire que représente l’islam. Ces millions de bébés sont les victimes innocentes des préceptes racistes de l’islam.

          • Zhora, Je vous cite, dans votre réponse à mon commentaire :
            “Vous dites que le racisme n’existe plus en Europe. Ceci n’est pas conforme à la vérité”.
            C’est pour ça que vous répond :
            “Oui Zohra, nous sommes bien d’accord, mais quand je parle de racisme en Occident, je parle de racisme par les occidentaux de souche”. Il ne s’agit donc pas de ce que vous dites, vous, mais de ce que je dis, moi.
            Quant à vouloir étendre l’acception du mot race au sens de catégorie, je ne sais à quel jeu vous jouez, si c’est un double jeu visant à amener progressivement à pouvoir un jour nous faire poursuivre pour incitation à la haine raciale au seul motif qu’on se permet conformément à la loi de faire des critiques objectives d’une religion, mais je commence à me méfier de vous. Vous êtes trop intelligente pour ne pas comprendre mes posts précédents, même si vous réagissez sans trop faire attention, donc je trouve ça de plus en plus suspect cette façon de noyer le poisson.

            • Je n’ai jamais assimilé la critique à une religion comme faisant partie du racisme. J’ai parlé de groupe d’êtres humains qui seraient victimes de discriminations à cause de leur foi religieuse. Cela constitue des discriminations à caractère racistes. Et d’ailleurs c’est la cas du Droit musulman, qui montre encore une fois son caractère raciste. Le Droit musulman et l’islam soumet les chrétiens, les juifs et le non musulmans à des discriminations au seul motif de leur foi religieuse. Cela relève du racisme le plus abject. Je ne confonds pas la critique d’une religion, qui relève de la liberté d’expression et le fait de soumettre les adeptes d’une religion à des discrimination, ce qui relève du racisme. D’ailleurs, l’islam est non seulement raciste. mais interdit toute critique de la religion musulmane. L’islam ne reconnait pas la liberté d’expression et menace de violence toute critique de la religion musulmane. Donc, je ne cherche pas à noyer le poisson, mais à condamner le racisme sous toute ses formes. Vous parlez du racisme des français de souche. Je n’ai jamais accusé les français de souche d’être des raciste. J’ai affirmé que le gouvernement français et ses ministres en commençant par Taubira soutiennent le racisme musulman.
              Je ne comprends pas ce que vous trouvez suspect dans ma démarche et mon raisonnement. Je n’ai jamais confondu le peuple français ou les français de souche, avec François Hollande, le gouvernement français et les ministres. C’est François Hollande, Taubira, Valls et le reste du gouvernement français que je considère comme les complices du racisme musulman.

              • @ Zhora
                “Cela constitue des discriminations à caractère racistes” : NON, NON et NON, cela constitue des discriminations à caractère religieux.
                “Je n’ai jamais accusé les français de souche d’être des raciste”. Combien de fois faudra-t-il vous dire que ce ne sont pas vos propos qui sont en cause mais les miens ?
                “Je ne comprends pas ce que vous trouvez suspect dans ma démarche et mon raisonnement” : je vous l’explique dans ma réponse à l’autre post, plus bas.

                • Em premier lieu, si vous trouvez que les discriminations religieuses sont aussi abjectes et condamnable que les discriminations racistes, alors je vous rejoins, et le dialogue porte uniquement sur les mots. Mais si vous entendez que les discriminations religieuses ne sont pas aussi abjectes et condamnables que les discriminations racistes, alors je suis en totale désaccord avec vous. Cela revient à pratiquer la pire des discriminations : la discrimination entre les victimes en fonction de la nature du bourreau.
                  Comme document, je vous envoie ce texte ( http://www.humanrights.ch/fr/droits-humains-internationaux/onu-traites/racisme/ ) pour vous donner la preuve que le racisme n’est pas lié seulement à la race :
                  Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale
                  Du 21 décembre 1965 (Entrée en vigueur le 4 janvier 1969)
                  La Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale, oblige les Etats parties à éliminer toutes les formes de discrimination raciale et à promouvoir l’entente entre les races.
                  Ratifications
                  177 Etats parties (état au 29 septembre 2015)
                  Définition de «discrimination raciale»
                  LA CONVENTION DÉFINIT LA DISCRIMINATION RACIALE COMME « TOUTE DISTINCTION, EXCLUSION, RESTRICTION OU PRÉFÉRENCE FONDÉE SUR LA RACE, LA COULEUR, L’ASCENDANCE OU L’ORIGINE NATIONALE OU ETHNIQUE, QUI A POUR BUT OU POUR EFFET DE DÉTRUIRE OU DE COMPROMETTRE LA RECONNAISSANCE, LA JOUISSANCE OU L’EXERCICE, DANS DES CONDITIONS D’ÉGALITÉ, DES DROITS DE L’HOMME ET DES LIBERTÉS FONDAMENTALES DANS LES DOMAINES POLITIQUE, ÉCONOMIQUE, SOCIAL ET CULTUREL OU DANS TOUT AUTRE DOMAINE DE LA VIE PUBLIQUE ».
                  Si on reprend l’exemple des discriminations racistes de la Kafala et du Droit musulman, elle se base sur l’ascendance de l’enfant. Pour l’islam, un enfant abandonné, orphelin ou sans filiation connue, ne remplit les exigence d’ascendance qui lui donnerait les mêmes droits que les autres enfants. Puisque son ascendance l’a abandonné ou a disparu pour cause de mort ou d’assassinat, l’enfant est discriminé à vie. Le plus horribles, c’est que l’islam ordonne non seulement de discriminer les enfants dont les musulmans ont massacré les parents. L’islam et sa divinité sanguinaire Allah, donne le droit aux musulmans d’utiliser ces enfants comme esclaves sexuelles.
                  Cela apporte la démonstration que le Coran, le droit musulman, l’islam, son prophète Mahomet et sa divinité sanglante, Allah, ont un comportement qui dépasse tout entendement dans l’abject. Au moins, dites-moi si vous condamnez clairement et sans complaisance cette abjection. Ou bien, vous la trouvez moins condamnable que le racisme, ce qui revient à faire une hiérarchisation dans l’horreur abjecte et une discrimination nauséabonde entre les victimes, en fonction de la nature du bourreau.

                • @ Zhora
                  “si vous trouvez que les discriminations religieuses sont aussi abjectes et condamnable que les discriminations racistes, alors je vous rejoins, et le dialogue porte uniquement sur les mots. Mais si vous entendez que les discriminations religieuses ne sont pas aussi abjectes et condamnables que les discriminations racistes, alors je suis en totale désaccord avec vous.” : le plus simple c’est encore de lire ce que j’écris et il n’a jamais été question d’un autre débat que celui sur les mots, un mot, le mot “racisme”.
                  Ensuite, j’ouvre le document que vous me proposez et sur quoi je tombe en premier, la définition que vous me donnez vous même :
                  “La Convention définit la discrimination raciale comme « toute distinction, exclusion, restriction ou préférence fondée sur la race, la couleur, l’ascendance ou l’origine nationale ou ethnique, qui a pour but ou pour effet de détruire ou de compromettre la reconnaissance, la jouissance ou l’exercice, dans des conditions d’égalité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales dans les domaines politique, économique, social et culturel ou dans tout autre domaine de la vie publique”.
                  Où est-il question de religion là-dedans ? L’ascendance a ici un sens filiatif, c’est-à-dire au sens héritable, au sens de caractère hérité de père en fils, au sens de aïeux, de ancêtres, personne ne conclurait que la kefala est raciste à la lecture de ce texte. On pourrait trouver une mesure raciste si elle condamnait des enfants à cause justement d’une propriété de leurs parents naturels, mais pas à cause de l’abandon par ceux-ci ; et encore, à la limite extrême de l’interprétation, ou plutôt même pas du tout car cette définition ne vise pas à protéger des individus dans leur particularisme singulier mais des membres d’une population identifiable par son ascendance. Le texte se poursuit par :
                  “Les Etats parties doivent notamment condamner les propagandes et les organisations qui s’appuient sur des théories fondées sur la supériorité d’une race ou d’un groupe de personnes ayant une certaine couleur de peau ou une certaine origine ethnique, ou qui prétendent justifier ou encourager toute forme de haine et de discrimination raciales. Les Etats parties s’engagent à déclarer punissable par la loi la diffusion de telles idées ainsi que toute incitation à une discrimination raciale ou à des actes de violence contre une race ou un groupe de personnes d’une certaine couleur de peau ou d’une certaine origine ethnique”.
                  On voit bien que ce texte lui-même met des torrents d’eau à mon moulin en donnant un caractère strictement racial à la discrimination raciale. Je suis un très très mauvais diplomate, et comme je suis galant, je déteste contrarier une femme mais je ne sais absolument pas utiliser de manœuvres verbales pour qu’elle puisse sauver la face ou ce genre de choses ; et puisque nous sommes dans un pays qui revendique l’égalité hommes / femmes, ça serait quand même pratique si vous vous décidiez enfin à écrire un truc du genre “oui vous avez raison” plutôt que de nous enfermer dans cet interminable débat stérile, ou plutôt qui a pour seule fonction de rappeler que le mot “racisme” ne devrait plus jamais être employé au tout venant mais personne ne nous lit, Zhora, alors par pitié, restons en là.
                  Cordialement.
                  PS : par contre ce texte définit la “ségrégation positive comme une discrimination raciale et les états signataires ont l’interdiction de l’autoriser sur leur territoire.

                • Vous vous perdez dans des considérations spécieuses. Et surtout, vous ne répondez pas à la question que je vous ai posée. En dehors de la sémantique des mots, trouvez que les discriminations que vous appelez religieuses (puisque l’islam condamne les non musulmans à être combattus et tués et condamnent leurs fillettes, leurs filles et leurs femmes à l’esclavage sexuel au seul motif de leur foi religieuse). Trouvez-vous ce comportement abject comme moins grave que le racisme, puisque vous ne le reconnaissez pas comme du racisme sous sa forme la plus abjecte. Sans oublier, que sur le plan historique, les personnes ainsi discriminées, font partie d’une ethnie (comme les arméniens, les yazidies, les assyriens, les chaldéens ou les berbères d’Afrique du Nord, qui ont vu des entains de milliers de fillettes offertes en esclaves sexuelles au Califat musulman de Damas. Ensuite, vous donnez une interprétation de l’ascendance qui vous arrange, pour exonérer le racisme musulman de la Kafala, Sans oublier votre manque de réponse sur votre hiérarchisation de l’horreur abjecte des discriminations racistes. Celles que vous ne considérez pas comme racistes, vous gardez un silence étonnant qui laisserait supposer que les considérez comme moins grave que ce que vous appelez “racisme”.
                  Je trouve cela comme la pire forme de discrimination : la discrimination entre les victimes en fonction de la nature du bourreau. Quand ce bourreau est musulman, alors vous vous interdisez de le condamner pour racisme ! Vous demandez qu’on reste là, après avoir formulé des procès d’intention et refuser de répondre à des questions précises sur les discriminations racistes.
                  Il était de mon devoir de répondre aux accusations et de re-préciser les questions pour les quelles je n’ai pas reçu de réponse.
                  Enfin, je vous rappelle la Déclaration Universelle de Droits de l’Homme.
                  Dans la Déclaration universelle des droits de l’homme :
                  ( http://www.un.org/fr/documents/udhr/ )
                  Article premier
                  Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
                  Article 2 : Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de RELIGION, d’opinion politique ou de toute autre opinion, D’ORIGINE NATIONALE OU SOCIALE, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

                • @ Zohra
                  Vous voudriez que je réponde à une question aussi insultante ? Mais comment osez-vous me la poser ? Non seulement je ne m’abaisserai pas à y répondre, mais pour finir, je vous annonce que je n’ai lu que les deux premières lignes de votre commentaire, et je vous ai déjà également répondu qu’il suffisait de me lire, et je commence à penser que vous n’allez pas bien – ou que vous êtes une takkyiste extrêmement bien dissimulée.
                  La kefala n’a aucun caractère raciste, c’est une évidence pour tout-le-monde – sauf si on veut déformer l’usage de ce mot à des fins pernicieuses – , elle est abjecte comme tant d’autres choses en islam, mais en rien raciste. Et il faut vraiment être particulièrement obtus pour s’acharner à vouloir identifier l’ascendance ( qui signifie lignée, comme dans le cas d’une ascendance aristocratique ) avec la défection des parents naturels – ou poursuivre un but caché. Si ça c’est spécieux, vous êtes vraiment spéciale………
                  Puisqu’apparemment, c’est votre seule motivation, je vous laisserai le dernier mot parce que votre persévérance a eu raison de mes forces.

    • Sur le site : http://www.textes.justice.gouv.fr/art_pix/JUSC1416688C.pdf , on peut lire :
      BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE
      2 – Effets juridiques du recueil légal en France
      2.1 Reconnaissance de la décision judiciaire de recueil légal
      2.1.1 Le principe : la reconnaissance de plein droit
      La décision judiciaire de recueil légal est, comme toute décision relative à l’état des personnes,RECONNUE DE PLEIN DROIT SUR LE TERRITOIRE FRANÇAIS, sans formalité particulière, dès lors que sa régularité internationale n’est pas
      contestée.
      ——————————————————
      Ceci est écrit sur le site officiel du Ministère de la Justice. Il s’agit bien d’une reconnaissance officielle de la Kafala en France. Et par voie de conséquence, il s’agit bien d’une reconnaissance par la France de toutes les discriminations à caractère raciste liées à la Kafala et aux préceptes musulmans qui régissent la Kafala. L’islam impose un statut d’infériorité pour les enfants adoptifs et instaure une ségrégation entre les enfants adoptifs et les enfants naturels. Cette ségrégation se base sur l’origine de l’enfant. Elle relève du racisme le plus abject. Il y a une immense incompréhension que le gouvernement français se fasse le complice de ce racisme abject.
      .

    • Si votre message s’adresse à moi, pouvez-vous m’expliquer en quoi je n’ai rien compris à la circulaire. Effectivement, je ne suis pas spécialiste du droit. Je ne suis pas juriste. Mais la circulaire de Ministère de la Justice affirme clairement que la France reconnait le statut de la Kafala sur le territoire français. Par contre, ma formation musulmane me permet d’affirmer avec certitude que ce statut de la Kafala et les préceptes musulmans qui lui sont associés, comportent des discriminations à caractère raciste.

  2. On apprend beaucoup de choses dans cet article mais pour le faire connaître, on a besoin d’avoir la source : est-ce un projet de loi, un décret….?

    • La source figure sur ce document officiel du Ministère de la Justice : http://www.textes.justice.gouv.fr/art_pix/JUSC1416688C.pdf . Ce document précise que “2 – Effets juridiques du recueil légal en France
      2.1 Reconnaissance de la décision judiciaire de recueil légal
      2.1.1 Le principe : la reconnaissance de plein droit
      La décision judiciaire de recueil légal est, comme toute décision relative à l’état des personnes, reconnue de
      plein droit sur le territoire français, sans formalité particulière, dès lors que sa régularité internationale n’est pas
      contestée”. À moins que j’ai mal interprété ce document officiel du Ministère de la Justice, il me semble que la France reconnait officiellement le statut de la Kafala et toutes les discriminations racistes qui sont associées à la Kafala.

  3. “Au nom de l’enfance abandonnée, je condamne Taubira et tous ceux qui se sont faits complices des discriminations racistes prescrites par l’islam. ”
    IDEM

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