Hier avaient lieu de multiples manifestations, à travers toute la France, contre la réforme des retraites de Macron.
Comme d’habitude, les cortèges de manifestants furent calmes et sans incident.
À l’exception de quelques accrochages avec les antifas, regroupés en black blocs, qui entendaient pouvoir rentrer dans les cortèges syndicaux afin de se cacher après avoir agressé les policiers.
Pas de chance pour eux, les services d’ordre des syndicats ne l’entendaient pas de cette oreille et les antifas ont vite compris qu’ils n’étaient pas les bienvenus.
On assista donc à cette situation incroyable : un “pré-cortège” comme disent les journalistes, constitué d’énergumènes ultra-violents qui cassaient tout sur leur passage, mettaient le feu à tout ce qu’ils pouvaient et attaquaient à intervalles réguliers les policiers.
Et pour ces gens-là, il n’y a pas de limite.
Ils sont là pour casser et… tuer !
À ceux qui en douteraient, cliquez sur le lien ci-dessous et vous prendrez conscience du problème.
Des policiers prennent feu après le jet d'un cocktail molotov. Affrontements très intenses à Paris@LucAuffret pour @LibreQg#ReformesDesRetraites #1ermai pic.twitter.com/9TjoNryQDV
— QG le média libre (@LibreQg) May 1, 2023
https://twitter.com/i/status/1653024620121845760
On voit sur la vidéo un cocktail Molotov arriver sur les policiers, exploser en arrosant d’essence enflammée plusieurs d’entre eux, et lorsque leurs collègues se précipitent pour éteindre les flammes, certains antifas en profitent pour les attaquer et leur jeter pierres, boulons, bâtons et tout ce qui leur tombe sous la main.
Je ne sais pas comment vous appelez cela, moi je dis que c’est une tentative de meurtre avec préméditation.
L’un des policiers est d’ailleurs à l’hôpital, gravement brûlé, notamment au visage.
Il aurait très bien pu mourir.
Même si les autres incidents ont été moins graves, toute la manifestation en fut émaillée.
De manière incessante, les forces de l’ordre furent agressées, recevant toutes sortes d’objets, pierres, morceaux de ferrailles, bâtons, mortiers d’artifices, bombes agricoles, etc.
Au final, en France, 406 policiers et gendarmes furent blessés, certains gravement.
Un sénateur PS a eu la curiosité de vouloir suivre la police en action.
Au départ, pour voir si la police respectait la déontologie du maintien de l’ordre.
Après avoir suivi tout l’après-midi les policiers, son opinion se résuma en une formule : « j’ai eu peur, très peur ».
Eh oui, il faut avoir la foi du charbonnier pour passer son après-midi à subir toutes ces violences de manière stoïque. C’est le lot quotidien de la police et de la gendarmerie durant ces événements.
Et manifestement ce parlementaire PS a découvert à cette occasion la face cachée de la lune.
Il faut dire qu’au même moment, les parlementaires de gauche, à l’Assemblée, tentaient de faire s’ouvrir un débat sur la dissolution des Brav-M.
Quand on est sur le terrain à recevoir des pavés sur la figure pendant des heures, ça change du Parlement et des discours dénonçant la “police qui tue”.
Heureusement, cette tentative fut rejetée au Parlement.
Restent quelques questions dérangeantes pour le pouvoir et la gauche.
Lorsqu’ils sont arrêtés, on découvre que ces antifas sont souvent des fils ou filles de profs de fac, de cadres supérieurs, de hauts fonctionnaires, de chefs d’entreprises.
Bref des gosses de la bourgeoisie qui, après avoir commis leurs exactions, rentrent à la maison dans les beaux quartiers.
Parce que s’il y a des crasseux et des lumpens parmi les antifas, nombreux sont ceux à faire partie des couches sociales favorisées.
À propos des arrestations, on ne peut qu’être frappé par leur nombre extrêmement faible au cours des manifestations.
Pourquoi y en a-t-il si peu ?
Je ne vois qu’une réponse à cette question… parce que la police a des consignes pour laisser filer les antifas.
Et s’ils se font néanmoins attraper, les juges rentrent en scène et disent aux policiers qui ont déféré ces individus au parquet : « désolé, mais les preuves ne sont pas assez étayées ». Ils ordonnent donc la remise en liberté de ces casseurs.
Je rappelle à cette occasion que les policiers souhaitent être équipés de paintballs afin de pouvoir marquer les principaux casseurs et pouvoir les arrêter.
Curieusement, cette revendication toute simple n’est pas prise en compte par la hiérarchie.
Osons la question : « À qui profite le crime ? »
Pour moi les choses sont simples : au pouvoir.
Ces milices rendent service à Macron :
- en étant bien utiles pour discréditer les mouvements sociaux, puisque toute manifestation est systématiquement concernée par ces violences.
- en étant bien utiles pour combattre les patriotes défendant leur pays, comme on a pu le constater à Callac, à Saint-Brevin et dans tant d’autres endroits.
Faut-il rappeler, par exemple, qu’à Callac, ces antifas ont attaqué 3 fois les gendarmes à l’occasion de deux contre-manifestations non déclarées et une fois sans prévenir, devant la mairie le jour des vœux du maire ?
Malgré nos interpellations, le procureur n’a jamais jugé utile d’engager des poursuites contre ces antifas ultra violents !
Pour ce qui me concerne, j’ai d’autres questions complémentaires :
- la police ayant de puissants moyens d’identification, on ne me fera pas croire qu’ils ne savent pas qui sont ces antifas. Pourquoi ne les arrêtent-ils pas ?
- pourquoi, puisqu’on les connaît, ne sont-ils pas interdits de manifestation avec obligation de pointer au commissariat chaque heure pendant la durée de la manifestation ?
- Pourquoi lorsqu’ils sont arrêtés n’y a-t-il aucune condamnation avec des peines un tant soit peu dissuasives ?
On notera enfin que la presse des bien-pensants, c’est-à-dire la quasi-totalité des médias, ne condamne jamais ces exactions.
Ils nous parlent toujours de violences imaginaires de l’extrême-droite, comme dernièrement pour l’incendie de la porte de la mairie de Bordeaux. Mais lorsque les coupables ont été arrêtés, on a découvert qu’ils étaient des membres de l’extrême-gauche. Dans un silence assourdissant des médias qui avaient dénoncé sans preuve l’extrême-droite.
Et pour finir, on prendra soin de noter que si la NUPES de Mélenchon n’a pas de mots assez durs pour dénoncer “la police qui tue, blesse et brutalise”, ils n’ont jamais un mot pour dénoncer ces antifas qui font régner la terreur de Sainte-Soline à Paris en passant par Bordeaux, Lyon, Marseille, Nantes, Rennes et une multitude d’autres villes.
La police fait son travail comme elle peut, sans aucun soutien des politiques ni de ses responsables prompts à condamner tel ou tel acte isolé.
Les mêmes ne se posent jamais la question : « dans quel état serais-je si j’avais ramassé pendant tout un après-midi des pavés sur la figure ? ».
Ce parlementaire PS qui a fait l’expérience d’accompagner la police pendant un après-midi le 1er mai, semble en avoir tiré pas mal de leçons.
Il m’étonnerait qu’il soit très conciliant avec la prochaine saillie de Mélenchon et sa NUPES contre la police.
Peut-être cela va-t-il ouvrir les yeux de certains ?
Un accident est vite arrivé… !
Bernard GERMAIN
” La police fait son travail comme elle peut, sans aucun soutien des politiques ni de ses responsables prompts à condamner tel ou tel acte isolé.”
La police devrait déposer “les armes” et tout serait terminé !
Micron se sauverait en hélico et après…à suivre.
Sinon ce sera toujours la même dictature et rien ne stoppera le poudré jusqu’à ce que la France meurt.
On devrait s’unir à eux, au lieu de les combattre, ke pouvoir se trouverait marri et il y aurait un espoir de voir disparaître le perruquée dans un nuage de poudre…
Ne vous énervez pas : l’intersyndicale a promptement réagit pour se désolidariser de ces violences ; prochain rendez-vous contestataire de pacotille : le 6 juin (!) 2023 (nous précisons afin d’éviter tout risque de confusion sur la date avec les prochaines années …) Ce 6 juin sera la veille de l’examen – accrochez-vous à votre chaise, interdiction d’éclater de rire – d’une proposition de loi visant au retrait de la loi de réforme des retraites !!! Nous rappelons qu’il suffit au gouvernement de ne pas inscrire le débat sur une proposition de loi à l’ordre du jour … pour qu’il n’en soit jamais débattu !
Entièrement d’accord avec vous M. Germain. Le Pouvoir est derrière les black-block……. sinon il y a longtemps que ces raclures auraient été éliminées.
Macron s’appuie évidemment sur les fachos anarcho-autonomes pour liquider les syndicats ouvriers, comme chaque 1er mai depuis sa prise de pouvoir.
On se souvient de la tuerie islamiste de Charlie hebdo! Hollande, incapable, incompétent, nuisible, avait gagné 10 points chez les franchouillards!
Ce 1er mai, ils étaient 2000, TOUS connus et arrivés par trains entiers de belgique, hollande, allemagne…
Et le plus de la CIA, ils “organisaient” une “manif” en AVANT la manif, le “pré-cortège”, afin d’empêcher matériellement la manif déclarée d’avancer.
Feux au milieu des rues, agression et tentatives d’assassinats de policiers… que du bon pour le pouvoir en place.
Diversion-provocation, les histoires de cul racontées ou publiés par quelques ministres vont ravir les mémères de plus de 50 ans qui lisent les torchons féminins, mais ils ne feront pas oublier aux Citoyens les dérives dictatoriales jupitériennes.
mais non, le pouvoir prépare et organise les groupes violents qu’il envoie, avec la complicité des dirigeants syndicaux, dans les manifs pour détruire afin que lui, pouvoir, apparaisse comme celui qui maintient l’ordre et la légalité, notions majoritaires en France. Cel a été fait par le pouvoir de l’époque, en 1968….mais on a oublié.
J’attends le jour où un policier ou un gendarme va perdre le contrôle, sortir son arme et dégommer quelques antifas.
De toute manière dès lors qu’il y a chez les black-block une volonté de tuer, il est aberrant que nos forces de l’ordre n’aient pas le droit de riposter à balles réelles
Exactement! Ils ont bien éborgné des gilets jaunes! Désolant de voir la police reculer et se mettre à l’abri devant les attaques au lieu de riposter en légitime défense ! Et après on a droit à un discours de Darmanin alors que c’est lui avec Nunez qui sont responsables du maintien de la l’ordre !!
Entièrement d’accord avec vous
Comme pour les envahisseurs.
on voit bien que les crs ont reçu l’ordre de reculer au lieu de foncer et d’arrêter les casseurs
Les Blacks blocks d’aujourd’hui ne sont que le brigades de Voltigeurs d’hier.