Aux islamo-collabos, il nous faudra rappeler Clemenceau…

Discours de Pascal Hilout, place de la Bourse, le 30 juin 2015.
Hollandevallscazeneuveleche 2Chers amis de la résistance à l’islamisation de la France,
Je regrette de ne pouvoir être parmi vous.
A Riposte Laïque, nous avons toujours écrit que le jihad, sa terreur et les conquêtes que cela facilite,… que tout cela étaient dans l’ADN de l’islam, c’est à dire du Coran et de Mahomet.
Nous savons que Mahomet, le modèle de tout musulman, a bel et bien initié des razzias, pillé, partagé le butin et les esclaves entre ses combattants , dont des femmes et des enfants. Nous constatons que l’Etat islamique et sa cinquième colonne en France, n’inventent rien : ils tranchent des têtes pour mieux tétaniser et terroriser, ils vendent comme esclaves des femmes yazidis, par exemple, pour la simple raison que le Coran et Mahomet, l’islam donc, les y autorise et les y encourage afin de faire triompher la cause d’Allah.
On ne voulait pas nous croire, même si l’Histoire passée et récente témoigne en notre faveur et confirme, chaque jour, que nous disons vrai. Malgré les massacres que nous observons, y compris sur le territoire national, bien des personnes sont encore dans le déni. Il leur est totalement difficile de désigner le Coran et Mahomet, l’islam donc, comme L’IDEOLOGIE qui au fondement-même du jihad armé.
La terreur islamique, par sa sauvagerie, arrive à tétaniser bien du monde autour de nous. Et c’est là que la soumission à l’islam s’insinue dans le comportement de bon nombre de nos compatriotes. La peur les invite à pratiquer la takiya, la fameuse dissimulation. Nos médias, nos politiques et même un certain nombre de nos concitoyens se mettent à ne plus oser regarder la dure réalité en face
Même si aujourd’hui, nous ne sommes pas très nombreux, nous devons être fiers d’être les précurseurs et l’avant-garde. Pas des résistants de la dernière heure. Je tiens à saluer ici les propos très clairs de nos compatriotes élus comme Jacques Myard et Aymeric Chauprade. A l’adresse de la cinquième colonne que nous avons parmi nous, ce dernier a bien précisé ce qui l’attend. Je cite : “…alors on choisit de faire réellement la guerre à la France et on en paie les conséquences, lesquelles sont, par définition en temps de guerre, incertaines et illimitées. Voilà ma réponse pour ceux qui ont fait allégeance à l’ennemi. Les conséquences concrètes sont celles de la guerre ; elles sont par définition, je le répète, incertaines et illimités.” fin de citation.
Aux islamo-collabos il nous faudra rappeler Clemenceau ; tout simplement.
De tout coeur, je suis avec vous.
Pascal Hilout, né Mohamed




Quand donc le Pouvoir se décidera-t-il à terroriser les terroristes ?

PasquaLes musulmans de France souhaitent ne plus entendre parler de la récente décapitation dont un Français vient d’être victime.
Parlons-en au contraire, car il ne s’agit pas d’un acte de barbarie comme un autre, mais d’un signe ostensible annonçant la décapitation prochaine de l’Occident.
Il faut savoir en effet que pour tout musulman qui adhère à la Parole d’Allah, l’Occident est impie, c’est-à-dire irréligieux, et par suite indigne de vivre. La bombe à retardement qui menace la France et l’Europe, via l’immigration musulmane, n’est pas autre chose.
Il y a dans cette barbarie visible une « émotion », comme l’a dit François Hollande. Mais, a-t-il ajouté, « l’émotion ne peut pas être la seule réponse. C’est l’action, la prévention, la dissuasion ».
Ah bon ?
Quelle « prévention » peut-on avoir avec une idéologie criminelle ? Est-ce ainsi que l’on a combattu le nazisme ?
Quelle « dissuasion » quand on nous annonce que l’auteur de l’attentat n’avait aucun casier judiciaire à partir de 2008, alors qu’il avait fait l’objet d’une fiche de renseignement S dès 2006 en raison de sa radicalisation ?
Et quelle « action » ?
En Egypte, les criminels de ce type, aidés par les Frères Musulmans, avaient commencé à mettre en place (et en pratique !) la même politique de terreur. Mais le général Al Sissi – qui voit clair ! – a pris les opérations en mains, faisant exécuter les Frères Musulmans coupables de djihadisme, car l’Egypte n’est pas un pays où l’on remplit les prisons d’assassins (ces derniers devant être nécessairement nourris, quand on ne va pas jusqu’à leur proposer des activités de détente !).
Suite à ce « nettoyage », le Général Al Sissi a donné l’ordre de bombarder les troupes de l’Etat Islamique implantées sur les côtes libyennes.
Résultat : l’Egypte ne subit plus d’attentats terroristes, contrairement à l’Irak, au Koweït ou à la Tunisie.
Cela ne signifie pas que l’Egypte soit définitivement tirée d’affaire en ce domaine, le groupe des Frères Musulmans y étant toujours une menace. Mais cela montre le réalisme politique du Général Al Sissi, et son efficacité dans « l’action ».
On objectera que de telles méthodes sont contraires aux « Droits de l’Homme », et l’on aura raison… du moins en apparence !
En effet, quel sens peuvent avoir les « Droits de l’Homme » pour celui qui tue des innocents, uniquement parce qu’ils ne pensent pas le monde comme le voudrait Allah ?
Les « Droits de l’Homme » ne peuvent avoir de sens que pour des innocents jugés, condamnés, emprisonnés, exilés ou mis à mort, mais pas pour des assassins prêts à tuer n’importe qui, à commencer par tous les mécréants de la terre.
Autant dire que lorsque l’ennemi est capable de décapiter au couteau un innocent pour en exhiber la tête sur un grillage, il n’y a qu’une chose à faire : frapper fort, sans discuter, car on ne discute pas avec l’horreur !
Maurice Vidal




Mort de Charles Pasqua : au revoir, Monsieur…

Charles PASQUA à la réunion publique de soutien à Jean-François COPE à La Garenne-Colombes le 26/02/04 Photo Jean-Christophe MARMARA / Le Figaro
Charles PASQUA à la réunion publique de soutien à Jean-François COPE à La Garenne-Colombes le 26/02/04 Photo Jean-Christophe MARMARA / Le Figaro

Les nuages d’hypocrisie se sont rapidement amoncelés, gonflés d’une pluie d’hommages de circonstance. Le vieux lion est mort, laissant une savane en piteux état. Charles Pasqua n’est plus, disparu à l’aube de ces jours arides.
Pasqua, c’était peut-être un filou à l’accent qui fleurait bon le maquis corse, mais c’était surtout un homme qui avait une haute idée de la France ; idée tombée en désuétude parmi ces élus de tout bord, quelques rares happy few exceptés.
Déjà, à l’annonce de sa mort, Laurent Joffrin s’est précipité sur la dépouille encore chaude du briscard de la politique française. Et quand dans son éditorial[1] post-mortem il l’accuse d’avoir donné « une image bien noire de la politique », c’est qu’il est, soit stupide, soit malhonnête, entre les deux mon cœur balance. Entrer en politique c’est accepter de se salir les mains. Mais Joffrin préfère balayer devant toutes les portes pourvu que ce ne soit pas la sienne !
Pasqua, commodément accusé du meurtre de Malik Oussekine – « l’homme de la mort de Malik Oussekine », écrit Mediapart –, lors des manifestations étudiantes de 1986 – pas si paisibles que la légende le raconte ! –, se donnait pourtant les moyens de défendre son pays. D’où son désir de rapprochement avec le Front national pendant la campagne présidentielle de 1988, dont il partageait un certain nombre de prises de position, notamment la défense de l’identité française et de la sécurité.
Un coupable idéal pour la Gauche, donc.
Souvenons-nous de la grotte d’Ouvéa, où les forces d’assaut furent accueillies par des armes de guerre tandis qu’elles venaient libérer les gendarmes retenus depuis des jours en otages par des indépendantistes kanaks. Il a suffi de parler de crimes perpétrés par les militaires et le tour était joué. On oublia les quatre gendarmes assassinés lors de l’attaque de la gendarmerie et les deux soldats tués pendant l’assaut.
La Gauche connaît parfaitement son Machiavel, Mitterrand en tête, qui dut remercier le destin dans cet entre-deux tours présidentiel. Il sera réélu et l’on taira son double jeu politique durant cette crise. Il avait pourtant donné son accord pour cet assaut, renvoyé à ses responsabilités par Charles Pasqua lui-même. Une fois confortablement réinstallé dans son fauteuil élyséen, il proposera une version édulcorée de sa responsabilité et tout ira pour le mieux en Sociale-lie !
Il y a quelques mois, dans un entretien avec Laurent Delahousse sur France 2, Pasqua montrait encore ses crocs, proposant de rouvrir le bagne de Cayenne et rétablir ainsi les travaux forcés pour les islamistes condamnés sur le sol national : « Qu’on les mette sur une île, qu’on les mette loin […] qu’on rétablisse à Cayenne un centre de détention qui permette d’isoler ces fous furieux. »
Il réagissait à l’inconscience – voire la complaisance – de la Gauche gouvernante face à ce fléau, avec son ton sarcastique, si savoureux quand on y pense : « J’apprends qu’on va regrouper tous les détenus islamistes dangereux au même endroit. Bravo. Et c’est où cet endroit ? C’est sur le sol de la métropole ? Non, ce n’est pas sérieux ! »
On ne pouvait pas demander moins à l’instigateur des premières lois antiterroristes. Qu’importait d’ailleurs que l’on fasse sauter des magasins dans Paris, les lois Pasqua étaient « liberticides », braillaient les apparatchiks « mitterrandolâtres ». Lui n’en avait cure, et en 1987 il fit tomber Action directe, groupe anarcho-communiste ultra violent. A mettre à son crédit ou son discrédit, étant donné que ces agités étaient, à bien y regarder, des cousins éloignés de la Gauche ?
Pasqua, au-delà des affaires – condamné pour certaines d’entre elles, certes ; était-ce le seul ?! –, c’était un destin français.
A quinze ans, ce fils de policier s’engage dans la résistance contre la tyrannie nazie. Plus tard, après des études de droit, il entre chez Ricard, où il gravira les échelons. Parallèlement, ce gaulliste convaincu cofonde le fameux SAC – Service d’action civique –, que la liturgie gauchiste voudrait comparer aux SA ou à la Stasi ! On accuse le SAC, entre autres, d’avoir passé à tabac des manifestants en 1968. Et alors ? Seuls les flics méritaient de recevoir des pavés, des grillages d’arbres, des cocktails Molotov ? La violence de gauche est si belle ! Que le SAC se soit dévoyé par la suite, c’est possible, mais il a été dissout. J’attends toujours pour les fanatiques de l’ultra Gauche !
Enfin, Pasqua c’était un verbe haut, une « faconde », comme ils disent en ce moment. Oui, une faconde digne de Clemenceau et bien entendu De Gaulle, son modèle, pour qui il organisera, avec d’autres, la contre-manifestation du 30 mai 1968.
Charles Pasqua brutal, calculateur, cynique, provocateur, etc., tout ce que vous voudrez, mais avant tout Français. Au revoir, Monsieur…
Charles Demassieux
[1] http://www.liberation.fr/politiques/2015/06/29/pasqua-hautes-ambitions-et-basses-oeuvres_1339796
 




Cambadélis me fait penser à un caïd de quartier

cambadelis-et-sa-cellule-anti-fnCroit-il vraiment à ce qu’il dit, le Premier secrétaire du PS, quand il parle « de rester unis», de « ne pas jouer sur les peurs» et surtout, surtout, de… « pas d’amalgame », pour commenter, avec « grande émotion », l’horreur terroriste d’un assassinat rituel ? Probablement pas, pas plus que quand il annonce 500000 militants au Parti socialiste pour 2017 !
Il occupe le terrain, il gagne du temps, il calmotte les brèches. Comme tous les repus, il pose son derrière de notable sur le couvercle de la marmite pour la tenir en place ; ni plus, ni moins qu’un Jean-Paul Raffarin, qui, lui aussi, assoit son arrière train sénatorial sur le couvercle qui s’agite, mais ne brûle pas encore.
Envoyons les repeupler nos villages qui se meurent, affirme, patelin, ce Raminagrobis de « La France d’en bas », qui aimerait bien que le peuple mange de la brioche et se taise quand il n’a plus de pain : image bucolique d’un village avec ses gamins joyeux qui jouent dehors, ses vieux tranquilles sur le pas de la porte, ses matrones bienveillantes et ses travailleurs robustes. Mais où est donc passée la réalité gênante de la France de la « diversité », avec ses classes moyennes qui fuient les banlieues proches pour les zones rurales où ils espèrent la tranquillité ?
Son insignifiance, j’ai nommé Jean-Yves Jego, y va, lui aussi, de son petit couplet « humaniste » : que  « l’on instaure des quotas de migrants dans  chaque commune », surenchérit l’homme dont l’avis n’intéresse personne ; que nos manants fassent enfin de la place !  Même les Peaux rouges avaient le droit à quelques réserves rien que pour eux, même si l’on y mourrait beaucoup de bien des misères.
« Parle plus bas… »
Le premier secrétaire du PS, lui, ne s’affole pas face à l’histoire qui gronde. Lippe gourmande et œil malin, un tantinet canaille, Christophe Cambadélis, avait déjà à 17 ans, l’air content de lui et dominateur qu’on lui connait aujourd’hui, la soixantaine bien entamée.
Mitterrand, dit-on, qualifiait le Mouvement des Jeunes Socialistes, « d’école du vice », que dire alors des officines trotskystes, dont les cadres, « tout petits déjà », ironiserait Coluche, apprennent, dès le lycée, l’art  du noyautage et de la manipulation ?  La gauche professionnelle, c’est comme la Mafia, une fois rentré, on n’en sort pas.
Cela va faire bientôt cinquante ans que Camba ne fait que de la politique, c’est-à-dire, vit comme un apparatchik de combines d’appareils, de petites magouilles et de coups tordus. Même son diplôme de doctorat, il l’aurait eu grâce à la politique.
On le dit grand stratège du PS, le Talleyrand des courants, des motions et des congrès ; on a les grands hommes que l’on peut et tout est relatif quand François 0 occupe le pouvoir suprême d’un pays qui se rétrécit mortellement.
Lui aussi se donne des postures de grand homme, saisit toutes les occasions exploitables pour se confronter aux symboles  de la grande histoire et se hisser du col… et ressemble à un acteur pitoyable, doté d’une voix hésitante et d’un regard vide, qui ne maîtrise ni son texte, ni l’ampleur du personnage qu’il est censé incarner ; quand ce n’est pas simplement un orage ou une fiente de pigeon qui lui tombent dessus.
Mister Camba, lui, le temps qui passe lui profite. Hâbleur gominé et jovial, il fait penser au caïd de quartier du Parrain 2, qui, exubérant, menaçant et protecteur à la fois, déguste son pouvoir de domination au milieu d’une foule agitée qui le craint. Il ne voit pas, et n’imagine même pas, la présence du jeune loup affamé qui le traque dans l’ombre pour l’éliminer.
Tant que l’orchestre jouera, ils danseront
Cambadélis ne perçoit pas que l’histoire est tragique, et, si oui, il s’en fout. La place est bonne, et tant que « l’orchestre joue, on danse », déclarait, tranquille lui aussi, un patron de Goldman Sachs à la commission d’enquête qui l’interrogeait, après l’effondrement financier de 2008.
Cambadélis, de l’immigration, il en veut, il en redemande. Le peuple ? Connaît pas, tout le monde il est pareil, tout le monde il est interchangeable. Camba, lui, « l’identité française, il ne sait pas ce que c’est », il ne connait que « l’identité républicaine ». République, que de folies l’on commet en ton nom !
La France doit donc se préparer à accueillir tous les clandestins qui veulent venir, c’est « son destin », diraient les Inconnus. Elle se réalise en s’abolissant elle-même dans le grand tout de la diversité humaine, en quelque sorte. Comme le bourdon qui meurt après avoir fécondé la reine, plus elle se dilue, plus elle se perpétue. L’idée que le peuple puisse souffrir, que  les identités se crispent dans ce magma incertain, qu’elles se repoussent et s’affrontent ne traverse pas l’esprit de ce cerveau bien normé.
Ou alors, ce qui est plus probable, son seul problème à lui, c’est de durer, de durer en tant que membre éminent d’un système de pouvoir qui se fait appeler Parti socialiste. Mauvais procès d’un esprit chagrin de « la France moisie », assénerait Soler ; eh bien souvenez-vous de ce que balançait Jospin en son temps : « qu’est-ce que vous voulez que cela me fasse  moi que la France s’islamise ?». Cela ne s’invente pas !
Combien de temps les Français supporteront cette violence qui monte, sans demander des comptes à leurs dirigeants qui n’ont rien voulu voir, ni entendre ?
Dany Boome




Le roman national : bouc émissaire des concepteurs de programmes

BelkacemErnest Lavisse (1842-1922) a ou aurait été l’inventeur de ce « roman national » qui a ou aurait nourri l’enseignement dans les écoles primaires, les collèges, les lycées et jusqu’à l’université. Historien officiel de la IIIe République commençante qui l’a couvert d’honneurs, lui a prodigué la richesse et a fait de lui un des hommes les plus influents de la Belle Epoque, il a occupé une chaire à la Sorbonne, a été élu à Académie française, a dirigé l’Ecole Normale Supérieure, a animé des collections chez des éditeurs scolaires. Jamais historien n’a eu une carrière plus brillante. Comparés à ce géant, Braudel, Duby, Furet, Nora sont des nains. C’est lui qui a réconcilié la République et l’histoire de France et a fait de la République l’aboutissement téléologique de l’Histoire – ce qui n’est pas rien.
Après 1922, ce Deus ex machina de l’histoire erre dans le Royaume des Ombres, car, depuis longtemps, le « roman national », qu’il a ou aurait forgé, a disparu des programmes d’histoire de l’école primaire et de l’enseignement secondaire, même de l’Université… Il faut être né entre 1890 et 1920 pour avoir reçu les rudiments de ce « roman national » ou de ce prétendu roman supposé national. A l’opposé, tous ceux qui ont été élèves après 1945 savent que le « roman » scolaire dont ils ont été gavés n’est pas le « roman national », mais le roman de la République, une épopée, plus qu’un « roman », avec ses heures glorieuses et surtout de funèbres silences sur les massacres de septembre 1792, sur le populicide de l’Ouest de la France, sur les massacres au canon de centaines de manifestants en 1795, sur le régime terroriste de la Convention, sur le vandalisme, sur les guerres contre les peuples de l’Europe (et même au-delà), sur les répressions par l’armée des manifestations de juin 1848, sur les 20.000 ou 30.000 morts d’avril et mai 1871, massacres qui ont affermi la République, sur les manifestations ouvrières réprimées par la « troupe », sur les conquêtes en Afrique, à Madagascar et en Indochine, sur la boucherie de 1914, sur les 19 morts du 6 février 1934, sur le suicide de la République le 17 juin 1940 et la hâte avec laquelle les républicains se sont précipités à Vichy, sur les guerres coloniales, etc. De cette épopée est absente la moindre esquisse de repentance ou de remords.
La conception de l’histoire que Lavisse a imposée est détestable sans doute, non pas à cause du « roman national », mais du « positivisme » et du « moralisme » : des faits certes et surtout des causes et des conséquences, et beaucoup de morale que l’on tire à grands seaux du puits sans fond du passé. Le positivisme consiste à poser que tout a une cause ou des causes, même si le fait retenu est à peine établi ou n’a rien d’un fait. L’histoire devient une chaîne ininterrompue de causalités qui, à force de se répéter, se transforment en tissu d’absurdités. Sur ce point fondamental, c’est l’omerta chez les historiens qui préfèrent fustiger le roman national disparu ou qui n’a peut-être jamais existé, sinon dans les fantasmes des pédagogues et autres sciencieux de l’éducation.
En effet, dans les nouveaux programmes d’enseignement d’histoire, c’est la sociologie qui occupe toute la place. Le nouveau programme de la classe de 5e (ceux de 4e et de 3e aussi) est réparti en trois thèmes : « 1. La Méditerranée, un monde d’échanges, VIIe-VIIIe siècles » ; « 2. Société, église et pouvoir politique dans l’Occident chrétien, IXe-XVe siècles » ; « 3. XVe-XVIIe siècles : nouveaux mondes, nouvelles idées ». Autrement dit, le programme est thématique. D’ailleurs, les mots le plus souvent employés sont « sociétés », évidemment, et toujours au pluriel, et « cultures », jamais au singulier évidemment. Quand le nom « société » est au singulier, il est suivi du mot magique « en mutation » (« La France des années 1960-70 », thème de la classe de 3e). Le programme est achronique, donc antihistorique, mais tout confit en supposées « sciences » de la prétendue « société », c’est-à-dire qu’il est destiné à diffuser l’idéologie sociologique ou socialo-humanitaire. Ce n’est plus un roman ; c’est une fable sociologique, toute en jargon et langue de bois. Chaque thème est décliné en questions : l’une obligatoire, l’autre ou les autres en option. Dans le thème 1, « L’Islam (avec un I majuscule, et non un i minuscule, comme il conviendrait, puisqu’il s’agit de religion) : début, expansion (il n’est pas écrit « conquêtes militaires »), sociétés et cultures » est obligatoire, l’empire byzantin, héritier de l’Antiquité grecque, et l’empire carolingien, dont l’Union Européenne est la continuatrice, étant en option.
Il en va de même du programme des classes de 4e (XVIIe-XIXe siècles). Les « Sociétés et cultures au temps des Lumières » sont en option (les Lumières ne sont qu’un « temps » : autrement dit, elles n’ont qu’un temps, clos évidemment). Est obligatoire « Un monde dominé par l’Europe : empires coloniaux, échanges commerciaux et traites négrières ». Cet exemple illustre le rejet de la chronologie. Une « traite », faut-il le rappeler, est un commerce. Or, le commerce des esclaves n’est que la conséquence d’un phénomène premier. Où est l’étude de l’esclavage ? Nulle part, bien qu’il ait été et soit encore endémique en Afrique et dans les pays d’islam. Des marchands portugais, anglais, français, espagnols, hollandais ont acheté des esclaves sur les côtes de l’Afrique et les ont vendus ailleurs, souvent au-delà des mers. Ces marchands ne sont pas l’Europe, encore moins un des différents pays qui composaient alors l’Europe, et pourtant c’est au débit de l’Europe, seul continent où l’esclavage ait été aboli, et des pays qui la composent qu’est mis ce commerce.
Pourtant si des tribus arabes, des souverains musulmans, des ethnies africaines ne s’étaient pas emparés de millions d’hommes, de femmes, d’enfants (noirs ou blancs) pour les réduire à l’esclavage, la « traite » n’aurait pas existé. Encore n’a-t-elle duré que trois siècles, alors que l’esclavage dure depuis des millénaires. Chronologiquement, il est premier. Il est aussi la cause de tout. Or, seule une des conséquences de ce fait massif est au programme. Soit encore le thème 1 de la classe de 3e : « La Seconde Guerre mondiale : génocide des Juifs et des Tziganes ; déportations et univers concentrationnaires ». La seconde guerre mondiale a duré six longues années ; elle a causé environ 70 millions de morts ; des villes ont été détruites ; y ont participé plus de cent pays, souverains ou non. Or, cet événement majeur, qui a façonné la seconde moitié du XXe siècle, est ramené au génocide des juifs et des tziganes. Chacun se rappelle la saillie de Le Pen, qui n’est pas un historien, sur le « point de détail ». Tout se passe comme si le programme d’histoire devait démentir cette saillie en y opposant une contre-saillie, du type : « la seconde guerre mondiale est un point de détail de la Shoah ». La saillie était stupide. Elle n’a fait que discréditer celui qui a cru faire un mot d’esprit. La contre-saillie est encore plus stupide. La première était le fait d’un individu ; la seconde est assumée par la « République ». La fable sociologique qui sous-tend ces programmes se mue en grosse blague.
La morale, chez Lavisse, suintait dans toutes les pages, la pire des morales, la morale moralisatrice, assénée comme des évidences. Dans le manuel d’histoire de France, destiné aux élèves du cours élémentaires, il est écrit, p. 3, du « Livre premier : les Gaulois, les Romains et les Francs », et en italiques : « Vous ne voudriez pas être des ignorants comme ces petits-là (les enfants des Gaulois). Il vaut mieux être venu au monde en ce temps-ci qu’au temps des Gaulois ». Qu’en savent les auteurs de ce manuel ? Rien, évidemment. Ils font l’éloge de la colonisation romaine, laquelle, on le sait aujourd’hui, s’est faite en massacrant des centaines de milliers de Gaulois « de souche ». Ces pédagogues ne font pas de l’histoire, mais assènent des croyances ou des valeurs. Leur prétendu « roman » est un manuel de formatage des esprits. Tout est de la même eau. Mais les pédagogues qui exercent le pouvoir aujourd’hui à l’Education Nationale ne procèdent pas différemment. Certes, la moraline a changé de consistance : c’est le vivre-ensemble, le brassage des différences, l’arabe partout, la promotion, comme à l’hypermarché, de toutes les cultures du monde, sauf celle de la France millénaire, etc. Lavisse est plus vivant que jamais.
Revenons aux choses sérieuses.
Il est un homme politique qui non seulement a cru à la force du roman national, mais a fondé aussi son action publique, de 1940 à 1969, sur ce même roman. C’est De Gaulle. Né en 1890, il a été formé au cours de ses études par le grand « roman national ». Ses Mémoires de Guerre commencent ainsi : « Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France ». Voilà qui résume son action publique : il a dit non à la demande d’armistice, non au déshonneur, non à la collaboration, non à l’intégration de la France à l’hinterland des Etats-Unis d’Amérique, non à la colonisation. Ce roman national, devenu une réalité de l’histoire, a une autre hauteur, morale, historique, éthique, factuelle, que la repentance infligée à tous les élèves à cause des « heures sombres de notre histoire ». Mais au « roman national » de De Gaulle, les inspecteurs généraux, les fabricants de programmes, les chercheurs de boucs émissaires, les « sciencieux » de l’éducation semblent préférer l’abaissement, le pétainisme, l’islam ou le communisme.
Le nom roman, appliqué à l’histoire, soulève de nombreux problèmes, dont celui de la réalité du fait évoqué ci-dessus. Il est un dernier problème, qu’il convient d’aborder ici. La dénomination « roman national » est sinon méprisante, du moins condescendante. Elle atteste le peu de crédit qu’y accordent les fabricants de programmes et autres historiens bien en cour, en dépit de tout ce que ce « roman » a suscité : le 18 juin 1940, la France Libre, la Libération, la France victorieuse, la fin de la colonisation… Dans les années 1970, François Furet, historien en cour alors, reconnaissait qu’il n’avait que mépris pour la littérature. C’est le point de vue d’un homme qui ne jure que documents, archives, grimoires, manuscrits, mercuriales, quantités, société, etc. Le mépris voué à ce genre littéraire moderne qu’est le roman est au cœur de la question qui nous occupe. Soit les romans écrits au cours des quatre derniers siècles, dont Gargantua et Pantagruel, Don Quichotte, La Princesse de Clèves, Pamela, les romans de Dickens, de Balzac, de Flaubert, de Zola, de Céline, de Houellebecq, etc. Tous ces romans dévoilent le monde réel, révèlent les passions humaines, racontent et expliquent l’histoire qui se fait, et cela avec plus de force, plus de vérité, plus de justesse que les énormes pensums écrits en langue de béton armé. Ce que dévoile le mépris voué au « roman national », c’est le discrédit de l’invention littéraire et, en conséquence, le mépris pour la liberté de l’esprit et le refus de toute latitude laissée aux hommes de se forger un destin.
Le bouc émissaire n’est pas seulement l’animal que, dans les temps archaïques, les hommes sacrifiaient pour purger leurs péchés, fautes ou crimes. Ce peut être un ou des êtres humains (les juifs ont joué cette sinistre fonction à satiété et la jouent encore en France dans ces « quartiers » où certaine population, qu’il ne faut pas nommer de peur qu’elle ne se sente « stigmatisée », ne leur fait pas de quartier). C’est encore une ou des notions, un ou des concepts, une ou des idées, tels que, énumérés au hasard, la finance, les riches, ceux qui, par leur talent ou leur travail, gagnent plus d’un million d’euros par an, une loi ou un ensemble de lois, etc. Il n’est rien en France qui ne puisse pas être transformé en bouc émissaire. C’est à la fois réjouissant, puisque l’absence de discrimination régit la recherche de boucs émissaires, et désespérant, parce qu’un pays dont les « citoyens » passent leur temps à traquer des boucs émissaires, dans l’espoir insensé qu’un bon sacrifice changera leur vie « maintenant », est un pays qui agonise. Le bouc émissaire n’est pas propre aux temps obscurantistes de l’humanité, ni aux heures sombres de notre histoire et les experts en désignation de boucs émissaires ne sont pas nécessairement des bas du front, des mâchoires épaisses, des sans-dents, des crânes rasés ou des QI de 80. L’affaire du « roman national », ce bouc émissaire des profs d’histoire, des sociologues, des pédagogues, des didacticiens et, évidemment, des politiciens prouve que l’on peut être bardé de peaux d’âne et ne vivre que pour casser du bouc émissaire.
Etienne Dolet




Journaleux, cela ne marche plus…

RI7Varenne des journaleux et magistrats du SMDécidément, les reportages fabriqués par les pseudos journaleux qui sévissent dans notre beau pays se suivent et se ressemblent. Un seul mot d’ordre : enfumons la population, presque endormie pendant l’été, car l’automne pourrait être rude. En ce moment le sujet majeur les migrants (clandestins !), Calais, où ils n’ont rien à faire, car justement ils sont clandestins.
Ce que j’ai remarqué, hier, sur cette boîte à intox qu’est, entre autre, BFM TV, c’est le ton du reportage sur ces fameux migrants.
Une “journaliste” interrogeait un “pov migrant”, celui-ci s’exprimait en anglais, les questions étaient basiques : “Pourquoi êtes vous partis de chez vous ? D’où venez-vous ?, etc…” J’avais l’impression d’assister à une mise en scène assez bien élaborée d’ailleurs. Comme il avait l’air doux et sympathique ce monsieur ! Loin de moi l’idée d’affirmer que tous les migrants sont de dangereux psychopathes islamisés prêts à en découdre non ! Ceci étant j’avais envie de demander comment s’était passée la répétition. J’imaginais quelque chose du genre : “alors attention, tu vas passer à la télé française, donc tu dois faire pleurer, tu as remarqué les gens ne veulent pas de vous, donc nous on est là pour leur faire comprendre que vous êtes malheureux et que vous devez rester ici ou qu’on vous aide à passer en Angleterre et de préférence, pendant qu’on y est, vous donner de l’argent pour vous y aider”.
Au risque de passer pour une sans-coeur, et en cela je rejoins une énorme majorité de mes concitoyens, et de certaines élites, nous devons le dire par honnêteté, les pouvoirs publics doivent trouver très rapidement des mesures afin d’empêcher cet énorme flux migratoire. J’ai également remarqué, que sur les photos des bâteaux de migrants repêchés au large de Lampedusa ou autres, ceux-ci n’étaient remplis que d’hommes, en revanche à chaque reportage on nous met sous le nez des femmes portant naturellement de tous petits enfants dans leur bras, bien devant les caméras.
Mesdames et Messieurs les journaleux aux ordres, vous pouvez faire tout ce que vous voulez, vos manipulations ne marchent plus. Vos journaux surtout ceux de gôôche ne se vendent plus. Et je propose à la donzelle Verduzier de changer de métier car si elle reste sur la ligne adoptée elle sera bientôt à chômage. Quant à Joffrin/Mouchard, je lui suggère de suivre des études de théologie la prochaine fois qu’il voudra commettre un article sur les religions (je tiens à lui préciser au passage que l’islam n’est pas une religion c’est un “machin” ..). Tremblez Mesdames et Messieurs, cité(e)s ci-dessus, les autres aussi, votre propagande n’a que trop duré, et elle touche à sa fin. Mais ne pensez pas que vous passerez à l’aise au travers du cercle de feu. Des questions vous seront posées. Préparez bien vos réponses. Elles seront déterminantes pour vous et vos affidés.
Alexandra DOUGARY




Najat Vallaud-Belkacem bientôt professeur en Suisse romande ?

théorie du genre

Les « Etudes genre » font florès dans les Universités romandes !

Comme membre de la Faculté des sciences de la société de l’université de Genève, je reçois régulièrement divers courriers d’information générale.
Le dernier mail a retenu toute mon attention. Il s’agit de la mise au concours d’un poste de : « professeur-e-associé-e-ou professeur-e-assistant-e en PTC en Etudes genre » par la Faculté des Sciences sociales et politiques de l’Université de Lausanne, Centre en études genre  LIEGE, Interfaculty Platform in Gender Studies at the Université of Lausanne(PlaGE) ».
Tout un programme ! Et ce n’est pas terminé : parmi les cours à donner il y en a un sur : « l’introduction aux études genres 2h/année et un enseignement « Pouvoir, genre et inégalités  2h/ année.
« Le titulaire développera ses propres travaux… avec un intérêt pour l’approche en termes d’intersectionnalité… ».
Une nouvelle approche révolutionnaire?
On apprend aussi que l’UNIL possède une  « Plateforme interfacultaire en études genre » (sans s cette fois).
ThéorieGenreUNIL_SuisUniqueenMonGenreOn apprend par la même occasion l’existence d’un véritable Centre en la matière et donc une véritable Plateforme interfacultaire  axée sur l’intersectionnalité. Combien de personnes ? Quel coût ? Peut-on avoir des données à ce propos ?
Je suis très honoré d’avoir également reçu cette mise au concours mais ne pense pas que nous pourrons proposer une candidate parmi nos contributeurs et visiteurs, étant donné nos critiques sévères et répétées de ces Etudes genre, parfois Théorie du genre.
Nous y avons consacré une bonne douzaine d’articles ; pour les retrouver sur notre site, il suffit de taper : Etudes genre ou Théorie du genre.
L’existence d’un véritable Centre et d’une Plateforme interfacultaire peut surprendre par son ampleur, cela d’autant plus que d’autres universités internationales et reconnues ont carrément supprimé ces « Etudes genre » après avoir constaté les effets désastreux de certaines thèses émises, thèses qui ont même été infirmées par des travaux de recherches approfondis et dont nous avons également parlé sur notre site (il existe même un film très bien fait sur le sujet, lui aussi reproduit sur notre site).
Faut-il  en déduire qu’en province ont a tendance à courir après les modes avec un certain retard ? Voire quand elles sont carrément passées ?
Il est vrai que ces Etudes genre bénéficient d’un soutien et d’un lobbying très actifs et massifs des mouvements LGBT.
Nous faisons certainement preuve « d’esprit réactionnaire ».
Mais il y a mieux encore. Une Université suisse vient d’octroyer le titre de docteur (e ?) honoris causa à Judith Butler, l’une des plus « fameuses » théoriciennes de la Théorie du genre. Devinez laquelle ? Vous ne le croirez pas : l’Université dite catholique de Fribourg, donc en principe particulièrement attachée à la famille dans un sens plus traditionnel.
Mais voyons ! Les temps changent, toute association de deux ou plusieurs personnes peut être considérée comme une famille et a droit au mariage. Dans certains pays on peut déjà marier jusqu’à 3 ou 4 personnes ensemble. Décidément on n’arrête pas le progrès.
Les « réactionnaires » avec leurs oppositions dépassées sont vraiment insupportables.
Il est vrai que l’on fait fort dans les Universités romandes : l’Université de Neuchâtel a réussi un autre tour de force : engager comme professeur  l’ancien ministre français de l’éducation Vincent Peillon. Pour enseigner quoi et où ? La démocratie, et svp en Suisse !  Lui aussi voulait séparer au plus vite les enfants de leur famille afin d’en faire, dès le biberon ?, de vrais « républicains ».
En journalisme, la même Université de Neuchâtel, UNINE, invite aussi régulièrement le journaliste trotskiste Edwy Plenel pour former les étudiants en journalisme. Sans doute parce qu’ils ne sont pas encore assez à gauche.
Une suggestion : ces deux universités pourraient se mettre ensemble pour inviter également comme future professeure la ministre française actuelle de l’éducation Najat Vallaud-Belkacem, elle aussi adepte de la théorie du genre, mais, qui, dit-elle, de façon mensongère, n’existe pas alors qu’elle impose déjà son application dans certaines écoles « expérimentales ». Cette  ministre finira bien par être « libérée » du gouvernement socialiste tant elle participe à la destruction de l’éducation (même les professeurs de gauche descendent dans la rue, révoltés qu’ils sont par ses « réformes ») et donc de la famille traditionnelle. Et la générosité de la Suisse en matière d’asile est connue. Sa nomination ne devrait pas être trop compliquée.
Ces deux universités pourraient déjà lui chauffer la place et penser à un titre pour une future Plateforme d’intersectionnalité révolutionnaire sur la famille, le genre, la démocratie et le journalisme, et réunir ainsi tous ces fameux invités dans une même Unité interuniversitaire de l’intersectionnalité genrée, en formation continue par exemple. Cela aurait de l’allure et un succès garanti grâce à un appui assuré et inconditionnel des médias.
Ce n’est qu’une suggestion. Car faite par un réactionnaire, elle n’a évidemment aucune chance d’être acceptée. Pourtant cela ferait un tabac et les moyens financiers engagés en vaudraient largement la peine. Ne soyons pas toujours pingres et mesquins. La nouveauté et l’innovation, surtout lorsqu’on y ajoute l’intersectionnalité, cela a un coût.
Je vais quand même faire une recherche afin de voir si un groupe de personnes parmi nos contributeurs ne voudraient pas réfléchir à une Plateforme concurrente, ayant une orientation totalement opposée puisque les « genrés » sont encore très minoritaires à côté des deux sexes biologiques traditionnels et qu’il est connu que l’université est par définition pluraliste et adore la confrontation des idées avec intersectionnalité à l’appui, genrée ou non.
 
Uli Windisch, 29 juin 2015
 
Ci-dessous le texte, tel que reçu par mail, de la mise au concours de ce poste déterminant pour un avenir progressiste, genré et riches en « avancées » de nos sociétés.
.
De: Eléonore Lépinard <[email protected]>
À: [email protected]” <[email protected]>
Objet: Pour diffusion – poste professeur.e en études genre + migration Université de Lausanne
Date: 26 juin 2015 17:07:51 UTC+2
Bonjour,
Merci de bien vouloir diffuser l’annonce suivante (English below) :
 
La Faculté des Sciences Sociales et Politiques de l’Université de Lausanne met au concours un poste de

PROFESSEUR-E ASSOCIÉ-E ou PROFESSEUR-E ASSISTANT-E EN PTC EN ÉTUDES GENRE

 

Entrée en fonction: 01.08.2016
Durée du contrat: Professeur associé : 6 ans renouvelable. Professeur assistant en PTC : 2 ans renouvelable 2 fois.
Taux d’activité: 100
Lieu de travail: Université de Lausanne, bâtiment Géopolis, Lausanne
Référence: Offre n°3632
Annonce du: 22.06.2015
Offre parue en: Français, English

 

Description des tâches

Enseignement
Il s’agira d’assurer 6 heures hebdomadaires par an (168 heures) d’enseignement :
– un enseignement de type cours de niveau bachelor sur l’introduction aux études genres, 2h/année
– un enseignement de niveau bachelor à déterminer, 2h/année
– un enseignement de master « Pouvoir, genre et inégalités », 2h/année
Les enseignements décrits peuvent changer en fonction des plans d’études.
Le/la titulaire encadrera des travaux, des mémoires et des thèses à tous les niveaux du cursus.
Recherche
Le titulaire développera ses propres travaux de recherche dans le domaine de spécialisation du poste, avec un intérêt pour l’approche en termes d’intersectionnalité et, si possible, pour l’analyse d’enquête.
Elle/il devra être capable de s’intégrer au sein de l’Institut des sciences sociales (ISS), du Centre en études genre LIEGE (CEG LIEGE ) (http://www.unil.ch/liege/home.html ) et participera au développement de la Plateforme interfacultaire en études genre de l’Unil (PlaGE) (http://www.unil.ch/plage/home.html).

Profil souhaité

Domaine de spécialisation : MIGRATION, MOBILITÉ, ETHNICITÉ, INTERSECTIONNALITÉ OU NATIONALITÉ
– Doctorat en sociologie ou en sciences sociales ou un titre jugé équivalent
– Expérience d’enseignement universitaire dans le domaine des études genre
– Recherches attestées et publications de niveau international dans le domaine des études genre démontrant un intérêt pour l’analyse d’enquête.
– Bonnes compétences en méthodes quantitatives et/ou qualitatives
– Une approche d’intersectionnalité serait un atout
– Bonne insertion dans les réseaux internationaux

Dossier de candidature

Les personnes intéressées sont priées de nous faire parvenir par courriel en format pdf à l’adresse [email protected] un dossier contenant : lettre de motivation, curriculum vitae, copie des diplômes et titres, une liste des publications ainsi que cinq publications principales en format pdf.
Seules les candidatures envoyées par ce biais seront prises en compte.

Remarques

Soucieuse de promouvoir une représentation équitable des femmes et des hommes parmi son personnel, l’Université encourage des candidatures féminines.
 

Délai de candidature

Candidatures jusqu’au: 31.08.2015

Personnes de contact

Prof.
Nicky Le Feuvre [email protected]

Références

Centre en études genre LIEGE
http://www.unil.ch/liege/home.html
Interfaculty Platform in Gender Studies at the University of Lausanne (PlaGE)
http://www.unil.ch/plage/home.html
 
FOR A FULL DESCRIPTION OF THE JOB and attached documents:
https://applicationsinter.unil.ch/inter/noauth/php/Po/pooffres.php?poid=3632&langage=37
 
 
ENGLISH:
 
Please circulate widely.
 
The Faculty of Social and political sciences of the University of Lausanne announces an assistant (tenure-track) or associate professor position in gender studies, with a strong interest in migration/ethnicity/nationality and intersectionality.
 
 
Teaching
It will be necessary to assure 6 weekly hours of teaching per year (168 hours):
– one bachelor level course on the introduction to gender studies , 2hr per year
– one bachelor level course to be determined, 2hr per year
– one master level course titled « Power, gender and inequalities », 2hr per year
Teaching may change according to study programs.
The incumbent will supervise projects, theses and dissertations for all levels.
Research
The selected candidate will develop his/her own studies in the specialised domain of the post, with an interest in the intersectionality approach, and if possible, that of inquiry analysis as well.
He/she will be able to integrate into the core of the Social Sciences Institute (ISS), the Centre of Gender Studies LIEGE (CEG LIEGE ) (http://www.unil.ch/liege/home.html) and will participate in the development of the Interfaculty Platform in Gender Studies at the University of Lausaunne (PlaGE) (http://www.unil.ch/plage/home.html).

Profil souhaité

Field of specialisation: MIGRATION, MOBILITY, ETHNICITY, INTERSECTIONALITY OR NATIONALITY
– Doctorate degree in sociology or in social science or equivalent
– University teaching experience in the field of gender studies
– Recognised research and internationally published articles in the field of gender studies demonstrating an interest in inquiry analysis
– Good mastery of quantitative and/or qualitative methods
– An intersectionality approach will be an asset
– Well established in international networks

Dossier de candidature

Interested candidates are kindly requested to submit via email a letter of application, curriculum vitae, copies of degrees, a list of publications and the five most significant publications in pdf format to: [email protected].
Only applications received in the above manner will be considered.

Remarques

Seeking to promote an equitable representation of men and women among its staff, the University encourages applications from women.
 

Délai de candidature

Candidatures jusqu’au: 31.08.2015

Personnes de contact

Prof.
Nicky Le Feuvre [email protected]

Références

Centre en études genre LIEGE
http://www.unil.ch/liege/home.html
Interfaculty Platform in Gender Studies at the University of Lausanne (PlaGE)
http://www.unil.ch/plage/home.html
 
FOR A FULL DESCRIPTION OF THE JOB and attached documents:
https://applicationsinter.unil.ch/inter/noauth/php/Po/pooffres.php?poid=3632&langage=37
 
 
 
 
 




Socialisme et Barbarie : nous avons les deux !

CazeneuvevallshollandeEn 1948, Cornelius Castoriadis et Claude Lefort créaient Socialisme ou Barbarie.
Aujourd’hui, nous avons en France, Socialisme ET Barbarie.
Je passerai sur la barbarie qu’est l’édification d’un plug anal place Vendôme et d’un vagin de la Reine dans les jardins du château de Versailles, barbarie d’une dimension analogue à celle commis par l’Etat islamique dans le musée de Mossoul et dans les ruines de Palmyre.
Ce n’est pas la première fois que l’humanité plonge dans la nuit barbare. Mais nous ne sommes pas des historiens ou des archéologues examinant les restes d’une civilisation disparue, nous sommes au cœur du désastre. Il a lieu ici et maintenant. Nous en faisons partie.
Nous n’en sommes pour l’instant que les figurants, hypnotisés par le regard de Cazeneuve, somnolant sous les phrases vides de Hollande, inertes dans les filets des paroles de Valls.
La face de notre monde est en train de changer sous les coups de boutoir de l’islam et nous demeurons les bras ballants, en état de sidération.
Sans les combattre, nous laissons les socialistes nous faire la leçon sur le vivre-ensemble, sur le pas d’amalgame, pas de stigmatisation, alors qu’une religion de haine de l’autre, de djihad, de décapitations prônés par son « prophète » dans un livre médiocre tente avec efficacité de nous soumettre. Nous laissons un Hollande nous servir un discours ridicule sur la protection… des sites sensibles pour trois jours autour de Lyon sans lui cracher à la figure.
Socialisme et Barbarie, c’est toute l’histoire du XXe siècle et de ce début de XXIe siècle. Depuis le National-socialisme, Mitterrand à Vichy, l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques, Mao et son socialisme, jusqu’à la mainmise musulmane sur notre société. Socialisme et Barbarie, c’est refuser le mot « islam » pour dire l’horreur des massacres de Sousse, Kobané, Saint-Quentin-Fallavier. C’est regarder Cazeneuve serrer la main des migrants musulmans pendant qu’un Français de souche, dépouillé de son emploi, est repoussé par les organismes d’aides sociales et menacé de perdre son bébé s’il continue de protester.
Socialisme et Barbarie a le visage de Valls menaçant Marion Maréchal-Le Pen à l’Assemble nationale, faisant gazer la Manif pour tous, vomissant sur des écrivains comme Houellebecq, Zemmour, Onfray, affichant une fausse lucidité pour nous dire que nous devons nous habituer à trouver des têtes accrochées aux grillages des usines et des parcs, à voir des 4×4 faucher des piétons les samedis après-midi dans nos centres villes, à recevoir des balles de Kalachnikov sur les plages, dans les musées, durant les bals du 14 juillet et sur la route du Tour de France.
Socialisme et Barbarie, c’est avouer l’impuissance de l’Etat parce qu’on préfère demeurer inerte plutôt qu’agir contre la racine du mal et dans le même temps se féliciter de la fin des contrôles aux faciès ; c’est détourner les yeux devant le déferlement des envahisseurs sur nos littoraux et pourchasser les intellectuels lucides devant les tribunaux ; c’est ordonner à chaque village d’accueillir des immigrés illégaux et laisser Boubakeur exprimer le désir de transformer les églises en mosquées.
Socialisme et Barbarie, c’est ne pas nommer l’islam et sa barbarie, c’est refuser la réalité de la guerre que nous mènent les musulmans parce qu’au fond de soi on les comprend, on les encourage parfois (en leur livrant des armes comme en Syrie, en ne sanctionnant pas le port du niqab, en tentant de faire une loi qui permettra aux étrangers de voter…) ; c’est vouloir nous faire payer nos « pêchés » de Blancs, catholiques, laïcs, qui refusent la viande halal dans les cantines, les horaires séparés dans les épiceries et les piscines, nos critiques contre Taubira la laxiste, Pellerin la non-liseuse, Belkacem et son « Inch Allah ».
Socialisme et Barbarie, c’est Delanoë, Lang, Mitterrand s’affichant avec un « Tunisie, Moi j’y vais » pour nous envoyer nous faire massacrer au musée du Bardo ou sur une plage de Sousse parce qu’ils savent bien que le gouvernement tunisien est incapable d’assurer la sécurité des touristes depuis la chute de Ben Ali. Autant promouvoir, des circuits touristiques en Irak et en Afghanistan.
Socialisme et Barbarie, c’est le mensonge du « Il faut rappeler que les premières victimes de l’islamisme sont les musulmans ».
Comme le patron de Salhi, comme Aurélie Châtelain tuée par Sid Ahmed Glam, comme la rédaction de Charlie Hebdo, comme les clients de l’Hyper Cacher ? Et dans le même temps, combien de musulmans ont été poignardés, décapités, fauchés en France ?
Non, les premières et seules victimes de l’islam dans notre pays sont les Français.
Socialisme et Barbarie, Vivre Ensemble et islam, politique libérale et réformes punitives, sont les deux faces de la même pièce de monnaie.
Marcus Graven




Comment on a récupéré les migrants de Somalie, du Soudan et d’Erythrée

cazeneuve-dans-ses-oeuvresSavez-vous pourquoi, de plus en plus de personnes d’Erythrée, de Somalie, et du Soudan veulent venir en France alors que la France n’a jamais eu de liens coloniaux avec ces pays, et qu’il n’y a donc aucun lien de repentance à la con ?
Et bien c’est pour une raison encore plus con.
Souvenez-vous, il y a quelques années, des pirates somaliens avaient détourné un bateau de croisière, le Ponant.
Un commando de l’armée française était intervenu et avait attrapé les pirates.
On peut évidemment estimer que pour les dénicher, il a fallu des sources humaines, électroniques et un vrai travail de piste pour attraper ces bandits.
Nos soldats ont donc fait leur travail avec courage et efficacité, et…erreur fatale, ces pirates ont été ramenés en France…(alors que je ne suis pas totalement certain, que leur disparition aurait choqué beaucoup de monde….).
Et en France, une flopée d’associations subventionnées et leurs avocats droits de l’hommistes se sont précipités pour leur dire « les pauvres, c’est pas juste, vous êtes des victimes, les militaires français n’avaient pas le droit de faire ça etc. on va vous défendre et vous faire retrouver vos droits ! », c’est-à-dire le droit à la dignité d’un pirate (Oui ça existe. C’est la France qui l’a inventé.)
Il y a donc eu procès, et tous ces gentils pirates ont tellement pleuré à la barre du tribunal, en disant dans leur dialecte « je vous jure madame le Président, que je respecte beaucoup, avec respect et condoléance, c’y pas moi, j’y suis qu’un gentil pêcheur, qui ramène un tout ptit peu de poisson pour les quatre femmes et mes 17 enfants. Inch allah. J’y rien fait de mal, j’y souis quelqu’un de simple qui vit avec de l’amour pour sa famille devant Allah. J’y rien fait de mal, j te l’y jure, c’y pas mois. ».
Et ces gentils pirates, ils avaient l’air tellement gentils, que le gentil juge, il a été ému, et il les a libérés, en disant à ces butors de commandos français (ah les saligots !), « mais ces pauvres pêcheurs, vous les avez ramené de force pour rien !!!
Il faut absolument qu’on les indemnise, c’est une question de justice : une question de droits de l’homme. C’est une question de dignité.
C’est ainsi que ces braves pirates, qui ne réclamaient que 455 000 euros en ont quand même obtenus 90 000 euros au titre du préjudice moral, attesté par les plus grands savants, et aimablement payés avec le sourire par le contribuable français, qui est content d’avoir fait son devoir, et qui est fier que sa réputation soit sans tache.
http://www.20minutes.fr/societe/1036006-20121105-90000-euros-indemnites-acquittes-ponant
Et ces trois gentils pirates, quand ils sont rentrés à la maison, avec tout cet argent, vous vous rendez compte, de ce qu’on peut faire de cette somme en Somalie ? En Erythrée, au Soudan ou il n’y a ni impôt sur la fortune, ni ISF, ni Urssaf ? ils sont rentrés comme des héros la tête haute et riches comme Crésus !
Tout le village leur a dit : « non ! C’est pas vrai ! Ça existe des gens aussi cons !? »
Et ils ont répondu, « j’te jure, c’est la France, c’est comme ça là-bas…tu dis que t’es pas d’accord, qu’ils sont méchants et ils te donnent de l’argent. Allah m’a écouté, Allah est grand, il leur a fait peur ! »
Et c’est ainsi, que cette histoire est devenue une légende grâce à radio tam tam, et qu’aujourd’hui, tous les gentils Erythréens, Soudanais et Somaliens ne veulent plus être pirates, ils veulent venir en France pour réclamer leurs dû, et nous punir d’avoir été aussi méchant dans la vie depuis qu’on est né.
Malheureusement, Air France n’assure plus la liaison avec la Somalie. On n’a donc pas pu leur payer le voyage et ils ont dû prendre le bateau.
Ils ont donc commencé à débarquer dans le sud de l’Italie en mettant un peu d’ambiance, pour fêter leur arrivée.

https://www.youtube.com/watch?v=jm48QEigkko&feature=youtu.be
Rassurez-vous, ils arrivent, et je suis sûr qu’en France, bientôt, nous allons beaucoup nous amuser aussi.
Ils pourront compter sur le soutien de tous nos discriminés des banlieues (qu’il n’y a pas en Italie du Sud) pour leur prêter main forte dans leur demande de réparation et de justice.
Maitre Tubiana aurait déjà déclaré, que les plaintes sont prêtes. Nous voilà rassurés.
Albert Nollet




Mes coreligionnaires musulmans me font peur pendant le ramadan…



La deuxième victime est évidemment le non-musulman, dans le cas de la France, nous parlons donc des Français, non-musulmans.






Fares Karim
(nom emprunté), musulman de 34 ans vivant en France . Entrepreneur dans le domaine du commerce.