Macron, c’est la négation de la politique et l’oppression fiscaliste

La négation spontanée de la politique par Macron et son manque de réflexion ne sont pas seulement la cause de l’oppression fiscaliste de ceux qui ne sont rien, mais aussi la cause idéologique incompétente de toutes les oppressions socialistes LREM-UMPS. La nouvelle théologie socialiste LREM-UMPS réchauffiste est la justification de l’oppression fiscaliste pour financer le mysticisme immigrationniste africain de Macron.

La négation de la politique et l’oppression fiscaliste du peuple par Macron, en France et en histoire, est la condition préalable de la contestation du peuple. Tout commence par une abolition de la retenue et du sens commun. La contestation du peuple s’appuie sur la dénonciation radicale de tous les abus de la fiscalité immigrationniste africaine de Macron, comme il est clair que toute la fiscalité écolo-gauchiste nouvelle repose sur l’insuffisance avérée de toute preuve pour justifier les subventions attribuées à la machination réchauffiste du GIEC. “Macron, que tu ressembles à ton père, Hollande-UBU et sa pompe à Phynances, mais en pire !”

Après que Macron a renoncé à toute vraie réforme, il veut transformer le corps humain en machine selon l’idéologie LGBT pour la GPA-PMA. Nul ne connaît l’inventeur des premiers mensonges LGBT sur le droit anarcho-libertaire à la GPA-PMA. On les discerne uniformément, surtout depuis Hussein Obama, chez toutes les nations du globe. Mais cette idéologie LGBT ne se rencontre plus dans les organes des pays et dans les nations de l’est de l’Europe contre l’UE en déclin. Le doigt de Dieu, pour aider Macron, n’est plus là !

C’est comme pour le réchauffisme mensonger, on connaît le nom de ses inventeurs, le GIEC, pour la première expérience mythique de domination du monde par l’idéologie écolo-libertaire planétaire. Il y a fallu le secours de la fausse science joint à une longue pratique de l’industrie du mensonge des médias collabos.

C’est ainsi que naissent et se développent les idées écolo-gauchistes qui servent à la domination du genre humain. Les principales idées écolo-gauchistes sont fournies par les anarcho-libertaires, dont la priorité revendiquée ne peut être que la révolution socialo-gauchiste du monde entier par le mythe écolo-réchauffiste libertaire. Mais vient le jour où ces données faussement scientifiques sont contestées par le sens commun et ne suffisent plus à la domination de l’idéologie socialo-gauchiste sur la vie collective du genre humain.

C’est alors que le seul raisonnement éclairé des peuples, qui constate d’une manière véridique cette domination faussement scientifique, peut alors la remplacer. Toutes les tendances politiques dans le monde ont produit et organisé en elles-mêmes, avec le secours de l’idéologie, les idées d’autorité, de gouvernement, sans devoir faire référence à la justice. À présent que ces idées écolo-réchauffistes libertaires faiblissent, du fait d’une analyse méthodique de la vérité officielle des mensonges du GIEC, on a constaté, devant la société et devant la raison, l’insuffisance de la propagande réchauffiste et de la pseudo-science du GIEC.

Il s’agit de savoir comment les climato-septiques suppléerons à ces mensonges du GIEC. Le temps n’est plus où les médias de propagande dominaient par une mise en scène de l’actualité et où la raison des masses devait, par conséquent, se soumettre. La mouvement des masses a amené, en politique comme en tout le reste, le refus de toutes les formes de l’oppression réchauffiste pour la rétrogradation et la décadence.

Thierry Michaud-Nérard




Où étaient les forces de l’ordre quand les voyous pillaient nos magasins ?

« Aucune cause ne justifie que les forces de l’ordre soient attaquées », avez-vous déclaré, M. le président de la République, depuis l’Argentine. Fort bien, mais avez-vous songé que vous ne seriez pas à votre place si les forces de l’ordre n’avaient pas été attaquées en 1789 et si Versailles n’avait pas été souillé pour renverser la monarchie et instaurer la République.

Les « Gilets jaunes » sont tombés dans l’embuscade tendue par le ministre de l’Intérieur, ils ne devaient en aucun cas se rassembler sur les « Champs-Élysées », c’était spectaculaire mais inutile.

Il ne faut pas qu’ils se trompent d’objectif.

Les commerçants, les grandes surfaces, les centres commerciaux ne sont pas leurs ennemis. Leurs ennemis, ce sont le président de la République, le gouvernement, les ministres, les députés qui ne les représentent plus mais sont aux ordres d’un parti.

Tout sera entrepris pour que leur objectif tout à fait légitime soit défiguré, ils ne tarderont pas à le constater dès les prochains sondages d’opinion : 75 % de la population les soutenaient et ce pourcentage diminuera dans les prochains jours.

C’est l’objectif du gouvernement et du chef de l’État.

Des bandes de voyous ont saccagé et pillé des boutiques rue de Rivoli, où étaient les forces de l’ordre ?

Des bandes de voyous ont saccagé et pillé des commerces avenue de la Grande Armée, où étaient les forces de l’ordre ?

Un peu partout dans les grandes villes, les voyous ont pu, en toute liberté et en toute impunité, détruire et piller, où étaient les forces de l’ordre ?

Occupées à repousser violemment des Gilets jaunes pacifiques manipulés par des casseurs professionnels, les mêmes qui apparaissent à chaque nouvelle manifestation, lors de chaque rassemblement, à Paris, à Marseille, à Toulouse, à Lyon, à Rennes, à Nantes et, à présent, même à Bordeaux, etc.

« Gilets jaunes », ne tombez pas dans de tels guets-apens destinés à vous décrédibiliser, à décrédibiliser vos revendications légitimes, ne vous laissez pas manipuler par des politiciens.

Vos actions régionales sont bien davantage gênantes et vos objectifs doivent être ciblés, ne vous égarez pas dans des manifestations, dans des rassemblements de masse qui, tôt ou tard, peuvent aboutir à un « clash ».

Nous l’avons payé assez cher le 26 mars 1962, rue d’Isly à Alger, pour en témoigner.

Tous les moyens seront envisagés pour vous provoquer, vous disperser, vous désunir et détourner la population qui vous soutient ouvertement.

Nous sommes à vos côtés dans vos régions, là ou vous vivez, pas à Paris, sur les « Champs ».

Vous obtiendrez satisfaction si vous persévérez dans des conditions identiques à celles qui ont marqué le début de votre mouvement. Comptez sur les réseaux sociaux, ils vous soutiennent, ils vous représentent. Prenez garde aux professionnels de la politique et à certains syndicats qui espèrent se relancer grâce à votre mouvement spontané.

Vous pouvez compter sur nous.

Manuel Gomez




Toulouse : union sacrée avec les gauchos pour renverser le pouvoir…

Vendredi soir reprise du péage de M uret.

Le péage de Muret est particulièrement symbolique, à l’entrée sud de Toulouse, d’abord parce que c’est un insupportable octroi urbain que doivent payer tous ceux qui veulent entrer en ville depuis les campagnes des vallées de la Garonne (3,60 euros – 24 francs – un véritable racket au profit de Vinci).
Ensuite, parce que c’est par là que passe tout le trafic international en provenance du Portugal et du nord et de l’est de l’Espagne vers l’Europe centrale et du Nord.

Le péage avait été libéré la veille par la gendarmerie à un moment de moindre vigilance des Gilets jaunes, l’octroi était rétabli, il fallait donc impérativement le reprendre au plus vite.
Il faut signaler que pour éviter que le péage soit repris, Vinci avait barré les parkings latéraux afin qu’on ne puisse plus y garer nos véhicules pendant notre temps de présence et d’occupation. Méchante mesure mesquine et vexatoire qui ne fit que renforcer notre détermination.

Donc, en retour immédiat : réunion nocturne secrète d’une centaine de personnes sur un parking, organisée par le bouche à oreille, repérage d’autres voies d’accès par les champs et décision d’une opération commando à une centaine pour reprendre le péage le vendredi soir à 22 heures.

Ce qui fut dit fut fait. Nous nous retrouvions donc à une centaine à l’heure dite, en rase campagne, à quelques encablures de notre objectif. Des hommes, des femmes, des jeunes, des plus âgés, des ruraux, des rurbains, des étudiants, des chômeurs, des artisans, des retraités, des employés, des cadres, bref, la France périphérique en colère, tenue commando et chaussures de crapahut de rigueur.

Et voila que tous ensemble, telle une troupe aguerrie, nous nous dirigions en colonne, en silence et sans lumière à travers les hautes herbes humides, la boue et les fossés vers notre objectif. Grande solidarité au moment des passages délicats, les plus agiles aidant les moins mobiles à franchir les obstacles, grillages, murs, fossés profonds et levées de terre abruptes.
Arrivés au dernier grillage, nous nous regroupions dans l’ombre et dans le plus grand silence.

D’un bond et comme un seul homme nous franchissions le dernier obstacle, puis ce fut le rush. En moins d’une minute nous avions investi les deux côtés de l’autoroute, en moins de 5 minutes nous avions approvisionné les gros plots rouges et blancs prélevés sur le stock de Vinci pour fermer et baliser le passage, levé les barrières et repris possession de l’ouvrage. Il est à remarquer que les femme ont été encore plus vaillantes que les hommes.

Le péage était repris, nous le tenions, cela fut fait sans recours aux pages Facebook surveillées, simplement par le bouche à oreille. Nous étions là, quelques militants et proches de la Ligue du Midi à la manœuvre avec les autres.

Ce n’est qu’après deux heures que nous vîmes arriver un pauvre fourgon de gendarmerie dont descendirent un vaillant maréchal des logis accompagné d’un seul gendarme. Comme je lui demandais s’il attendait des renforts d’encadrement, l’homme de forte stature et de belle allure me répondit d’une voix de stentor : “Les renforts c’est moi”.

Très belle attitude dans la tradition gendarmesque qui ne peut que renforcer la considération et l’affection que les gens simples de la France profonde éprouvent à l’endroit de ce corps qui vit immergé en son sein (malgré les excès du contrôle routier qui nous pourrit la vie). Également révélation de l’épuisement des troupes et du manque d’effectifs après plus de 15 jours d’astreinte et alors que la province a été dégarnie pour protéger les lieux de pouvoir à Paris. Nous en verrons les conséquences directes le lendemain dans Toulouse.

Pour finir, quoi qu’il advienne, le péage octroi de Muret devra être supprimé, d’une manière ou d’une autre, quelle que soit par ailleurs l’issue du mouvement des Gilets jaunes.

Samedi, manifestation à Toulouse : union sacrée pour renverser le pouvoir.

Nous nous retrouvions donc le lendemain samedi pour une manifestation dans les rues de Toulouse. Disons-le tout de suite, ce n’était pas la très grosse affluence. Au plus fort, nous n’étions que quelques milliers. En revanche, la journée fut très riche d’enseignements politiques du plus haut intérêt.

J’arrivai donc à l’avance au point de rassemblement situé au Fer à Cheval. Immédiatement, je vis que tout ce que Toulouse comptait de vieux et de jeunes activistes gauchistes était là, prêts à la manœuvre pour encadrer la manif. On est bien à Toulouse, aucun doute ce sont bien les gauchistes qui ont pris les commandes, mais sans aucun signe ostentatoire, ni bannières ni drapeaux permettant de les identifier. Seuls les mégaphones et les slogans permettaient de les reconnaître. Encore fallait-il avoir l’oeil. CNT, NPA, France Insoumise, trotskistes étaient bien là. Détail amusant, quelques-uns n’avaient pas pu enlever tous les badges et pins de leurs sacs à dos et donc ils s’affichaient discrètement malgré tout… Pas de CGT, pas de communistes, de toute manière ces zombies sous perfusion ne représentent strictement plus rien et personne ne voulait les voir. Ils ont bien tenté d’organiser leur propre cortège mais personne ne les a vus et on a même rencontré une de leurs affidées, isolée, qui nous demandait le chemin pour les retrouver… en vain bien sûr.

Je repérai un militant gauchiste de mon âge, particulièrement typique, en train de distribuer des tracts à l’ancienne. Je m’approchai et j’engageai la conversation. C’était un ancien autonome (courant anarchiste révolutionnaire ultra-marginal), sympa, ouvert, détendu.

Je lui révélai donc mon ancienne appartenance au mouvement solidariste (courant fédéraliste révolutionnaire, un peu comme lui, mais de droite, très à droite…). On s’est parlé de la révolution, de la “sociale”, des vieux souvenirs, langage codé que seuls les initiés peuvent encore comprendre. De jeunes disciples à lui se sont approchés pour pouvoir dire qu’ils avaient vu au moins un solidariste encore vivant… On s’est parlé, on s’est flairés comme au bon vieux temps. Belle ambiance révolutionnaire, respect, solidarité sainte des vrais militants, des vrais radicaux, même adversaires, qui savent se reconnaître et se calculer.

J’ai beaucoup discuté avec les uns, avec les autres, de droite, de gauche, de nulle part, des macronistes déçus, des jeunes, des vieux, des hommes, des femmes, j’ai même lié conversation avec une magistrate haut placée dans la hiérarchie judiciaire et qui m’a révélé son appartenance au syndicat de la magistrature… Pour un peu, j’ai même failli la trouver sympa… Elle aussi d’ailleurs…

À signaler également, la présence de nos amis de la Manif pour tous. Bravo à toi, Tanguy, et à ton petit âne toujours aussi vaillant et aussi symbolique. On espère vous revoir pour la crèche de Noël place Saint-Georges.

Le très gros enseignement politique de la journée se résume à ceci, il m’a été formulé de manière quasi unanime : “On est tous d’accord pour renverser ce pouvoir, pour libérer le pays, on le fait tous ensemble et ensuite on s’expliquera, nous, pour savoir quelle suite donner et comment tout remettre à plat.’’

L’autre gros enseignement du jour concerne les forces de l’ordre. Très, très peu de forces de l’ordre visibles sur le parcours. Manifestement, la province avait été dégarnie pour protéger les lieux de pouvoir à Paris. Cela confirme bien le premier constat que nous avions fait la veille au soir sur le péage de Muret.

En tout et pour tout, pas plus d’une soixantaine de policiers à la manœuvre. Un point dur s’est fixé sur les boulevards quand le cortège est passé devant l’entrée de la rue Bayard qui conduit à la gare de Matabiau. Manifestement, des consignes très strictes avaient été données pour interdire l’accès à la gare.

Tout le monde ne le sait pas, mais la semaine dernière, certains Gilets jaunes avaient fait savoir à la direction régionale Occitanie de la SNCF qu’ils demanderaient la mise à disposition de trains gratuits pour Paris. Fin de non-recevoir méprisante de la part de la SNCF. Par conséquent, le pouvoir devait s’attendre à un investissement massif de la gare à titre de revanche à un moment ou à un autre.

Un soixantaine seulement de personnels de police pour barrer l’accès à 2 000 personnes environ, la réaction policière a été extrêmement violente, immédiate et radicale pour éviter la submersion.
C’est alors que des barricades se sont immédiatement dressées en travers du boulevard. Et que de violents échanges ont eu lieu.

À signaler, car c’est particulièrement significatif, que les gauchistes à la manœuvre sur la barricade ont demandé à un jeune patriote portant un drapeau français de lancer une vibrante Marseillaise reprise en chœur par les manifestants en union sacrée sous les lacrymogènes et les grenades de désencerclement.

Très émouvante séquence dans l’esprit des révolutions romantiques du 19e siècle.

Résumé de la journée et de ses enseignements politiques.

⦁ Les Gilets jaunes ne lâchent rien, la reprise en opération commando de nuit du péage de Muret en est la preuve.

⦁ Une union sacrée s’est dessinée au sein du peuple de France entre catégories sociales d’une part et groupes politiques radicaux habituellement adversaires d’autre part pour renverser ce pouvoir.

⦁ Il n’y a plus les effectifs de police et de gendarmerie suffisants pour tenir les lieux de pouvoir à Paris et en province.

⦁ Le mouvement des Gilets jaunes fait l’objet d’un soutien populaire ultra-majoritaire jamais vu depuis la libération.

Bernard Bayle




Les gilets jaunes français, un exemple européen

Mais oui, Monsieur le Président-encore-en-fonction-mais plus-pour longtemps, jamais entendu parler de la fameuse goutte, celle qui fait déborder la colère des français ? (Vous vous rappelez, tous ces gens qui déboursent pour que vous les protégiez). Cette fois-ci, il ne s’agit plus du verre d’eau que vous aimiez évoquer au mois de juillet, il s’agit d’un océan !

Vous gardez le cap, vous tenez bon ? Vous résistez ? Vous maintenez votre position ? Vous vous accrochez ? Vous faites face ?
Ben, nous aussi, figurez-vous ! Et nous sommes plus nombreux. Et grâce à vous, nous avons l’habitude des privations. Moins de fric, moins de bouffe, moins d’essence, jamais de vacances ni de fringues neuves, mais bien plus d’énergie et de détermination. Habitués, je vous dis. Habitués aux longues files des restos du cœur, des nuits glaciales, des pieds gelés, de la faim, du manque de plaisirs simples et de festivités, habitués au chou-patates et aux nouilles-margarine. Ça vous forme un homme ! Juste le temps de laver et de repasser nos pelisses couleur citron et c’est reparti. Vos CRS, bientôt, ils viendront rejoindre nos rangs. Une question de jours. Vous pensez peut-être que votre méprisante poignée de main de ce matin suffira à les amadouer? Eux aussi, ils ont faim, ils ont froid, et ils ont peur. Révoltés de vous voir emprunter, Castaner et vous, un hélicoptère, pour « rassurer les troupes » ou répondre à une interview. La planète vous dit merci. Et vous osez nous parler de transition écologique ? Le ventre plein, les pieds au chaud, évidemment, c’est possible. Mais nous, on a faim, on a froid, nos réservoirs sont vides, on n’a pas les sous pour se payer une nouvelle chaudière, et vous pensez pouvoir nous parler d’écologie ? Un luxe inabordable pour nous !
Mais les Gilets Jaunes font des émules, Monsieur-le-chef-d’Etat-qui s’accroche-en-vain !


Il y a quelques jours en Allemagne, Doris von Sayn-Wittgenstein, une dirigeante locale de l’AFD a écrit sur Facebook : “Il faut le reconnaître : en matière de mode, les Français ont du goût. Je porte du jaune. Et vous”? Beaucoup y ont vu une bonne occasion de se moquer de l’aristocratie allemande, mais sa sortie illustre bien le fait que certains, outre-Rhin, aimeraient bien voir le mouvement de protestation des Gilets Jaunes essaimer en Europe.
L’Allemagne se ferme. La révolution a commencé


La valeur n’attend point le nombre des années.

Et de fait, sur les réseaux sociaux allemands, la mayonnaise commence à prendre tout doucement. La Page “Gelbe Westen – Deutschland macht dicht” (“Gilets Jaunes – l’Allemagne ferme ses portes”) compte 2 500 likes. Un appel à manifester a déjà été lancé. Sur cette page, il est inscrit tout en haut “Nous sommes politiquement neutres – gauche et droite, main dans la main contre le système”.

L’administrateur des “Gelbe Westen”, se défend de toute connexion avec les néo-fascistes. Pour lui, “tout le monde doit descendre ensemble dans la rue”, et ce sont les politiques qui divisent la société. Tous ensemble contre le système, donc. Un populisme qui n’a pas encore vraiment trouvé sa voie sur le terrain en Allemagne, mais qui fait tous les jours de nouveaux adeptes sur les réseaux sociaux.

Le mouvement des Gilets jaunes, qui a poussé dans les rues de France des milliers de manifestants, s’exporte au-delà des frontières de l’Hexagone. En Belgique, les Gilets jaunes ont bloqué des ronds-points et des dépôts de carburant, bloquant le trafic. En Bulgarie , des milliers de Gilets jaunes ont bloqué les principaux axes routiers et les postes-frontière pour protester contre la flambée du prix des carburants et des taxes dans un contexte de mécontentement dû au faible niveau de vie dans le pays, le plus pauvre de l’Union européenne.

En Allemagne, le symbole du gilet jaune a été repris par des allemands en colère sur la politique migratoire de Merkel.
L’Italie a vu naitre son propre mouvement 5 étoiles, né d’une même colère populaire.
Des embryons d’appels à manifestation naissent également dans d’autres pays de l’UE. Ce qui se passe en France pourrait bien s’ancrer dans le temps grâce à la participation de nos voisins européens. Une chose est sûre, le mouvement a fait suffisamment de bruit pour impressionner et faire des émules à l’étranger.
La publication a déjà été partagée plus de 2000 fois sur Facebook en Allemagne. Le 12 janvier, il y aura un rassemblement à Kandel. Un premier rassemblement a eu lieu hier. Des Français seront sans doute sur place, car la manifestation sera placée sous le signe de la solidarité envers le mouvement des gilets jaunes. La colère contre les gouvernements et le sentiment d’impuissance face au pouvoir politique forment un lien entre les manifestations.

Cet emprunt symbolique du gilet jaune est une preuve de réussite.

Bravo ! Vous êtes un exemple pour toute l’Europe, mais pourriez-vous me faire plaisir ? La prochaine fois que vous ressortez vos jolies vestes, pourriez-vous aussi ajouter: STOP IMMIGRATION ? Merci.

Anne Schubert




Tags sur l’Arc de Triomphe : la photo qui dit tout

Qu’est-ce qui a été tagué sur l’Arc de Triomphe ?

– justice pour Adama, le narco-trafiquant adoubé par Hollande.

– l’ultra-droite perdra.

– la lettre A dans un cercle, symbole du mot anarchie.

Ce sont donc bien les amis et collabos de Jean-Luc Mélenchon qui ont souillé l’Arc de Triomphe.

Ce sont les parasites gavés de subventions, soutiens des racailles et islamistes qui veulent pourrir le mouvement.

Au vu de ces preuves, il est inconcevable que Macron et son gouvernement ne le sachent pas.

Le soir, ils ont été rejoints par leurs amis racailles des banlieues islamisées.

Ça n’empêche pas BFM TV et les autres médias d’inviter sans relâche Jean-Luc Mélenchon et son parti, l’immonde Glucksman, pour nous dire leurs quatre vérités comme s’ils étaient ceux qui avaient la clé de tout alors que ce sont des pyromanes.

Ce sont leurs idées alter-mondialistes, immigrationnistes, pro-islam depuis 40 ans qui ont amené au suicide français.

La question qui n’est jamais posée dans les médias est “où va l’argent ?” que l’on rackette aux Français ?

Allez dans les banlieues islamisées, allez dans les centres d’accueil des migrants, calculez le coût de l’AME, des faux mineurs étrangers isolés, des subventions aux mosquées et à des dizaines d’associations parasites, allez le chercher dans les subventions pour la polygamie, les logements sociaux qui vont aux minorités, allez le chercher dans les prisons où il y a des centaines d’étrangers, la plupart musulmans, qui n’ont rien à faire en France, qui doivent être expulsés et « qui coûtent un pognon de dingue ».

Amis français, amis patriotes, de grâce, répandez ces informations – ne laissons pas la place à la propagande islamo-gauchiste des médias.

Toute cette énergie, toute cette colère ne doivent pas être utilisées au profit des pires fossoyeurs de notre pays, mais pour le sauver enfin !

Albert Nollet




Persistance lancinante de la jaunisse

Paris brûle-t-il ? En direct façon cinémascope ? Les “droits-dans-leurs-bottes” sont “choqués” de voir tant de “perturbateurs” ne pas faire là où on leur indique de s’assoupir, sauf que… Cela va bien plus loin maintenant, et ce n’est pas étonnant que même la gauche soit obligée de mettre le gilet, les cheminots, lycéens, étudiants… En Belgique, aux Pays-Bas aussi…

Si les divergences persistent, le point commun est là où ce “système” aveugle de la caste, de la secte, (X voitures en train de brûler, Paris, 16 h) point, poids, mort, donc intersection, pressions, tectonique des plaques, séisme… alors que… peut-être… il y a huit jours, il y a un siècle, établir le moratoire sur le carburant aurait pu calmer… Mais non, la Terre doit être sauvée (les salons l’exigent) et uniquement par la France, bien sûr (foutaise totale). Allons vers l’affrontement, tant pis, et puis rien à craindre, le mouvement s’effrite, disaient les “experts” (avant ce samedi) avec un mélange de comportement suicidaire, de part et d’autre, pourquoi par exemple ne pas avoir accepté l’entretien en direct aux yeux de tous (et de toutes si vous voulez),“First Minister” ? Alors que justement, maintenant, de plus en plus, aucune entrevue ne pourra plus se faire en différé, le direct a pris le pas comme la démocratie directe visiblement, un besoin fort d’horizontalité disent les doctes. Chacun vient avec ses plaies, séance A.A, grandeur nature, même si cela ne fusionne pas encore (ici et là, les emplettes se font toujours à l’ombre des caméras à l’affût). Certes, en sous-main “on” s’active ici et là à brûler les étapes, Lyon était cependant assez calme quoique plus tendue, quelques grenades, on sent quand même qu’en haut on aimerait que cela se finisse : les CRS avaient remplacé les policiers municipaux du 17 novembre…

Tout semble péter dans tous les sens (mais une ronde bien assagie encore s’est organisée autour du Soldat inconnu, la Marseillaise chantée sur un beau ton bien rageur) sûr que cela couvait depuis longtemps, ma bonne dame… sauf que… La jet set techno mondialisée n’y croyait pas, n’y croit toujours pas, cela devait mourir cette semaine, non ? Que fait la maréchaussée, Louis ?… Elle joue à colin-maillard… Nous en sommes où ?… 1780, 1825, 1829 (et demi), 1840 ?… 47 ?… 1871, non, pas vraiment, 1968 ? C’est peut-être plus profond encore…

Parce que cette histoire de “casseurs”,  de “perturbateurs” devient évidemment bien plus complexe (les manifestants qui les voient agir ne les sermonnent pas non plus, cela se voit bien, non ?)… Il ne s’agit plus d’étudiants jouant à Gavroche avant de s’encanailler romantiquement. Happening au théâtre de l’Odéon occupé, là il s’agit de retraités, femmes seules avec marmots, d’artisans perdus dans leur ville asséchée, d’ouvriers tirés vers le bas, on ne voit pas que de la jeunesse dorée de 68 hésitant entre la coupe Mao et la veste en cuir Trotski, non ! On sent la colère sourde des solidarités empêchées, des égoïsmes rococo, t’inquiète, je vais m’en sortir tout seul, sauf que là non, la taxe de trop, le banquier qui appelle pour le découvert et “en même temps” les 500 000 euros de vaisselle fine viennent se greffer au bout de la nuit fiscale et à l’ombre des péages en pleurs, dès 7 h pour éviter les bouchons, manger du bitume chaque jour coûte que coûte malgré le dernier Johnny passé en boucle, tous ces riens…

Tout surgit, une lave, cela charrie, un tsunami, tout se mélange, tu charries Mac/ron, ron, petit patapon, une révolte ? Non, Sire, une insurrection ! Vite, vite, vite, glosons sur la psyché des “casseurs”. Ah ! Que ne viennent-ils pas dénaturer le mouvement, questionnent sans rire ceux-là mêmes qui l’ont allumé ?… Amusant… Tragique aussi… Bal tragique à l’Élysée… Alors ? Alors rien, il n’y a rien à voir, juste un peuple qui refuse de crever alors qu’il a été euthanasié, sous perfusion sociale, mais la drogue n’est pas assez envoyée dans les veines. Comment se fait-il, sinon, qu’il se lève et arrache les tuyaux, casse les machines ?…

Une femme : ” Je ne veux pas des aides, je veux gagner ma vie”. Je ne veux pas que l’État me casse les jambes et ensuite me propose des béquilles ! Celle-là, c’est une perle parce qu’il ne s’agit pas d’opposer public et privé, infirmière libérale et hôpital, mais de faire en sorte que les deux travaillent ensemble alors que la première est grevée de taxes et le second sommé de faire des économies en défensif au lieu d’être source de dynamisme en irradiant mille thérapies, éducation, formation idem, laissez faire les gens, bordel !!! Cela fourmille d’idées partout et c’est ce qui fout la jaunisse à la secte bien au chaud dans la représentation, fais ce que je te dis mais ne fais pas ce que je fais, sauf que cela ne peut plus marcher comme cela, n’est-ce pas pour cela que Macron avait été élu ? Le bon peuple vient le lui rappeler. Désormais, chaque samedi. Bizarre. Vous avez dit bizarre ?…

Lucien Samir Oulahbib




Macron est en préavis de licenciement

Il se sent très fort, Macron. Fort du soutien de son parrain Attali, dont le propre parrain est le capital-hégémoniste Soros, ce fou qui veut détruire les peuples d’Europe  Fort du soutien des banques dont il est issu et qu’il représente. Fort du soutien des ultra-mondialistes, parmi lesquels 8 hommes seulement possèdent autant que 3 milliards et demi d’hommes, la moitié la plus pauvre de la planète. 8 hommes qui méritent la mort et la trouveront certainement puisque les peuples ont commencé leur grand soulèvement. Mais Macron, qui se prend pour un dieu, ne cédera pas. Que les Français les moins riches crèvent, ça diminuera la population de la planète, voilà son credo. Et puisque la Macron ne veut pas céder, un seul moyen : le peuple debout, dans la rue.

Macron et son acolyte de Matignon,  qui ne veulent pas céder, ont fait bloquer de nombreux trains de province pour limiter le nombre de ceux qui se rendent à Paris et ont donné leurs ordres afin de faire taire le peuple. « Faites-les reculer coûte que coûte », a-t-il été ordonné aux forces de l’ordre. Et celles-ci n’ont pas hésité à obéir (c’est tellement agréable d’avoir enfin de l’action au lieu de croupir toute la journée dans les camions), lançant à Paris des gaz dès l’arrivée des GJ, sans même les laisser s’installer, afin de les faire reculer. C’est ce qu’un policier interviewé vers midi par CNews appelle « une bonne gestion ». Les images montrent des affrontements entre manifestants désarmés et CRS équipés comme des robocops. Détonations de partout, tirs de Flash-Ball contre ces gens venus manifester pour leurs moyens d’existence et dont beaucoup venus pacifiquement se retrouvent blessés, utilisation à fond des lacrymogènes et fumigènes dont on connaît les effets néfastes sur la santé, intervention des lances à eau dont on sait la puissance, interpellations nombreuses. La foule est divisée, encerclée, prise dans des souricières, maltraitée. Mauvais jeu, Macron, que d’envoyer des casseurs pour donner aux CRS les prétextes pour tirer contre le peuple, mais nul n’est dupe de tes manœuvres. À 11 heures, la compagnie d’intervention parisienne charge contre cette foule désarmée, blessant des dizaines de citoyens, et ne peut que nous rappeler la police parisienne de Vichy qui, rappelons-le, perdit à la Libération le droit de porter la fourragère, comme signe de son déshonneur. Visiblement la police parisienne est toujours aussi infecte.

À 11 h 52, Marlène Schiappa, la reine des romans pornos qu’elle fait financer par les fonds publics et qui a essayé hier  de faire pleurer dans les chaumières en se disant issue du peuple pauvre, reconnaît soutenir la police et réfute que le gouvernement ait envoyé des casseurs anars pour briser le mouvement de ceux qui ne demandent qu’à vivre moins mal – et non à vivre mieux comme a essayé de le faire croire le petit Macron. Elle parle d’aider le peuple mais, comme son maître olympien, ne fait aucune proposition concrète. Du vent. Encore du vent.

13 heures, charge avenue de Friedland avec les canons à eau, tandis qu’Édouard Philippe se dit attaché à la liberté d’expression ! Il se prétend choqué du fait que les GJ puissent se trouver autour de la tombe du Soldat inconnu alors que ceux-ci ne font que s’approprier nos symboles, armés du seul drapeau tricolore et de la Marseillaise.  Il craint aussi les discours révolutionnaires : commencerait-il à comprendre que nos gouvernements n’étant plus reconnus ont perdu aux yeux des Français toute légitimité ? Et pendant que d’une voix blanche s’exprime le Premier sinistre, accompagné du joueur de poker menteur, les violences se poursuivent dans toutes les avenues qui entourent l’Arc de Triomphe, sauf dans l’avenue des Champs-Élysées, porte d’accès à la Concorde et à l’Élysée. Car le pouvoir, tout en se raidissant, a peur. C’est pourquoi, pour briser et discréditer les GJ, il a lancé ses casseurs, parmi lesquels se trouvent des groupes infiltrés de policiers et des milices musulmanes chères à Macron, équipés de masques, et continuant à justifier la violence des forces de l’ordre. La France entière est indignée que les Gilets jaunes soient gazés alors qu’ils chantent  pacifiquement la Marseillaise. La répression est féroce de la part d’un gouvernement qui veut se maintenir envers et contre tout et qui nie la réalité. Les identités sont vérifiées contre le droit fondamental de déplacement, sauf celles des casseurs. La stratégie du gouvernement étant de décourager les GJ afin qu’ils n’y reviennent pas la prochaine fois. Mais la colère est trop intense et le peuple ne cédera pas. Les pères et mères de famille ne veulent plus de ce monde matérialiste et bancaire fourgué par des gens dont la légitimité n’existe plus.

En dehors de Paris, les GJ sont mobilisés dans toutes les régions, toutes les villes et bourgades, tandis que là aussi les forces de l’ordre tentent de mettre fin aux manifestations pourtant très pacifiques. Autoroute A8 en direction de Lyon, la Barque près d’Aix-en-Provence, tarmac de l’aéroport de Nantes, Bordeaux, autoroute A7 à Feyzin, Brest, Toulouse, Montpellier, Lille, Marseille, Rennes, partout, partout le peuple est debout.

13 h 30, une grande marche des Gilets jaunes, drapeaux français en tête, est bloquée par des tirs nourris de grenades lacrymogènes, de grenades détonantes et de canons à eau. Pourtant, il continue à avancer, toujours pacifiquement, le peuple de France. Le policier interrogé par CNews explique que le bruit, le souffle, le gaz ont pour but de désorienter les manifestants et qu’il ne s’agit pas de les blesser, ce qui est manifestement faux. Des Gilets jaunes montrent aux caméras leurs blessures et racontent que des blessés plus graves ont été évacués. On entend Benjamin Griveaux déclarer  que le gouvernement maintiendra le cap, soit ne changera rien aux mesures impopulaires qu’il a prises, et il appelle à la plus grande fermeté contre les GJ, ne parlant que de casseurs. Or, on sait que ces casseurs ont été lancés par le gouvernement. Il prétend cependant maintenir le dialogue, mais quel dialogue lorsque le gouvernement refuse tout changement ? C’est de la foutaise. Macron, lui, a préféré disparaître en Argentine, sous prétexte de diplomatie. Comme le 17 novembre, il a préféré s’enfuir, Jupiter. 14 h, Muriel Pénicaud, ministre du Travail, reconnaît le malaise et parle aussi de dialogue, mais pas de recul du gouvernement.

14 heures, Mélenchon ramène sa poire à Marseille, et bien qu’il dénonce « l’incroyable acharnement contre des manifestants pacifiques place de l’Étoile » et constate que les GJ « sont encerclés dans une nasse et bombardés sans issue. Le pouvoir veut un grave incident pour jouer la peur », il tient néanmoins un langage ambigu puisqu’il déclare que tant le gouvernement que les GJ sont légitimes et qu’il souhaite de nouvelles élections, songeant à la récupération. Or, précisément, le gouvernement n’est plus légitime puisque la légitimité tient exclusivement à sa reconnaissance par le peuple.

Il est évident que le pouvoir ne  veut pas céder. Ne cédera pas. Et sera renversé. Comme le tsar Nicolas II qui fit tirer sur la foule affamée devant le Palais d’été en 1905 et finit fusillé. Comme Louis XVI qui fit venir à Paris des troupes étrangères en juillet 1789 pour contrôler le peuple et fut guillotiné. Les gouvernants ont oublié qu’ils ne sont là que pour servir et non pour se servir. Qu’ils sont aux ordres des représentants du peuple et que, lorsque ceux-ci ne sont plus en état de respecter leur mandat comme aujourd’hui, qu’ils sont aux ordres du peuple lui-même. Je veux rappeler ici les principes sacrés de nos Constitutions, fondés sur la Déclaration des droits de l’homme de 1789 dont le préambule considérait que « l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements ». L’article 3 de la DDHC stipule que :  « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation » et l’article 12 que la force armée « est instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée ». Principes largement oubliés par ceux qui nous gouvernent et s’enrichissent sur notre dos.

15 heures, beaucoup de manifestants sont repartis, et restent surtout les casseurs et les manifestants les plus motivés. Certains ont récupéré une pelleteuse de chantier et chargent les policiers qui n’y voyaient rien… du fait des gaz lacrymogènes qu’ils ont répandus partout et qui font comme un épais brouillard dans toute la zone. La situation pourra donc empirer dans les mois à venir. Sans chefs, sans porte-parole, sans intermédiaires.

Aujourd’hui, la situation est claire : le peuple, dans son ensemble, a pris la décision de renverser ses tyrans et continuera sa mobilisation. Les GJ ne vont pas tarder à être rejoints par les routiers, les étudiants et lycéens, les petits commerçants, les infirmières… contre un chef de l’État atteint d’une assourdissante surdité, tandis que  police et gendarmerie, créées pour protéger le peuple et non ceux qui sont à ses ordres, sont devenues les ennemies du peuple. Les cibles futures de la Révolution ont été identifiées comme je l’ai lu sur de nombreux blogs : les polices, magistrats, perceptions, préfectures et médias officiels. Le peuple de France est en marche… avant… et ne tardera pas à entraîner les autres peuples d’Europe contre les institutions de Bruxelles dont les chefs d’État sont les pantins. Ce n’est pas encore la Révolution, mais c’est bien plus qu’une révolte populaire. La Révolution n’est pas bien éloignée. Ce n’est aujourd’hui que le début du grand printemps des peuples d’Europe.

Louise Guersan




Une situation insurrectionnelle qui exige la dissolution de l’Assemblée nationale

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Beaucoup a été dit sur la révolte des Gilets jaunes, mais trop de vérités restent cachées. Le terrorisme intellectuel n’aura fait que retarder l’heure des comptes. Nous y sommes et le peuple ne se calmera pas si le pouvoir ignore sa détresse et mise sur le pourrissement du mouvement.

Quand Macron et nos élites autoproclamées seront décidées à jouer cartes sur table, à débattre des méfaits de la mondialisation et du coût démentiel de l’immigration, peut-être y aura-t-il une porte de sortie pour ce mouvement qui pourrait très mal finir, si Macron persiste à mentir et à mépriser le peuple français.

Car depuis Buenos Aires, où il assiste au G20, il a réaffirmé sa fermeté.

« Il m’appartiendra de prendre des décisions supplémentaires dans les semaines et mois à venir, mais elles ne seront jamais des reculs ». Curieuse conception du dialogue, soi-disant ouvert ! Curieuse conception de la démocratie quand le peuple crie sa détresse.

Au sein de la majorité, c’est la débandade, certains se demandant si le navire LREM ne va pas finir par sombrer corps et biens, avec un capitaine plus détesté que jamais et qui plonge toujours plus bas dans les sondages.

« Si on lâche, c’est fini », dit l’un.

« Il faut lâcher du lest », dit un autre.

« Augmentons le Smic de 100 euros et abandonnons la hausse de la fiscalité écologique en janvier », dit un troisième.

On le voit, c’est la panique qui gagne les rangs de la majorité, après 18 mois d’une politique injuste qui a appauvri le peuple et enrichi les nantis.

Macron n’est pas le seul responsable de l’effondrement du pays, qui avait le 5e niveau de vie au monde en 1975 et qui se paupérise à grande vitesse avec la mondialisation et l’immigration, mais son obstination conduit la France au chaos.

Effondrement du niveau de vie des classes moyennes et chaos racial vont désintégrer le pays si rien ne change. Mais quand un ayatollah du mondialisme est persuadé d’avoir raison seul contre le peuple, il devient difficile d’éviter l’escalade de la violence.

C’est l’obstination de Macron qui est responsable des scènes de guérilla urbaine.

Et il va aller à Marrakech signer le Pacte mondial sur les migrations, alors que 70% ne veulent plus de migrants !

Voici ci-dessous le niveau de pauvreté de la France de 2018. Des chiffres dramatiques qui expliquent la révolte des Gilets jaunes.

https://www.inegalites.fr/La-misere-persiste-en-France-l-un-des-pays-les-plus-riches-au-monde

Suivent quelques chiffres sur l’enrichissement des élites. C’est cette injustice qui suscite la colère du peuple.

La France compte près de 10 millions de pauvres. Ce chiffre ne peut baisser puisque la croissance redescend de 2,3 % à 1,6 % et que nous accueillons des centaines de milliers de pauvres chaque année, pour lesquels il n’y a ni emploi ni logement.

La pauvreté, nous l’importons depuis des décennies. Et ce sont les natifs qui en supportent les conséquences, puisque la part du social de 750 milliards doit être partagée avec toute la misère du monde.

Bien que la France soit un très riche pays agricole, nos petits vieux font les poubelles !

Et pendant que nous avons des millions de mal-logés, des dizaines de milliers de clandestins sont logés à l’hôtel aux frais du contribuable (25 000 et 40 000)

 

Personnes vivant en habitat dégradé                                   2 425 000
– dont logements inconfortables                                           2 090 000
– dont habitats de fortune (cabane, camping, etc.)                 85 000
Personnes vivant en logements exigus                                    934 000
Personnes sans domicile personnel                                          811 000
– dont personnes hébergées chez des tiers dans

des conditions de logement très difficiles                               643 000

– dont personnes sans domicile                                                 143 000
Personnes bénéficiaires de l’aide alimentaire                      4 770 000
Allocataires de minima sociaux                                               4 149 400
– dont RSA socle                                                                           1863 200

 

Mais au sommet de l’échelle sociale, c’est le contraire. Si la crise a appauvri les Gilets jaunes puisqu’une étude montre que le niveau de vie a baissé de 440 euros entre 2008 et 2016, les riches, quant à eux, peuvent se réjouir.

https://www.lesechos.fr/22/01/2018/lesechos.fr/0301179932410_france—les-tres-riches-toujours-plus-riches.htm

Selon l’ONG Oxfam, «Les 10 % des Français les plus riches détiennent plus de la moitié des richesses alors que les 50 % les plus pauvres se partagent à peine 5 % du gâteau.”

Et tout en haut de la pyramide, le 1 % des ultra-riches détiennent 22 % de la richesse contre 17 % en 2007 “, selon le rapport « Partager la richesse avec celles et ceux qui la créent “

En 20 ans, la fortune cumulée des 10 plus grosses fortunes françaises a été multipliée par 12, tandis que le nombre de pauvres augmentait de 1,2 million.

38 milliardaires se partagent une fortune de 245 milliards et possèdent autant que les 40 % de Français les plus pauvres.

Une telle société n’a aucun avenir. Et si Macron croit que la mondialisation et l’immigration vont régler le problème, nous allons tout droit vers un remake de 1789.

Quant à l’immigration, qui paupérise le pays et fait glisser la France vers le tiers-monde, je vais me contenter de citer Guillaume Faye qui pose les excellentes questions qui fâchent. Le lien ci-dessous mérite le détour.

http://www.gfaye.com/pourquoi-questions-subversives/

Politique de la ville

“Des milliards d’euros de subventions, d’aides en tous genres, de travaux ont été dépensés – et continuent de l’être – dans les cités peuplées d’immigrés depuis 40 ans, largement privilégiées par rapport aux petites villes périphériques peuplées de Français de souche. Or les zones de non droit prolifèrent – déjà plus de 500 –, le trafic de drogues explose, les émeutes, les agressions de policiers en patrouille, de postiers, de pompiers, les incendies, les pillages, les dégradations de biens et bâtiments publics sont devenus quotidiens et s’amplifient chaque année. La “politique de la ville” est un échec complet mais continue, payée par vos impôts. Pourquoi” ?

“La France  a reculé de plus d’une dizaine de places est passée en 30 ans de la 5e à la 28e place des pays dans l’ordre du PIB par habitant (niveau de vie et pouvoir d’achat) Pourquoi” ?

La préférence étrangère et ethnique : un racisme d’État

“Un Français de souche retraité modeste qui a travaillé et cotisé toute sa vie ou sa veuve qui perçoit une pension de réversion gagnent environ deux fois moins qu’un (faux) réfugié (on dit “migrant”) subventionné, aidé, logé, originaire d’Afrique ou d’Asie, même débouté de sa demande d’asile.  Pourquoi” ?

“L’immense majorité des SDF que vous voyez dans les rues en train de mendier sont d’origine européenne. Pourquoi “?

“Dans les entreprises “citoyennes”, selon le vocabulaire du jargon officiel, obligées de pratiquer des quotas ethniques qui ne disent pas leur nom (diversité et discrimination positive) on embauche prioritairement en fonction de critères raciaux (donc racisme pratiqué au nom de “l’antiracisme” !) pour dire les choses clairement. Ces  grandes entreprises ont souvent l’État comme actionnaire. La performance professionnelle de ces recrutements ethniques, racialistes n’a jamais été évaluée mais tout indique qu’elle est mauvaise. Elle est couverte par une chape de silence soigneusement protégée mais qui commence à se fissurer. Pourquoi” ?

Les “logements sociaux” que les communes sont obligées de  prévoir et de construire sous peine d’amende et qui sont  quasi gratuits sont en réalité des “logements ethniques” uniquement réservés aux personnes d’origine immigrée extra-européenne. Les Français de souche, même très pauvres, n’y ont pas accès. Fait objectif vérifiable dans toute la France. Pourquoi ?

“Dans l’Est de la France, une centaine d’ouvriers et d’employés, tous Français de souche, ont été licenciés de leur entreprise industrielle en liquidation. Les tribunaux leur demandent de rembourser une grande partie de leur indemnité de licenciement économique, suite à une prétendue surévaluation, soit plus de 10.000 euros par employé. Il n’y a plus de recours possible car la Cour de cassation a confirmé le jugement. Ces familles populaires sont rigoureusement incapables de rembourser, toutes vivant déjà difficilement avec à peine 800 euros par mois. Beaucoup ne mangent pas à leur faim pour réserver la nourriture à leurs enfants. Leur seule perspective est la saisie et la vente forcée de leurs biens et, pour certaines, d’être expulsées et jetées à la rue. Pendant ce temps, des milliers de “migrants”, tous clandestins, et de déboutés du droit d’asile, en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient, tous musulmans et jeunes, sont hébergés, nourris et soignés gratuitement  et perçoivent des aides financières égales ou supérieures  aux revenus de ces familles françaises. Pourquoi” ?

Tout est dit.

D’un côté, nous avons des riches toujours plus riches et des pauvres toujours plus pauvres, et de l’autre, nos élites mondialistes aggravent le mal en accueillant toute la misère du monde.

Ces imbéciles ne comprennent même pas que toutes les coutures de la société sont en train de craquer à cause de leurs délires mondialistes.

Macron est en train de jongler avec des flacons de nitroglycérine et la déflagration peut survenir à tout moment.

Il serait temps qu’il comprenne que le peuple a toujours raison et qu’il reprendra tôt ou tard son destin en mains.

Plus le pouvoir diabolise les Gilets jaunes en essayant de les dépeindre en abominables fachos et en casseurs, plus le mouvement est populaire, soutenu par 85 % des Français.

Car ce que n’a pas compris notre premier de la classe, c’est que ce mouvement est à la fois social et IDENTITAIRE. 

Sous l’Arc de Triomphe, on agite les drapeaux français et on chante la Marseillaise. Et ça, ça gêne beaucoup nos mondialistes !

Rien d’étonnant à cela quand on sait que 2 Français sur 3 ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un obstacle à l’intégration.

En fait, pour Macron, rien ne va plus. Après avoir promis le paradis sur Terre, il a réussi à faire l’unanimité contre lui en quelques mois. Du jamais vu.

https://actu.orange.fr/france/violences-sur-les-champs-elysees-la-majorite-choquee-l-opposition-accuse-CNT000001aBsLy/photos/une-vitrine-brisee-par-des-gilets-jaunes-a-paris-le-1er-decembre-2018-lors-de-la-journee-de-mobilisation-nationale-93ed1ed28ab7c4fab30ed131ebac3101.html

Une situation insurrectionnelle qui exige au minimum une démission du gouvernement et même une dissolution de l’Assemblée afin de changer de politique.

Jacques Guillemain  




Appel : Macron ne doit pas signer le Pacte mondial des migrations imposé par l’ONU

Pacte de Marrakech validant la submersion migratoire

Macron ne doit pas signer le Pacte mondial des migrations imposé par l’ONU

Appel des 100 patriotes contre le pacte de Marrakech

Les chefs d’État des pays membres de l’ONU se réuniront les 10 et 11 décembre prochains à Marrakech pour signer le Pacte mondial sur les migrations.

Approuvé avec « l’autorité morale des Nations unies », reposant sur le dogme de la liberté absolue de circuler, ce texte constituera à coup sûr une base politique et juridique qui invitera mécaniquement les pays à abattre leurs frontières pour accueillir les migrations internationales.

Ce pacte est une menace pour l’intégrité des États de ce monde qui sont appelés à renoncer ainsi aux particularismes de leurs peuples pour ne plus entraver les grands déplacements de populations présents et avenir.

République tchèque, Croatie, Bulgarie, Slovénie, Hongrie, Autriche, Estonie, Danemark, Pologne, Italie, Suisse, États-Unis, Israël, Australie… préférant privilégier la protection de leurs identités nationales, de nombreux pays ont annoncé leur décision de ne pas signer ce pacte. Prenant le contrepied de ce choix courageux, Emmanuel Macron a fait part de sa volonté d’engager la France en signant ce document, sans consulter quiconque, ni les Français, ni les corps intermédiaires de ce pays.

Le peuple français ne peut être dépossédé de son droit à rester lui-même. Déjà accablée par le poids d’une immigration incontrôlée, la France ne peut être liée par un texte qui mettra davantage en péril les grands équilibres ethnico-culturels de notre pays.

Emmanuel Macron – désavoué actuellement par plus de 80 % des français – a décidé d’apposer la signature de la France au bas de ce pacte liberticide. Notre pays et plus généralement l’Europe sont en grand danger. Mobilisons-nous partout en France pour exercer une pression populaire puissante sur le chef de l’État et signons massivement la pétition qui sera transmise à l’Élysée.

http://www.siel-souverainete.fr/actualites/communiques/906-non-au-pacte-mondial-sur-les-migrations-qui-met-en-danger-la-france-et-l-europe-petition.html

De nombreuses actions de terrain accompagneront cette démarche jusqu’au 11 décembre.

Liste – en cours – de l’appel des 100 patriotes : « Non au pacte mondial de l’ONU sur les migrations »

Comité de pilotage

Renaud Camus – Président du CNRE

Pierre Cassen – Fondateur de Riposte Laïque

Alain de Peretti – Vigilance Halal

Patrick Jardin – Patriote

François Jay – Les patriotes bordelais

Karim Ouchikh – Président du SIEL

Christian Piquemal – Président CCP

Richard Roudier – Président de la Ligue du Midi

Christine Tasin – Présidente Résistance républicaine

Contact : [email protected]

 Première liste de l’appel des 100 patriotes :

« Non au pacte mondial de l’ONU sur les migrations »

Robert Albarèdes – Ancien maire de Gréasque
Philippe Arnon – Docteur d’État en droit
Alain Barnier – Patriote Vallée du Rhône
Anne Bastide – Ligue du Midi Provence, Femmes en colère
Thomas Bégué – Les Patriote Bordelais
Alain Billière – Colonel en retraite, Agen
Nathalie Bosc – Ligue du Midi, Gard
Jean-Luc Bouchereau – Patriote, Montpellier
Hugues Bouchu – Président des Amis Franciliens de Synthèse Nationale
Paule Bouvard – Ligue du Midi, Cercle des Citoyens Patriotes
Marc Boyer – Ligue du Midi, Aude
Gérard Brazon – Riposte Laïque
Françoise Briend – Ligue du Midi Provence
Renaud Camus – Écrivain, président du CNRE
Jean Canal – Patriote
Pierre Cassen – Fondateur de Riposte Laïque
Robert Noel Castellani – Patriote
Erick Cavaglia – Ligue du Midi Gard
André Chaleil – Ligue du Midi, Gard
Bernard Chalumeau – Alliance pour la souveraineté de la France
Georges Clément – CNRE
Jacques Clostermann – Pilote de chasse
Dan Corbet – Secrétaire de Résistance républicaine
Jacques Cordonnier – Alsace
Patrick Corréas – Patriote Landes
Daniel Cosculuella – Écrivain Aquitaine
Paul-Marie Couteaux – Écrivain, Angoulème
Jean-Michel Darqué – Ligue du Midi Toulouse
Gérard Deheurle – RR, Ligue du Midi, CCP, VPF Béziers
Jean-Baptiste Defrance – Conseiller municipal de Lormont
François de Lochner – Président de la Fondation de Service politique
Alain de Peretti – Vigilance Halal
Jean-Jacques Depettris – Ligue du Midi Vallée du Rhône
Roland Dicchi – Ligue du Midi Marseille
Yves Doutre – Ligue du Midi Montpellier
Maurice Droin – Patriote
Laurent Droit – Ancien militaire, Riposte Laïque
Josette Duboe – Ligue du Midi Montpellier
Alain Dubos – Écrivain, Médecin
Bernard Dupland – Économiste, Ardèche
Robert Dupin – Patriote Occitanie
François Galvaire « Batdaf » – Youtubeur
François Gaubert – Général CR
Jacques Ghedin – Trésorier de Résistance républicaine
Philippe Gibelin – Président Nationalité-Citoyenneté-Identité
Dominique Gillet – Patriote, Ligue du Midi Pays Basque
Jacques Guillemain – Ancien officier de l’armée de l’air.
Roland Hélie – Président Synthèse Nationale
Véronique Hervouet – Essayiste, vice-présidente du SIEL
Bertrand Hesquet – Patriote bordelais
Pascal Hilout, né Mohamed – Apostat de l’Islam, Riposte Laïque
Yolande Houlès – Ligue du Midi Béziers
Sébastien Jallamion – Ancien policier
Patrick Jardin – Patriote, père de Nathalie
François Jay – Les Patriotes bordelais
Patrick Junca – Patriote, Bourgogne
Albert Kaufman – Patriote, Musicien, Agde
Michel Kurz – Patriote, Ligue du Midi
Jean Lafitte – Chevalier de la Légion d’honneur, Commissaire colonel de l’Armée de l’Air en retraite
Bruno Lafourcade – Écrivain
Gilles Laigre – Patriote Occitanie
Michaël Lasjunie – Entrepreneur textile
Myriam Lecharlier – Ligue du Midi Béziers
Jean-Yves Le Gallou – Polémia
Dominique Lescure – Administrateur Bloc Identitaire
Ivy Leseigneur – Ligue du Midi Hérault
Frédéric Lizé – Ligue du Midi Béziers
Geneviève Lods-Mellet – Ligue du Midi Gard
Yves Maillard – Capitaine de vaisseau honoraire
Régis Maitre – Ligue du Midi Montpellier
Patricia Margand – Conseil en communication
Philippe Martel – CNRE
Antoine Martinez – Général CR
Marcel Meyer – Membre du CNRE, Ploëzal
Nicole Mina – Conseillère régionale Rassemblement national
Jean Bernard Molles – Conseil en communication
Loïc Morell – Conseil en communication
Stéphan Mourard – Patriote Provence
Véronique Naudé – Ligue du Midi Ariège
Claire Navarro – Administrateur Cercle algérianiste Rhône-Ardèche
Karim Ouchikh – Président du SIEL
Flavien Pfeiffer – animateur sportif, patriote
Martine Pincemin – Patriote CNRE
Christian Piquemal – Président CCP
Daniel Pollett – Ligue du Midi, Résistance Républicaine Cévennes
Félix Robert – Patriote libournais
Nicolas Robert – Patriote, Montpellier
Gregory Roose – CNRE, ré information
Olivier Roudier – Porte-Parole Ligue du Midi
Richard Roudier – Président de la Ligue du Midi
Guy Sebag – Avocat à la cour retraité, Président de Riposte Laïque
Jacques Soulis -Patriote, Poitiers
Christine Tasin – Présidente Résistance Républicaine
Jean Théron – Vice-Président de Résistance républicaine
Jean-Louis Trainar – Minurne
Évelyne Tschirhart – Écrivain.
Sybil Vergnes – Présidente Entraide et Solidarité
Maryvonne Villard – Femmes en Colère
Jordi Vives – Journaliste de réinformation
Alain Wagner – Essayiste

Deuxième liste

Sieghilde Adam – Responsable des ventes
Colonia Agripinensis – Rédacteur de Résistance républicaine
Catherine André – Enseignante
Joséphine Aubert – Patriote retraitée
Patricia Balieu – Mère au foyer
Corinne Bardou – Conseillère régionale RN Occitanie
Pierre Berson – Patriote, Villeréal
Alexandre Bessede – Gilet jaune
Pierre Birling – Patriote Hérault
Jacqueline Birling – Patriote Hérault
Jean Claude Blanchard – Conseiller régional RN, conseiller municipal de Saint-Nazaire
Anne Marie Bourdet – Patriote
Georges Bourdet – Patriote
Marie Bourdier – Enseignante
Sylvia Bourdon – Chef d’entreprise
Gilbert Bouvard – Patriote, retraité
Jean-Yves Briend – Ligue du Midi Provence
Clan des Brigandes – Groupe musical
Laurent Brunot – Secrétaire national des Porte Drapeaux de France
Christophe Bugeau – Patriote, Bordeaux
Françoise Cabaré – Enseignante
Paul Delorme – Ligue du Midi Vallée du Rhône
Raphaël Delpard – Patriote
Jean-Michel Denis Baron – Greffier de justice,
Marie-José Duhalde – Patriote
Claudine Dupont-Tingaud – Réagir (Finistère)
Pierre Esclafit – Patriote
Jean Claude Faffa – Ligue du Midi Périgord
Carine Faure – Aide médico_psychologue
Michelle Favard – Patriote
Jérémy Fontaine – Technicien sanitaire social
Claudie Fournier – Ambulancière
Noël Gavand – Patriote
Bernard Gay – Patriote, Arcachon
Olivier Gillot – Ligue du Midi Gironde, viticulteur
Enzo Giornale – Citoyen de Provence
Pierre Girondeaud – Retraité
Pierre Godicheau – Président de l’Association Libérale et Sociale
Simon Guiraud – Aide soignant
Davide Harter – Technicien Enedis
Michel Hospital – Vétérinaire, Conseiller municipal Marmande
André Jahan – Ligue du Midi Hérault
Dominique Jarlant Scoazec – Assistante maternelle
Philippe Jusla – Trésorier de La Meute France
Nicolas Lacave – CNRE
Philippe Lafourcade – Patriote
Claude Laurent – Informaticien retraité et gilet jaune
Florian Lelong – Etudiant, Patriote
Laetitia Lepoivre – Assistante maternelle
Stéphanie Lesieur – Patriote
Christian Lesur – Patriote Gard
Guillaume Letellie -Patriote
Jean Louis Levoux – Patriote, Ligue du Midi
Laurent Matras – Artisan maçon
Henri Lods-Mellet – Ligue du Midi Gard
Serge Lopez – Technicien Bâtiment
Nicole Loslier – Patriote
Cédric Mabille – Ligue du Midi Hérault
Régis Maitre – Patriote Montpellier
Isabelle Masselot – Animatrice commerciale en galerie d’art
Jean Miclot – Patriote Gard
Christine Miquel – Gilet jaune
Jean Marc Neyret – Commercial
Jean Ninot – Patriote Occitanie
Lucien Samir Oulahbib – Auteur, enseignant
Lalanne Michel Pastor – Médaillé Patriote de France
Cécile Peyridieux – Ligue du Midi Hérault
Gérard Pince – CNRE
Bojo Pinek – Patriote, Ligue du Midi
Florence Prost – Patriote
Thierry Puech – Patriote, Montpellier
Philippe Randa – Editeur
Alice Reynald – Ingénieure sûreté dans le Gard
Denis Ribaimont – Chauffeur routier
Edmond Richter – Psychothérapeute
Yohann Rimokh – Avocat
Roger Paquet – Ambulancier
Mélanie Rock – Comptable
Francis Rognon – Ligue du Midi Lyon
Guy Rolland – Identitaire Tarn
Allain Romuald – Patriote
Jean Paul Saint Marc – Enseignant à la retraite
Pierre Saladin – Patriote Vallée du Rhône
Michel Salanon – Chroniqueur « le Phare fouilleur »
Albert Salon – Ancien ambassadeur, docteur d’État ès lettres
Jean Baptiste Santamaria – Philosophe
Anne-Marie Schaapman – Ligue du Midi, Alès
Ann Seban – Ligue du Midi Gard
Michele Servant – Retraitée
Luc Sommeyre – Occitanie, ré information
Candy Soury – Agent de maîtrise Rivesaltes
Paul Thurin – Patriote
Paul Valenty – Gilets Jaunes
Thierry Vincent – Patriote Occitanie
Maurice Vidal – Ecrivain
Vincent Vidal – Responsable SIEL Provence
Edmond Vossier – Cercle des Citoyens Patriotes
Hildegard von Hessen Am Rhein – Rédacteur de Dreuz
Olivier Yvon – Industrie Aéronautique
Olivier Zozor – Paysagiste   100




Islamisation des entreprises françaises : plus aucun secteur n’est épargné

Eric Denécé est un spécialiste du Renseignement, à l’autorité mondialement reconnue. Il évoque fréquemment la réalité de nos entreprises et l’influence que les musulmans radicalisés y exercent. Une occasion pour notre journal, auquel il a déjà répondu à une interview il y a dix ans, de faire le point avec lui…

Riposte Laïque : Vous êtes le directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R). Pourriez-vous nous expliquer en quoi consistent vos activités ?

Eric Denécé : Depuis 18 ans, le CF2R travaille dans trois directions : sur l’histoire du renseignement, afin de redonner sa juste place à cette activité dans l’Histoire ; il suit de près toutes les évolutions du renseignement contemporain, français et étranger (lois, budgets, réorganisations, recrutements, opérations, contrôle parlementaire, etc.) : enfin, le CF2R se consacre à l’analyse de la sécurité nationale et internationale (subversion, contestation, crises, conflits, criminalités, etc.).

Évidemment, les problématiques de l’islam radical et du terrorisme djihadiste sont au cœur des nos préoccupations et de nos travaux, au même titre que la montée en puissance de l’écoterrorisme ou que les conflits syrien et yéménite.

Riposte Laïque : Vous avez été  l’auteur, en 2005, d’un rapport, appelé « Rapport Denécé », considéré comme l’équivalent du rapport Obin à l’école, sur le radicalisme musulman dans les entreprises. Pouvez-vous nous rappeler les faits, et l’accueil qu’a eu votre rapport ?

Eric Denécé : Ce rapport était issu d’une étude menée, à partir de 2003, avec plusieurs entreprises françaises des secteurs de la grande distribution, du transport de pli et du gardiennage, touchés prématurément par le phénomène. Tous les signes avant-coureurs de la situation actuelle y étaient clairement décelables.

Lors de la publication du rapport, j’avais fait une émission dans la matinale d’Europe 1 en compagnie du journaliste Laurent Cabrol. Nous avions fait exploser le standard, tant les appels téléphoniques de femmes et d’hommes d’entreprise étaient nombreux pour confirmer mes propos. Malheureusement, aucun n’a jamais voulu témoigner. Il en a été de même avec le recteur de la mosquée de Paris, M. Dalil Boubakeur, qui m’avait alors appelé pour me dire que ce rapport était pertinent… mais en dessous de la réalité ! Lui non plus n’a jamais voulu tenir de tels propos publiquement, alors qu’il mesure chaque jour la radicalisation d’une partie de la communauté dont il a la charge.

Riposte Laïque : Il y a dix ans, le regretté Roger Heurtebise vous avait déjà interviewé, pour Riposte Laïque (https://ripostelaique.com/Eric-Denece-les-grandes.html). Vous évoquiez la présence, de plus en plus nombreuse, de musulmans radicalisés dans les entreprises françaises. Dix ans plus tard, je présume que votre constat doit encore être plus alarmant, non ? 

Eric Denécé : Malheureusement, oui. Il semble cependant qu’il y ait eu une phase de ralentissement entre 2008 et 2013, où le phénomène semble avoir été moins marqué. À moins que nous n’ayons recueilli moins de témoignages… En revanche, il est reparti à la hausse depuis et touche désormais tous les secteurs économiques sans exception, du monde industriel à celui du bâtiment et des travaux publics, de l’enseignement à l’encadrement sportif, et jusqu’aux grands cabinets de conseil en management et aux sociétés de Private Equity. Et ce qui est encore plus préoccupant, c’est que cette radicalisation concerne de plus en plus fréquemment des femmes et des hommes avec un niveau d’études supérieures, et non plus des individus en situation d’échec scolaire et professionnel.

Face à cela, rien de vraiment sérieux n’est fait. Le gouvernement a certes débloqué des budgets pour que des spécialistes aillent parler de fait religieux et de radicalisation dans les entreprises. Mais cela a été globalement un fiasco, car ceux qui ont récupéré ces budgets n’ont, dans la très grande majorité des cas, pas été à la hauteur, soit par incompétence, soit par méconnaissance de la problématique dans les entreprises, soit parce qu’ils sont restés dans le politiquement correct. Comme nous le constatons lors de nos interventions auprès d’acteurs économiques publics et privés, les entreprises considèrent que cela ne les a aidés en rien et que tout reste à faire. Des budgets ont ainsi été dilapidés au profit de quelques acteurs dont l’action a été nulle.

Riposte Laïque : Notre amie Ghislaine Dumesnil a raconté, à partir de 2012, la réalité de ce qui se passait à la RATP. Elle a parlé du rôle de la discrimination positive à l’embauche, de la complicité des organisations syndicales, et de l’islamisation progressive de son dépôt. Elle a payé cher son courage, puisqu’elle a fini par quitter l’entreprise. Vous n’avez pas dû être très surpris ?

Eric Denécé : Le cas de Ghislaine Dumesnil est tout à fait emblématique et je voudrais commencer par saluer son courage. Elle a été la première à témoigner de l’ampleur du problème en interne à la RATP. C’est particulièrement édifiant. Il a été possible de le mesurer lors des attentats de 2015, puisque l’un des terroristes était salarié de l’entreprise publique. Mais la RATP a décidé de mettre le couvercle sur ce phénomène et dissimule effrontément la réalité de la situation. Ses représentants annoncent aujourd’hui urbi et orbi que la situation a changé, que le problème est réglé, que tout va bien. Ce sont là des mensonges honteux, de facto couverts par l’État.

D’ailleurs ce dernier est d’une passivité coupable face à ce phénomène, au risque d’entraîner l’apparition de réactions extrémistes. Force est de constater qu’en réalité les autorités ne savent guère comment gérer ce problème et ne font finalement rien de concret ni d’efficace.

Riposte Laïque : Vous évoquiez également, il y a dix ans, le rôle de l’extrême gauche, violente, dans certaines entreprises. Cela s’est-t-il également confirmé, et accentué ?

Eric Denécé : En effet, nous observons un retour en force progressif des activistes d’extrême gauche, anarchistes, anticapitalistes, qui agissent aujourd’hui derrière le paravent de « micro-causes » : la défense de l’environnement, la défense du droit des animaux, la lutte pour le droit à l’immigration, etc. Leur but demeure depuis toujours de « faire exploser » un système qu’ils exècrent. Mais la menace qu’ils représentent n’est pas nouvelle et elle est bien moindre que celle de l’islamisme radical et terroriste.

Parallèlement, il convient de ne pas négliger la résurgence de groupes d’extrême droite, dont certes les médias grossissent l’importance à dessein. Ils se sont renforcés ces dernières années face à l’inaction des autorités face à l’islamisme et aux phénomènes migratoires incontrôlés. Mais il serait catastrophique qu’ils passent à l’action car cela ne ferait que déclencher d’épouvantables réactions en chaîne.

Riposte Laïque : De nombreux Français se posent des questions sur les nombreux « incidents » qui touchent la SNCF et sont capables de paralyser des gares plusieurs heures, voire deux jours. Que pensez-vous de ces différentes pannes et incendies mystérieux ? 

Eric Denécé : Je considère qu’à défaut de preuves, il convient toujours de rester prudent. On peut toujours formuler des hypothèses, mais le risque est de tomber dans le complotisme. Seules des investigations poussées et argumentées permettent de se prononcer sur de tels phénomènes, dont les origines sont souvent multiples (incidents, malveillance, voire sabotage).

Riposte Laïque : Pensez-vous que les entreprises françaises exposées (transports, nucléaire, raffineries…) sont suffisamment protégées face au recrutement d’autres Samy Amimour, cet ancien machiniste de la RATP qui s’est fait exploser au Bataclan ? Craignez-vous un jour une catastrophe dans un avion, un train, un métro ou une centrale nucléaire ? 

Eric Denécé : Nul ne peut écarter une telle perspective, mais je crois qu’il convient de rappeler qu’en dépit de l’horreur des actes qu’il commet, le terrorisme est un épiphénomène. S’il fait régulièrement la Une des médias depuis 2001, son efficacité opérationnelle est minime. Quitte à choquer, il convient de rappeler que moins de 300 de nos compatriotes ont perdu la vie dans des attentats en 17 ans, soit en moyenne moins de 20 par an. C’est insupportable, mais il s’agit là de la plus faible cause de mortalité violente en France, plus faible que les victimes de noyade ou d’avalanche. Nous en avons une vision faussée due à la médiatisation de ces actes inexcusables qui détruisent des vies et des familles.

En revanche, la vraie menace, c’est la tentative de subversion et d’islamisation de la société française par les milieux salafistes, wahhabites et les Frères musulmans. C’est là quelque chose de bien plus dangereux que le terrorisme de Daech ou d’Al-Qaïda, car cela ne déclenche pas un phénomène de rejet similaire.

Riposte Laïque : Si un salarié d’une entreprise, comme Ghislaine Dumesnil l’a fait en 2012, veut témoigner sur la réalité de son entreprise, peut-il s’adresser à vous ? Sinon, que lui conseillez-vous ? 

Eric Denécé : Oui, le CF2R recueille de nombreux témoignages en la matière, notamment à l’occasion de nos interventions en entreprise. Mais pour des raisons de confidentialité, nous ne publions rien en la matière. Toutefois, ces témoignages sont indispensables pour que certains de nos contemporains qui pensent qu’il s’agit là de vues de l’esprit, prennent conscience des choses ; c’est également utile afin d’élaborer des réponses à ces situations.

Riposte Laïque : Souhaitez-vous ajouter quelque chose, pour conclure cet entretien ?
 
Eric Denécé : Oui. Je crois que nous nous trompons dans deux domaines. D’une part nous ne sommes pas assez durs avec ceux qui véhiculent dans notre pays ce fascisme islamique dont le but est, sans ambiguïté, d’islamiser durablement la France. Nous ne faisons rien pour interdire ces idéologies néfastes, fermer mosquées, librairies et chaînes TV, interdire la venue sur notre sol de prédicateurs étrangers, etc. Nous sommes comme tétanisés face à cette subversion. Or, face à cette menace, être politiquement correct, c’est être islamiquement complice.

D’autre part, nous sommes souvent trop durs avec nos compatriotes musulmans « laïques », qui sont pris entre le marteau des islamistes et l’enclume de la suspicion. Certes, ils sont très clairement l’enjeu de tentatives de récupération par les islamistes, mais la grande majorité d’entre eux n’adhèrent pas à cette vision archaïque, haineuse et obscurantiste de l’islam. Certains leur reprochent leur passivité dans la situation actuelle et il est vrai qu’on ne les voit pas se manifester. C’est à la fois le signe qu’ils ne se pensent pas nécessairement d’abord comme « musulmans » dans la société française ; c’est aussi l’absence de prise de position ferme des autorités face aux extrémistes islamistes qui les amènent à faire profil bas devant un avenir incertain.

Enfin, un dernier point me semble essentiel. Le cœur du problème se situe au Moyen-Orient, principalement en Arabie saoudite et au Qatar. Nous avons là deux États à l’idéologie malfaisante qui disposent de moyens financiers considérables. Bien que wahhabites, salafistes et Frères musulmans ne représentent qu’une minorité de l’islam sunnite, ce sont eux qui pourrissent le monde actuel en exportant partout, jusque dans nos banlieues et nos entreprises, leur fascisme islamique et leur volonté de domination. Et ils bénéficient de l’appui total de ces deux États, lesquels ne s’en cachent même pas. Or, la France – comme l’Occident en général – continue d’entretenir des relations diplomatiques et amicales avec ces deux royaumes pervers dans l’espoir de glaner quelques contrats, alors même qu’ils mènent une véritable politique de subversion de notre société.

Nous sommes là en pleine contradiction. Il est indéniable que les « cadeaux » dont bénéficient nos « élites » politiques de la part de Riyad et de Doha ne les incitent pas à réagir. Pour paraphraser Lénine, les Saoudiens pensent clairement que « les Occidentaux nous vendront la corde avec laquelle on les pendra ! » C’est donc contre eux qu’il faut agir, rapidement et sans faiblesse. Sans cela, le problème perdurera et connaîtra chaque jour plus d’ampleur.

Propos recueillis par Pierre Cassen