Lors de ses voeux, Macron a fait trois bras d’honneur aux Français

Monsieur le Président,

Votre prestation est un monument d’hypocrisie. C’est ahurissant. Une fois de plus vous vous foutez ouvertement du peuple français en lui présentant vos vœux pour 2019.

Je ne reviens pas sur le bilan que vous brossez de votre action et sur votre volonté de poursuivre vos réformes.

Je constate que vous n’avez eu aucun mot de  compassion pour les Gilets jaunes en détresse, vous contentant d’énumérer les exactions commises, sans citer les coupables, ces casseurs d’extrême-gauche et ces loubards de banlieue venus piller les beaux quartiers.

Vous dénoncez la montée des extrêmes sans expliquer pourquoi le peuple exaspéré se détourne de votre politique injuste qui consacre la préférence étrangère.

Vous évoquez l’immigration comme un phénomène inéluctable compte tenu de la démographie africaine, en omettant de dire que l’Italie, l’Australie ou la Hongrie ont mis fin à l’invasion avec des mesures énergiques.

Monsieur le Président, vous mentez en faisant croire aux Français que les migrations sont une fatalité.

Votre premier vœu pour 2019 est un vœu de vérité alors que votre quinquennat n’a été que mensonge et trahison depuis 18 mois.

Comment osez vous parler de vérité alors que l’affaire Benalla, qui revient au devant de la scène n’est qu’un chapelet de mensonges et de non-dits ?

Vous dénoncez les “fake news” alors que vous êtes le premier à mentir au peuple en prétendant que le Pacte de Marrakech n’est pas contraignant. Si c’était le cas, une douzaine de pays occidentaux ne se seraient pas abstenus de le signer !

Vous voulez de la transparance, de l’humilité, du dialogue. On croit rêver. J’évoque plus loin votre façon de gouverner. Tout le contraire de votre discours de ce soir.

Votre deuxième vœu est un voeu de dignité et de respect du citoyen.

Comment osez vous oublier que vous n’avez cessé d’insulter et de mépriser le peuple ? Les agriculteurs, vous les laissez crever avec 350 euros par mois pendant que vous consacrez 50 000 euros par an pour chaque mineur isolé. 40 000 MNA en 2018 ! Combien en 2019 ? 60 000  pour un coût de 3 milliards que paieront les Gilets jaunes ?

La liberté d’opinion ? Mais vous voulez légiférer pour faire taire les patriotes, ces lépreux populistes que vous haïssez !

L’ordre républicain ? Mais allez donc le rétablir dans les banlieues islamisées au lieu de matraquer les GJ !

Votre troisième vœu est un vœu d’espoir.

Vous parlez de liberté, de maitrise de notre destin ! Comment osez-vous ?

Les Français ne veulent plus d’immigration et d’islamisation de leur pays, mais vous leur imposez le Pacte de Marrakech qui organise le tsunami migratoire et interdit toute critique des migrations.

Vous défendez le projet européen qui nous a dépossédés de notre souveraineté monétaire, territoriale, budgétaire, diplomatique, judiciaire.

On ne peut même plus expulser un délinquant étranger sans que la CEDH n’y mette son nez.

Et cerise sur le gâteau, vous osez nous parler d’amour de la patrie, de votre fierté des Français que vous avez traînés dans la boue pendant 18 mois.

Par conséquent, ne vous faites aucune illusion. Quels que soient vos mea-culpa, quels que soient vos regrets pour vos comportements passés, les Français ne se laisseront pas amadouer par vos vœux pour l’année 2019. C’est trop tard, la confiance a disparu à jamais. Vous les avez trop souvent bernés.

Les Français ne vous aiment pas car vous les avez trahis dès le premier jour où vous avez décidé de vous lancer dans la campagne présidentielle. Insultes et mensonges permanents sont la marque de votre gouvernance. Vous n’avez pas de respect pour le peuple et encore moins pour les petits métiers.

Mais que serait un général sans la confiance de ses soldats ? On vous dit intelligent mais l’évidence vous échappe…

Il est donc totalement illusoire d’espérer  tourner la  page de 2018, véritable année noire de votre présidence, qui a définitivement plombé votre quinquennat et fait de vous le plus malaimé des présidents de la Ve République.

En un an, votre cote de confiance s’est effondrée de 23 points pour atteindre 21 %.

Certains n’hésitant pas à balancer votre portrait au bout d’une pique.

Vous n’avez été élu que par les 24 % des électeurs du 1er tour de la présidentielle. Mais le mode de scrutin vous a permis de rafler 60 % des sièges de l’Assemblée et la Constitution vous attribue 100 % du pouvoir de décision, soit bien davantage que celui dont dispose le président des États-Unis !!

Rien ne peut se faire sans votre aval.

L’histoire de votre prise de pouvoir, avec la torpille qui a frappé Fillon sous la ligne de flottaison reste à écrire. Qui a monté cette machination diabolique pour couler Fillon, alors que la droite jugeait cette élection imperdable pour son champion ?

En mai 2017, vous aviez donc tous les atouts en mains. Un boulevard s’ouvrait devant vous pour rendre à la France la grandeur qu’elle avait encore à la fin des Trente Glorieuses.

Une opposition laminée comme jamais, des syndicats à bout de souffle incapables de mobiliser leurs troupes, des médias totalement subjugués ne jurant que par Macron, une aura internationale dont rêverait n’importe quel chef d’État étranger et un peuple français s’étant quand-même décidé à vous suivre pour réformer un pays malade de 40 années d’immobilisme et de culture de l’échec.

Hélas, c’était sans compter avec votre ego démesuré, avec votre arrogance, avec votre mépris du peuple que vous n’avez cessé d’humilier et d’insulter. Voilà 40 ans qu’on vous rabâche que vous êtes le plus beau et le plus intelligent. Alors, vous avez fini par vous prendre pour le Mozart de la politique, le nouveau roi d’Europe pouvant tout se permettre.

Vous n’aimez pas la France puisque vous l’avez accusée de crime contre l’humanité en Algérie et avez nié sa culture propre. Quelle bassesse !

Vous l’avez même salie de façon ignoble devant les 193 États de l’ONU :

“Je viens d’un pays qui a fait beaucoup d’erreurs, beaucoup de mauvaises choses”. Aucun chef d’État au monde n’insulte ainsi son pays. C’est de la trahison.

Par ces propos, vous vous êtes révélé indigne de gouverner notre France millénaire qui a derrière elle des siècles de grandeur et tant de personnages illustres qui l’ont fait rayonner sans  jamais la salir.

Vous n’aimez pas notre armée puisque vous avez humilié publiquement et poussé à la démission le CEMA dès le 14 juillet 2017, en osant rappeler à ce grand soldat “Je suis votre chef”. Difficile de faire plus ridicule face à un grand serviteur de la France, dont la fidélité et le dévouement sont au dessus de tout soupçon.

Et le 11 novembre vous n’avez même pas daigné célébrer dignement le Centenaire de la victoire de nos Poilus, lui préférant un Forum pour la Paix qui ne sert à rien mais qui vous permet uniquement de briller sur la scène internationale. Chez vous, tout n’est que calcul.

Et pour mettre un peu de vinaigre sur les plaies, vous avez sali notre armée en l’accusant d’avoir pratiqué la torture en Algérie, oubliant les actes terroristes et les abominations perpétrées par le FLN  contre nos soldats et les populations civiles. Un procès à sens unique contre nos militaires qui servent la France. Ce n’est pas ce qu’on attend du Chef des armées.

En quelques mois, vous vous êtes mis à dos Poutine, Trump, Salvini et Orban, pour la simple raison qu’ils ne partagent pas vos délires mondialistes qui ruinent l’Europe et détruisent la France. Mais aujourd’hui, vous voyant embourbé dans la révolte des Gilets jaunes, vos quatre cibles préférées ricanent et on les comprend.

Ce jeune président français arrogant, qui prétendait donner des leçons au monde entier, doit en rabattre !

Vous vous mettez le monde entier à dos car vous ne supportez pas la contradiction. Toute la planète  doit penser comme vous, le premier de la classe ! Comme si les peuples américain, russe, italien ou hongrois n’étaient pas libres de mener la politique qui convient à leurs propres intérêts. Tout le monde ne rêve pas d’un mondialisme délirant !

Le peuple français vous l’avez toujours insulté dès le premier jour. Tantôt “illettré” ou “alcoolique”.  Tantôt “fainéant” ou “moins que rien”, incapable de se réformer.

Quant à la majorité de Français qui ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un frein à l’intégration, vous les traitez de lépreux populistes, vos sbires n’hésitant pas à les mettre dans le même sac que les nazis en se référant aux années 30. Une telle fourberie est pitoyable !

Agiter un drapeau français en clamant “On est chez nous” devient un délit !

L’échec de l’intégration et les ravages de l’islamisme qui transforme nos banlieues en mini-califats, vous n’en parlez jamais. Votre ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a pourtant démissionné pour cette raison, nous alertant sur le risque imminent d’un embrasement généralisé des banlieues.

Mais votre unique combat, c’est celui des “progressistes” contre les “populistes”.

Il est clair que vous manquez d’expérience et que votre jeunesse est synonyme d’amateurisme. Le danger du Grand Remplacement vous le niez alors que dans une génération, les natifs seront devenus minoritaires dans leur propre pays, avec les bouleversements et les conflits interethniques et interconfessionnels que l’on imagine.

Le terrorisme a déjà fait 250 morts et 1000 blessés depuis 2015. Et les Français subissent 1000 agressions gratuites par jour, mais vous refusez de sévir et de construire les 15 000 places de prison promises en 2017 !

Votre société multiraciale paradisiaque sera un enfer.

Votre politique désintègre la nation alors qu’on attend votre protection, comme le font un Salvini ou un Orban, qui donnent priorité aux intérêts de leur peuple.

Vous bradez la France et combattez les patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel. En signant le Pacte de Marrakech, vous avez signé l’arrêt de mort de la France de nos ancêtres, pour faire des Français des citoyens du monde, sans Histoire ni héritage culturel, parce que votre obsession est de bâtir une France post-nationale, noyée dans le grand village mondial multiculturel.

C’est un crime contre les Français et une trahison envers nos Poilus qui se sont sacrifiés pour notre liberté.

Et que dire de vos frasques qui salissent la fonction présidentielle alors qu’on attendait que vous lui redonniez un peu de lustre après les comportements humiliants de Hollande, lors des affaires Leonarda et Théo ?

Lors de la Fête de la musique, sur les marches de l’Élysée, une troupe de danseurs en bas résille et marcel a craché ses insanités devant un couple présidentiel tout sourire, dont la photo dégradante a fait le tour du monde.

De Gaulle doit se retourner dans sa tombe à la vue d’un tel boxon, là où tant de rois et de grands de ce monde ont été reçus avec faste et honneurs !

Ensuite, vous avez alimenté le scandale à Saint-Martin, en prenant la pose avec un jeune délinquant dépoitraillé, faisant un doigt d’honneur devant l’objectif ! Une photo qui a également fait le tour du monde, ternissant un peu plus votre image de premier de la classe et faisant honte au peuple français. Quel gâchis !

Mais ce sont surtout vos mensonges qui vous ont discrédité. Ils sont quotidiens.

Vous aviez promis de respecter le référendum approuvant la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Mais par lâcheté vous avez botté en touche, en trahissant les électeurs et en bafouant 178 décisions de justice favorables au projet, pour donner raison à une poignée de squatteurs d’extrême- gauche occupant illégalement le terrain depuis 10 ans !

Ce faisant, vous avez bafoué à la fois la démocratie et la justice.

À cinq reprises pendant la campagne électorale vous avez répété devant les médias que vous ne toucheriez pas aux retraites. On voit le résultat aujourd’hui, la révolte des Gilets jaunes est le résultat de votre aveuglement  face à la détresse de la classe moyenne, saignée par votre politique mondialiste qui oblige le peuple à partager son modeste pouvoir d’achat avec toute la misère du monde.

Le peuple est écrasé d’impôts pour fiancer le coût démentiel de l’immigration de masse de pauvres non qualifiés, totalement improductifs.

Que chaque Français dépense 2000 euros par an pour financer l’immigration n’est pas votre problème. Mais cela va le devenir, car la révolte des GJ ne fait que commencer.

L’immigration de pauvres ne peut que niveler la France par le bas et donc ruiner un peu plus les Gilets jaunes. Tout va s’aggraver car vous niez le danger de l’immigration de masse.

Toute votre politique est vouée à l’échec si vous ne fermez pas les frontières. C’est inéluctable. L’immigration est la cause essentielle de nos  2300 milliards de dettes. 45 milliards partent chaque année pour payer les intérêts de nos créanciers étrangers. C’est 4,5 fois ce que les Gilets jaunes ont obtenu suite à leur révolte.

Appauvrissement généralisé et désintégration de la nation sont au bout du chemin de toute politique mondialiste. Le “vivre ensemble” n’existe nulle part dans le monde.

50 % des jeunes musulmans, parfaitement manipulés par les barbus, souhaitent l’instauration de la charia et vous ouvrez encore plus largement les frontières ! C’est irresponsable. Plus l’intégration échoue, plus vous chargez la barque.

Ce sont des légions de migrants qui errent dans nos rues car les structures d’accueil sont depuis longtemps saturées. Vous avez perdu le contrôle de la situation aux frontières, à Calais et à Paris.

Mais c’est le 1er Mai 2018 que l’opinion a vraiment basculé et que votre descente aux enfers a commencé, inexorable, incontrôlable, parsemée d’erreurs de communication grotesques et de magouilles sordides.

Les violences de Benalla, usurpant la fonction de policier pour molester des manifestants, ont d’abord été camouflées par l’Élysée et ensuite traitées par le mépris et l’arrogance. Pourquoi fanfaronner ?

« S’ils veulent un responsable, il est devant vous, qu’ils viennent me chercher ».

Commission d’enquête de l’Assemblée totalement sabotée, perquisition au domicile de Benalla bâclée, avec disparition du coffre-fort dans la nuit, sans qu’il y ait la moindre demande d’enquête pour connaître le contenu dudit coffre !

Aucune explication sur les incroyables privilèges dont bénéficiait Benalla, soi-disant simple porteur de valises, responsable de la logistique des voyages présidentiels, mais mieux traité qu’un ministre d’État !

Que cache une telle protection ? Qui est le véritable Benalla qui menace de parler ? Le peuple attend vos réponses alors que vous vous réfugiez dans le silence, quand ce ne sont pas les communiqués de votre entourage qui cherchent à noyer le poisson et se contredisent.

Car il y a obligatoirement anguille sous roche après cette panique qui dure depuis 6 mois.

L’affaire des passeports diplomatiques et des multiples voyages de Benalla en Afrique, en Turquie et en Israël vient de montrer que l’Élysée a menti en prétendant que les ponts avaient été coupés avec votre ex-conseiller.

Et aujourd’hui, Mediapart  balance une nouvelle grenade dégoupillée dans les couloirs du Palais.

Benalla vient d’affirmer qu’il était régulièrement en contact avec vous depuis son licenciement et Mediapart a confirmé ce jour que les messages échangés “ont été authentifiés”.

Donc le pouvoir  a menti. Benalla n’est pas devenu le paria de l’Élysée et n’a jamais été en disgrâce.

« Ça va être très dur de le démentir parce que tous ces échanges sont sur mon téléphone portable », dit Benalla.

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2018/12/30/25001-20181230ARTFIG00036-alexandre-benalla-promet-de-rendre-ses-passeports-diplomatiques.php

Que peut espérer le peuple d’un président qui ment sans arrêt, dit tout et son contraire ?

Quel crédit accorder à ses promesses d’écoute ? Que penser d’un  “grand débat national” redonnant la parole au peuple pour l’associer aux décisions qui engagent son avenir ?

Dès lors que vous avez évacué du débat sur l’immigration et l’islam, les deux sujets existentiels qui conditionnent l’avenir même de notre nation millénaire, il ne peut y avoir de confiance entre l’Élysée et le peuple.

Par conséquent, ces vœux présidentiels pour 2019 n’ont aucune chance de rétablir le lien indispensable entre un peuple et ses élus.

Votre objectif est la disparition des nations, dans le droit fil du programme de l’ONU qui veut l’abolition des frontières et un grand brassage des peuples, ce qui va anéantir la civilisation occidentale.

Mais les patriotes n’accepteront pas de sacrifier leur patrimoine culturel et leur identité pour satisfaire vos délires mondialistes.

Après la révolte sociale des Gilets jaunes viendra le sursaut identitaire salvateur pour défendre notre civilisation et notre identité.

Pour vous, monsieur le Président, l’aventure féérique de mai 2017 est terminée. La descente aux enfers va se poursuivre parce que vous refusez d’écouter le peuple qui a toujours le dernier mot.

Contrairement à un Trump, un Salvini ou un Orban, vous préférez écouter les mondialistes de l’UE ou de l’ONU, plutôt que d’écouter le peuple français. C’est ce qui va vous perdre.

Jacques Guillemain

 




Excellente année 2019 aux lecteurs RL et à tous nos “frères populistes” européens !

Cette aube lumineuse de liberté retrouvée, se lèvera-t-elle définitivement en 2019 ?

2019 sera-t-elle enfin l’année du triomphe des peuples sur les mondialistes fous ?

C’est la première des choses que je souhaite pour la France, pour nous-mêmes, nos enfants et petits-enfants, qui pourraient comme nous recommencer à être fiers de ce pays qu’on leur vole délibérément, pour l’offrir à des souillons ayant vite fait d’y mettre le souk, la saleté et la misère… tout comme dans leurs pays d’origine qu’ils s’empressent de quitter pour l’Eldorado européen, que les dégénérés de la clique UE leur promettent.

Nous saurons dès cette nuit si le lâche Castaner donnera ordre à ses policiers les plus indignes (ceux qui sont sans doute volontaires pour casser du citoyen lambda exerçant son droit de manifester !) de procéder, entre autres, à des tirs tendus au niveau du visage… avec les toutes nouvelles armes commandées en urgence, précisément avec le fric refusé aux plus démunis d’entre nous… contre les petites ordures se livrant à leur activité favorite : l’incendie de véhicules appartenant toujours curieusement aux classes laborieuses,  dont certains parfois n’ont pas encore totalement payé le crédit y afférent.

Mais quel que soit ce bilan, deux choses réjouissantes sont absolument certaines :

Rappelons ce que Cyrano souligne avec réalisme dans ses vœux pour 2019 :

https://ripostelaique.com/voeux-2019-pour-une-nouvelle-revolution-francaise-macron-dehors.html

C’est Nathalie Perez qui rigole bien quand un journaleux fait un bras d’honneur aux GJ

Notre ami Charles Demassieux, présent au milieu des Gilets jaunes, ce samedi, devant l’immeuble de France Télévisions, a pris un cliché exceptionnel, montrant, derrière les vitres, un journaliste faire un bras d’honneur aux Gilets jaunes, avec à ses côtés une journaliste qui pouffait de rire devant l’acte héroïque de son confrère.

https://ripostelaique.com/qui-est-ce-vaillant-journaliste-de-france-televisions-qui-fait-un-bras-dhonneur-aux-gj.html

J’avais lancé un appel à nos lecteurs pour que nous connaissions au plus vite l’identité de ces deux vaillants défenseurs de la démocratie, puisqu’il paraît, selon l’ineffable Griveaux (tête de veau), que quand on attaque la presse, on attaque la démocratie.

Concernant la journaliste, cela n’a pas été long à l’identifier. Il s’agit de Nathalie Perez, journaliste sur FR3. Bien sûr, quelques mauvaises langues nous ont fait parvenir un de ses lapsus les plus marquants…

Nous avons donc pris note que le fait qu’un de ses collègues, bien protégé par les forces de l’ordre, fasse un bras d’honneur aux Gilets jaunes paraît la combler d’aise. Dont acte.

Mais qui est ce collègue. Nous ne vous le cachons pas, à l’heure où cet article est bouclé, nous n’avons aucune certitude. La piste principale paraît être celle d’un autre journaliste, Pierre Nicolas, de France 3. Mais la piste paraît incertaine, d’autant plus qu’il aurait été licencié par France 3 en 2015 pour faute professionnelle grave.

D’autres ont pensé au journaliste sportif Patrick Monteil.

D’autre à un homonyme de Pierre Nicolas, Bernard Nicolas.

D’autres à Romain Goupil, qui passe sa vie sur les plateaux de télévision à dégueuler sur les Gilets jaunes.

D’autres, enfin, ont évoqué un autre journaliste de France 3, Jean-Marc Pitte…

Donc, 24 heures après la diffusion de cette photo, qui confirme le mépris, voire la haine, de la caste journalistique à l’encontre des Gilets jaunes, Nathalie Perez est identifiée, mais concernant l’homme au bras d’honneur, le doute demeure…

Plus que jamais, amis lecteurs, je compte sur vous…

Lucette Jeanpierre




Que la France soit débarrassée de Macron et le monde de la mondialisation !

Qu’est-ce qu’il nous faut pour être heureux ? Je nous le souhaite, à nous patriotes, à nous fiers et irréductibles Gaulois, à nous Français, à nous héritiers d’une histoire de 2000 ans dont nous pouvons être fiers.

Qu’est-ce qu’il vous faut pour être heureux ? Je vous le souhaite, et en tout premier, que vous et ceux que vous aimez soient en bonne santé, aient de quoi manger à leur faim, un emploi et un logement décents. Mais aussi une école digne de ce nom pour vos enfants, des rues sûres pour eux comme pour vous, un pays débarrassé des clandestins, un pays avec des frontières, des vraies, nationales, et un pays débarrassé du voile, du halal, des mosquées, du communautarisme, du ramadan et des attentats musulmans. Et bien d’autres choses, mais je ne voudrais pas abuser de votre patience ce soir

Mais pour avoir tout cela, il faut, c’est une évidence, que Macron disparaisse du champ politique, qu’il démissionne ou qu’il annonce de nouvelles élections législatives. C’est pourquoi c’est MON premier vœu, mon vœu principal.

Il n’y a pas d’autre solution, pour vous, pour nous, pour la France… et, par ricochet pour le monde. Il n’y a pas d’autre solution, d’ailleurs, pour Macron lui-même, avec des Gilets jaunes encore et toujours dans la rue, avec l’obligation de se terrer comme un lépreux (tiens, tiens, le retour à l’envoyeur), pour fuir les cris de haine et les insultes du bon peuple de France.

Que peut-il faire à présent ? Que peut-il promettre ? Quoi qu’il promette, quoi qu’il dise, plus personne ne l’écoute, ne le croit. Chacun rêve de le voir quitter l’Élysée.

Disparaître ou instaurer une dictature. Ce sont les deux seuls choix qui lui restent. Et s’il opte pour ce dernier, gageons que le peuple de France entrera en insurrection, par millions. Macron est foutu. Il ne peut pas, il ne pourra pas supporter la pression populaire pendant des mois. On se gausse de lui à l’étranger. On serre les fesses à l’étranger…

C’est que si Macron était chassé, d’une façon ou d’une autre, du pouvoir, cela sonnerait le glas de l’UE et de la mondialisation, ces deux pestes qui nous empoisonnent et nous font disparaître, peu à peu. Sans Macron, sans Merkel, que pourrait faire Juncker tout seul face à la contagion du mouvement des GJ partout en Europe et dans le monde, sauf à proposer à l’ensemble des 27 la remise en cause de traités dont les peuples ne veulent pas, sauf à se retrouver à la tête d’une coquille vide ?

Partout le peuple se montre prêt à secouer le joug, on trouve des Gilets jaunes de Londres à Montréal, de Bruxelles à Varsovie…

Cette trouvaille extraordinaire, “les Gilets jaunes, due à de simples routiers et non à des énarques et autres technocrates payés la peau des fesses les rend fous. Et elle sonne le glas pour les européistes, pour les mondialistes, pour les traités et pactes infamants signés dans notre dos et pourtant en notre nom par des bêtes nuisibles.

Oui, jamais le rituel des vœux n’aura été aussi peu rituel et autant près de la réalité.

Cette année, faire des vœux c’est non seulement essayer de prédire l’avenir en fonction de la situation présente, mais c’est, aussi,  avoir une chance de prédire, exactement, ce qui va nous arriver.

Amis Résistants de France et de Navarre, je vous le disais il y a une semaine, pour Noël, le vent tourne. Je le répète ce soir, nous avons la chance de vivre un moment historique passionnant, un tournant fondamental. Il se pourrait bien que, après 1989 qui a vu la chute du mur et de l’URSS, 2019, juste 20 ans après, voie la chute  des pourris de ce monde, qui, de Macron à Bruxelles, de Bruxelles à Alger, de Riyad à New York où siège l’ONU, veut nous réduire en enfance, en esclavage… et, à terme nous faire disparaître.

La révolution, amis Résistants, c’est demain, en 2019, qu’elle doit commencer, qu’elle va commencer ! Les populistes au pouvoir, dans toute l’Europe ! 

Pour le bureau de Résistance républicaine

Christine Tasin, Présidente




Décembre jaune : 31 jours qui ébranlèrent Macron

 

En cette fin d’année 2018, la stature d’Emmanuel Macron tangue de plus en plus. Et voilà que surgit l’affaire Benalla au moment où le président allait réveillonner avec les soldats français du Tchad, histoire de s’affirmer comme chef des armées à défaut de l’être comme chef des Français.

Marqué par plusieurs manifestations, un attentat et diverses tentatives de récupération, décembre 2018 qui a ébranlé la France rappelle à quel point le pays est fracturé, une grande partie de la population ne faisant plus confiance à Macron en dépit de ses tentatives de séduction et de ses promesses. Si après la manif du 1er décembre qui avait mis le feu aux poudres, celle du 8 avait été encadrée par des forces de police démesurées (90000 hommes sur le territoire national dont 8000 à Paris avec engins blindés), c’était dans le but d’intimider les Gilets jaunes dont bon nombre manifestaient pour la première fois. Les interpellations massives de gens pacifiques n’ayant aucun casier judiciaire visaient au même résultat. Mais l’amalgame Gilets jaunes/casseurs fit chou blanc comme le parallèle avec les chemises brunes. Castaner, militant chevronné du PS, passé avec armes et bagages chez Macron, ne refit pas l’erreur d’abandonner l’Arc de Triomphe et les beaux quartiers aux casseurs et aux pillards comme cela avait été patent lors de la manifestation du 1er décembre où les Gilets jaunes avaient été fouillés et contrôlés alors que les voyous, dont la plupart étaient connus des services de police, avaient pu venir armés au cœur de Paris. Des scènes destinées à générer la peur et à renforcer le pouvoir mais les Français avaient éventé le piège.

Le 10 décembre, à 20h, le président qui, jusque-là, se terrait à l’Élysée, s’adresse à son peuple. 23 millions de Français seront au rendez-vous pour entendre celui par qui le soulèvement populaire arrive. Déception sur toute la ligne : la France attendait des réponses sur des questions fondamentales touchant à la fiscalité, à la justice sociale (suppression de l’ISF, fin de l’embrouillamini entre taxes mobilières et taxes immobilières visant à favoriser les plus riches), à la démocratie, à la diminution des dépenses publiques inutiles, à la proposition de référendum d’initiative populaire comme cela se fait en Suisse, pour mettre à nu les problèmes dont souffre le pays et qu’ignore un pouvoir au service des multinationales et n’écoutant pas les souffrances et l’exaspération d’une France méprisée, abandonnée, vouée à la liquidation.

À la place, quelques mesures économiques annoncées à la hâte pour répondre à la colère populaire. Réformes d’ailleurs difficiles à mettre en musique et à appliquer, et qui contournent les problèmes plutôt que de les traiter. Réformes, de plus, qui vont coûter 10 milliards d’euros dont Macron n’a rien dit quant au financement : c’est le montant de l’aide apportée aux migrants tant clandestins que régularisés. Alors va-t-on creuser encore un peu plus la dette ou préparer, en douce, des impôts pour demain?

L’impression d’un cafouillage et d’une incompétence masqués par les sourires. Pourtant Macron avait mis le paquet, jouant son mea-culpa, visage grave, voix brisée, affirmant même son amour du pays, lui qui dans un passé proche accusait la France de crimes contre l’humanité, décrétait qu’elle n’avait pas de culture et traitait les couches populaires de « Gaulois réfractaires », sans doute réfractaires au progrès selon Macron, donc coupables.

Duplicité suprême : le jour même où le président cherchait à nous dorer la pilule, il faisait signer par un factotum dépêché à Marrakech le “Pacte mondial sur l’immigration”, bombe à retardement pour la France et les autres pays signataires. Or, signer ce pacte qui s’inscrit dans le droit fil des visées mondialistes (liquidation des États-Nations, de leur population, leur histoire, leurs racines), c’est favoriser l’immigration, c’est-à-dire la main-d’œuvre bon marché et accroître les bénéfices. Macron montre ici qu’il poursuit la politique de ceux qui l’ont mis au pouvoir pour conforter leur empire.

Ce pacte refusé par bon nombre de démocraties occidentales échaudées par le flux migratoire : États-Unis, Australie, Israël, Italie, Suisse, Pologne, Hongrie, Bulgarie, Slovaquie, République tchèque, Autriche, Lituanie, Estonie…, va constituer un fantastique moyen de pression sur les États. Mais le pacte est présenté comme “non contraignant”, slogan répété en boucle par les tenants du pouvoir et les médias aux ordres, alors que les recommandations de l’ONU seront fort utiles pour réduire les oppositions, comme on l’a vu lors de la loi sur le voile, certains avocats favorables à l’islam en ayant appelé à l’Onu qui avait affirmé le droit à se voiler.

Ce pacte qui, d’entrée de jeu, déclare que « les immigrations font partie intégrante de la mondialisation », ajoute qu’elles « sont facteurs de prospérité, d’innovations et de développement durable » alors qu’elles déstabilisent les pays envahis, fragilisent leur sécurité, déséquilibrent leur économie et engendrent de nombreux bouleversements sociaux. On comprend mieux de tels slogans quand on sait que l’Onu est tenue par les pays du Sud à la natalité galopante qui rêvent d’exporter leur surpopulation vers l’Occident, terre d’asile et de pactole, accompagnées pour certains de leur idéologie conquérante.

Si le pacte revendique pour les migrants « les mêmes droits à la sécurité sociale et aux services sociaux », ce qui est déjà  institué dans notre pays, il propose de « priver de subventions ou d’aides matérielles tous les médias qui promeuvent des formes de discrimination à l’égard des migrants. » Mieux encore, le pacte qui refuse toute “perception négative des migrants” invite à la “promotion des cultes, traditions et coutumes des populations des migrants” et “l’acceptation de la diversité”. On le voit, il s’agit d’accueillir à bras ouverts tous ceux qui réclament le droit à s’installer dans les pays de leur choix : en fait, un droit à l’immigration sans contrôle, la priorité donnée à l’étranger sur l’autochtone, au communautarisme sur l’intégration. Si nombre de pays s’inquiètent d’une pareille bombe qui, disent les Suisses, va devenir “un point de référence pour les années à venir”, Emmanuel Macron, lui, le juge “conforme aux valeurs et aux intérêts de la France et de l’Europe” ! Et ce à un moment où la pression islamique s’intensifie, où une minorité en expansion démographique affirme son hostilité à nos lois, à notre histoire, notre culture, nos croyances, et risque demain de nous recouvrir.

Digne représentant d’une oligarchie insatiable (confer Carlos Ghosn) et sans principes, Emmanuel Macron, qui feint de s’interroger sur le problème de l’islam, ouvre la porte au flux exponentiel alors que nous supportons de plus en plus mal la pression existante et que près de 80 % des Français estiment, tous partis confondus, qu’il y a trop de musulmans en France et qu’il est urgent d’arrêter l’immigration. Mais sans consulter ni le peuple ni le Parlement (pourtant croupion), Emmanuel Macron tout seul décide d’engager le pays sur une pente infernale.

L’actualité, soudain, est venue lui rappeler que notre pays était un lieu où prospère un islam radical, où des territoires entiers échappent au contrôle de la République et sont devenus peu ou prou des embryons de républiques islamiques où règne la charia. Mardi 19 décembre, alors qu’enflait la polémique sur le « pacte de l’immigration », un islamiste (on saura plus tard qu’il avait prêté allégeance à Daesh) ouvre le feu à Strasbourg sur la foule rassemblée pour le marché de Noël, date symbolique. Bilan : 4 morts et de nombreux blessés. Lamentations, marches blanches, dépôts de gerbes, assistance psychologique sont au rendez-vous, mais on aurait préféré plus de fermeté en amont, car le tueur, Cherif Chekatt, 29 ans, offrait un profil édifiant : 27 condamnations, 5 ans de prison en France et en Allemagne, repéré dès 2013 comme radicalisé, puis comme prosélyte violent placé sous surveillance, fiché en 2016 et classé S, donc hyper dangereux et… en liberté !

Mais ayant purgé sa peine et bien que sous surveillance, l’individu ne pouvait être incarcéré préventivement, cela eût été contraire aux droits de l’individu et insupportable pour la bien-pensance. Il a donc eu le temps de se préparer, à preuve les armes découvertes à son domicile qu’on aurait pu perquisitionner avant et non après le massacre.

On retrouve ici le profil classique des futurs islamistes qui, après une jeunesse de petite délinquance, glissent à la grande délinquance avant de se radicaliser souvent en prison. C’est ensuite le passage à l’acte, tantôt de façon spontanée, tantôt par un émir surveillant ses taupes. De Mohammed Merah aux frères Kouachi, de Coulibaly à Cherif Chekatt, en passant par Radouane Lakdim, ils sont 18 qui, de 2012 à 2018, ont ensanglanté la France. Tous ont le même profil, tous classés S et tous libres comme poissons dans l’eau.

On savait pourtant que Strasbourg et sa banlieue abritaient un vivier musulman où, sous l’influence des salafistes, les radicaux prolifèrent : plus de 1000 individus repérés, autant qu’en Seine-Saint-Denis. Combien faudra-t-il donc de morts pour que monsieur Macron sorte de son déni et que l’ordre soit donné d’intervenir durablement et que la justice ne libère pas ceux que la police interpelle. Mais il ne faut surtout pas discriminer les banlieues ou choquer les bobos droits-de-l’hommistes, quand ils ne vont pas quelquefois jusqu’à comprendre les terroristes.

Pourquoi tolérer l’islamisation de quartiers entiers où se recrutent les terroristes, où les prédicateurs sèment la haine de la France au lieu de se livrer à des manœuvres d’intimidation contre les gilets jaunes et à leurs arrestations ? Pourquoi ne pas viser le vrai danger ? il faut choisir entre ceux qui incarnent la France écrasée et qui veulent changer les règles pour aller vers plus de justice, plus d’égalité et, à l’opposé, ceux qui rêvent de la détruire. Et ne pas systématiquement ostraciser ceux qui dénoncent laxisme et complicité. Dénoncer à cor et à cri la « lèpre populiste », sans évoquer jamais la lèpre islamique.

Au terme d’une période qui a fragilisé le pouvoir pendant laquelle celui-ci à usé de tous les stratagèmes possibles pour venir à bout des gilets jaunes, son seul véritable ennemi : mépris, images complaisante des désordres afin de frapper l’opinion publique, menaces, démonstration de force, chantage économique, appel à la raison, union sacrée… le curseur n’a cessé de changer. Dernière trouvaille : l’organisation d’un débat national se proposant de traiter de cinq grands thèmes censés résumer les problèmes du pays et les attentes des gilets jaunes.

Placé sous la houlette de Chantal Jouanno, sarkozyste émérite passé chez Macron, la Commission nationale de débat public(CNDP) est cette énième usine à gaz destinée à produire du vent pour les gogos. Cinq thèmes au départ : l’inévitable transition écologique(pour plaire aux écolos); la fiscalité (pour laisser croire qu’on va s’attaquer aux injustices); l’organisation de l’Etat et des collectivités publiques (pour suggérer qu’on va dégraisser l’administration) ; le débat démocratique et la citoyenneté (vaste débat) ; l’immigration (tout de même). Un vaste fourre-tout où l’on allait débattre de tout et de rien.

Mais on découvrit tout à coup que l’immigration dont Macron disait : « Je veux que nous abordions la question de l’immigration. Il nous faut l’affronter », passait soudain à la trappe pour être intégrée à la sauvette au volet « Démocratie et citoyenneté ». Cynisme du pouvoir qui, d’un côté, à travers le Pacte de Marrakech, ouvre un boulevard à l’immigration au moment où un terroriste endeuille Strasbourg, d’autre part feint d’aborder enfin un problème majeur de notre époque pour aussitôt l’écarter. Parallèlement, les mesures lancées par Macron pour aider les classes défavorisées étaient revues à la baisse.

Dernière annonce au pied levé : le président dit oui au référendum d’initiative populaire (RIC) inlassablement réclamé par les gilets jaunes pour que les citoyens puissent peser sur une politique qui les ignore. Mais il s’agit seulement d’en débattre, non de l’organiser, comme l’a bien précisé Edouard Philippe : occuper les Français avec un miroir aux alouettes qui durera jusqu’aux Européennes. Et plutôt que de répondre aux revendications, essayer d’utiliser les Gilets jaunes pour diviser les Français et permettre à Macron d’être en tête aux Européennes. Mais ceux-ci ne se laisseront pas payer plus longtemps en monnaie de singe, eux qui, en quelques semaines ont tout compris, réinventé la solidarité, dénoncé les vraies profiteurs. La stratégie du pourrissement qui spéculait sur la lassitude, les fêtes, le froid, a-t-elle des chances de l’emporter ? Les Gilets jaunes semblent, au contraire, bien décidés à continuer le combat et à le gagner. À preuve leur présence à Paris samedi 29 et leur intention de venir sur les Champs-Élysées le 31 fêter l’année nouvelle comme les 300000 touristes et Parisiens qui s’y presseront. Pourquoi, en effet, ceux qui n’ont parfois pas les moyens d’offrir des cadeaux de Noël seraient-ils interdits de déambuler ? Mais qu’on n’aille pas mardi 1er janvier les accuser d’avoir incendié des voitures : voilà des années que la nuit du 31 voit des milliers de véhicules s’embraser à travers les cités.

2019 est là et intacte la détermination des Gilets jaunes qui, s’ils ne sont pas le peuple, l’incarnent. Le soutien massif des Français montre clairement que ceux-ci se reconnaissent dans leurs revendications. Qu’on ne s’attendent donc pas à une lente érosion du mouvement et à sa disparition, comme le serinent les médias à partir des chiffres fournis par le ministère de l’Intérieur. Et ce ne sont pas non plus les vœux du président dont on doute qu’il puisse nous surprendre, qui changeront quelque chose au mal dont souffre la France et qu’il n’a fait qu’accentuer. Car au-delà des réveillons qui, sur les ronds-points, fêteront le passage à 2019, de nouvelles actions vont très vite voir le jour.

2019, année de tous les dangers ?…

Bonne année tout de même !

Max Chaleil




L’oligarchie s’accrochera jusqu’au bout au pouvoir

L’oligarchie politico-médiatique n’est pas prête à lâcher le morceau. Les enjeux sont immenses. Et ce n’est pas demain qu’elle fera son mea-culpa. Elle ne reconnaîtra jamais les dégâts qu’elle a causés au pays par son laxisme, sa lâcheté et sa compromission. Elle s’accroche encore à sa suprématie intellectuelle. À ses privilèges. Elle se pose en gardienne des valeurs qui ont fait la France. À la croire, c’est elle qui a fait la France. Sans elle, la France n’existerait plus. Sans elle, aucune carte géographique ne mentionnerait la France. Sans elle, la France est finie. Foutue. Jetée aux oubliettes. Sortie de l’Histoire.
Elle a la partie belle. Elle chante douce France pour entuber les sans-dents. Les lépreux !

Elle est la pensée magique de cette France qui donne des leçons de morale à la terre entière. Elle est le Bien.
Elle est l’incarnation du pouvoir en France. Et face à la révolte des Gilets jaunes, elle ruse, elle triche, elle ment, elle manipule. Elle se pose en gardienne du temple. Elle invente des concepts sortis de sa valise aussi vieille que la roue de la vie des Sumériens pour endormir le peuple qui la nourrit et dont elle distribue le fruit du travail comme elle l’entend. Au gré du vent. Sans rendre des comptes à personne, même pas à elle-même. Car elle se considère comme l’unique héritière de la bienveillance. En faisant l’aumône avec l’argent des Français, elle se croit au-dessus des lois qu’elle a fabriquées pour le bien commun, comme elle le prétend. En réalité, c’est pour se servir et faire vivre ses courtisans et ses suppôts. À l’œil !

Aujourd’hui et demain, elle sera toujours là pour enchanter la France qu’elle méprise au plus profond de ses tripes. Car elle croit qu’elle détient les clefs de la cathédrale de la vérité.
Elle dort et se réveille avec la ferme conviction qu’elle incarne cette vérité. Parce qu’elle pense qu’elle est le peuple et que sans elle, ce peuple n’existe pas.
Allez comprendre sa logique, vous le peuple d’en bas. Vous les fainéants. Vous la plèbe. Vous les sans-dents. Vous les nationalistes. Vous les lépreux !
Et surtout n’oubliez pas que l’oligarchie politico-médiatique, c’est la France. La vraie. Pas celle dont vous faites partie, celle des oubliés, des laissés-pour-compte.

Elle parle et agit en votre nom. Car sachez que sans elle, vous n’existez pas. Alors de grâce, il ne faut pas la blâmer quand elle s’égare sur le sentier d’Allah.
Braves gens d’en bas, vous qui ne connaissez pas ce sentier d’Allah, sachez que l’oligarchie qui vous représente l’a déjà emprunté et vous invite à le suivre. À votre tour. Car pour elle, l’islam, ce n’est pas l’islamisme et que le jihad, c’est l’effort sur soi, ce n’est pas la guerre sainte, ce n’est pas non plus faire la peau aux mécréants, c’est juste prier matin et soir en diabolisant les Juifs et les Chrétiens pour se rapprocher d’Allah et de son prophète bien-aimé ( habiballah). C’est aussi psalmodier régulièrement le Coran dans les mosquées de France et de Navarre pour s’imprégner de l’amour du prochain et lui ouvrir sa porte et son porte-monnaie.
Pour elle et ses alliés, l’islam fait partie intégrante de l’histoire de la patrie de Jeanne d’Arc, avant même Clovis. C’est une certitude vérifiée par des textes anciens qu’on a retrouvés dans la basilique de Saint-Denis là où se trouve la nécropole des rois de France, selon certaines indiscrétions distillées au compte-gouttes afin de distraire les crédules.

Le vivre-ensemble, c’est bon pour la santé morale et le halal dans les cantines scolaires, c’est efficace pour l’intégration, affirment les experts en sociologie adeptes de l’oligarchie.
Quant à l’immigration surtout musulmane, c’est une chance pour la France. Il n’y a rien à cacher, tout est dit par cette oligarchie politico-médiatique qui scande matin et soir : je suis la France.

Mais face à l’irruption des Gilets jaunes sur la place publique qui affirment qu’ils sont le peuple, elle se sent trahie, délaissée… Alors elle a inventé un débat public tel un spectacle pour les distraire, le temps de les endormir. Et faire oublier leur lutte. Car pour elle, la politique est une chose trop sérieuse pour la laisser aux mains des Gilets jaunes qui fument des clopes et boivent du pinard.
Aux dernières nouvelles, les Gilets jaunes sont irrationnels. Ils sont des irresponsables et par conséquent, incapables intellectuellement de poser les vrais problèmes qui menacent la France. Les punir pour les faire rentrer dans les rangs, c’est dans l’ordre des choses. Ne sont-ils pas encore des mineurs ? Des tubes digestifs ? Des chromosomes ambulants et méprisables ? Une quantité négligeable ? Rien de nouveau au pays de l’endogamie. Au pays de l’entre-nous, là où on châtie sévèrement parce qu’on aime ceux d’en bas. Quant aux puissants comme Mr Alexandre Benalla, ils restent intouchables parce qu’ils sont la France, une république exemplaire avec une justice irréprochable.

Alors quelle différence y a-t-il entre la dictature et l’oligarchie ?
Mais en attendant le combat continue et bonne année 2019, chers lecteurs et lectrices de RL.

Hamdane Ammar




Aphatie, Attali et les autres… panique à bord !

Manifestement, les affairistes et banquiers qui avaient, il y a quelques mois, installé Choupinet à l’Élysée, s’activent à mettre en place la scène sacrificielle pour s’en débarrasser.

Ils l’avaient choisi pour les servir. Choupinet le savait  et ça le faisait frémir de fierté et de plaisir. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il était voué aussi à encaisser les coups, à endosser toutes les responsabilités si ça tournait mal. Essentiellement une révolte populaire… Mais les peuples sont si bêtes, n’est-ce pas… Le risque vaut bien la chandelle ! Ah ah ah !

« Les riches mènent une guerre contre les pauvres et ils sont en train de gagner », disait il n’y a pas si longtemps le multimilliardaire Warren Buffet…

Choupinet est tétanisé car il y croyait dur comme fer. Tout comme il croyait en sa bonne étoile, au pouvoir de sa séduction, comme à la toute-puissance de ses mentors.

Mais la réalité a échappé aux médias qui la construisaient jusqu’alors de toutes pièces. Les Gilets jaunes, ces gueux, ces pouilleux, ces peigne-cul qui persistent à « mendier du travail » (comme le dit sans honte Jacques Attali), en ont décidé autrement !

Le cafard-en-chef Plenel, islamo-collabo de première et grand serviteur du Système, qui avait interviewé Choupinet lors de ses premiers vœux présidentiels, a été chargé de cette mission de confiance :  engager le dernier acte, la montée de Choupinet sur la scène sacrificielle. La sortie de sous le tapis des passeports diplomatiques de Benalla (qui auraient fort bien pu y rester planqués) devrait logiquement aboutir à la destitution ou à la démission de Choupinet bien avant la fin de son mandat.

D’ores et déjà, les rats les plus serviles retournent précipitamment leur veste et s’apprêtent à changer de navire. L’incertitude est totale et leur angoisse de ne plus être prochainement du côté du manche est tangible.

http://www.bvoltaire.fr/jean-michel-aphatie-enterre-emmanuel-macron-ecoutez/?mc_cid=460d509f72&mc_eid=23ea7f8580

Mais que l’on ne s’y trompe pas ! Si l’affaire des passeports de Benalla a été si bien médiatisée, si Aphatie retourne sa veste si prestement, c’est parce que le plan B façonné par les criminels de la finance mondialisée – la préparation d’un successeur à Macron – est fin prêt.

Il n’y a pas si longtemps, Attali se vantait publiquement de connaître déjà le sexe et le nom du prochain locataire de l’Élysée. Attali sentirait-il la camarde rôder autour de lui pour parader de façon si indécente, si infantile, en faiseur de rois ?

Mais les temps changent si vite… que les cyniques certitudes élitaires pourraient bien être désarçonnées par la réalité qu’ils ont désertée depuis trop longtemps.

Je ne serais pas étonné qu’Attali ait changé d’avis et misé sur un autre cheval. En tout cas, pas sur une jument.

Il faut dire que l’élection de Trump a démenti les certitudes des faiseurs de gouvernants. Les promoteurs d’Hillary Clinton s’en sont mordu les doigts, eux qui étaient archi-sûrs de leur coup en proposant aux électeurs de voter pour du pareil au même… mais doté d’un sexe féminin. « Une femme pour présider les USA, c’est nouveau ! Ça vient de sortir ! » Sauf qu’ils ont pris les électeurs pour des cons… des consommateurs qui se décideraient massivement pour un même produit présenté sous un autre emballage.

La calamiteuse année 2018 prend fin de façon inespérée. Le réveil des peuples européens !

Que les Gilets jaunes, en cette année 2019, nous délivrent de la dictature financière et du chaos mondial qu’elle organise !

Mais la bête blessée, aux abois, ne se laissera pas congédier sans se battre. Répression et simulacre de démocratie sont au programme.

Restons donc sur le pied de guerre, combatifs et vigilants.

Bonne année 2019, les amis !

Victor Hallidée




Macron lâchera-t-il ses cognes, cette nuit, contre les incendiaires de voitures ?

Les cognes, les argousins, les bleus, les chtards, les pandores, la flicaille etc., les qualificatifs du bas peuple ne manquent pas pour désigner la maison poulaga. Pour le meilleur et pour le pire. Plutôt pour le pire au vu du massacre des Gilets jaunes https://ripostelaique.com/jai-vu-seffondrer-fiorina-20-ans-touchee-par-un-tir-de-flash-ball-elle-a-perdu-un-oeil.html

Si bien sûr tous les policiers ne sont pas concernés par les passages à tabac de citoyens manifestant leur mal-vivre sous la dictature Macron, reste que les professions de policiers et de gendarmes accusent une sérieuse défiance de la population.

La Manif pour Tous avait déjà été le prélude de la répression des mercenaires des énarques au pouvoir avec le gazage effréné des femmes et des enfants. Des infirmes aussi.

Avec les Gilets jaunes, c’est pire ; sur ordre on leur tire en pleine gueule et on les éborgne :  « Tu lui envoies une grenade dans la gueule », l’ordre douteux d’un policier à Bourg-en-Bresse (VIDEO) https://francais.rt.com/france/56571-tu-lui-envoies-grenade-dans-la-gueule-ordre-douteux-policier-bourg-en-bresse-video

C’est tellement facile pour des CRS et des gardes mobiles de cogner sur le peuple opprimé qui n’est pas armé. Plus facile que de mater la racaille armée, celle des prétendus antifas alliée à la pègre de banlieues, la racaille de quartiers cornaquée par la racaille en col blanc.

Alors en ce soir de réveillon, défoulez-vous, forces de l’ordre : cognez sans vergogne sur la racaille, celle toujours impunie, qui depuis des lustres brûle les voitures de ceux qui travaillent.

Combien de véhicules seront encore incendiés après les indécents vœux 2019 des pompes funèbres Macron, après ceux de Noël  https://ripostelaique.com/les-pompes-funebres-macron-osent-vous-souhaiter-un-joyeux-noel.html

À l’instar de ce policier mettant en joue un manifestant  http://www.leparisien.fr/faits-divers/policiers-pris-a-partie-sur-les-champs-elysees-ce-qui-s-est-vraiment-passe-23-12-2018-7975419.php, osez mes vaillants, osez sortir vos armes de service contre ceux que vos fichiers connaissent si défavorablement et faites feu quand vos collègues crament, sous vos yeux ébahis, aux cris de « poulets grillés »

https://youtu.be/u-Ch-8gqUOc

https://youtu.be/u-Ch-8gqUOc

Le brasier a déjà commencé

https://www.leprogres.fr/loire-42/2018/12/30/un-vehicule-des-secours-de-montbrison-vole-et-incendie  :  « un véhicule 4×4 du chef de groupe de la caserne des sapeurs-pompiers de Montbrison a été volé. Il a été retrouvé incendié dans le quartier de Beauregard, à proximité de l’hôpital de Montbrison, avec l’aide d’un riverain.

Un second véhicule 4×4 de secours a été volé dans cette même caserne, lors de cette même intervention. Les services de gendarmerie l’ont retrouvé quelques heures plus tard. Ce véhicule a subi des dégradations et a également été incendié. »

 

La détresse du policier en famille, seul et en HLM

« Ils seront flics ou fonctionnaires, de quoi attendre sans s’en faire que l’heure de la retraite sonne » :

https://youtu.be/cR1HNrjKwYg

« les braves agents surveillent les bouges, d’autres sous leur capuchons… » :

https://youtu.be/jTj3q00l8mE

« Le nombril des femmes d’agents »:

https://youtu.be/iCKu8-u4-HA

https://youtu.be/iCKu8-u4-HA

Policiers : au service du peuple ou de Macron ?

https://youtu.be/htdgs9Et5wU

Gaz lacrymogènes, Flash-Balls, grenades GLI F4 : tout un arsenal était réquisitionné pour faire face aux Gilets jaunes, samedi 8 décembre

https://youtu.be/hYdMme-miPg

La répression contre les vrais Gilets jaunes montre à l’évidence les limites du pouvoir policier aux ordres d’une démocratie et d’une république dévoyées par le quinquennat Macron, son gouvernement et ses députés de LREM :   https://ripostelaique.com/jusquou-les-forces-de-lordre-doivent-elles-obeir-a-letat.html

Une prime à leur garde prétorienne de peur qu’elle ne rejoigne le peuple légitime et souverain

« Si pour l’instant, après une petite augmentation de 150 €, les forces de protection du régime tiennent encore, il n’est pas sûr qu’une partie d’entre elles ne rejoigne pas le camp qui est génétiquement le leur, celui de la révolte jaune.

Tôt ou tard, certaines connexions cérébrales vont se remettre en route dans les têtes des troupes de préservation de « l’élite ». Et LBD 40 ou pas, elles finiront par comprendre que le peuple est le seul contre-pouvoir légitime à ce régime qui nous impose sa sinistre vision de l’humanité, celle de l’homo economicus, celle où l’on donne toujours plus aux nantis et où l’on assomme – dans tous les sens du terme – toujours davantage le peuple d’en bas. » : https://ripostelaique.com/castaner-a-commande-1280-lbd-40-pour-canarder-encore-plus-les-gilets-jaunes.html

Jacques CHASSAING




La souveraineté ou la mort

Ce titre provocateur fait référence au cri révolutionnaire des sans-culottes « La liberté ou la mort ! ». Car la liberté est au citoyen ce que la souveraineté est à la nation.

Et bien, « l’Allemande », la mal prénommée « Angela », la Merkel donc, vient de décider devant un public berlinois réuni par la Fondation Konrad Adenauer que « Les états-nations doivent aujourd’hui se préparer à abandonner leur souveraineté ».

Et comme le trait est encore risqué, elle a cru devoir appuyer sur la tête des membres de sa majorité qui ont dû mal réagir à la signature du pacte de Marrakech « Il y a eu des hommes politiques qui croient pouvoir décider quand un accord n’est plus valable parce qu’ils représentent « le peuple ». Mais le peuple n’est fait que d’individus vivant dans un même pays, il n’y a aucun groupe  qui se puisse se définir lui-même comme « peuple allemand ». Et juste avant d’émettre ce développement lumineux, elle a cru devoir rejeter ces critiques par ces mots : « Ce n’est pas du patriotisme parce que le patriotisme c’est quand vous incluez dans votre raisonnement d’autres intérêts que ceux des Allemands et que vous acceptez les seules situations « gagnant-gagnant ». 

Ces propos rappellent (et on peut penser qu’ils les ont concoctés ensemble) ceux d’Emmanuel Macron qui osa, le 11 novembre dernier, asséner : « Le patriotisme est l’exact opposé du nationalisme, parce que le nationalisme c’est la trahison » (On notera la symétrie avec « Le nationalisme c’est la guerre » de Mitterrand).

Ce couple infernal avait d’ailleurs lancé  son credo mondialiste par la bouche de Macron au Bundestag : « Le couple franco-allemand a le devoir de ne pas laisser le monde glisser vers le chaos mais doit le guider sur la route de la paix… L’Europe doit être plus forte et gagner plus de souveraineté » 

Donc, l’Europe doit devenir une sorte « d’État-nation », qui ensuite, selon le diktat merkélien, abandonnera « sa souveraineté » toute neuve à… qui donc au fait ?

Pour l’heure, nos « Bonnie and Clyde » du mondialisme demeurent mystérieux quant à cette suite, mais on devine qu’il n’y a plus de peuples mais des individus vivant de par le monde, au gré de leurs fantaisies et au frais des hôtes chez qui ils déposent leurs valises le temps d’un séjour.

La vision de Merkel est celle d’un monde à la « Dark Vador » où l’empire décide  et les manants reçoivent. Décidément, il reste beaucoup de la Stasi chez cette Walkyrie un peu lourde mais combien dangereuse.

Et au fait, ni l’un ni l’une n’a précisé dans quelle langue ces choses-là se diront, et sûrement ni le français ni l’allemand compte tenu de la haine incluse chez l’une comme chez l’autre pour leur pays respectif.

Qui pourrait encore soutenir rationnellement que pour sauver la France, un « accommodement raisonnable » est encore possible ? Et en plus avec celui qu’une bourgeoisie frileuse et atterrée a placé à l’Élysée ?

Non, si l’on croit que la liberté de la nation – et donc celle de ses citoyens – est la souveraineté, alors il faut punir les traîtres qui la jettent aux pourceaux, et la rétablir, avec la langue et l’excellence, aux frontons de notre pays.

La révolte populaire doit comprendre et inclure cette revendication de souveraineté qui nous sauvera des ukases allemands pour que nous redevenions nous-même. Mais il faut aussi savoir que la France c’est d’abord la liberté de ses enfants, et donc que l’État doit veiller sur eux, les défendre et les aider à se réaliser mais pas en les mettant en laisse « pour leur bien ».

Cette fronde doit aboutir à une rénovation de fond en comble  de nos institutions et à l’allégeance de chaque Français à la souveraineté de la nation et donc de l’État. Nul  n’a le droit de porter atteinte à l’intégrité du territoire et à l’indépendance de son pays. Ceci est inaliénable et  là se situe la limite de validité des traités.

Or c’est ce qu’Emmanuel Macron et ceux qui le servent veulent explicitement mettre en cause et ce dans des discours sans équivoque.

Le peuple de France est composé « d’hommes d’origine européenne, de culture gréco-latine et de religion chrétienne » dixit le général de Gaulle. Cette réalité charnelle et spirituelle est fondée sur un territoire que son génie a orné de telle sorte que les Allemands ont cru pouvoir affirmer naguère « Heureux comme Dieu en France ».

Qu’il en soit donc ainsi, et pour cela qu’il parte avant qu’il ne soit trop tard, car il n’est pas Dieu et ne sera jamais heureux ici.

Georges Clément




GJ à Bordeaux : violences policières, flics injuriés, journalistes virés !

Incroyable acte VII des Gilets jaunes à Bordeaux samedi. 8000 manifestants, beaucoup plus que la semaine précédente. Les Gilets jaunes très remontés ont parcouru le centre de Bordeaux en subissant une police très agressive. Est-ce l’effet de la prime reçue ? La répression a été sévère : tirs de Flash-Balls, grenades en abondance, une ambiance de guerre. Nous avons tous été surpris que la mobilisation n’ait pas fléchi, malgré la propagande et les promesses de Macron. Sauf peut-être la police qui était bien renseignée, puisque la préfecture avait prévu 700 policiers, un hélicoptère, des canons à eau etc… et des munitions à profusion.

Le message des manifestants est clair. Les manifestants brandissaient des pancartes : RIC, référendum d’initiative citoyenne, et Macron démission, et beaucoup de drapeaux français. Décidément très loin de revendications catégorielles ou alimentaires. Parti d’une révolte contre les taxes sur le gas-oil, la révolte est politique, c’est le cri d’un peuple qui se révolte contre un gouvernement qui ne l’écoute pas. Et tous les thèmes y passent : la limitation à 80km/h et les radars, l’arnaque climatique et la taxe carbone, le RSI, l’Urssaf et les salaires de misère après « cotisations sociales », l’immigration qui chasse des HLM des centres villes…

Les flics ont été copieusement insultés, même si, à certains moments, des Gilets jaunes ont pu faire des selfies avec les forces de l’ordre ! Quant aux journalistes, ils ont été proprement virés, aux cris de « collabos » ou de « vendus ». Les magasins ont fermé dans la précipitation à l’arrivée du cortège, certains manifestants invectivant les bobos qui traînaient, illustration de la coupure entre la France dite « périphérique » et les habitants du centre-ville. La masse des manifestants n’était peut-être pas bordelaise, n’oublions pas que Bordeaux vote Juppé et a voté massivement Macron à la dernière présidentielle.

La détermination se mesure aussi au courage des manifestants qui ont enduré les gaz depuis le début du très long parcours, subi des tirs de Flash-Balls, avec au moins un blessé grave, un de plus. La foule a tenu jusqu’à 19 h, heure de la dispersion. Place Tourny a été érigée une barricade, les arrêts de trams, le mobilier urbain ont été fortement endommagés, cours de la Marne, place de la Victoire etc… et de nombreux feux ont été allumés, promptement éteints par le canon à eau…

Les manifestants ont été arrêtés place Pey Berland près de la mairie. Manifestement, faute de pouvoir « chercher Macron », il se seraient contentés de Juppé. Mais, encore une fois, les forces de l’ordre ont bloqué l’accès.

Il est difficile de croire qu’après toutes ces violences, tous ces blessés, le mouvement s’arrête. Il s’agit maintenant de haine, de rejet. Comment cela peut-il s’arrêter sans que de profondes réformes n’interviennent ?

 François Jay