
Le 23 septembre prochain, La France Insoumise (LFI) de Mélenchon ainsi que plusieurs dizaines d’associations, organisations et partis de «gôche» appellent à manifester contre «le racisme systémique et les violences policières» auxquels les organisateurs viennent de rajouter «le refus de l’abaya à l’école».
L’objectif affirmé de LFI est de présenter une image de notre société des plus négatives notamment parce que dominée par les Blancs, le racisme d’État, de ses services en général et de la police en particulier. À cela il convient d’ajouter une violence permanente et insupportable contre les «racisés» et les habitants des quartiers, notamment par la police, le tout dans une ambiance islamophobe clairement représentée par l’interdiction de l’abaya à l’école.
Si notre société était comme cela il y aurait matière à s’interroger, voire à s’offusquer, mais est-ce bien le cas ?
On notera tout d’abord que les problèmes dénoncés par LFI sont des problèmes qui se retrouvent quasi exclusivement en ville. Et c’est logique. Comme l’a bien montré la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de rugby, il y a deux France : celle des villes et celle des «champs», si je peux me permettre cette expression. Les valeurs et l’identité culturelle et civilisationnelle françaises sont toujours d’actualité dans nos campagnes, là où l’on pratique principalement le rugby. C’est la France profonde, la vraie.
À l’inverse, il y a la France des villes. Celle-là, c’est celle des bobos qui habitent principalement les beaux quartiers, mais aussi celle des racailles qui infestent les banlieues, y faisant régner la charia et la Loi des marchands de drogues. Bref, celle des territoires conquis par les dealers et les islamistes qui marchent d’ailleurs main dans la main.
Et ces deux France n’ont pas grand-chose en commun. Malgré les efforts de Macron pour envoyer dans les campagnes la «diversité» afin de désengorger les villes, les principaux intéressés n’ont nullement l’intention de s’établir et rester dans des bourgs et villages de quelques milliers d’habitants seulement, si loin des «quartiers» qu’ils affectionnent tant et qui ne sont nullement des ghettos, mais les endroits où ils veulent se retrouver pour vivre ensemble avec leurs mœurs et leurs coutumes. Donc, la plupart du temps, ils restent quelques jours ou semaines sur place à la campagne, puis retournent d’où ils viennent.
Il convient toutefois de noter que si les campagnes sont épargnées et seront sans doute difficilement contaminées durablement, les villes sont presque toutes touchées définitivement. Même les petites et moyennes.
En clair, toutes les agglomérations où s’applique la Loi SRU, obligeant à avoir 25 % de logements sociaux, sont contaminées. Pourquoi ? Parce que les services sociaux pratiquent la «préférence étrangère» et mettent en priorité les migrants dans ces logements dont sont exclus les Français de souche dont certains sont condamnés à dormir dans la rue, alors qu’ils ont cotisé de nombreuses années pour certains. Et en même temps qu’arrivent ces migrants, les problèmes arrivent, parce que si tous ne sont pas des délinquants, il s’en trouve une bonne quantité parmi eux pour l’être, qui sont ainsi saupoudrés à travers toutes les agglomérations du pays.
Faut-il s’étonner dès lors de ces 120 à 140 coups de couteau par jour, recensés un peu partout en France par les services du ministère de l’Intérieur ? Faut-il s’étonner de tous ces viols et agressions, recensés par les services de Darmanin, et encore on ne nous dit certainement pas tout.
Longtemps nié, le lien entre délinquance et immigration est maintenant reconnu, même par le président de la République et son ministre de l’Intérieur.
Ce qui est le plus invraisemblable dans cette histoire, c’est la complicité de certains, et l’aveuglement de tant d’autres qui, inquiets de se faire traiter de racistes, ferment les yeux sur des faits pourtant incontestables et évidents.
Faut-il rappeler à ces Français qui refusent de voir la réalité ce que disait le président algérien en 1974 ?
«Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire.» Houari Boumediene (Président Algérien) – Discours à l’ONU 1974.
Ne sommes-nous pas en train de vivre cela ? Ces millions d’hommes faisant mouvement du sud vers le nord, n’est-ce pas la situation que vit l’Europe depuis des années ?
Et ces mouvements de populations n’entraînent-ils pas l’amplification des problèmes que nous venons de mentionner en montrant à chaque occasion qu’ils ne «sont pas nos amis» ?
Pourtant, il se trouve en France des organisations, partis et associations pour continuer à accueillir toujours plus d’immigrés. Par exemple SOS Méditerranée qui vient encore ces derniers jours de récupérer des migrants au large des côtes libyennes et les acheminer jusqu’à un port en Italie.
Quant à LFI, eux c’est très simple : depuis 2011, ils ont décidé d’abandonner les «couches populaires» c’est-à-dire leur électorat traditionnel depuis des décennies au profit notamment des immigrés. Donc pour LFI Il faut toujours plus d’immigrés, qu’ils soient «régularisés» et deviennent ainsi des Français qui voteront pour LFI.
Cette situation est confirmée par le résultats des élections 2022. Environ 70 % des votes issus des musulmans se sont portés sur LFI. Dans le 93, tous les députés sont LFI. Qui ne comprend pas ?
LFI n’a que faire de la France, qu’elle déteste. Elle veut arriver au pouvoir, notamment par l’obtention massive des votes immigrés, donc elle favorise leur arrivée et exige leur régularisation.
Mais, il n’y a pas que cela. LFI soutient aussi leurs revendications religieuses. Oui, LFI dont le grand leader était un intraitable laïcard a depuis bien longtemps oublié ce qu’il affirmait avec virulence.
Aujourd’hui LFI enfourche un mauvais cheval pour mener bataille sur l’abaya, en affirmant que ce ne serait pas un signe religieux. Donc en interdire le port à l’école ne concernerait pas la laïcité, mais relèverait d’une mesure discriminatoire et islamophobe. Peut-on être plus faux-cul que cela ?
Tout le monde sait que pour les islamistes, la bataille pour conquérir l’espace public est décisive. Que ce soit avec le voile ou avec l’abaya ou le qamis, l’affichage de ces signes dans l’espace public montre que le nombre de musulmans est important et plus il l’est, mieux c’est.
Il y a des sourates du coran qui indiquent qu’un vêtement ample est nécessaire pour les femmes. Mais peu importe. Tout le monde comprend que plus il y aura d’abayas et de qamis, plus il y aura de voiles dans les rues, plus ce seront des étendards pour les islamistes qui ne cachent nullement leur volonté de faire de la France une terre d’islam. Seuls des abrutis complets peuvent prétendre le contraire. Quant complices des islamistes, ils affirment bien sûr que s’opposer à ces tenues est islamophobe ou raciste.
On l’a d’ailleurs constaté à Stains (93) où des professeurs se sont mis en grève contre l’islamophobie (interdiction de l’abaya) et les services de police ont alerté leur hiérarchie sur des convergences entre professeurs du 93 et du 94 avec des associations islamistes. Peut-on plus clairement montrer le jeu de soumission de ces personnes de «gôche» à l’islamisme ?
À l’inverse, un esprit de bon sens pourrait objecter : «Si notre mode de vie et nos tenues ne vous conviennent pas, pourquoi n’allez-vous pas vivre dans des contrées où celles que vous souhaitez sont portées par l’immense majorité ?»
Le pire dans ce domaine ayant été réalisé le 9 septembre par BFM qui a osé demander à deux femmes afghanes, que la France venait d’accueillir pour échapper aux talibans, si elles étaient pour ou contre le port de l’abaya. Évidemment elle ont dit qu’elles étaient pour.
Là la moutarde me monte franchement au nez. Je veux croire que ces femmes ont répondu par ignorance. Mais si ce n’est pas le cas, si les Lois de notre pays qui les accueille et leur sauve la vie ne leur conviennent pas, qu’elles retournent en Afghanistan discuter avec les talibans du port de l’abaya.
Avec cet épisode, BFM TV a vraiment touché le fond.
Quant aux autres thèmes de la manifestation de la «gôche» : le racisme systémique et les violences policières, on en a largement parlé au travers de plusieurs articles dans RL. Ces thèmes ne sont qu’un tissu d’âneries et de mensonges.
La seule chose qu’il me paraît indispensable de souligner c’est le silence incroyable de LFI et de toute la gôche d’ailleurs, lorsque lors d’un nouveau refus d’obtempérer la police n’a pas fait usage de ses armes, le fuyard est parti et dans sa fuite a tué un passant. Silence absolu de la gôche qui visiblement n’en a rien à faire de la vie d’un simple citoyen qui a juste eu la mauvaise idée d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Quand il s’appelle Nahel, qu’il est une petite racaille de banlieue avec 17 inscriptions à son casier judiciaire et 5 refus d’obtempérer, à 17 ans seulement s’il vous plaît, et qu’il est tué lors d’un nouveau refus d’obtempérer… M’Bappé, l’idole des jeunes, dit qu’il s’agit d’un «petit ange parti trop tôt» et même l’Assemblée nationale fait une minute de silence. Mais le 3 septembre dans la nuit, celui qui est mort s’appelait Tristan et avait 30 ans. Son assassin l’a tué à Paris cette nuit-là, après avoir refusé d’obtempérer à un contrôle de police et donc de s’arrêter. C’est au cours de la course poursuite qu’il a renversé Tristan. Si la police avait fait feu, Tristan serait toujours vivant. Le responsable était sous contrôle judiciaire avec une interdiction de conduire. Je n’en dit pas plus sur son profil. Je pense que vous avez compris.
Pour Tristan, M’Bappé est resté silencieux comme tous les bien-pensants et la gôche en général ainsi que les médias «progressistes». Ils n’en ont rien à faire des Tristan.
Ce qui compte ce sont les immigrés prétendument discriminés et maltraités.
Le 23 septembre tous ces gens manifesteront contre l’imaginaire «racisme systémique» et la «police qui tue».
Elle ne tue d’ailleurs pas beaucoup la police. En effet, il y a eu 27.700 refus d’obtempérer en 2021. Et le chiffre va en progressant. En 2022, il y a eu 13 tués par la police pour refus d’obtempérer. Sur ces 13 affaires, seuls 5 policiers ont été mis en examen, tous les autres ont été libérés sans poursuite car aucune faute n’a été relevée contre eux.
Pour conclure, je n’oublie pas que les forces de l’ordre payent un lourd tribut à l’occasion de ces contrôles. Ainsi le 4 juillet 2020, Mélanie Lemée – gendarme de 25 ans – était tuée par Yassine El Aziz, un chauffard multirécidiviste, drogué et sans permis. Cet individu a refusé de s’arrêter lors d’un contrôle de gendarmerie et percuté de plein fouet à haute vitesse Mélanie Lemée. Le choc fut si violent qu’il lui arracha la jambe au niveau de l’aine. Malgré les soins prodigués immédiatement, Mélanie décédera rapidement de ses blessures. Vous devez savoir, amis lecteurs, que cet individu tueur de gendarme vient d’être remis en liberté sous bracelet électronique le 19 juillet 2023, soit 2 ans après les faits, par un juge de la chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Agen. Oui, vous avez bien lu, dans notre France de 2023 un juge a trouvé normal de libérer un tueur de gendarme tout juste 2 ans après les faits et sans même que l’individu ait été jugé.
Où sont-ils les M’Bappé, les Mélenchon, Mathilde Panot, Sandrine Rousseau et tous les tordus bien-pensants pour hurler leur dégoût de cette société ?
Il seront tous le 23 septembre pour soutenir la racaille et accabler la police. Honte à eux.
Le 30 septembre Jean Messiha appelle à une manifestation pour soutenir la police, abandonnée par les politiques et la justice.
Le 30 septembre j’irai manifester avec eux et je vous invite à faire de même.
Bernard GERMAIN