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“Les Marseillais sont des pédés, des fils de pute et des enculés”…

La polémique du jour. Le PSG écrase Marseille 4 à 0, et les supporters parisiens scandent que les Marseillais sont “des pédés, des fils de pute et des enculés”. Émoi chez l’ineffable Olivier Klein, ancien ministre proche des Indigènes et des islamos, qui découvre que ces propos seraient homophobes, et fout le bordel, pour montrer qu’il existe. Bien sûr, autre vedette, la ministre des Sports remet cent balles et dit que cela ne peut plus durer ! Des joueurs du PSG menacés de sanction pour avoir repris ces chants de leurs supporters, à la fin du match. Tel que c’est parti, ils vont utiliser les caméras pour avoir les noms des supporters qui chantaient. Le pire est que ces insultes ne sont certes pas brillantes, mais on ne voit pas où est l’homophobie…

Rappelons que dans les années 1980, les Stéphanois avaient scandé contre l’avant-centre allemand Horst Hrubesch ce slogan : “Allez Hrubesch montre-nous tes fesses, allez Hrubesch tu l’auras dans le cul !”

https://twitter.com/dominicgrimault/status/1401840465125822467?lang=fr

Mais quand les supporters du PSG avaient sorti cette banderole, sur les chtis alcooliques, pédophiles et consanguins, cela avait déjà fait scandale.

De même, quand un gardien dégage, on avait droit à “Oh hisse l’enculé”…

Par contre, “aux chiottes l’arbitre” n’a jamais posé de problème à personne…

Donc, que va faire la police des mœurs ? Il n’y a qu’une seule solution : utiliser les caméras, notez le visage de tous ceux qui ont chanté ces paroles infâmes, les identifier grâce à la reconnaissance faciale, et les inculper tous d’incitation à la haine contre une personne en raison de son orientation sexuelle…

Et les parquer dans les stades, comme le faisait Pinochet !




Pour Macron la France va bien : il ment, il la détruit méthodiquement

 

Encore une séance de bla-bla hier soir, pour nous endormir et nous persuader que tout va bien.

Surfant sur une semaine sans couac, avec la visite de Charles III, l’accueil du pape à Marseille et un début de Coupe du monde bien engagé pour les Bleus, Macron a cru bon de se livrer une nouvelle fois à son exercice préféré dans lequel il excelle : une séance d’autosatisfaction où le mensonge éhonté le dispute à la mauvaise foi la plus grossière.

Une semaine faste, sans émeutes, sans voitures brûlées et sans manifestations au cri de “Macron démission”. C’est rare.

Macron nous a donc livré son monologue habituel, évacuant les questions qui dérangent et réduisant le rôle des journalistes à celui de figurants inutiles.

Évidemment, s’il ne flatte pas son propre bilan, qui va le faire ? Trois citoyens sur quatre sont mécontents. C’est donc un magistral coup de brosse à reluire que Macron a passé sur les six années de son règne.

Je ne vais pas m’étendre sur ce qu’il a dit, c’est sans intérêt et trop souvent mensonger. Mais dressons un rapide tableau de l’état de la France, bien loin du discours élyséen anesthésiant, après six années de gouvernance plus que calamiteuse.

– La France est passée du 5e au 7e rang au classement économique mondial. Bravo Bruno Le Maire

– La dette publique a augmenté de plus de 700 milliards, soit 10 milliards par mois

Notre fiscalité est la plus écrasante de l’OCDE

– La charge de la dette s’envole et va bientôt peser le double du budget de la Défense

– L’inflation s’envole et va durer, provoquant la hausse des taux d’emprunt qui casse la croissance

– Notre armée, déjà squelettique, est tombée au 9e rang mondial. Nous sommes incapables de faire la guerre au delà de quelques jours

– Le niveau scolaire de nos écoliers est en chute verticale, notamment en mathématiques, ce qui ne les empêche pas de réussir au bac. Être à moitié illettré et nul en maths n’est plus un handicap

– L’industrie ne représente plus que 10 % du PIB. La pénurie de médicaments n’est pas un hasard

– Le tiers de nos paysans vivent avec 350 euros par mois, sans week-ends ni congés, mais l’essentiel est d’importer des produits ukrainiens !

– La France compte 10,5 millions de pauvres, en constante augmentation. Il faut dire que Macron n’a cessé d’en importer

– On compte 4 millions de mal logés dont 330 000 sans abri. Mais des milliers de migrants sont logés à l’hôtel. On voit même des propriétaires à la rue tandis que des squatteurs occupent leur logement

https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/envoye-special/video-envoye-special-loges-depuis-cinq-ans-a-l-hotel-pour-5-300-euros-par-mois_1333263.html

– La France est le pays le plus dangereux d’Europe avec 1000 agressions et 120 attaques au couteau quotidiennes

– Mais Darmanin est fier de son bilan et laisse la gauche manifester en braillant “la police tue”, signe de l’effondrement moral du pays

– La France est le seul pays où commissariats et policiers sont agressés en toute impunité

– La tolérance zéro n’est pas d’actualité, l’impunité restant la règle

– Le nucléaire, fleuron industriel, a été saboté. L’abandon du projet Astrid, après celui de Superphénix est un crime. Mais l’essentiel était de fermer Fessenheim pour plaire aux écolos

– Le bilan migratoire est catastrophique. Macron a fait exploser le nombre de visas

270 000 par an sur la période 2017-2022

217 000 sur la période 2012-2017

190 000 sur la période 2007-2012

– En revanche, le nombre d’expulsions, déjà insignifiant, a baissé de 15 % avec Macron

https://observatoire-immigration.fr/immigration-2022/

– La France étant le paradis du tout gratuit qui n’expulse jamais, les demandes d’asile ont augmenté de 35 % entre 2017 et 2022

– Notre système de santé est en faillite, sauf pour les sans-papiers, soignés à 100 % gratuitement. Et la France est championne du tourisme médical

– Nous payons toujours des retraites à des centenaires étrangers disparus depuis des décennies

– Sur 2 euros le litre de carburant, il y a 1,20 euro de taxes. Mais Macron refuse de les baisser et fait appel aux distributeurs pour vendre à perte

– Le gouvernement est incapable de protéger les enfants du harcèlement scolaire

– Notre diplomatie est un désastre. La France n’a plus d’amis et se montre incapable de défendre ses intérêts

– Nous avons trahi nos amis russes, nous avons perdu l’Afrique, nous abandonnons les Arméniens car l’UE veut le pétrole de Bakou. Les Américains nous poignardent dans le dos et l’amitié franco-allemande n’est plus qu’une fable grotesque

– Enfin, l’écologie intégriste est devenue un passeport pour le sous-développement.

Les éoliennes sont un non-sens économique, coûteux et improductif. Nous tuons nos agriculteurs qui manquent d’eau et nos éleveurs sont stigmatisés, nous cassons le bâtiment avec des normes intenables et sabordons l’industrie automobile en prônant le tout électrique. La France est pourtant le meilleur élève de la classe et pollue peu. Mais pour conserver le vote écolo, Macron est prêt à détruire notre économie, déjà malmenée par l’explosion des prix de l’énergie.

Il est évident que toutes ces vérités sont mises sous le tapis. Et ne comptons pas sur les journalistes pour acculer Macron et le contraindre à répondre aux questions qui fâchent.

En France, plus rien ne va. Mais il faudra attendre l’effondrement total de la nation pour que cessent ces mascarades absurdes d’interviews présidentielles stériles.

Macron est en train de détruire volontairement la France et il y réussit avec brio.

Philippe de Villers l’explique très bien. 

https://vm.tiktok.com/ZGJ7KgrRu/

Macron est un individu immature et dangereux. C’est un déconstructeur de la nation, un ennemi de notre souveraineté, des frontières, de notre identité, de notre culture, de notre histoire. Il n’aime pas la France qui n’est pour lui qu’un morceau du grand marché mondial. Il est fasciné par le mondialisme et veut une France multiculturelle donc multiconflictuelle. Et tout son travail de démolition est volontaire.

Jacques Guillemain




Sébastien Jallamion : Pendre le garde des Sceaux ? Mission impossible !

Source: Réseau-Libre.org
Sébastien Jallamion bonjour,

Merci d’avoir bien voulu répondre à nos questions dans le cadre des “interviews” de Réseau-Libre qui donne la parole à des “figures” de la “fachosphère” comme les désignent nos ennemis, une appellation qui ne nous déplaît pas.

Vous êtes considéré ainsi par les “bien-pensants” car vous, policier, avez osé défier l’Etat et le “politiquement correct” en disant ce que vous avez sur le cœur. Circonstance aggravante vous éditez vos livres aux Editions Riposte Laïque, base avancée de la fachosphère française ! Nous n’allons pas raconter votre cursus au sein de la police, nos lecteurs sauront tout en lisant vos livres !

D’abord, racontez-nous brièvement pourquoi vous avez été viré de la police.

Tout est parti de publications sur un compte Facebook anonyme en réaction à l’enlèvement et à la décapitation du français Hervé Gourdel en Algérie, assassiné en 2004 par des terroristes islamistes répondant à l’appel de l’Etat islamique. J’ai été dénoncé à ma hiérarchie par une collègue de travail, et s’en est suivie une mise à mort sociale que je relate chronologiquement dans un premier livre intitulé “À mort le Flic !”.

Ce licenciement a-t-il changé votre manière de voir la société dans son ensemble ? Quelles étaient vos opinions politiques “avant”, et ont-elles changées “après” ?

Autant que je me souvienne, c’est-à-dire depuis que j’ai une conscience politique, j’ai toujours eu un penchant pour le gaullisme, et ai milité pour la droite dite “républicaine” jusqu’à ce qu’elle commette l’irréparable à mes yeux en trahissant le choix souverain du peuple exprimée par la voie du référendum en 2005, le dernier jamais organisé en France. J’ai donc tour à tour été membre du RPR puis de l’UMP, dont j’ai fini par claquer la porte pour les raisons que je viens d’évoquer, puis ai rejoint le RN, avant d’adhérer au SIEL. J’ai ensuite fait confiance à Reconquête, mais je déplore l’absence d’une union des droites qui permettrait sans nul doute de voir les idées et les valeurs que je défends arriver au pouvoir.

Ma révocation ne m’a pas fait changer d’opinion, elle m’a seulement fait comprendre jusqu’où certains réseaux étaient prêts à aller pour faire “un exemple”…

Le vote en France est secret mais… pour qui votiez-vous avant votre éjection de la police ? Et maintenant ?

Je le garde pour moi, mais ma réponse précédente permettra de deviner pour qui est allé tour à tour mon suffrage.

Avez-vous eu des soutiens de personnalités politiques ? Lesquelles ?

J’ai en effet reçu plusieurs soutiens de différentes personnalités politiques, mais qui se sont limités à des encouragements face aux épreuves que je devais traverser. Dans ces moments-là on se retrouve rapidement isolé, mais l’un des plus importants soutiens reste sans doute celui de Karim Ouchikh, président du SIEL, qui m’a plusieurs fois invité à prendre la parole afin de témoigner.

Monsieur Ouchikh est plus une personnalité syndicale que politique, ma question portait sur des “politiciens”.  Ministres, députés, candidats, etc. Personne ?

Je ne suis pas d’accord avec vous concernant Me Karim Ouchikh, dont j’ignore s’il a eu des activités syndicales par le passé, mais dont je sais qu’il est bel et bien une personnalité politique, d’une part en tant que président d’un parti (le SIEL), et d’autre part en tant qu’élu (conseiller municipal de Gonesse, et conseiller régional d’Île-de-France).

Des soutiens de ministres ? Certainement pas, vu que j’ai été révoqué par décision du ministre de l’Intérieur de l’époque en la personne de Bernard Cazeneuve.

J’ai en revanche reçu des soutiens de députés, dont celui de Gilbert Collard, alors élu du RN, et de Michel Terrot, député UMP de la 12e circonscription du Rhône où je résidais alors.

D’autres élus d’autres partis m’ont aussi témoigné de leur soutien, tous ayant pour point commun d’être à droite de l’échiquier politique, mais divulguer leur nom me présente aucun intérêt à mes yeux.

Pour ce qui est des candidats, en tout cas à l’élection présidentielle, la réponse est simple : aucun.

Comment décrivez-vous en quelques lignes la classe politique française actuelle ?

Le manque de courage politique face aux menaces qui pèsent sur la France est sans doute la première critique qui me vient. Mais l’opportunisme arrive clairement en seconde position, devant l’absence totale de sincérité et de considération pour les intérêts de la France et des Français. Bien entendu il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier (de crabes), mais il est évident que choisir à qui accorder sa confiance est de plus en plus compliqué.

On voit qu’aujourd’hui le recrutement dans la police est de plus en plus diversifié et à des niveaux faibles, d’autant plus que dans toute la fonction publique il y moins de candidats que de postes. Par rapport à votre époque, que pensez-vous de l’évolution du personnel policier ?

La différence est vertigineuse. Lorsque j’ai passé le concours de gardien de la paix, en 1995, le niveau moyen des candidats était de Bac+2. Aujourd’hui alors que le Baccalauréat est requis pour se présenter au concours externe, le niveau général des élèves gardiens de la paix est catastrophique, certains ne maîtrisant pas les rudiments de la langue française, comme en avait témoigné Maggy Bikupsky lors de l’une de ses interventions télévisuelles lorsqu’elle était présidente de l’association Mouvement des Policiers en Colère. J’en profite pour rappeler qu’elle a mis fin à ses jours, et pour avoir une pensée émue face au courage dont elle a fait preuve pour dénoncer les dérives de notre institution.

Cela dit, les qualités requises pour être un policier efficace ne se limitent pas au niveau d’instruction. Et s’il est vrai que le niveau général laisse à désirer, c’est le propre de toutes les administrations et la conséquence d’une dégradation évidente du niveau d’enseignement et de la dévalorisation des diplômes.

Je ne jugerai donc pas les jeunes fonctionnaires de police sur le seul critère de leur niveau d’enseignement, mais sur leur faculté à maîtriser les techniques d’intervention, à garder leur sang-froid, et à ne pas oublier qu’ils sont d’abord et avant tout au service de la population, même si les missions qu’on leur donne vont parfois en dépit du bon sens.

Comment ça, des missions en dépit du bon sens ? Vous avez des exemples ?

Je vais vous citer un exemple on ne peut plus parlant : celui de l’équipage de police qui s’est fait lynché par une bande de racailles en marge d’un trafic de stupéfiants à Viry-Chatillon en 2016, point de départ du mouvement des policiers en colère. Ils avaient reçu pour instructions d’effectuer un point fixe (une surveillance stationnaire à bord d’un véhicule administratif) pour surveiller… une caméra de surveillance de la ville que les dealers avaient plusieurs fois mise hors service pour les besoins de leurs activités.

On a connu l’époque où les grands flics étaient connus, on va dire les pontes du 36, de la PJ, c’était pareil pour la médecine où on connaissait les grands chefs de service. Aujourd’hui dans la police lors d’actions de relations publiques on voit des syndicalistes pouilleux avec des têtes de combinards. Quel est votre avis sur cette évolution vers le bas ?

Tout comme le milieu du grand banditisme a subi des évolutions, les “grands flics” appartiennent aujourd’hui à ce que certaines mauvaises langues appellent la “police à papa”, manière de disqualifier gratuitement ce que furent les Broussard, Blanc et plus récemment Michel Neyret dont la disgrâce a défrayé la chronique.

Force est de constater que le corps des commissaires est aujourd’hui constitué majoritairement de carriéristes bien plus enclins à fournir de belles statistiques pour gravir les échelons que d’assurer efficacement la sécurité de nos concitoyens, et que s’il faut pour cela écraser quelques subalternes, ce ne sont que des dégâts collatéraux sur un plan de carrière. J’en ai fait la douloureuse expérience.

Il existe cependant, et c’est heureux, des exceptions, dont je parle d’ailleurs dans mon dernier livre.

Certains de ces “grands flics” ont d’ailleurs été accusés de corruption et poursuivis par la justice. Soyons franc: une bonne enquête par exemple dans le milieu des stups peut-elle se faire en restant “dans les clous” ?

Votre question fait clairement référence à l’un des commissaires dont j’ai parlé précédemment. Je ne commenterai pas les faits qui lui ont été reprochés. Je dirais simplement que désormais la doctrine consistant à ne pas attraper les mouches avec du vinaigre a laissé la place à des procédures différentes, et que frayer en eaux troubles pour attraper les gros poissons n’est plus d’actualité. Le résultat, c’est que le grand banditisme, même s’il a changé de visage au fil du temps, a de beaux jours devant lui…

Pour être clair, plus d’infiltration des milieux criminels ? Plus de “donnant-donnant” quand un chef d’enquête ferme les  yeux sur un délit “mineur” pour faire une affaire plus grosse ?

Si bien sûr, les missions d’infiltration sont toujours d’actualité, mais très encadrées. Quant à “fermer les yeux” sur un quelconque délit mineur, c’est purement impossible aujourd’hui. Ceux qui fournissent des renseignements permettant l’interpellation d’auteurs de crimes en bande organisée peuvent en revanche témoigner anonymement, leur identité figurant sur un registre placé sous le contrôle d’un magistrat, et peuvent recevoir une indemnité dont le montant peut paraître dérisoire eu égard au risque qu’ils prennent : quelques milliers d’euros au meilleur des cas.

Les réformes de la police, sous divers gouvernements, ont conduit à lui calquer le modèle américain, avec les uniformes et les grades d’armée mexicaine. Or la police française jusque là ne marchait pas si mal avec les civils enquêteurs, la police en tenue qui patrouillait dans les rues, les unités spécialisées dans le maintien de l’ordre. Tout ceci a été détruit pour des résultats pas très probants, comment expliquez-vous cette déstructuration programmée ? Quelles en sont les motivations et auteurs ?

La fusion des corps (investigation et paix publique), n’est pas en soi une mauvaise réforme, elle a simplement eu pour corollaire la suppression du corps des officiers de paix qui avaient le sens de l’encadrement. Je les ai vu être remplacés par des anciens inspecteurs, certes plus pointus sur le plan procédural, mais largement incompétents s’agissant de gérer une ou plusieurs brigades. Mais la police a connu bien d’autres réformes, en particulier sous l’impulsion des socialistes ayant mis en place la police de proximité, puis de Nicolas Sarkozy qui en a fait le deuil, pour généraliser la “politique du chiffre” qui est discutable quant à son efficacité, puisqu’elle privilégie la quantité à la qualité des affaires.

La constante reste le retard pris dans l’adaptation aux nouvelles formes de délinquance, même si les équipements se modernisent progressivement. Il ne manque plus que la volonté politique d’en finir avec les violences urbaines et les trafics de stupéfiants, pour ne citer que ces deux problèmes qui gangrènent aujourdhui notre société.

On peut rajouter la grande réforme de Sarkozy, toujours la lubie du modèle américain, qui a voulu faire un FBI en rassemblant RG et DST. Le résultat est-il positif ?

La DCRI, née de la fusion des RG et de la DST, était un service de renseignement, devenu depuis DGSI. Ce n’est pas tout à fait un “FBI” à la française, mais plutôt une unité de renseignement visant à lutter contre toutes les activités susceptibles de porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et à la sécurité nationale. La lutte contre le terrorisme fait donc partie de ses prérogatives, ainsi qu’une partie du contre espionnage, avec des résultats positifs au vu de la récente augmentation de son budget et de ses effectifs.

Les RG existent cependant toujours sous une autre forme : la Direction Nationale du Renseignement Territorial (DNRT), avec les même prérogatives. Rien de neuf sous le soleil en somme…

On en parle peu, mais Darmanin va réformer la PJ en la mettant sous les ordres des préfets, autant dire que c’est sa mort. Quel est votre avis ?

Cette velléité de réforme a soulevé une vague de contestation sans précédent dans les rangs de la PJ, d’autant qu’elle s’est accompagnée de l’éviction du patron de la PJ de Marseille. Un moratoire avait même été demandé par le Sénat, mais sans résultat.

La fusion de la PJ dans ce qui sera la Direction Départementale de la Police Nationale signe la fin d’une institution réputée pour son expertise en matière procédurale. C’est aussi la fin d’une unité prestigieuse telle que l’avait pensée son fondateur, Georges Clemenceau, alias le Tigre.

Je désapprouve totalement cette réforme inutile et contre-productive.

Il y a plusieurs suicides chaque année dans la police et visiblement tout est fait pour les étouffer avec la complicité des syndicats. Dans n’importe quelle structure il y aurait du questionnement, chez France-Télécom par exemple il y a eu des sanctions pénales. Mais dans la police comme dans l’Éducation nationale c’est le “pas de vagues” qui prévaut. Comment expliquez-vous que ça puisse perdurer ? Les flics sont-ils des moutons se laissant décimer sans réagir ?

La problématique du suicide dans les rangs de la police nationale est un sujet qui revient chaque année, à juste titre, dans le débat public, en ayant pour seule réponse de belles promesses du ministère de l’Intérieur, ou quelques pansements sur une jambe de bois (numéros verts, stage de sensibilisation au phénomène…).

Dans la pratique, quelques associations se sont créées pour venir en aide aux policiers en détresse psychologique, mais les raisons pour lesquelles certains en finissent par commettre l’irréparables ne sont curieusement jamais imputables à la hiérarchie ou au service, comme si la problématique du harcèlement n’était pas une réalité dans les rangs de la police nationale ! Or, comme dans d’autres institutions, ce problème existe bel et bien, mais est systématiquement étouffé en interne, de sorte que jamais personne n’a été inquiété pour avoir poussé un policier au suicide.

Cela ne cessera jamais tant que des enquêtes indépendantes ne seront pas menées, ce qui implique une saisine des services de gendarmerie, qui certes sont aussi sous la tutelle du ministère de l’Intérieur, mais n’ont aucune contrainte hiérarchique avec les membres de la police nationale. Pour l’heure, cela ne s’est jamais fait, et je souligne que les gendarmes aussi sont confrontés au même phénomène…

Il y a des suicides mais il y a aussi des policiers tués dans leur travail. La aussi, aucune réaction des policiers. On pourrait imaginer des mouvements d’humeur bien légitimes, voire de révolte. Mais rien. Pourquoi ? Les policiers sont-ils “conditionnés” à ne pas réagir dans un sens qui contredirait leur hiérarchie ?

Ce n’est pas tout à fait vrai, j’en veux pour preuve le mouvement des policiers en colère qui s’est traduit par des manifestations sans précédent de policiers en 2016, bravant leur hiérarchie, en dehors de tous syndicats et de toute formation politique.

S’il n’est pas né directement de la mort d’un policier, il est né d’un ras-le-bol général suite au lynchage d’un équipage de police à Viry-Châtillon, lequel avait été piégé dans un véhicule administratif auquel des voyous participant à un trafic de stupéfiants avaient mis le feu, blessant grièvement les fonctionnaires.

Dans ce cas précis on peut en effet parler de conditionnement à ne pas réagir, car aucun policier n’a fait usage de son arme. La “peur de la bavure” l’emporte parfois sur les gestes nécessaires à préserver sa vie ou son intégrité physique, ce qui va à l’encontre du fantasme d’une police “violente” qui tire sur tout ce qui bouge, n’en déplaise à certains militants de gauche qui manifestent pour faire avaler cette couleuvre…

D’accord il y eut un mouvement social, mais pour quel résultat ? Quelque chose a changé suite à ce mouvement ?

Les syndicats de police ont rapidement repris la main, l’association n’a pas résisté au suicide de sa présidente, mais certains collectifs ont perduré, comme l’association des femmes de forces de l’ordre en colère (FFOC) qui, en parlant pour leur conjoint, les mettent à l’abri des représailles administratives.

Mais dans l’ensemble il faut bien admettre que rien n’a vraiment changé, si ce n’est une crainte irrationnelle des autorités de voir la police et la population se joindre en un mouvement de contestation commun, ce qui a rapidement été rendu impossible avec la répression à outrance du mouvement des Gilets jaunes.

La “nouvelle doctrine” de maintien de l’ordre, se traduisant notamment par l’usage du LBD avec les mutilations dont tout le monde a été témoin, aura produit ses effets…

La hiérarchie justement. Comment les policiers apprécient-ils leur hiérarchie et surtout les consignes qu’elle donne ? On dit souvent qu’ils n’interviennent plus dans certains secteurs “par ordre de la hiérarchie”, pour ne pas “créer de troubles” ! C’est exact ? Et que pensent les policiers de terrain de ces situations ?

Oui c’est parfaitement exact. Des policiers lyonnais excédés l’avaient d’ailleurs révélé au journal Lyon capitale en juillet 2016. Je l’explique également dans mon livre “Flic, le plus beau métier du monde”. La frilosité de certains élus à qui une certaine hiérarchie a fait allégeance fait parfois que certains appels de la population au standard 17 police secours ne sont même pas répercutés sur les ondes pour éviter qu’une intervention de police ne fasse dégénérer la situation. La peur des violences urbaines a pour conséquence de faire naître un sentiment d’impunité qui encourage la délinquance.

Un “sentiment d’impunité” c’est comme le “sentiment d’insécurité” de Dupont-Moretti ? Parlons franchement, les délinquants arrêtés à midi et relâchés à 17 heures, c’est plutôt fréquent non ? Que pensent les policiers de terrain, ceux qui vont au charbon et risquent leur peau chaque jour ?

Le “sentiment d’insécurité” contre lequel il faudrait lutter est une vieille thèse du parti socialiste, qui était d’ailleurs au cœur de la doctrine de la police de proximité. Dupont-Moretti n’a rien inventé, il ne fait que déterrer de vieilles rengaines. Quant aux délinquant relâchés avant même que les policiers n’aient terminé de rédiger la procédure les concernant, j’en parle dans mon livre. Ceux qu’il faut blâmer, ce sont certains procureurs, en particulier au parquet des mineurs, qui par angélisme relâchent trop souvent des individus multi-réitérants dont la dangerosité est manifeste. Il est clair que le meilleur moyen de lutter contre le “sentiment d’insécurité” consiste à lutter contre l’insécurité elle-même !

Le sentiment d’impunité quant à lui est clairement partagé par des individus qui ne craignent pas la sanction pénale, à juste titre, et qui se sentent donc galvanisés au point de se croire tout permis. Cela explique en partie pourquoi nous voyons des individus de plus en plus jeunes, de plus en plus nombreux, et de plus en plus violents, passer à l’acte délictueux ou criminel.

Et d’ailleurs que pensent les policiers de terrain du système judiciaire actuel ? Et s’il vous plait, pas de réponse “c’est les institutions, on respecte les décisions de justice” ! Que pensent-ils ? Que ressentent-ils ? Personne n’a envie de pendre le garde des Sceaux ?!

Le garde des Sceaux n’a plus le droit d’intervenir dans les procédures en cours. Certains magistrats font leur boulot comme ils peuvent, mais il est clair que d’autres prennent des décisions incompréhensibles. Mais quand on voit qu’une partie de la magistrature est politisée, notamment via le Syndicat de la magistrature clairement à gauche de la gauche et qui ne cache même plus son hostilité à la police en manifestant aux côtés de ceux qui en dénoncent la prétendue “violence” et le “racisme systémique”, on comprend mieux pourquoi certains délinquants ne craignent pas la Justice.

Bien entendu les policiers sont dans leur grande majorité dégoûtés de cette situation, mais cela fait tellement partie du quotidien que la plupart préfèrent en plaisanter, une façon sans doute de faire bonne figure. Quand sa mission consiste à vider la mer avec une petite cuillère, on vide, et on évite de trop réfléchir sous peine de péter les plombs.

Pendre le garde des Sceaux ? Je vais répondre avec un trait d’humour : si c’est par les couilles, alors mission impossible.

J’ai en tête le film “BAC nord” où l’on voit les policiers se faire humilier par une bande de dealers immigrés, et se retirer sans répondre. Ceci est réel ? Quel est l’état d’esprit des gars sur le terrain dans de telles situations ? Qu’est ce qui les empêche de sortir leurs armes et faire ce qui est en fait, en théorie, leur boulot ?

La réalité dépasse parfois la fiction. Mais je doute sincèrement, s’il est vrai que des équipages de police en arrivent à ne même plus répondre aux injures et autres humiliations, que ce soit le cas pour un équipage de la brigade anti-criminalité. Ces unités, dont j’ai fait partie, sont particulièrement formées et entraînées pour faire face à toute situation, y compris les interpellations dans un contexte d’émeutes et de violences urbaines. Aussi faut-il qu’ils ne reçoivent pas l’ordre de ne pas intervenir…

Cette scène du début de “BAC nord”, il y a 20-25 ans ça aurait été impensable, les voyous auraient été arrêtés. Mais au fil des ans la “tolérance” se fait chaque jour plus forte au détriment de la Loi. Pensez-vous qu’il y ait des “lignes rouges” qui, si elles étaient franchies, pourraient amener la police à refuser de suivre les ordres et à ruer dans les brancards ? Si oui, lesquelles ?

J’ai connu une période où les fonctionnaires de police étaient les “seuls juges” de leur intervention sur la voie publique dès lors qu’ils étaient en service et sur leur secteur. Aujourd’hui le contrôle des équipages est tel qu’il faut rendre compte de tout en temps réel et obéir sans broncher aux ordres et aux contre-ordres sans discernement. Le policier tend à devenir une sorte de drone piloté à distance par sa hiérarchie, avec une caméra autour du cou. Je force volontairement le trait, mais c’est presque ça… Quant au fait de “ruer dans les brancards”, il y a plusieurs années que la politique des baïonnettes intelligentes a été jetée aux oubliettes au gré d’un nouveau code de déontologie introduisant un devoir de loyauté qui permet à l’autorité disciplinaire de vous propulser en orbite en appuyant sur un simple bouton.

Autant dire que refuser un ordre dans ce contexte, fusse-t-il manifestement illégal, peut vous protéger d’éventuelles sanctions pénales, mais pas des sanctions disciplinaires qui auront des conséquences sur le reste de votre vie…

La hiérarchie ordonne de ne pas bouger, et le policier obéit donc. N’est ce pas donner carte blanche aux voyous dont le…. “sentiment d’impunité” se trouve renforcé ? N’est ce pas la porte ouverte à l’escalade, c’est-à-dire plus de délinquance “dure” et tout aussi peu de réponse policière qui obéira à sa hiérarchie passive ?

Vous décrivez la genèse de l’augmentation de la criminalité, au sens large du terme, au cours de ces dernières décennies. C’est exactement ce qui s’est passé, dans le but d’acheter la paix sociale, on obtenant précisément l’inverse. Dans de rares situations la police s’est montrée répressive face aux violences urbaines, et cela a toujours payé. Aujourd’hui nous en sommes arrivés à perdre toute crédibilité, ce qui a pour résultat d’affaiblir l’autorité de l’Etat, et de laisser des pans entiers de notre territoire aux trafiquants et aux islamistes, qui parfois sont les mêmes. Je rappellerai ici que selon un rapport de la DGSI rendu public en 2020, 150 quartiers étaient “tenus”par les islamistes en France. Les travaux du Sénat ont permis de corroborer la situation et de mettre à jour le risque de “séparatisme” qu’une loi promulguée en 2021 est censée éviter. Autant dire de la poudre aux yeux si l’on ne prends pas le taureau par les cornes, à commencer par reprendre le contrôle de ces territoires en y évinçant ceux qui entendent les diriger en dehors de nos lois. Mais pour cela, il faudrait des effectifs !

Une grande majorité de patriotes pensent que, si un jour une révolution patriote se produit en France, la police sera de leur côté. Qu’en pensez-vous ?

C’est faux. La police nationale est une institution républicaine, et légaliste. Il en va de même pour l’armée. Des policiers isolés pourraient certes rejoindre un mouvement insurrectionnel, au risque de sanctions disciplinaires et pénales, mais tant que la France sera considérée comme une démocratie il est illusoire de compter sur une de nos institution pour renverser un président de la République élu au suffrage universel.

Même si je suis de ceux qui considèrent que la France n’a aujourd’hui de démocratie que le nom, je préviens simplement ceux qui se bercent d’illusions que la police qui aide le peuple à faire un coup d’Etat, ça ne se voit que dans les films ou les dictatures africaines…

“La police”, oui, mais certains policiers ? Qui sont quand-même avant tout des Hommes ayant une Famille. Ils voient bien que la situation actuelle (ne parlons pas de politique, juste la situation de la délinquance croissante) les met en danger eux et leur Famille. Certains ne se disent-ils pas “Puisque la hiérarchie ne veut pas que nous agissions, passons-nous de la hiérarchie et faisons le boulot” ?

En dehors du cas des violences urbaines, les policiers font “le boulot”. Encore une fois c’est le plus souvent la Justice qui ne suit pas comme il le faudrait, soit par manque de moyens, soit par idéologie. Quant au fait que les policiers aient “aussi” une famille, c’est une évidence qu’il faut relativiser. Etre flic aujourd’hui ça n’est pas “être aussi” en danger, c’est être encore plus en danger que le reste de la population, tant les flics sont devenus des cibles. J’ignore s’il existe d’autres professions dont les membres en arrivent à scolariser leurs enfants dans des établissements privés pour garantir leur sécurité, en leur demandant de ne pas dire aux petits copains la profession de papa et/ou de maman pour éviter les agressions.

Une autre partie des patriotes, plus minoritaire, voit au contraire la police comme LA force qui permet à Macron de rester au pouvoir, et qu’à ce titre la police dans son ensemble doit être considérée comme un ennemi. Qu’en pensez-vous ?

La police a pour mission de protéger les institutions, dont elle fait elle-même partie. Le président de la République, même le pire du monde, en fait également partie. Mais la police n’est en aucun cas une “milice aux ordres” d’un président ! Encore une fois il convient de rappeler certaines choses essentielles :

La police nationale est d’abord un service public, accessible gratuitement à tous. Les Français y sont tellement habitués qu’ils oublient que ce n’est pas le cas dans tous les pays. Ceux qui la considèrent comme “ennemi” n’ont rien compris. C’est comme si demain on s’en prenait aux hôpitaux au prétexte que leur service n’était pas à la hauteur !

Ensuite le maintien de l’ordre obéit à des règles spécifiques. Les unités constituées dans ce contexte obéissent aux ordres, en général d’un préfet, et ne font que les suivre, qu’il s’agisse d’intervenir ou non.

Prendre les policiers de terrain pour cible n’a strictement aucun sens.

Enfin si un homme est à l’hôpital en train de mourir et que le médecin se contente de regarder, n’est-il pas légitime que la Famille s’en prenne au médecin ? Lors de l’attaque du Bataclan il a été clairement établi que les forces de police étaient prêtes à y intervenir, et sont restées devant la porte en attendant des ordres. Au final, combien de morts ? Ils savaient qu’il se passait des choses graves, n’aurait-il pas fallu refuser d’exécuter les ordres et intervenir sans tarder ? Et dans ce cas, les victimes et leurs Familles ne peuvent-elles pas en vouloir, légitimement, aux policiers et à la police dans son ensemble ?

Concernant le Bataclan, ce n’est pas tout à fait vrai, puisque je vous rappelle qu’un commissaire de la BAC est intervenu parmi les premiers et a d’ailleurs abattu un terroriste qui était sur la scène, mais qui a eu le temps de déclencher sa ceinture d’explosifs.

Dans un cas comme celui-ci il est normal de préparer l’intervention afin de garantir la sécurité des otages, mais le temps perdu était dû à un cafouillage relatif à un conflit de compétence entre le RAID et la BRI. Aujourd’hui les leçons ont été tirées et la règle est que le premier service arrivé sur les lieux intervient. Mais n’oublions pas que pendant ce temps la BAC était toujours en train d’essuyer les tirs des terroristes qui faisaient feu depuis les fenêtres du premier étage du bâtiment à l’arme de guerre, et qu’elle n’avait pour riposter qu’un fusil à pompe, pendant que plusieurs militaires de l’opération sentinelle s’abritaient derrière un véhicule avec interdiction formelle de riposter avec leur fusil d’assaut. Les forces de police sont depuis dotées du HK G36, un fusil d’assaut permettant de riposter efficacement dans ce genre de situation.

D’autre part le périmètre de sécurité était impénétrable pour les services de secours, et de nombreuses victimes qui ont pu s’échapper du Bataclan pour se réfugier dans des cages d’escalier ont fini par succomber faute d’être prises en charge. Là aussi les leçons ont été tirées, et des secouristes ont été spécialement formés pour intervenir dans ce genre de situation.

En résumé les terroristes ont pris tout le monde de cours, et c’est avant tout le manque d’anticipation et de préparation à ce genre de scénario qui explique le nombre de victimes.

J’ai eu l’occasion de rencontrer Patrick Jardin, père d’une des victimes. Il n’a jamais fait part de reproches concernant les policiers, et je n’ai pas connaissance d’une quelconque victime ou de proches de victimes ayant exprimé des griefs contre les intervenants. Dire que plus de vies auraient pu être sauvées est une évidence pour tous ceux qui analysent les événements après coup, avec une vue d’ensemble que personne n’avait au moment des faits. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’au final tous les terroristes ont été neutralisés, et que les otages toujours en vie la doivent aux policiers intervenants.

Bien qu’il soit interdit de le dire en France, nous sommes bien conscients que des troubles peuvent éclater à tout moment, fomentés par les immigrés. Or la police est “à l’image de la Société française”, quel est donc le pourcentage d’immigrés dans la police ?

Il n’existe aucun chiffre dans ce domaine. Mais j’ai toujours considéré mes collègues comme des policiers à part entière quelles que soient leurs origines, et beaucoup de ceux qui sont issus de l’immigration sont d’excellents policiers.

Il y a hélas certains cas particuliers comme celle qui m’a dénoncé, et certains cas où le communautarisme a pu s’infiltrer, mais cela reste minoritaire.

En cas de troubles donc, ces policiers d’origine immigrée tenteraient-ils de rétablir l’ordre, resteraient-ils “neutres”, ou même passeraient-ils du côté de leurs “frères” ? On a vu dans dans l’armée où par exemple certains engagés musulmans ont refusé de combattre dans des missions en Afghanistan.

J’ai évoqué des anecdotes dans mon livre qui répondraient à votre question. Je dirais simplement que depuis l’assassinat de quatre policiers par Mikael Harpon en 2019 à la Préfecture de Police de Paris, la radicalisation islamiste est prise très au sérieux dans les rangs de la police nationale.

Il est donc peu probable que des policiers, fussent-ils de confession musulmane, puissent refuser de rétablir l’ordre dans les zones de “non-France”. Je pense au contraire que beaucoup d’entre eux n’attendent que ça…

Oui, enfin les affaires où des policiers immigrés donnent des infos à leur famille qui trafique, il y en a régulièrement. Ils ne sont sans doute pas la majorité mais n’est-ce pas introduire le loup dans la bergerie ?

Il y a eu des cas en effet, j’en évoque certains dans mon livre. Mais ils ont tendance à devenir plus rares aujourd’hui.

Dans plusieurs corps de métier on entend “je n’en peux plus, j’ai envie de réagir MAIS j’ai ma famille à nourrir, alors…”. Votre opinion ?

Je ne juge pas ceux qui font le choix de l’inaction par souci de protéger leur famille, tout le monde n’est pas né pour devenir Jean Moulin ! Mais ils peuvent aider autrement comme le faisaient en d’autres temps les armées de l’ombre… L’important n’est pas de jouer les héros si l’on ne se sent pas le courage, mais de faire ce qu’on peut en fonction de ses moyens pour supporter son image dans le miroir, et se dire au moins qu’on n’est pas resté spectateur le jour où sa conscience vient toquer à la porte.

Quelle est aujourd’hui en réalité la mission de la police ? Assurer la protection d’une caste au pouvoir, ou réellement défendre et assurer la sécurité de la population ?

Les deux, comme je l’ai précisé dans mes réponses précédentes. Mais ce n’est pas la police nationale qui a élu Emmanuel Macron, les Français devraient parfois s’en souvenir…

Tout a fait, mais c’est bien la police (et la gendarmerie) qui par ses attaques contre les résistants, soutient en fait Macron (ou Hollande avant, etc.). Par exemple, c’est la police qui tente de nous identifier pour nous faire taire ! Heureusement c’est aussi de la police que nous parviennent des informations sur l’état des recherches… Passons 🙂 Quand des policiers débarquent par exemple chez un responsable de site internet et passent plusieurs heures à l’interroger sur des textes publiés, ça revient bien à soutenir le gouvernement.

Attention, je vais avoir un point Godwin ! C’était un peu pareil en 1940 quand police et gendarmerie se sont rangées sans hésiter derrière les Allemands, arrêtaient résistants et juifs. Là aussi ils obéissaient aux ordres bien entendu. Sans être des “Jean Moulin”, n’y a-t-il pas une “clause de conscience” qui ferait que les policiers pourraient décider ad minima de démissionner ? Voire donc de sciemment désobéir aux ordres pour simplement faire leur boulot ? Se retrancher derrière les ordres (qui viennent ou qui ne viennent pas) n’est-ce pas un peu facile ? Et d’ailleurs dites-nous, VOUS, auriez-vous démissionné si vous n’aviez pas été viré ?

Rien n’interdit un policier de démissionner s’il le souhaite, si ce n’est l’obligation de rembourser le coût de sa formation s’il le fait dans les premières années qui suivent sa sortie d’école.

Concernant les enquêtes judiciaires, j’ai moi-même fait l’objet d’auditions pour des motifs fallacieux sur instructions du procureur adjoint, au point que la capitaine ayant reçu l’ordre de m’auditionner à plusieurs reprises a fini par dire “stop” et a refusé de me convoquer de nouveau.

Mais comprenez qu’en matière de police judiciaire, les instructions viennent du parquet, du parquet général, ou du juge d’instruction. Il n’est pas permis d’y déroger, ce qui ne veut pas dire que les policiers ou gendarmes approuvent ou non le travail qu’ils accomplissent, et dont ils ne décident pas des suites à donner. Imaginez si c’était le cas !

Je relativiserais enfin l’image de la “police collabo” en vous invitant à prendre connaissance des raisons pour lesquelles les policiers de la Préfecture de Police à Paris sont le seul corps civil à arborer la fourragère rouge : pourquoi les policiers de la Préfecture de Police portent-ils une fourragère aux couleurs de la Légion d’honneur ? – Le revers de la médaille.

Quant à moi, je vous invite à découvrir mon parcours au sein de l’institution policière pour comprendre qu’il n’a jamais été sans heurts et que je me suis régulièrement opposé à ce que j’estimais ne pas être juste eu égard à ma vision de ce métier. Je n’avais par conséquent aucune raison de démissionner, même si comme vous le dites on a fini par me “virer” à l’issue d’un second conseil de discipline devant lequel j’ai refusé de comparaître…

“Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.” C’est l’article 35 de la Constitution du 24 juin 1793. L’approuvez-vous ? Estimez-vous qu’aujourd’hui “le gouvernement [français] viole les droits du peuple ?

Le droit des peuples a été depuis longtemps bafoué, à mon sens lors de la trahison que constitue le traité de Lisbonne. Nous en sommes aujourd’hui à devoir jouer à un jeu de dupes consistant à faire semblant de choisir un destin tous les 5 ans et à subir ce qu’une minorité a décidé à notre place.

Se référer à notre bloc de constitutionnalité n’y changera rien, et ne justifiera jamais un coup d’Etat, fusse-t-il pour redonner au peuple sa souveraineté. Ce genre d’initiative sera tué systématiquement dans l’œuf.

Reste donc deux options : renoncer (impossible), ou continuer le combat consistant à convaincre certains à faire fi de leur petit ego personnel pour se rallier à un vaste mouvement unitaire rassemblant une majorité d’électeurs, et reprendre ainsi la main par la voie démocratique. Cela risque de ne pas être simple…

Vous croyez donc possible un réel changement grâce à une élection (puisque vous parlez d’électeurs) ? N’avez-vous pas l’impression que le système tourne sur lui-même, comme un serpent qui se mord la queue ?

Je ne sais pas si cela est possible, je l’espère en tout cas. Ce que je sais en revanche c’est que c’est le seul moyen possible, et que s’il est vrai que les dés sont pipés, il suffirait d’une alliance des droites (je parle des souverainistes et des conservateurs) pour que tout change enfin. Eric Zemmour n’a pour l’instant pas réussi, mais il reste un espoir. A défaut, le chaos qui s’annonce dépasse largement les prérogatives de la police nationale, puisque ce sera l’armée qui risquera alors de prendre les opérations en main.

[Réseau Libre] Sébastien Jallamion merci ! Les lecteurs peuvent se procurer vos livres aux Éditions Riposte Laïque en cliquant sur les couvertures ci-dessous.

Source: Réseau-Libre.org




Magnanville : nous non plus on n’oublie pas, on ne pardonne pas !

Aujourd’hui lundi, s’ouvre le procès de Magnanville (Yvelines), où comparaît devant la cour d’assises spéciale de Paris un certain Mohamed Lamine Aberouz, complice « supposé » de l’abject Larossi Abballa.

Abballa a été quant à lui liquidé par les membres du Raid (Recherche, assistance, intervention, dissuasion) à l’époque. « Dommage », diront certains, dont moi, car j’aurais bien aimé voir ce sous-être se faire lécher le cou par Louison, autrement dit la guillotine. Mais, depuis Robert Badinter, il paraît qu’on est devenus civilisés en abolissant la peine de mort et en abolissant à l’occasion notre sécurité pour servir de moutons d’abattoir, entre autres aux plus fidèles d’Allah.

Magnanville, c’était il y a plus de sept ans, le 13 juin 2016 : un homme, Jean-Baptiste Salvaing et une femme, Jessica Schneider : un couple. Tous les deux ont été égorgés devant leur enfant Mathieu par l’immonde Abballa. Un massacre qui portait le sceau de l’Islam le plus enragé et, faut-il le répéter ad nauseam, le plus littéral, en ce sens que le djihadiste de Magnanville respectait à la lettre les préceptes du Coran :

– « Quand les mois sacrés seront expirés, tuez les Infidèles quelque part que vous les trouviez ! Prenez-les ! Assiégez-les ! Dressez pour eux des embuscades ! » (Sourate 9 At-Tawba – verset 5).

« Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes. Allah n’aime pas les transgresseurs ! 191. Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre. »

(Sourate 2 Al Baqarah – versets 190 et 191)

[Pour ceux qui l’ignoreraient, selon les muzz, les « associateurs » ce sont les chrétiens, en raison de la Sainte Trinité qui « associe » le Père, le Fils et le Saint Esprit. Ce qui est une accusation aussi ignorante que fausse. Mais je ne vais pas faire ici un cours de théologie à destination d’ignorants islamiques !]

Aujourd’hui donc, grâce à notre esprit de civilisation, Salah Abdeslam vit en prison à nos frais. Et un flic qui sort son flingue pour protéger ses collègues contre une horde ultragauchiste – et collaborationniste à l’égard de l’islam ! –, c’est un scandale pour l’engeance gauchiste, à qui on doit un peu les massacres islamiques sur notre sol depuis quelques années. Rappelons qu’aux États-Unis, chez Jo Bidon le copain des wokes, les ultragauchistes, qui ont attaqué la voiture de police samedi dernier à Paris, auraient été abattus comme il se doit.

En effet, c’est le prix à payer, à force d’avoir accueilli en masse – et de continuer de le faire, Macron n’étant après tout qu’un gauchiste honteux ! – les fidèles d’une religion résolument ennemie de la civilisation chrétienne et qui, malgré les élucubrations de certains pseudo-historiens idéologiques, ne nous a JAMAIS rien apporté, sinon du sang et des larmes.

Bien au contraire, et comme l’a magistralement démontré Sylvain Gouguenheim en son temps, en matière d’érudition : « L’Orient musulman doit presque tout à l’Orient chrétien. Et c’est cette dette que l’on passe souvent sous silence de nos jours, tant dans le monde musulman que le monde occidental » (in Aristote au mont Saint-Michel, ouvrage odieusement livré à la vindicte gauchiste pour avoir énoncé une vérité « impure » !). Il faut ajouter que les plus lettrés des musulmans ont souvent été persécutés en islam, dont Averroès, qualifié jadis de traître à sa religion et d’hérétique, malgré sa rigoureuse fidélité à l’islam.

En attendant, le petit Mathieu, qui a vu ses parents se faire égorger – et qui l’aurait été à son tour si le Raid n’avait pas donné l’assaut –, a aujourd’hui dix ans et il souffre de troubles psychologiques graves, dont des terreurs nocturnes. Et ça, je suis sûr que ça excite les plus fidèles d’entre les musulmans. Car, quelles que soient les plaintes qu’ils déposeront contre nous pour nous faire taire, ils aiment terroriser et détruire, Magnanville en est la preuve la plus criante, avec l’école Ozar Hatorah de Toulouse – où des enfants ont été tués et filmés pendant qu’ils mouraient ! –, Charlie, le Bataclan, Nice, le père Jacques Hamel – qui reconnut Satan dans ses bourreaux islamiques ! –, les jeunes cousines Laura et Maurane de la gare Saint-Charles à Marseille, le colonel Arnaud Beltrame, etc.

Et comme disent les islamo-gauchistes pour les « chères » racailles disparues : nous non plus, Magnanville et tout le reste on n’oublie pas, on ne pardonne pas ! Viendra le jour des comptes, je l’espère, car sinon ce serait à désespérer de la France…

Charles Demassieux




Le message du pape aux Européens : disparaissez et vous irez au paradis

MIRACLE À MARSEILLE : LE PAPE A UNE APPARITION !

Par ailleurs, le message papal ne fait pas l’unanimité, surtout quand il est parfaitement décodé…

Pierre Manent : « Le pape invite les nations européennes à disparaître pour devenir meilleures. »

L’ENNEMI EST À L’INTÉRIEUR

L’intervention de Macron hier soir. Hommage au pape, politique migratoire renforcée, appel aux pétroliers pour qu’ils baissent les prix et discours anti-voitures. Et cette petite chose mal éduquée a joué au président fier des Français et de la France, alors qu’il passe son temps à détruire son pays. https://www.bfmtv.com/politique/elysee/immigration-pour-emmanuel-macron-le-pape-a-raison-mais-la-france-ne-peut-pas-accueillir-toute-la-misere-du-monde_AP-202309240402.html

https://www.tf1.fr/tf1/jt-20h/videos/emmanuel-macron-compatriotes-vous-pouvez-etre-fiers-02107944.html

Propos racistes d’une mère qui se comporte en musulmane, face à un jeune Noir de 10 ans. Silence des antiracistes, preuve formelle que la mère n’est pas une gauloise.

Benzema et le sabre anti-koufar. Celui-là a foutu le camp et c’est très bien ainsi. Qu’il termine sa pauvre vie à La Mecque, et qu’il ferme sa gueule.

Encore une école occupée par des clandos, dans le Paris d’Hidalgo. Complicité évidente des associations à migrants, sans la moindre sanction contre elles. Le pouvoir des pleutres. https://www.cnews.fr/france/2023-09-23/paris-une-ecole-maternelle-du-7e-arrondissement-occupee-par-des-migrants-1399533

La cohérence du discours de gauche, version Anasse Kazib : puisque les émeutiers sont des révoltés, les casseurs et les voleurs sont donc des prisonniers politiques qu’il convient de libérer. Ben voyons. https://twitter.com/F_Desouche/status/1705976215184494627

La manif anti-flics de la gauche collaborationniste, continuité de sa manif de novembre 2019 contre l’islamophobie. Aucune sanction de Darmanin contre les organisateurs, suite aux violences et à l’agression d’une voiture de police, à Paris. Pourtant, ils sont responsables de ce qui se passe dans les manifs. Nous somme gouvernés par des péteux. https://www.bvoltaire.fr/la-gauche-anti-police-en-toute-verite-flop-de-la-manif-et-violence-systemique/

Thomas Portes, un vrai cador : Le député LFI Thomas Portes moqué et épinglé par une note sur X (ex-Twitter) après avoir vu des exactions nazies dans un tract RN rappelant simplement la date… des élections européennes – Fdesouche

INVASION/ANIMATIONS

Nul ne peut échapper à l’enrichissement : « Banlieusardisation » : de plus en plus de  populations issues de l’immigration maghrébine ou subsaharienne s’installent dans les villes à la périphérie des métropoles – Fdesouche

Shopping d’aujourd’hui.. Tu fais gentiment tes courses dans une rue très fréquentée et… Metz : trois personnes blessées par balles, un homme interpellé – Le Parisien

Paris de La Dingo. Règlement de compte au surin africain sur fond de trafic de drogue : “Les trois malfrats ont eu le temps, avant leur interpellation, de grièvement blesser un autre jeune, qu’ils auraient poignardé à deux reprises, notamment près de la carotide. Il est environ 20 heures, ce mercredi, lorsque l’on sonne à la porte de l’appartement de la famille G. Cité Saint-Chaumont. C’est Nafissatou (les prénoms des victimes ont été changés), 30 ans, qui ouvre. Trois hommes encagoulés, dont un armé d’un couteau, s’engouffrent dans le logement. Les malfrats réclament alors le remboursement d’une dette qu’aurait contractée l’un des plus jeunes fils de la famille, Salif, 19 ans, déjà connu des services de police pour des faits d’escroquerie. Ils menacent de s’en prendre à lui, et à toute sa famille.” Paris : une famille séquestrée pour une dette contractée par l’un des fils – Le Parisien

Comme c’est étonnant, le violeur est un clando algérien ! Versailles (78) : une femme de 67 ans ligotée, rouée de coups et violée durant toute une nuit en rentrant chez elle (MàJ : un migrant clandestin algérien sous OQTF interpellé) – Fdesouche

Gros ennuis pour les policiers, émeutes et marche blanche en vue ? C’est quand même idiot de se jeter à l’eau quand on ne sait pas nager…Poitiers : Un jeune homme meurt noyé en fuyant la police après un refus d’obtempérer (actu17.fr)

TRUANDS, AIGREFINS ET SICAIRES

Le vieux porteur de faux sacs de riz se réveille ! Qu’il se taise et retourne à son néant : Bernard Kouchner : “Le Pape c’est facile pour lui de parler de devoir moral mais il n’apporte pas de solution. L’Europe n’existera pas si le problème de l’immigration se pose massivement et il va se poser” – Fdesouche

Le gouvernement veut se servir dans la caisse excédentaire de l’Agirc-Arrco, qui finance les retraites du privé, pour honorer des promesses. https://www.bvoltaire.fr/retraites-le-gouvernement-veut-piquer-dans-les-caisses-du-prive/

Et c’est Bolloré que l’on doit guillotiner ? Hou hou, Plenel, Apathie, Toussaint, Rochedy, Schneidermann, un commentaire ? Ah… c’est votre mangeoire, Niel ? Mille excuses, on n’avait pas tout compris. https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2023/09/23/le-milliardaire-tcheque-daniel-kretinsky-revend-a-xavier-niel-ses-parts-dans-le-groupe-le-monde_6190675_3236.html?fbclid=IwAR0B8JSWpKPOwIc_N_b6xS74ab-fwTw_giql-Ggu9vc3rLuqMzxaSsfee3M

Le crime du guérisseur : depuis 30 ans, il soigne des gens efficacement, et les guérit. L’État sort l’artillerie lourde contre lui. À 75 ans, le pauvre citoyen a fait 48 heures de garde à vue, et ils ont retournée son terrain pour découvrir des pièces d’or… issues d’un héritage. La priorité de la justice du Yéti et de la police de Moussa. https://resistancerepublicaine.com/2023/09/24/chasse-au-sorcier-en-saintonge-un-guerisseur-efficace-gagnait-autant-quun-medecin/

RÉSISTANCES

Le RN a un sénateur, Ravier ne sera plus seul. La Seine-et-Marne, rurale et urbaine, connait elle aussi les tourments de l’insécurité, de l’immigration mal régulée. Réaction logique des électeurs. https://www.lefigaro.fr/politique/senatoriales-le-rassemblement-national-fait-son-retour-dans-la-chambre-haute-20230924

 

CORONAPOISON

Et chez nous, pas de chiffres dérangeants ? Les données du gouvernement américain confirment une augmentation de 143,233 % des cas de cancers mortels dus à la vaccination COVID. – PLANETES360

 

UN MONDE PARFAIT

Ben voilà, on y est. https://insolentiae.com/lusine-qui-va-produire-10-000-humanoides-des-2024/

Big Brother : 

Florian Philippot  Et voilà ! La ministre des Sports indique sur France3 que la loi autorisant « la vidéosurveillance algorithmique » dans le cadre des #JO2024 pourrait finalement être prolongée après les Jeux !🤦
On avait alerté !
Macronistes, LR, RN ont voté cette loi « Big Brother » en mentant et en trompant !
C’est en réalité les JO comme prétexte pour une société de surveillance via la reconnaissance faciale. Bienvenue en Chine !
Liberté, vite !

 

“Benzema entrera dans Paris sur un char algérien. J’en mets ma tête à trancher. Au ras” (Allah)

 

Danielle Moulins et Jean Sobieski




Ce que m’inspire la mort d’Evgueni Prigojine

« Si l’on supprimait les hypocrites et les traîtres, il resterait peu d’hommes en ce monde »

                                       (Sosthène de La Rochefoucauld-Doudeauville ; « Le livre des pensées » (1861))

 

Le 24 août dernier, la presse nous annonçait la mort « accidentelle » d’Evgueni Prigojine, le patron du groupe Wagner, après sa pseudo-tentative de putsch et sa marche-éclair sur Moscou.

Disons, avant d’aller plus loin, que je n’ai pas cru un seul instant à la volonté de Prigojine de renverser le régime. À qui va-t-on faire croire que Vladimir Poutine aurait laissé une troupe en armes parcourir 700 km en territoire russe sans qu’on cherche sérieusement à l’arrêter ? Il faut se souvenir qu’en 1984, il a suffi de… deux Mirages français pour stopper l’avancée des troupes de Kadhafi au Tchad. Et je ne crois pas non plus à la thèse de l’accident causant la mort de Prigojine. Ce type devenait dangereux et incontrôlable ; Poutine s’en est débarrassé. Depuis toujours les Russes ne sont pas des tendres. Sans parler, une nouvelle fois, des purges de Joseph Staline, souvenons-nous que les généraux soviétiques ont fait tuer… 23 millions d’hommes pour venir à bout des Allemands durant la Seconde Guerre mondiale. Chez eux une vie humaine n’a pas la même valeur qu’en Occident.

Si j’évoque Evgueni Prigojine un mois après sa mort, c’est à la suite d’une discussion avec un ami pour qui Poutine est le diable incarné, Zelensky un saint homme et ceux – dont je suis – qui n’applaudissent pas le « camp du bien », des suppôts de Satan. Pour m’en convaincre, il m’a servi un discours dans la droite ligne du « politiquement correct » et de la bien-pensance. Or j’en ai un peu marre des stratèges de Café du Commerce et de leurs analyses simplistes et binaires : d’un côté il y aurait les bons, les démocrates, et de l’autres les méchants régimes « totalitaires ».

L’argument-massue de mon interlocuteur, celui qui devrait clore toute discussion, interdire toute objection, c’est que « chez nous on n’assassine pas les opposants politiques… ». En réalité, ce genre de dialectique ne traduit qu’une chose ; une méconnaissance crasse de notre histoire.

Mais c’est une  position, somme toute, assez logique: dans notre France avachie, repentante et socialisante, depuis déjà bien longtemps les médias ne remplissent plus leur rôle d’information ; ils polluent les esprits, ils interprètent, ils servent la soupe au pouvoir, ils travestissent la vérité et se complaisent dans l’émotionnel, le sensationnel, le sordide, le salace ou le crapoteux. L’important pour ces gens-là n’est pas de relater honnêtement un événement mais de l’interpréter car, de nos jours, tout journaliste se doit d’être «engagé» (toujours à gauche bien sûr !).

Ils savent pertinemment qu’ils mentent mais chacun veut sa place au Bal des faux-culs !

Lors de l’affaire Khashoggi, ce journaliste saoudien, qui pénétra – pour solliciter un passeport – dans le consulat d’Arabie Saoudite d’Istanbul où il a été torturé, puis démembré par des nervis des services secrets saoudiens, notre presse a joué les vierges effarouchées et fait semblant de découvrir la barbarie de pays dans lesquels on coupe la main des voleurs, on lapide les femmes adultères, on brûle vif celui qui insulte le prophète… Depuis le temps que ces braves gens nous expliquent, avec force et conviction, que l’Islam est une religion « de tolérance, d’amour et de paix », on avait fini par oublier comment on punit les traîtres – ou présumés tels – en terre d’Islam. Ce que la presse a omis  de nous dire, c’est que Khashoggi n’était pas tout à fait un journaliste ordinaire. Il avait couvert, en Afghanistan, la fin de la guerre menée contre l’Armée rouge et la guerre civile qui lui succéda. Il était alors l’ami d’un jeune chef, un certain…Oussama Ben Laden. C’est lui qui organisa la rencontre du fondateur d’Al-Qaïda avec Robert Fisk, seul reporter occidental à avoir interviewé Ben Laden. Plus tard, il devint l’homme de confiance de Turki Al-Fayçal, qui dirigeait les services secrets saoudiens.

C’était une sorte de « barbouze » ou d’« honorable correspondant » des services secrets saoudiens. Il se détourna de son pays tardivement, sans qu’on sache exactement pourquoi. Il disait partager les visées réformatrices du prince Mohamed Ben Salman, mais jugeait ce dernier trop autoritaire, trop imprévisible et trop sanguin. Savait-il qu’en s’engageant dans cette nouvelle vie d’exilé, il signait son arrêt de mort ? On suppose que oui. Quand on grenouille dans le monde trouble des services secrets, quand on côtoie des Ben Laden et consorts, on en mesure les risques : en principe « pour souper avec le diable, il faut une longue cuillère », comme écrit  Shakespeare (dans « La Comédie des Méprises »).

Mais chez les démocrates, ces pratiques barbares n’existent pas, mon œil !

Ne remontons pas à la mort d’Alexandre Stavisky qui, selon la presse de droite de l’époque, s’est suicidé « d’une balle tirée à bout portant dans le dos ». Ce scandale date de la IIIe République, « la République des Francs-maçons » (1) et il est à l’origine des émeutes du 6 février 1934.

Contentons-nous de citer quelques affaires qui démontrent que nos démocraties aseptisées savent, elles aussi, se débarrasser des gêneurs. Cette liste n’est pas exhaustive, loin s’en faut.

Qui a oublié, par exemple, le suicide – contesté depuis des années par sa famille – de l’ancien ministre Robert Boulin (2) ? À la même époque en gros, le prince de Broglie était abattu au pistolet en sortant de chez son conseiller fiscal. Puis l’ancien ministre Joseph Fontanet se faisait flinguer en plein Paris au calibre 11,43. Cette affaire n’a jamais été élucidée mais Boulin, Broglie et Fontanet avaient été plus ou moins impliqués dans les funestes Accords d’Évian. Citons aussi, juste pour mémoire, la tuerie d’Auriol qui était un règlement de compte entre « barbouzes » du sulfureux SAC (3), ou encore le suicide de René Lucet qui aurait réussi l’exploit de se tirer… DEUX balles de 357 magnum dans la tête ; celui de Pierre Bérégovoy dont le chauffeur-garde-du-corps était parti se promener le long de la Nièvre en oubliant son arme de service dans la voiture de l’ancien Premier ministre ; ou encore celui de François de Grossouvre, l’ami de François Mitterrand, celui qui protégeait Mazarine.

Il y a quelques années, j’ai consacré un article à l’une des affaires les plus crapoteuses de la Ve République, l’assassinat de Ben Barka, car elle est assez édifiante. Résumons-là brièvement :

Le 29 octobre 1965, l’opposant marocain Mehdi Ben Barka est interpellé devant le drugstore Publicis par deux hommes qui présentent des cartes de police. Ils font monter le Marocain dans une voiture banalisée. Ben Barka ne sera plus jamais revu. Le 2 novembre, une instruction est ouverte par le juge Zollinger. Le lendemain, un certain Antoine Lopez se présente à la police et est placé en garde à vue. Lopez est un « honorable correspondant » du SDECE (4). Il entretient aussi des relations suivies avec des dignitaires marocains, dont le général Oufkir. Plusieurs truands parisiens comptent parmi ses amis. Les services qu’il leur rend lui vaudront plus tard d’être qualifié d’« agent triple ». Il était à bord de la 403 banalisée où sont montés Ben Barka et les deux policiers. Un nommé Julien Le Ny était également à bord. Antoine Lopez avoue avoir guidé le véhicule vers une villa de Fontenay-le-Vicomte appartenant à Georges Boucheseiche, pour qui travaillent Julien Le Ny, Jean Palisse et Pierre Dubail. Tous quatre sont des repris de justice, plusieurs fois condamnés. Ils sont aussi des « barbouzes » qui ont œuvré dans la lutte anti-OAS et la chasse aux partisans de l’Algérie Française. Boucheseiche a fait partie de la Gestapo française et a rejoint en 1946 le « Gang des Tractions avant », en compagnie de Pierre Loutrel (dit Pierrot-le-fou) et Jo Attia. Il a fait plusieurs années de prison pour avoir racketté un diamantaire pendant l’occupation. Dans les années 1950, il s’est converti dans les maisons closes, à Paris et au Maroc. Il est réputé « avoir rendu des services au SDECE lors de l’indépendance du Maroc et la guerre d’Algérie ». Ensuite, on découvrira qu’un certain Georges Figon, et son avocat Pierre Lemarchand, ont trempé dans l’enlèvement de Ben Barka. Lemarchand, ancien de la lutte anti-OAS, n’est pas n’importe qui, il est député UNR de l’Yonne et proche du ministre Roger Frey.

Le 10 janvier 1966, « L’Express » publie le témoignage de Georges Figon sous le titre « J’ai vu tuer Ben Barka ». Figon explique que le leader marocain a été séquestré dans la villa de Georges Boucheseiche et que le général Oufkir et le commandant Dlimi lui ont fait subir les pires tortures.

Figon donne les noms des acolytes de Boucheseiche qui ont participé à la séquestration. Le 17 janvier, Georges Figon est localisé par la police dans un studio du XVIIe arrondissement. Il y est retrouvé mort, apparemment suicidé… Un suicide aussi peu crédible que celui de Stavisky. On ne retrouvera jamais le corps de Mehdi Ben Barka. Plusieurs des « barbouzes » et autres protagonistes de cette sale affaire mourront de mort violente.

L’ami, à qui je disais qu’avec des affaires aussi sordides, nous étions mal placés pour donner des leçons, m’a rétorqué « nous ne sommes pas barbares au point de détruire un avion en tuant tous ses passagers ». Qu’on me permette de rappeler quelques histoires pour le moins troubles :

Le 28 novembre 1947, près de Colomb-Béchar, le bombardier B-25, transformé en avion de fonction pour le général Leclerc, s’écrasait vers midi sur la voie ferrée Méditerranée-Niger, à une cinquantaine de kilomètres de l’aéroport de Colomb-Béchar qu’il essayait de rejoindre.

Les 12 passagers et membres d’équipage sont morts sur le coup. Mais un 13e corps non identifié sera retrouvé dans les débris de l’appareil. Les légionnaires (et secouristes) ont  commencé l’identification des corps dans l’après-midi du 28. Toutes les victimes ayant été décapitées lors du choc, ce sont les troncs qui ont été identifiés grâce aux uniformes, grades et papiers personnels. Le corps du général Leclerc a été identifié par son portefeuille, sa chevalière armoriée et un morceau de sa canne. Une fois les corps transportés à la morgue de Colomb-Béchar, ce sont 13 corps qui seront formellement dénombrés avant la mise en bière, bien que l’avion n’ait transporté que 12 hommes. On ne saura jamais qui était ce 13e homme. Une chose est certaine, le général Leclerc, dont les ambitions – légitimes – étaient connues, gênait beaucoup de monde.

Autre affaire étrange : le 27 juin 1980, un Douglas DC-9 effectuant un vol entre Bologne et Palerme s’abîme en mer, près de l’île d’Ustica au nord de la Sicile. Il a été abattu par un missile, tuant les 81 personnes à bord. Les causes de l’accident n’ont jamais été clairement élucidées. Mais, depuis 1999, l’enquête du juge Rosario Priore s’oriente vers la thèse d’un tir de missile d’un avion de l’OTAN qui aurait pu être… français.  L’ex-président de la République italienne Francesco Cossiga, et Rosario Priore ont évoqué une possible tentative d’assassinat de Kadhafi. Deux mois plus tôt, le président du Tchad, Goukouni Oueddei, avait annoncé à Tripoli la fusion de son pays avec la Libye, ce qui avait suscité la colère de la France. Certes, rien n’est prouvé mais on a le droit de s’interroger.

Le 5 février 1987, Michel Baroin, ancien parton des Renseignements Généraux, ancien Grand Maître du « Grand Orient de France » et président de la « Garantie Mutuelle des Fonctionnaires » (5) meurt dans un accident d’avion à Jakiri, au Cameroun. Son avion s’écrase peu après le décollage de Brazzaville où il venait de rencontrer le président Sassou-Nguesso. Selon la journaliste Dominique Lorentz, il ne s’agirait pas d’un accident mais d’un attentat (6). Victor Chapot, ancien conseiller de Giscard d’Estaing, ne croit pas à l’accident et évoque un possible assassinat politique. Encore une affaire trouble qui ne sera jamais élucidée, comme l’accident d’avion d’Evgueni Prigojine.

Pour finir, bien que la liste ne soit pas limitative, citons le mystérieux crash du jet privé de Christophe de Margerie, le patron de Total, en octobre 2014. On a très vite évoqué la présence d’une déneigeuse sur la piste, dont le chauffeur était saoul, pour rejeter l’hypothèse d’un attentat.

Ce grand patron au parcours hors normes n’avait pas que des amis. Il s’était battu pour signer avec la Russie un énorme contrat d’exploitation de gaz naturel sur la presqu’île de Yamal. Qualifié de « grand ami » par Vladimir Poutine, Christophe de Margerie était encensé par Dmitri Medvedev. Ce dernier l’avait reçu quelques heures avant sa mort, et il avait particulièrement apprécié le plaidoyer du patron de Total contre les sanctions européennes suite à l’annexion de la Crimée. Margerie était une personnalité forte. Il n’avait pas peur de dire la vérité, même s’il savait que ça ne plaisait pas à tout le monde, en France, en Europe ou aux États-Unis. Mais puisqu’on nous dit que sa mort serait due à un accident, il nous serait malvenu d’en douter sous peine d’être taxés de complotisme.

Ne nous voilons pas la face, nous vivons depuis longtemps en « démocassure », une dictature instillée comme une drogue douce, qui se donne des airs de démocratie.

En fait, Poutine aurait dû faire arrêter Prigojine. Après un simulacre de procès « stalinien », il aurait été fusillé comme traître. Je suppose que, comme au bon vieux temps de l’Union soviétique, nos intellectuels auraient nié les faits comme ils l’ont fait jadis pour les purges et les crimes du « petit père des peuples » Joseph Staline, pour « ne pas affoler Billancourt ». Mais il n’y a plus de prolos qui votent pour le PC à Billancourt ; Édouard Philippe va se prostituer à la « Fête de l’Huma » au côté du Syndicat de la magistrature rouge. Les temps changent ? Que nenni, les apparences seulement !

Alors, de grâce, messieurs les maîtres-censeurs, avant de donner des leçons de démocratie et d’humanisme à des pays certes barbares, balayez d’abord devant votre porte !

Éric de Verdelhan  

 1)- Ne nous leurrons pas, la Ve République est également celle des Francs-maçons.

2)- Qui était Franc-maçon, mais ceci n’a sans doute rien à voir avec son « suicide ».

3)- SAC : Service d’Action Civique dont certains membres se sont illustrés dans la lutte contre l’OAS.

4)- SDECE : Service de Documentation Extérieure et de Contre-Espionnage, l’ancêtre de la DGSE.

5)- Connue pour être à l’époque une pépinière de Francs-Maçons.

6)- Il évoque un attentat commis par l’Iran, motivé par le contentieux Eurodif.




Dans un pays normal, le policier aurait tiré sur les Blacks Blocs

Des images ahurissantes qui montrent que, dans la France de Macron, de Darmanin et du Yéti, on peut attaquer en toute impunité les forces de l’ordre, sans que celles-ci aient le droit de se défendre.

https://twitter.com/i/status/1705590565679599804

Dans un pays normal, le policier aurait tiré, et aurait été considéré comme un héros, pour avoir abattu des délinquants qui menaçaient la vie de ses équipiers.

Mais en France, on s’en prend au policier qui aurait, paraît-il, perdu le contrôle de ses nerfs en sortant son arme.

En France toujours, quand les antifas veulent brûler des policiers dans leur voiture, ils sont certains de bénéficier d’une impunité totale, face à des forces de l’ordre qui, dans le meilleur des cas, arrivent à préserver leur sortie de la voiture…

Darmanin, qui passe son temps à dissoudre les associations patriotes, nous a montré à Saint-Brevin que, quand la police le veut, elle sait être efficace. Nous l’avons vu également lors des manifestations de Gilets jaunes.

Saint-Brévin : sept militants d’ultra-droite interpellés en marge d’un colloque sur l’accueil des exilés – Le Parisien

Conclusion : Darmanin et l’appareil d’État de Macron protègent les antifas et les Blacks Blocs, ainsi que les racailles, parce qu’ils sont les miliciens de ce régime.

Et pendant ce temps-là, le policier qui a débarrassé la France d’une racaille, à Nanterre, croupit toujours en prison !

Ordures !




Les joies du vivre-ensemble… “Mets-lui une patate dans sa gueule”, “je t’encule à sec”…

Une mère qui défend son gosse frappé par un autre, je n’ai rien contre, au contraire, puisque ni l’école ni la justice ne se sent capable de taper du poing sur la table. Sauf que là on atteint des sommets dans la violence, la grossièreté, le sadisme… Et, au demeurant, on ne sait qui, des deux gamins a commencé et sous quelle forme.

On notera qu’il s’agit apparemment de coups et règlements de compte entre membres de la “diversité” qui, bien qu’elle habite en France et parle français, n’a rien oublié de racines sans doute africaines avec des mœurs barbares. La mère n’est pas voilée, est habillée à la française, elle a un accent (du midi ? de pays du nord de l’Afrique ?) son enfant a la peau un peu foncée, On notera que la mère a dû être exfiltrée à son retour chez elle et obligée de quitter le quartier pour ne pas finir égorgée…

Après sa sortie de garde à vue, la femme qui a frappé un enfant a été confrontée à plusieurs personnes en bas de son immeuble. Elle a été insultée et menacée par plusieurs jeunes. Accompagnée de son avocat, elle a rapidement récupéré quelques affaires et quitté la cité.

Elle s’en est peut-être pris à l’enfant d’un cador de la cité, peut-être pas, c’est juste une levée de bouclier contre une femme qui, d’origine française ou pas, ne respecte pas les codes en vigueur et ose faire justice elle-même. Je ne la défendrai pas pour autant car sa violence, son sadisme, sa grossièreté ne sont pas acceptables, même si on salue une femme capable de défier le patriarcat et la loi du silence qui règnent dans une Cité.

Cela se passe dans la France de Macron, en 2023. Et, hélas, cela se passe sans doute très souvent, de plus en plus souvent, sans témoins, dans de nombreuses écoles ou rues de France et de Navarre, où des tas de gosses, les nôtres le plus souvent, sont insultés, humiliés, tabassés, vivent la peur au ventre… et se préparent à se se convertir à l’islam pour acheter la paix. C’est cela le djihad. Ce n’est pas le cas ici mais la scène est insupportable. Ce sont des gosses qu’on frappe, qu’on humilie…

Ça se passe dans le Val-de-Marne, à Boissy-Saint-Léger.

Lecteur vidéo

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Source twitter

Christine Tasin

https://resistancerepublicaine.com/2023/09/25/les-joies-du-vivre-ensemble-mets-lui-une-patate-dans-sa-gueule-je-tencule-a-sec/




Mets-en lui une bonne dans la gueule !

 

Je n’y comprends plus rien…. Elle est blonde ou colorée ? On s’en fout, elle est raciste.

On écrit, d’accord, je veux bien, mais si les malandrins se dissimulent le carafon sous une tignasse postiche, on n’en sort plus. Déjà qu’on ne peut mentionner ni le nom, ni la croyance, ni même l’odeur d’harissa qui se dégage des auteurs. Comment s’y retrouver ?

Sur une vidéo, on aperçoit une blonde oxygénée, probablement emperruquée, déchainée contre un « jeune » qui aurait torché son gamin de 10 ans. Toute cette horde est montrée de dos, afin que l’on croie qu’il s’agit d’une sale blanche raciste. Comme j’ai l’habitude de le dire, les perruques blondes dissimulent pas mal de forfaitures.

Boissy-Saint-Léger (94) : une mère de famille interpellée pour coups et propos racistes contre un morveux, camarade de classe de son fils. La grande classe.

«Viens ici, ferme ta gu**le. Je vais m’occuper de toi.». Elle vocifère des menaces, l’accusant d’avoir griffé son fils. «Je vais te massacrer», lâche-t-elle en lui mettant une première mornifle. Le garçon se décompose.

«Mets-lui une patate dans sa gu**le, tabasse-le, mets-lui une branlée»

“Tu as agrippé mon fils toi”, braille la fausse blonde au « jeune ». Lui assène une seconde torgnole.

La vidéo est coupée, mais reprend. Le jean-foutre est alors à genoux devant la mère de famille. Qui lui arrache les lunettes et met son fils en demeure de se venger. Ce dernier, l’air hagard, ne bouge pas. Une vraie statue. Furibonde, la mère le pousse alors à l’affrontement : “Vas-y tabasse-le ! Mets-lui une gifle”. Le garçon donne une tapette. “Mets-en lui une bonne”, reprend-elle.

Après sa sortie de garde à vue, la “maman qui « a frappé un enfant“ (probablement un petit ange) a été confrontée à plusieurs résidants de l’immeuble. Insultée et menacée par plusieurs galapiats. Accompagnée de son avocat (lui aussi grand consommateur de Ras el Hanout ?), elle a rapidement récupéré quelques affaires et quitté la cité.

Les faits se sont déroulés ce mercredi, dans la cité de la Haie Giselles, à Boissy Saint Léger (94).

Une « maman » s’en est prise à un chérubin qui aurait agressé son fils, authentique modèle d’éducation. Après l‘avoir copieusement insulté, elle a sommé son biquet de venir lui en mettre une. Ce qui ne correspond pas vraiment aux valeurs de Foutriquet si je peux me permettre.

Sans plus attendre, car c’est gratuit, les parents du minouchet insulté et frappé ont porté plainte, vidéo à l’appui, et averti la direction. Pourquoi se priver, c‘est le Français qui paie !

Quelques heures plus tard, vers 14h, la virulente mère de famille a été interpellée à son domicile – juste en train de préparer le Chtitha El Ham – et placée en garde-à-vue pour 1) violences sur mineur, 2) provocation directe d’un mineur à commettre un délit et 3) injures raciales.

A l’issue de ses 48h de GAV, elle a été déférée et devrait être jugée en comparution immédiate lundi prochain. Outre le malheureux souffre-douleur à lunettes, son fils est également considéré comme victime de ses agissements, puisqu’elle l’a contraint à lui en coller une.

Compte tenu de la proximité géographique entre les domiciles des deux familles (qui sont voisines), la mysenkose pourrait être placée sous contrôle judiciaire ou en détention provisoire en attendant son procès bidon. Car une expertise psychiatrique doit encore être réalisée.

Bien entendu. Et pas de cellule psychologique ?

Anne Schubert




Lisier à volonté pour chasser les gens du voyage qui squattent ?

Ça se passe en Angleterre, où, il y a deux ans dans le Lancashire, un groupe de mamies avait décidé d’occuper un site de fracture hydraulique. Elles ont fait des gâteaux pour inciter les gens à venir les rejoindre afin de les sensibiliser sur les effets de la fracture hydraulique. Le 27 avril dernier, Sophie et l’actrice Emma Thompson ont voulu renouveler l’expérience « Frack Free Bake Off » près du village de Kirkham. Sans autorisation, elles ont donc installé leurs tentes dans un champ et ont commencé à faire des gâteaux, mais l’agriculteur propriétaire des terres ne s’est pas laissé faire. Au volant de son tracteur, l’homme a répandu du lisier autour des tentes. L’odeur insupportable de cet engrais organique a rapidement dissuadé les manifestants de rester.

https://www.koreus.com/video/agriculteur-lisier-manifestant.html

Je trouve l’idée GÉNIALE, à copier partout en France où des gens du voyage, des amateurs de Rave Parties et autres dégénérés s’arrogent le droit d’occuper le terrain d’autrui, que ce soit un terrain public appartenant au peuple de France ou à un propriétaire privé, comme ceux qui la plupart du temps hébergent, à l’insu de leur plein gré, des squatteurs.

Il suffit de récupérer du lisier et de le balancer autour du campement… sous l’odeur, les squatteurs sont obligés de décamper, comme dans la vidéo ci-dessous. Savoureux, non ? Naturellement, il y aura plainte des squatteurs et il n’est pas sûr, en France, que les légitimes propriétaires aient gain de cause devant les tribunaux. Mais entre deux maux… Et il faudrait que la peur change de camp, que les autres commencent à craindre les réactions des nôtres, non ?

Un ami me raconte avoir vu, dans je ne sais quel pays étranger, des gens exaspérés par les actions de blocage “d’extinction rebellion” qui empêchent les voitures de passer les arroser avec des bombes d’auto-défense, des lacrymos au poivre, au gel, etc.

Départ immédiat des emmerdeurs garanti. Par contre je ne garantis pas que, en France, cette sorte de légitime défense soit reconnue par les tribunaux ! Mais c’est mieux que de leur casser la figure voire de les laisser handicapés. La facture serait bien plus salée.