Aujourd’hui 10 mai, le journal Ouest-France publie un article informant ses lecteurs du verdict rendu par le tribunal de St-Brieuc à l’encontre de deux antifas, arrêtés le 28 janvier 2023 à Callac lors des vœux du maire, pour avoir affronté les gendarmes devant la mairie.
Rappelons quelques éléments.
Le 17 septembre 2022, manifestation autorisée des patriotes devant la mairie de Callac, réunissant 400 personnes contre le projet Horizon qui entendait faire venir dans le village 70 familles représentant plus de 500 personnes (25 % de la population du bourg).
Le même jour, contre-manifestation de la gauche et des antifas. Manifestation non déclarée et durant laquelle les antifas ont attaqué les gendarmes.
Aucune arrestation. Aucune poursuite.
Le 5 novembre 2022, seconde manifestation autorisée des patriotes devant la mairie avec 800 personnes cette fois (600 selon la police).
De nouveau, contre-manifestation non déclarée de la gauche et des antifas. À nouveau, violents affrontements des antifas avec les gendarmes.
Aucune arrestation. Aucune poursuite.
Le 28 Janvier 2023, lors des vœux du maire à Callac. Danièle Le Men, présidente de l’association « Les amis de Callac et ses environs » est agressée par des antifas devant la mairie. S’ensuivent des affrontements entre antifas et gendarmes, pour la troisième fois.
Le lendemain le journal, Le Télégramme de Brest, informe : « Un gendarme blessé, une voiture de gendarmerie taguée et 2 arrestations ».
Effectivement 2 antifas ont été arrêtés et mis en garde à vue.
Ce sont ces deux individus qui viennent d’être jugés.
On notera avec intérêt que les chefs d’accusation ont « oublié » de mentionner le gendarme blessé.
Le Télégramme de Brest a donc menti à ses lecteurs… il n’y a pas eu de gendarme blessé. Qu’on se le dise !
Et le verdict fait froid dans le dos vu sa sévérité : 35 heures de Travail d’Intérêt général pour l’un et relaxe pour l’autre.
Moi je vous le dis, maintenant qu’ils savent que la justice est impitoyable, les antifas vont trembler et ne recommenceront certainement pas à agresser les gendarmes ni les patriotes qui défendent leur pays.
Plus sérieusement, même si je sais qu’un procureur est seul décisionnaire de l’opportunité des poursuites, on est quand même en droit de s’interroger :
Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les deux contre-manifestations non déclarées ?
Pourquoi n’y a-t-il eu aucune poursuite pour les violences des antifas contre les gendarmes les 17 septembre et 5 novembre ?
Pourquoi le gendarme blessé le 28 janvier a-t-il disparu de la procédure ?
Pourquoi, seule la dégradation d’un véhicule de gendarmerie est-elle retenue, mais aucune violence ?
Pourquoi l’interdiction de paraître dans le département (22) pour ces deux antifas a-t-elle été réduite à la seule ville de Callac ?
Cela commence à faire beaucoup de questions qui sont autant de preuves que le régime ne veut pas en finir avec la violence des antifas qui pourtant sèment le chaos dans toute la France.
À l’inverse, la manifestation des jeunes patriotes à Paris, samedi dernier, s’est déroulée sans aucun incident, sans aucun feu de poubelle, pas plus qu’il n’y eut de violence.
Ils ont simplement exprimé leur volonté de défendre leur pays. Sans violence, ni dégradation.
Mais là tout le monde leur est tombé dessus. De l’extrême-gauche jusqu’au ministre de l’Intérieur.
C’est donc clair, pour tous ces bien-pensants, qui refusent de voir et de condamner les violences quasi quotidiennes des antifas – en fait de vrais petits fascistes -, défendre son pays est un délit et quiconque s’aventurera sur ce chemin devra en répondre.
Sauf que cela produit l’effet exactement inverse.
De plus en plus de jeunes, comprennent les choses et rejoignent les rangs des patriotes.
Au reste, la situation devient à ce point caricaturale qu’on pourrait presque en rire, si la réalité du pays n’était pas si grave.
Bernard GERMAIN
Et ensuite, MOUSSA et LACORNU se demanderont pourquoi il y a tant de démissions dans les forces de l’ordre , et pourquoi beaucoup préfèrent passer aux polices municipales , ou ils sont mieux considérés, ils risquent moins leur peau, pas plus mal payés , et moins pressurés
Le régime veut juste en finir avec ceux qui aiment leur pays !
un stage de citoyenneté!
Les “antifas” et autres milices de l’ultragauche ne seront jamais condamnés, ni réellement poursuivis, ni interdits de manifester, et encore moins dissous parce qu’ils sont le bras armé de Macron et de son gouvernement avec la bénédiction tacite ou explicite de la gauche en totalité et le soutien inconditionnel des gauchistes de LFI – EELV et consorts. S’il y a encore des gens qui n’ont pas compris ça c’est vraiment qu’ils sont incurables !
incurables et CONS ! Les antifas et les ultra gauchiasses et l’islamerde sont les 3 cancers qui font mourir la France .
En cas de victoire électorale d’un parti de la droite nationale, les antifas seront chargés de provoquer le chaos pour empècher le bon déroulement de la prise de pouvoir : ils sont l’armée de réserve du gouvernement : les “loups garous de la macronie ” et pour le moment , ils agissent avec le soutien ou le laisser faire des forces de l’ordre ( cf.les manifs des GJ)