4 ans plus tard, retour sur le pathétique témoignage de la LDH Sophie Mazas

C’était le 14 mars 2019. Déjà plus de quatre ans. Une incroyable commission parlementaire, présidée par la pitoyable Muriel Ressiguier, député LFI, se mettait en place, de longues semaines durant, pour faire l’inventaire des “violences d’extrême droite”, et proposer des solutions pour mieux les combattre.

L’objectif était clair : il fallait multiplier les dissolutions, renforcer les lois liberticides, nommer des sections spéciales de juges spécialement chargés de la répression des factieux, fermer les sites de la réinformation, et durcir les peines contre les mal-pensants.

Dans le même temps, les seules vraies violences qui existaient, celle des antifas et des Black Blocs, étaient totalement passées sous silence.

C’est dans ce contexte qu’était appelé à témoigner Sophie Mazas (qu’il est difficile d’appeler Maître, tant son élocution est déplorable et très peu audible), la présidente de la LDH de l’Hérault.

Elle fut interrogée avec beaucoup de complaisance par la présidente Ressiguier. Il est vrai que les deux femmes ont beaucoup de choses en commun, en dehors de l’appartenance régionale. Elles ont régulièrement cautionné, par leurs présences, les violences des casseurs d’extrême gauche, vandalisant régulièrement le centre-ville de Montpellier, se permettant même pour Ressiguier, de vouloir user de son mandat pour que la police, qui leur barrait la route, les laisse passer.

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Quant à Sophie Mazas, tout le monde sait qu’elle est l’égérie locale des gauchistes dégénérés.

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Les premiers mots de Sophie Mazas sont accablants. Elle a devant elle des paquets de documents qu’elle paraît ne pas savoir utiliser. Elle est confuse et hésitante. On a du mal à comprendre où elle veut en venir. Elle cible principalement trois groupes : Génération Identitaire, la Ligue du Midi et les Brigandes. Qu’a fait de mal Génération Identitaire dans l’Hérault ? On n’en saura rien, mais on apprendra qu’ils osent organiser des stages d’entraînement dans la forêt et apprendre le close-combat. Sans doute que les gauchistes se contentent de prendre des cours de yoga. Mais le mouchardage et la pression permanente de la LDH, de la Licra, des Insoumis et d’autres délateurs ont fini par payer puisque GI, qui n’a jamais agressé personne, n’a jamais brûlé de voitures, ni vandalisé de boutiques et jeté des pavés sur les policiers – contrairement aux complices des dames Mazas et Ressiguier – a été honteusement dissous par Darmanin.

Puis venait la Ligue du Midi. Pas très futées, les deux femmes. Ressiguier réussira l’exploit d’écrire à Macron pour demander la dissolution de la LDM, ce qui rendit juste impossible son maintien à la tête de la commission et la torpillera lamentablement. Pas étonnant que, comme député sortante, elle n’ait obtenu que 4 % des voix en 2022 et ait dû reprendre le travail, qui ne doit pas être trop harassant. Quant à Sophie Mazas, elle rendra un hommage appuyé au militantisme de la famille Roudier et des leurs, puisqu’elle reconnaîtra qu’ils sont passés de 30 membres à 500 militants. Elle expliquera que l’attaque des locaux du RAIH (un machin à migrants payé par le Département), où il n’y eut aucune agression, si ce n’est quelques classeurs jetés par terre, les mettait hors de la République, et reprochera à la Ligue du Midi (sans la moindre preuve, puisque l’association ne fut pas citée au procès) d’avoir organisé le fameux commando de la fac de droit de Montpellier, où, devant la démission des pouvoir publics, dix militants déterminés mirent dehors, sans violence, la soixantaine de pouilleux, qui n’étaient absolument pas des étudiants, qui occupaient la faculté et commençaient à la dégrader.

Elle s’acharna également sur les Brigandes, coupables, selon cette normalisatrice de la vie privée des citoyens, de ne pas scolariser leurs enfants, et de les éduquer à domicile. Elle osa attaquer le maire de la ville du Salvetat, coupable de tolérer leur présence. Une vison totalitaire du monde qui fait froid dans le dos.

Symbole de la médiocrité de Sophie Mazas, son incapacité à gérer le temps. Alors que la présidente lui avait donné un quart d’heure pour présenter les faits, elle prit 30 minutes. Elle fut incapable de répondre avec précision aux questions posées. Un langage très pauvre, où les mots “violences”, “haine”, “extrême droite” reviennent en boucle, où les seules solutions préconisées était de réduire au silence ses adversaires politiques, de faire de la pédagogie et de réprimer et dissoudre toujours davantage.

Le mot “République” fut fréquemment utilisé pour justifier les attaques contre la prétendu “extrême droite”. Pourtant, la vraie honte de la “République” fut d’avoir utilisé, de manière stalinienne, les instances élues pour se livrer publiquement à une véritable chasse aux sorcières, et à la volonté de renforcer les délits d’opinion qui existent déjà par l’existence des lois liberticides Pleven-Gayssot-Taubira. Et le summum de la mascarade fut la connivence, à peine dissimulée, de la présidente et de son invitée, qui paraissent politiquement cul et chemise. Elle était belle la prétendue neutralité de la commission.

C’est Sophie Mazas qui, dans la continuité totalitaire de son discours devant les députés, a déposé plainte contre Pierre Cassen – qui l’avait prise pour une antifa – coupable d’avoir dénoncé ses agissements, durant une conférence de presse de la Ligue du Midi, à Montpellier, quand elle avait multiplié les provocations à l’encontre des militants présents. Le procès se déroulera prochainement.

https://ripostelaique.com/montpellier-jai-vu-a-loeuvre-sophie-mazas-presidente-de-la-ligue-des-droits-de-lhomme.html

Notre fondateur est accusé d’insultes sexistes, pour avoir ironisé sur sa tenue vestimentaire, étonnante pour une avocate, et lui avoir donné quelques conseils pour être plus féminine.

Pierre Cassen avait oublié une chose : les totalitaires, nostalgiques des régimes staliniens, n’ont absolument pas d’humour.

Lucette Jeanpierre

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1 Commentaire

  1. J’espère qu’un jour ces deux chiennes staliniennes tomberont sur un os… qui les enverra toutes les deux rejoindre leur idole chez Belzebuth !

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