5 bonnes raisons d’être avec Poutine contre Macron

1/ Depuis 8 ans, les agresseurs sont les Ukrainiens

Tout a commencé par l’interdiction faite en février 2014 aux gens du Donbass de parler et d’écrire leur langue maternelle : le russe.

Cette humiliation traduisant la volonté hégémonique de Kiev provoqua des mouvements de protestation. Puis des échauffourées. Avec des morts.

Le 2 mai 2014, l’armée ukrainienne a envahi les provinces autonomistes de l’est, faisant dans les premières années de guerre         10 000 morts essentiellement civils dans une population qu’ils présentent comme des compatriotes.

Le 5 septembre 2014, les premiers accords de Minsk sont signés. Un cessez-le-feu et une nouvelle consultation des habitants sont prévus. Quelques semaines plus tard, l’Ukraine attaque à nouveau par surprise pour regagner le terrain perdu.

Un nouvel accord Minsk 2 est signé en février 2015 en présence de Poutine conciliant. Ce traité de désarmement réciproque et d’autonomie du Donbass, sur laquelle la population devrait se prononcer, ne sera pas davantage respecté que le précédent par les mondialo-fascistes.

2/ Il n’y a jamais eu de volonté de paix du côté ukrainien

Jusqu’en 2019, les accrochages ont été presque quotidiens entre les forces en présence, et toutes les propositions de négociations furent  écartées ou enterrées.

Avec des milliers de morts lors de bombardements de populations civiles. Auxquels il faut ajouter les prisonniers lors d’escarmouches, fusillés par les Ukrainiens, sans autre forme de procès, contrairement à toutes les lois internationales.

Se croyant protégés par une hypothétique adhésion à l’OTAN, les Ukrainiens pensaient que l’aide sporadique apportée par les Russes aux peuples frères resterait limitée et symbolique.

Tandis que continuaient des livraisons européennes et nord-américaines d’armes lourdes et de blindés, encadrées par des « conseillers militaires ». Un flux ininterrompu depuis 2015 en dépit des mises en garde réitérées de Poutine.

Dès lors, les “zotorités” de Kiev ont multiplié les exactions contre les gens du Donbass. Se vantant même dans leur propagande d’avoir arraché les griffes et limé les dents de l’ours russe !

On ne doit pas connaître les fables de La Fontaine dans leur pays !

Il leur avait échappé qu’une nation forte avait remplacé l’URSS déliquescente, avec une économie et des finances dynamiques, et des richesses naturelles en énergie et minerais, la mettant à l’abri des chantages internationaux pilotés par les banksters.

Quant à leur défense, avec des missiles hypersoniques à ogives nucléaires multiples pouvant atteindre Mach 30 soit 36 000 km/h, les Russes n’ont pas trop peur de BHL.

 3/ Les Ukrainiens conchient les référendums

 Le nain hongrois déchu en France n’a pas le monopole de ces forfaitures.

Le 11 mai 2014, les républiques séparatistes de Donetsk et Louhansk  ont organisé un référendum d’autodétermination : 1 527 bureaux de vote furent ouverts et on imprima 3,2 millions de bulletins en russe et en ukrainien. Les observateurs internationaux conviés s’accordèrent sur la loyauté du scrutin.

Le “oui” l’emporta avec 89,07 % dans l’oblast de Donetsk et 96,0 % dans celui de Louhansk. Dès le lendemain, le chef des indépendantistes, Denis Pouchiline et les élus de la nouvelle « République de Donetsk » demandèrent leur rattachement à la Fédération de Russie sous forme d’État associé.

La réponse de l’Ukraine se résuma à des assassinats ciblés des dirigeants russophones, des embuscades contre les patrouilles frontalières, et de nouveaux mouvements de troupes accompagnés de bombardements des populations civiles.

4/ On ne peut pas faire confiance à Zelensky

 Zigomyr Zelensky est un pantin fabriqué de toutes pièces dans le même atelier du NWO que Trudeau, Macronescu et Jacinda Ardern.

Quadragénaires sans envergure, parvenus au pouvoir à la surprise générale grâce aux vigoureux coups de pouces de leurs commanditaires, maîtres des médias et des machines à  truquer les votes.

Macronard et Zigomar font la paire de tocards : un histrion bas de gamme encombré d’une poupée en silicone, et un amuseur de plateaux télé avec rires gras enregistrés.

Évidemment, ces homoncules invertébrés, sans culture ni morale ni convictions, ne peuvent  imaginer ce qui se passe dans la tête d’un vrai mec comme l’ami Vlad.

Ils croient qu’en bombant le torse et en gonflant les joues devant des journaleux serviles, ils impressionnent tout le monde.

Alors que le bilan humain de la guerre du Donbass frôle les 15 000 morts, en majorité des civils, l’amuseur public est élu le 21 avril 2019 avec 75 % des suffrages.  Il a promis qu’il mettrait fin au conflit dès les premiers mois de son mandat…

Avant la fin de l’année, une zone tampon est créée entre les belligérants qui déplacent leurs troupes, et une fois de plus, Poutine est roulé dans la farine. Pour la rime.

Croyant à la sincérité de ses interlocuteurs, il leur rend spontanément les 3 navires ukrainiens que les forces navales russes avaient arraisonnés. Des échanges de prisonniers ont lieu. Y compris en faveur de criminels de guerre ukrainiens dont on « oubliera » les forfaits en gage de bonne volonté.

Mais dès février 2020, les hostilités reprennent. Les Ukrainiens harcèlent et pilonnent le Donbass tandis que les forces russes sont accusées par les médias-menteurs aux ordres du NWO d’avoir ouvert le feu en premier.

Même schéma que contre les Serbes, 20 ans plus tôt, présentés à la vindicte des gobe-mouches des télés comme des agresseurs, alors qu’ils ne faisaient que se défendre.

Dans les deux années qui suivent, les soudards du NWO vont aller trop loin, multipliant les crimes de guerre et de vengeance. Vladimir, très patient jusque-là, commence à manifester des signes d’irritation. On connaît la suite.

5/ les merdias encore une fois du côté des banksters, contre les peuples

On observe en France, en Eurocrature et en Amérique du Nord, une quasi-unanimité des pourritures de la caste politico-médiatique progressiste dite « Deep State » contre la Russie, présentée comme coupable d’agression envers d’aimables voisins qui ne demandaient qu’à faire la paix.

On a vu que, depuis 2014, ces « gentils » ont non seulement laissé passer toutes les occasions de finir cette guerre. Mais en plus ils ont manqué à leur parole, piétiné les traités qu’ils avaient signés, et perpétré sans vergogne agressions et massacres.

Quant aux Russes, ils ne font que défendre, à leur demande, des gens proches d’eux par la race, la langue, la culture, la religion et l’histoire.

Ceux qui les condamnent pour cela sont les mêmes qui approuvaient à la quasi-unanimité le pilonnage de la Serbie, pays ami, pour complaire aux islamo-mafieux albano-kosovars. Qui plus est au profit d’une entité territoriale qui n’avait d’autre « légitimité historique » que les invasions turques, les massacres de paysans orthodoxes et les conversions forcées des siècles précédents.

Gorgées de pétro-dollars, les “zélites” mondialistes se souciaient alors peu de droit international, de non-ingérence et d’intangibilité des frontières. Elles plaidaient pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes par la force que, très curieusement, elles refusent aux Russes du Donbass par référendum.

Ce n’est pas en interdisant aux pro-Russes de s’exprimer sur YouTube et les réseaux sociaux qu’on cachera au monde entier les turpitudes des dirigeants ukrainiens, et les ignominies de leurs inspirateurs du Nouvel Ordre Mondial.

Pas plus qu’on n’a réussi à occulter les fariboles du prétendu réchauffement climatique et les arnaques des faux vaccins. Tout finit par se savoir. C’est le seul avantage de la mondialisation de l’information.

Aujourd’hui les traîtres ne sont pas ceux qui approuvent Poutine mais ceux qui soutiennent et encouragent l’islamisation de la France. Et vomissent Poutine. Sans doute parce qu’ils n’ont pas apprécié la façon radicale dont il a réglé leur compte aux terroristes tchétchènes.

Christian Navis

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