La HALDE protège le sexe faible contre la misogynie et le sexisme. (Sauf, bien sûr, dans le cas où cette protection remettrait en cause l’islam, mais nous consacrerons un article à toutes les discriminations soigneusement discriminées par la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité, et en particulier l’antisémitisme.)
Qu’en est-il quand ce sont les hommes qui sont victimes de sectarisme ?
Un festival cinématographique revendique le « privilège » d’être « non mixte »
Cinéffable est une association parisienne de promotion du cinéma lesbien. Depuis 1992, elle organise chaque année le « Festival international du film lesbien et féministe » (1).
Les premiers festivals de Cinéffable étaient déclarés « interdits aux hommes ». A partir de 2003, le festival est subventionné par la Mairie de Paris (2), autrement dit par tous les contribuables parisiens. On peut tout de même s’interroger sur le financement public de ce festival privé et communautaire. En quoi apporte-t-il le moindre caractère d’utilité publique ou d’intérêt général ? La question qui se pose pour le financement déguisé du culte musulman vaut également pour le culte de Lesbos, surtout quand les vestales de celui-ci affichent ouvertement leurs dogmes sexistes.
Il est en effet difficile de faire croire que Cinéffable soit d’utilité publique quand son festival destiné à promouvoir la culture lesbienne exclut d’emblée de son public la moitié du genre humain. Et de quelle culture s’agit-il ? Le contribuable parisien peut s’interroger sur le fait qu’il finance surtout des films de charme à tendance porno , si l’on en croit la petite vidéo de présentation du festival sur la page d’accueil du site de Cinéffable (en haut à gauche). La perplexité de ce même contribuable est à son comble quand il apprend que ses impôts rétribuent également, dans le cadre de ce festival, un ” Atelier Oh my Gode! ou le godemiché artisanal ” (3), où Cinéffable enseigne qu’il faut « sortir du gode de modèle unique et encore plus du sexe-shop à l’imaginaire hétéro, représentant du phallus dans sa pauvre réalité. Fabriquer son gode, c’est se réaliser en tant qu’homosexuel créateur de sa propre image sexuelle intérieure et extérieure, sans le regard dominateur de l’hétérosexuel. »
La culture n’a pas de prix, surtout quand il s’agit de l’argent des autres
Le financement de cette discrimination à l’encontre des hommes (et accessoirement de la charge contre leurs attributs génitaux) par les fonds publics n’a pas échappé à l’Observatoire du Communautarisme (4), qui dénonce « l’abus de pouvoir » et la « rupture du principe d’égalité entre les citoyens » opérée par la Mairie de Paris. Piquées au vif, les organisatrices se fendent d’un « droit de réponse » (5) pour expliquer que leur festival est « réservé aux femmes et non interdit aux hommes » (sic !) Et dans la foulée, elles corrigent leurs plaquettes de présentation et leur site web. Mais qu’aurait-on dit si une manifestation publique était « réservé aux blancs » et non… « interdite aux noirs » ?
Le « droit de réponse » n’apporte aucun argument sur la question posée. Pas plus que le site web de Cinéffable qui invente un autre euphémisme : leur festival n’est plus « interdit aux hommes », mais tout simplement « non-mixte », ce qui revient au même. Cette « non-mixité » est noyée dans un long pathos (6) où l’on apprend tout de même que « la non-mixité est un privilège ». Là encore, qu’aurait-on dit d’un établissement qui revendiquerait le « privilège » de fermer ses portes à telle ou telle catégorie de personne à raison de son sexe ou de sa couleur de peau ?
Le même site Internet va donc continuer à interdire son festival aux hommes : pour assister aux projections, il faut s’inscrire à l’avance et « il est impératif de prendre une adhésion par personne » (7), et cette adhésion à l’association est « réservée aux femmes » devant fournir une photo, tout simplement (8). Les mâles contrevenant et leurs phallus hétérosexuellement dominateurs seront ainsi mieux éliminés.
Au nom de Prochoix, Caroline Fourest justifie également la « non-mixité » du festival de Cinéffable auquel son association participe activement (9). A une question posée par un internaute de nouvelobs.com (10), Caroline Fourest explique qu’il s’agit « de permettre aux femmes de se retrouver pour un festival culturel lesbien » et défend cette « forme de culture sur la base d’une identité ». Cet argument identitaire surprend un peu chez cette féministe qui ne manque jamais de fustiger d’autres revendications d’« identité » culturelle, par exemple nationale ou chrétienne. On peut également se demander si Caroline Fourest, qui conseille à Fanny Truchelut de projeter un « porno lesbien » dans son ex-gîte rural (11), pense qu’il s’agit là aussi d’une « forme de culture » qu’il convient de « réserver aux femmes ».
Cette « identité » et ce « privilège » sexuels financés par la Mairie de Paris ont également interpellé François Devoucoux du Buysson, le fondateur et animateur du site « le Perroquet Libéré » qui dénonce les dérives de l’administration Delanoë (12). Et en bon antiraciste, il se fend d’une requête citoyenne (et même de plusieurs) à nos amis de la HALDE (13), puisque celle-ci est censée lutter contre les discriminations.
Et que fait la police de la HALDE ? Rien
François Devoucoux du Buysson n’aura droit à aucune délibération ni aucune lettre de la Haute Autorité, et même pas un simple accusé de réception de ses courriers.
La plainte du responsable du Perroquet Libéré n’est pas du goût des organisatrices de Cinéffable, qui voit dans cette « saisine de la HALDE (…) au motif de la non mixité du festival » une « offensive » de « personnes (…) qui cherchaient sans doute avant tout à attaquer ainsi l’action de la municipalité parisienne » (14) C’est vrai quoi, c’est pas sympa de faire cette contre-publicité aux sponsors de Cinéffable ! Il faut dire que François Devoucoux du Buysson a bien réussi son opération, puisque la presse parisienne a largement relaté sa plainte (15).
Les élus mis en cause montent aussi au créneau pour défendre leur subvention à Cinéffable. Dans une interview à France-Info (16), la première adjointe Anne Hidalgo justifie la « non-mixité » du festival par le fait que « les femmes lesbiennes sont victimes de discrimination » et qu’elles sont victimes d’une « lesbophobie » qui serait « répandue dans notre pays ». On peine à comprendre la relation de cause à effet. Va-t-on interdire aux blancs des festivals de Negro spiritual sous prétexte qu’il y a des racistes anti-noirs ?
L’argument d’un autre élu parisien, Christophe Girard adjoint de Bertrand Delanoë à la culture, est encore plus surprenant. Il déclare au Nouvel Observateur (17), à propos du Perroquet Libéré : « Bien sûr ils sont homophobes. Mais je préfère les homophobes déclarés aux cachés ». Rien ne permet de diffamer François Devoucoux du Buysson en l’accusant sans aucune raison d’être « homophobe », et ce bottage en touche ressemble fort à ceux des islamistes qui traitent d’« islamophobe » quiconque ose critiquer l’une de leur parole ou l’un de leurs actes. Du reste, votre serviteur s’attend aussi à être traîné dans la boue par certains gourous de la bien-pensance homosexuelle pour avoir osé critiqué le financement public de Cinéffable. Heureusement, ces gourous sont moins virulents que ceux de l’islamisme ; ils se contentent d’éjecter manu militari les militants UMP de leur Gay Pride parisienne.
Des instituts de beauté invités à afficher « réservé aux femmes »
Si la HALDE ne semble guère préoccupée par la discrimination subie par François Devoucoux du Buysson à raison de son sexe, elle s’intéresse par contre à la plainte d’un autre homme, qui quant à lui se dit victime d’instituts de soins esthétiques. Elle lui consacre même la délibération n° 2006-153 du 19 juin 2006 (18).
Ce monsieur était client et abonné d’une chaîne d’instituts de beauté. Selon ses dires, et alors qu’il « fréquentait régulièrement » ces établissements, il se vit opposer porte close au motif que « désormais seules les femmes y étaient admises ». L’entreprise mise en cause avance différents arguments jugés « insuffisants » par la HALDE :
« [ce] métier comporte [en effet] des inconvénients que le sexe masculin amplifie :
– Les esthéticiennes diplômées ne sont pas formées à la clientèle masculine : certains soins (épilations – massages corporels) peuvent poser problème et entraîner des comportements déplacés.
– Les esthéticiennes sont toutes de sexe féminin
– La clientèle féminine « ne comprendrait pas l’intrusion d’une clientèle masculine dans l’intimité de l’institut »
Il est surprenant que la HALDE, et en particulier son président Louis Schweitzer très attaché à la parité et signataire de la délibération, ne relèvent pas du tout que les employées de ces instituts « sont toutes de sexe féminin ». Voilà un manque de parité avoué d’une manière on ne peut plus explicite !
On notera aussi que la HALDE porte également un curieux jugement sur les arguments de l’entreprise : « Les explications apportées par le président directeur général de la société X, n’apportent pas la démonstration du bien fondé de la restriction de l’accès des instituts aux personnes de sexe masculin, mais ne paraissent pas pour autant infondées. »
On peine à comprendre comment la « restriction » incriminée peut à la fois n’être pas « bien fondée », et ne pas « paraître infondée », le tout dans la même phrase.
La HALDE va tout de même étudier en détail les arguments adverses. Elle reconnaît que « les soins dispensés aux personnes de l’un ou l’autre sexe peuvent en effet posséder des spécificités particulières », mais elle ajoute qu’« il convient cependant de nuancer ces propos en relevant que certaines des prestations offertes par un institut d’esthétique ne possèdent pas ce caractère spécifique (soin du visage, UV …) et pourraient être proposées à des hommes. »
Ainsi donc, les sages de la HALDE qui se plaignent d’être débordés de requêtes qu’ils n’ont pas le temps de traiter, vont pinailler pour déterminer quels soins esthétiques mériteraient d’être « proposés aux hommes » ou non suivant leur nature par des instituts de beauté féminins. Tout comme ils se creusaient la tête pour déterminer les « caractéristiques constitutives de l’apparence physique » acceptables ou non dans l’embauche d’actrices pornos (19). Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Si la HALDE reconnaît que les « massages » ou les « épilations » pourraient porter atteinte à « l’intimité de la clientèle féminine » des instituts de beauté alors que le bronzage intégral sous UV d’un homme ne gênerait pas ces dames, il faudrait qu’elle « nuance » également ses arguments. Par exemple, l’épilation d’avant-bras masculins ou de viriles tablettes de chocolat est-elle plus « spécifiquement particulière » que celle du « maillot » des messieurs ? Qu’attend la HALDE pour fixer les limites des zones anatomiques « intimement incorrectes » ? Et qu’attend-elle pour appeler les députés à se saisir de ces épineux problèmes de société et à couper les cheveux en quatre, tout comme elle les invitait à légiférer sur les « caractéristiques » des comédiennes de film X ?
Une fois de plus, les décisions de la HALDE surprennent par leurs contradictions
La HALDE conclut que « les refus d’accès aux instituts opposés à Monsieur Y, le 30 septembre 2005, caractérisent l’existence d’une discrimination liée au sexe », mais n’envisage aucune action civile ou pénale à l’encontre de cette discrimination. Tout comme dans le cas de l’actrice porno qui n’avait pas la chance d’être une « lolita blonde », la HALDE laisse donc impunie ce qu’elle considère pourtant comme étant une discrimination manifeste. Certes, elle demande à l’entreprise de rembourser au plaignant le montant des abonnements indus ; c’est normal et l’entreprise s’était d’ailleurs engagée à le faire. Mais l’absence de toute autre décision de la HALDE à l’encontre des supposés contrevenants est remarquable, alors qu’elle est si habituée à harceler judiciairement et pécuniairement ceux qu’elle juge en infraction.
Mais la HALDE ne s’arrête pas en si bon chemin dans ses contradictions. Tout en jugeant discriminatoire « la restriction de l’accès des instituts aux hommes », elle ne craint pas de « demander à la société X de prendre les mesures nécessaires pour que cette mention apparaisse clairement sur les devantures et dans les dépliants des instituts concernés et de lui en rendre compte dans les deux mois. »
Vous avez bien lu. C’est incroyable et pourtant vrai ! La Haute Autorité, censée lutter contre les discriminations, invite une entreprise à afficher « clairement » une disposition qu’elle juge discriminatoire « sur les devantures et dans les dépliants ». Et c’est cette même HALDE, cependant, qui disait à propos d’un hôtel et dans une autre délibération (20) que « les termes du règlement intérieur de l’hôtel sont dénués d’ambiguïté et suffisent à caractériser l’intention de discriminer », alors que ce règlement précisait seulement : « Tout signe ostentatoire d’appartenance à un parti politique ou à une religion est interdit dans l’enceinte commune de l’hôtel ».
Décidément, la HALDE n’arrête pas de s’emmêler les pinceaux et de pousser la contradiction jusqu’à l’absurde.
Liberté, j’écris ton nom !
Les arguties dogmatiques à géométrie variable de Cinéffable, de Prochoix ou de la HALDE prêtent évidemment à sourire. En essayant de justifier par l’idéologie le simple désir légitime de se retrouver entre femmes pour se taper une toile et fabriquer des godemichés, ou de se faire bichonner sans subir les regards masculins, on en arrive aux contradictions relevées ci-dessus. Le canon identitaire et communautaire des Eglises lesbiennes ou antiracistes devient aussi complexe que celui des fondamentalistes musulmans qui s’interrogent à longueur de forums s’il est haram ou hallal de pisser debout ou d’enfiler sa pantoufle gauche en premier.
Personnellement, peu me chaut que les adeptes du saphisme se fassent leur cinéma et bricolent leurs substituts de phallus entre copines (du moment que mes impôts ne servent pas à payer les violons du bal) ou que mon barbier affiche « coiffeur pour hommes » sur sa devanture. De même, je ne trouve pas choquant qu’un paisible gîte rural ne souhaite pas devenir un lieu de prosélytisme politique ou religieux pour ses clients. Au nom des valeurs républicaines héritées de 1789, j’aurais même tendance à défendre cette liberté fondamentale de pouvoir choisir ses amis, ses partenaires, ses prestataires ou ses hôtes.
C’est le même esprit de liberté qui m’amène à lutter contre tous les intégrismes, c’est-à-dire contre le fait que tel ou tel dogme personnel soit imposé à autrui. Au pays de Voltaire, nous nous sommes débarrassés des Grands Inquisiteurs de l’Eglise catholique. De même, la gauche française a eu le courage de faire table rase des commissaires politiques du communisme, et elle commence à enfin à dénoncer les pasdarans du fascisme vert. Espérons que ce n’est pas pour les remplacer par des Khmers roses qui veulent imposer une hiérarchie dans les préférences sexuelles, et même faire financer les leurs ainsi que les accessoires qui vont avec par le contribuable.
La liberté d’expression des uns ne doit devenir censure pour celle des autres, traduits trop souvent devant les tribunaux de la pensée politiquement correcte. De même qu’on doit pouvoir rire de dogmes du judaïsme sans être taxé d’antisémite, ou bouffer du curé sans être condamné pour blasphème, ou caricaturer Mahomet et commenter le Coran sans essuyer les foudres de rentiers de l’antiracisme, on doit pouvoir critiquer certaines attitudes ou revendications de groupes de pression homosexuels sans subir les oukases infamantes d’« homophobie ».
(L’ARTICLE SE TERMINE ICI POUR NOS LECTRICES, PUISQUE LE PROCHAIN CHAPITRE A LE « PRIVILEGE » DE LA « NON-MIXITE »)
RESERVE AUX HOMMES
Certains préconisent d’afficher ouvertement les identités génitales et les sectarismes sexuels. Alors ne nous gênons pas ! Chers amis du sexe fort, vous vous demandez sans doute comment, sur un plan très pratique, contourner les restrictions sexuelles de Cinéffable ou de certains instituts de beauté.
Par exemple, quand vous avez demandé à l’esthéticienne de votre quartier de faire une épilation complète, elle vous a exprimé en termes plus ou moins urbains qu’elle n’est pas très chaude à l’idée d’étaler sa cire orientale sur vos parties intimes. Evidemment, vous n’allez pas gémir vos malheurs auprès de la HALDE, car vous n’êtes pas une femmelette et cette démarche serait d’ailleurs vaine comme le montre la délibération en l’espèce.
Heureusement, à l’heure des nouvelles technologies, vous pouvez vous passer des services inefficaces de la HALDE et autres professionnels autoproclamés de l’antiracisme d’Etat. Il suffit très simplement de faire une petite recherche sur Internet (ou d’appeler le 118 de votre choix) pour trouver des instituts de beauté plus conforme à vos désirs, et plus si affinités. Comptez tout de même de 50 à 100 euros pour vous débarrasser de toute trace de votre toison virile.
Supposons maintenant que vous êtes amateur (ou mateur) de cinéma lesbien, mais Cinéffable vous ferme sa porte « réservée aux femmes ». Vous pouvez tenter de biaiser en cachant vos traits masculins sous une burka intégrale et intégriste. Vous pouvez aussi passer un week-end dans un hypothétique gîte rural, où la propriétaire ne manquera de vous projeter un « porno lesbien ». Vous y bénéficierez en outre de leçons de tolérance par la maîtresse de maison et vous apprécierez la savante glose culinaire d’amis laïques expliquant que le porc est digérable par les musulmans s’il est corse de souche (21). En plus, vous aurez peut-être le privilège d’y côtoyer dans une mixité œcuménique des accompagnatrices voilées (22) et des congressistes du Front National venus exhiber leur flamme (23).
Si toutefois ce mélange des genres vous fait horreur, vous pouvez là encore faire appel à Internet. Sur votre moteur de recherche favori, introduisez les mots clés « vidéos » et « lesbiennes » et ô miracle des temps modernes, vous accéderez à des dizaines de milliers de pages proposant de télécharger à volonté vos longs métrages favoris pour la modique somme de quelques euros. C’est plus pratique et moins cher que les 45 euros du « pass » sexuellement élitiste de Cinéffable (24) auxquels il faut ajouter les 8 euros d’adhésion obligatoire à l’association.
Et si vous désespérez de votre « phallus dans sa pauvre réalité », vous pouvez également commander toutes sortes de prothèses par Internet, avec envoi discret par la poste et contre-remboursement. Si vous êtes trop juste financièrement pour vous payer les sex-toys nécessaires à votre « identité culturelle », n’hésitez pas : créez une association de lutte contre le racisme dont sont victimes les personnes souffrant de micro-pénis, puis demandez une subvention à la Mairie de Paris. Et si on vous la refuse, allez vite vous plaindre à la HALDE de cette discrimination à raison de votre apparence physique.
Roger Heurtebise
(1) http://www.cineffable.fr/
(2) http://www.leperroquetlibere.com/docs/subv-cineffable.pdf
(3) http://pour-un-autre-monde.blogspot.com/2005/09/atelier-oh-my-gode.html
(4) http://www.communautarisme.net/Interdit-aux-hommes_a111.html
(5) http://www.communautarisme.net/docs/Cineffable.pdf
(6) http://www.cineffable.fr/fr/c_asso1.htm#nonmixte
(7) http://www.cineffable.fr/fr/t_festival.htm
(8) http://www.cineffable.fr/fr/t_adhesion.htm
(9) http://www.prochoix.org/cgi/blog/index.php/2007/11/08/1815-festival-cineffable-prochoix-rend-hommage-au-film-algerie-en-femmes
(10) http://prochoixparis.canalblog.com/archives/p10-10.html
(11) http://www.prochoix.org/cgi/blog/index.php/2007/10/06/1759-laicite-la-clarification-est-un-combat-a-propos-de-l-affaire-d-epinal
(12) http://www.leperroquetlibere.com
(13) http://www.leperroquetlibere.com/docs/LettreHaldeOct2006.pdf
(14) http://www.cineffable.fr/fr/c_fonction.htm
(15) http://www.leperroquetlibere.com/T-es-dans-le-journal,-Coco-!_a17.html
(16) http://www.france-info.com/spip.php?article32020&theme=36&sous_theme=37#
(17) http://www.wmaker.net/leperroquetlibere/docs/Le_Nouvel_Observateur_Paris.pdf
(18) http://www.halde.fr/IMG/alexandrie/2575.PDF
(19) http://www.ripostelaique.com/article338,338.html
(20) http://www.halde.fr/IMG/alexandrie/2326.PDF
(21) « Vous faites un menu : servez du coq au vin, et en entrée de la charcuterie corse (le cochon y est laissé dans la nature, il ne vit donc pas dans sa fange ce qui est souvent l’argument pour ne pas manger du porc). » http://www.gaucherepublicaine.org/2,article,1720,,,,,_Dans-l-alliance-de-la-lucidite-et-de-la-force-reside-la-capacite-a-vaincre..htm
(22) http://www.prochoix.org/cgi/blog/index.php/2005/06/04/308-attention-a-ne-pas-ridiculiser-la-loi-sur-les-signes-religieux-par-caroline-fourest
(23) http://fr.youtube.com/watch?v=M6ZwRDmNGI0
(24) http://www.cineffable.fr/fr/t_festival.htm