Vendredi 16 octobre 2009
Les zones islamisées de Barbès : en rouge, les rues qui sont barrées, et interdites à la circulation et aux piétons par les musulmans ; en vert, les rues dont les trottoirs sont confisqués par les musulmans pour y prier, forçant les piétons à marcher sur la chaussée.
Rue des Poissonniers, 13h40
Le trottoir du côté droit de la rue des Poissonniers est totalement couvert par les tapis de prière surmontés de musulmans. Le trottoir du côté gauche commence lui aussi à se couvrir de tapis. A ce moment, devant l’hôtel Pax (5 rue des Poissonniers), un islamiste noir en djellaba, portant un brassard orange, sur lequel est marqué « Sécurité », apostrophe les personnes qui, debout sur ce trottoir, regardent les musulmans faire leur prière :
– Veuillez descendre du trottoir, il y a des gens qui vont prier là !
Au Moyen Age, on appelait cela « tenir le haut du pavé » : les personnes de situation sociale supérieure réservaient à leur usage la partie du pavé (de la rue) la plus proche des maisons, qui était surélevée par rapport au centre de la voie où s’écoulaient les eaux sales, pendant que les personnes de situation sociale inférieure devaient marcher dans ces eaux sales.
Plus près de nous, en Afrique du Nord, jusqu’au 19e siècle, les musulmans interdisaient aux juifs de marcher dans la partie propre des rues, et les obligeaient à marcher dans la partie où étaient jetées les ordures.
Et voici qu’aujourd’hui, en plein centre de Paris, des musulmans réintroduisent cette pratique barbare, et obligent les non-musulmans à marcher dans le caniveau, pendant que les musulmans occupent les trottoirs !
Rue Léon, 14h40
La prière musulmane est terminée. La rue Léon, qui avait elle aussi été barrée par des musulmans, à son commencement, au niveau de la rue Cavé, se vide. La barrière est retirée par deux islamistes. Et voici des musulmans qui, leurs chaussures remises et leurs tapis repliés, montent dans leurs voitures, et démarrent. Machinalement, le visiteur regarde les plaques d’immatriculation de ces voitures, et constate, surpris, qu’elles viennent pour la plupart de banlieue (78, 91, 92, 93, 95).
Joint par nos soins, notre informateur Pascal Lespinasse confirme que de nombreux musulmans qui prient rue Myrha n’habitent pas dans le quartier, et viennent en voiture et en scooter depuis leur banlieue ou leur travail. Il n’est pas rare, ajoute-t-il, de trouver, dans le bas de la rue Léon (après la rue de Laghouat), des voitures toutes portes ouvertes, abandonnées par leurs propriétaires, qui se sont précipités vers la rue Myrha pour arriver avant la fin de la prière.
Ainsi, ce n’est pas par manque de place dans la mosquée de la rue Myrha que les musulmans prient en plein air chaque vendredi, bloquant la rue Myrha et la rue Léon, mais parce que nombre d’entre eux viennent exprès depuis la banlieue pour faire leur prière en public, pour occuper ces rues parisiennes que les autorités françaises leur ont abandonnées depuis des années !
Qu’est-ce là, sinon une stratégie des islamistes visant délibérément à prendre le contrôle de l’espace public, et à imposer leur loi aux non-musulmans ?
Technique d’occupation des rues
Un habitant du quartier décrit, après avoir demandé l’anonymat, la technique utilisée par les islamistes pour occuper la rue Myrha :
– Vers 13 heures, ils bloquent la rue en bas (NDLR : au niveau de la rue Affre) avec 3 ou 4 voitures, pour créer un bouchon, puis font reculer les voitures des gens qui arrivent, et remontent ainsi jusqu’à la rue Léon, au niveau de laquelle ils placent leurs barrières.
Combien de temps encore les autorités françaises laisseront-elles s’écouler, avant d’intervenir et de mettre fin à ces procédés illégaux ? Combien de rues seront occupées, confisquées, conquises par les musulmans, en plein Paris, avant que les autorités françaises ne se décident enfin à agir ?
Les cafés de la rue Myrha
Parcourant la rue Myrha sur toute sa longueur, après la fin de la prière, le visiteur constate que les cafés et restaurants de cette rue sont peuplés d’une population exclusivement masculine. Des hommes, des hommes, et encore des hommes, entre eux.
Librairies et paraboles
Les seules librairies du quartier sont des librairies islamiques (rue Polonceau, rue Myrha), qui ne proposent exclusivement que des livres portant sur le Coran et la vie des musulmans.
Ici, comme à Trappes, de nombreuses antennes paraboliques hérissent les façades des immeubles, déversant dans les foyers les émissions des chaînes de télévision musulmanes, et leur propagande anti-occidentale.
Maxime Lépante