L'islam n'est pas une religion comme les autres

L’objet de ce texte, écrit par un agnostique, n’est pas de défendre d’autres religions, quelles qu’elles soient, par rapport à l’islam, mais bien de montrer qu’il ne s’agit pas d’une religion comme les autres. Avant de développer plus avant cette démonstration, citons et mettons en parallèle quelques exemples d’actualité concernant la religion catholique et l’islam, puisque l’on nous dit que ce sont les deux religions majoritairement pratiquées en France.
Quant un évêque brésilien prononce des excommunications suite à l’avortement d’une jeune fille après qu’elle ait été violée cela provoque un tollé exprimé haut et fort par bon nombre de catholiques. Même chose quand un évêque négationniste est réintégré au sein de l’église et encore même chose quand le pape profère ses ignominies sur l’utilisation de préservatifs comme moyen préventif pour éviter le SIDA. Ne parlons même pas des affaires de pédophilie qui appelle une condamnation sans ambiguïté de l’ensemble des catholiques. Il y a donc bien, au sein de la religion catholique, une « certaine résistance » qui s’exprime, même vis à vis de son dirigeant le plus haut placé, certains n’hésitant pas à renier leur baptême, devenant ainsi des apostats. Il suffit de lire une revue comme Golias, par exemple, pour s’assurer qu’il y a bien un catholicisme progressiste, tolérant et qui n’a plus aucune envie de prendre part aux affaires politiques. Existe-t-il une revue équivalente pour l’islam ? Non.
A-t-on entendu ou lu une quelconque prise de position officielle de l’UOIF (union des organisations islamiques de France) ou du CFCM (comité français du culte musulman) condamnant le meurtrier antisémite et barbare de Ilan Halimi entrant dans la salle du tribunal en proférant « allah est grand ». Le message est pourtant clair et doit être compris comme suit : « j’ai torturé et tué ce jeune juif au nom d’allah » ? Eh bien non, aucune condamnation. Entend-t-on ces mêmes instances officielles condamner les actes de barbarie commis sur des femmes au nom de l’islam ? Non. Condamnent-ils les pendaisons d’homosexuels, les lapidations de femmes, l’excision, l’infibulation ? Non. Condamnent-ils le fait d’envoyer des enfants armés au jihâd an nom d’allah … ? Non. Ces musulmans que l’on qualifie de « modérés » prennent-ils position pour condamner tout cela ? Non. Nous pourrions multiplier les exemples de cette sorte quasiment à l’infini.

Leur silence est assourdissant et équivaut à une caution. Tout cela étant fait au nom du « relativisme culturel », ce même concept qui justifie le discours de certains, disant que toutes les religions se valent. Il n’y a aucune espèce de contestation, et encore bien moins de résistance, au sein de l’islam, ou alors s’il y en a elles ne sont qu’individuelles, exposant leurs porteurs à toutes les « fatwas » possibles et imaginables, et surtout pas institutionnelles ni officielles.
L’islam est un système religieux, politique, juridique et social initié au VII° siècle par mahomet qui se déclare être le dernier prophète, donc Le prophète, à qui allah aurait transmis ses préceptes par l’entremise de l’ange gabriel. Ces préceptes sont compilés dans le coran. Ce coran est fixe, immuable et non interprétable. Il est constitué de 114 chapitres appelés sourates, elles mêmes formées d’un nombre variable de phrases appelées versets. En plus de leur livre saint, les musulmans prennent aussi pour modèle mahomet en s’inspirant de ses actes et de ses paroles rapportées entre le VIII° et le X° siècle par les traditionalistes dans les « hadiths », que l’on peut traduire par « les dires », qui forment la sunna qui équivaut à la tradition. En parcourant les « hadiths » et le coran, dans une traduction française largement acceptée par les musulmans et que l’on trouve sur le site de l’UOIF.
Nous allons constater que l’islam est violent dès ses origines, qu’il est inégalitaire et discriminatoire envers les femmes, les non musulmans et bien d’autres catégories de personnes encore. En fait, l’islam rejette systématiquement et combat tout ce qui n’est pas lui même.
C’est une idéologie qui instrumentalise une religion dans le but de soumettre, par la persuasion et la violence, tous les non musulmans du monde. D’ailleurs, islam veut dire « soumission » et musulman « soumis » en Arabe. Cela fait bien longtemps maintenant que les catholiques ne pratiquent plus ce genre d’évangélisation et de prosélytisme assassin. En effet, ils ont quand même fini par admettre qu’il y ait des gens qui ne pensent pas comme eux.
L’islam est incompatible avec la déclaration universelle des droits de l’Homme. Pour s’en convaincre, il suffit de se référer au scandale de Durban II où, là aussi au nom du « relativisme culturel », les droits humains les plus fondamentaux étaient bafoués. Quand on pense que les présidents iraniens et lybien, qui font partie des plus grands dictateurs politiques et religieux du monde, sont à la tête de la commission des droits de l’Homme mise en place par l’ONU, cela peut glacer le sang et confère au scandale duquel cette même ONU, institution primordiale s’il en est, ne sort pas grandi.
Il ne faut jamais être étonné quand un musulman ment par omission ou par action, dissimule ou falsifie, car c’est une prescription coranique. En effet, quand il s’agit de développer l’islam, tous les coups sont permis. La « taqqya », qui se traduit par « dissimulation », est un devoir pour les croyants en situation d’infériorité. Par contre, dès que le rapport de force s’inverse, alors le musulman peut envisager l’agression. Citons le coran : « ne faiblissez donc pas et n’appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu’allah est avec vous et qu’il ne vous frustrera jamais [du mérite] de vos œuvres. »
Quand nous nous opposons à un musulman qui affirme que l’islam est une religion de tolérance, de paix et d’amour en lui citant quelques sourates violentes, misogynes, antichrétiennes ou antijuives et qu’il est à court d’arguments, il finit toujours par dire : « oui, mais le coran, pour le comprendre, il faut le lire en Arabe ». Si tel était le cas, alors un converti français, sauf à ce qu’il lise l’Arabe ce qui doit être rare, serait une personne qui adopterait une religion dont il serait incapable de lire un traître mot émanant du livre saint. Ce n’est pas tenable, donc le musulman doit bien reconnaître qu’il existe des traductions du coran en français acceptable pour un mahométan, ne serait-ce que celle de l’UOIF qu’on ne peut soupçonner d’être islamophobe.
Il convient de réfuter l’argument récurrent utilisé par des musulmans qui affirment que l’islam est une religion comme les autres et donc que les musulmans devraient avoir les mêmes droits que les adeptes des autres religions. La première objection est de soutenir que c’est déjà le cas du fait de notre appartenance à un Etat républicain. Effectivement, les lois de la République française, ainsi que les droits et les devoirs qui en découlent, sont les mêmes pour tout le monde quelle que soit sa communauté et sa religion d’origines. Donc il n’y a besoin d’aucun réajustement, ni d’aucun « rattrapage », de quelque nature qu’ils soient. D’autres objections à ce discours résident dans de nombreux versets incitant au meurtre qui existent dans le coran ou encore dans les « hadiths » où le messager d’allah, mahomet lui même, commandite de nombreux assassinats.
A la longue liste des versets du coran appelant clairement au meurtre des mécréants, les musulmans rétorquent souvent qu’ils ne faisaient que répliquer et se défendre face aux attaques de ces mêmes mécréants. Au passage, on reconnaît bien là la position victimaire, qui apparaît dès l’origine et qui est toujours de mise, des musulmans. Il faudrait donc croire que les musulmans ont conquis d’immenses territoires an nom d’allah uniquement en se défendant et parce que les autres peuples les attaquaient ? Certes non, car cela confine à l’escroquerie intellectuelle, si tant est que nous puissions faire référence à un quelconque intellect dans ces cas là. Au contraire, pour se convaincre de l’arrogance et de l’agressivité du chef de guerre mahomet, il suffit simplement de lire quelques lettres missionnaires qu’il envoyait aux différents chefs ou rois pour les « inviter » à embrasser l’islam. Un seul exemple, voici la lettre « d’invitation » au peuple d’Oman : « Paix soit sur celui qui suit le chemin droit ! Je vous appelle à l’islam. Acceptez mon appel et vous serez indemne. Je suis le messager de dieu envoyé à l’Humanité et l’annonce sera effectuée sur les mécréants. Si, donc, vous vous identifiez à l’islam, j’accorderais la puissance sur vous. Mais si vous refusez d’accepter l’islam, votre puissance disparaîtra, mes chevaux camperont sur l’étendue de votre territoire et nous règnerons en votre royaume. Signé mahomet, messager de dieu. »
Il faut savoir que deux versets peuvent se contredire, mais allah étant omniscient et infaillible, a tout prévu. Il s’agit de la doctrine dite des « versets abrogeant » (nasikh) et des « versets abrogés » (mansukh). Cela consiste à décider que le verset le plus récent annule le plus ancien et, donc, un verset médinois ou post hégire peut annuler, en cas de contradiction, un verset mecquois ou pré hégire. Il faut savoir que l’hégire désigne la période où mahomet a été chassé de la Mecque pour aller se réfugier à Médine. Donc, il ne faut pas se laisser abuser, quand un adepte d’allah cite un verset tolérant, en effet, ce lui ci est vraisemblablement abrogé ou rendu obsolète par un verset médinois. Si l’islam était pacifique, il ne devrait pas y avoir un seul verset violent dans le coran. Or, des mots tels que « tuer », « combattre » ou « jihâd » y apparaissent des centaines de fois.
Pour illustrer cela, citons quelques exemples littéraux, en sachant que les mots « les » et « ils » désignent tous ceux qui ne sont pas soumis à allah.
Concernant les appels au meurtre :
« Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru, alors vous seriez tous égaux ! Ne prenez donc pas d’alliés parmi eux, jusqu’à ce qu’ils émigrent dans le sentier d’allah. Mais, s’ils tournent le dos, saisissez les alors et tuez les où que vous les trouviez et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur. »
« Et ton seigneur révéla aux anges : je suis avec vous, affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au dessus des cous [décapitation] et frappez les sur tous les bouts des doigts. »
« Ce n’est pas vous qui les avez tués, mais c’est allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n’est pas toi qui lançais, mais c’est allah qui lançait et ce pour éprouver les croyants d’une belle épreuve de sa part ! allah est audient et omniscient. » Autrement dit c’est l’absolution et l’irresponsabilité pour un meurtrier s’il tue un infidèle au nom d’allah.
Concernant la haine contre les juifs, les chrétiens et les infidèles :
« Les juifs disent : uzayr est fils d’allah et les chrétiens disent : le christ est fils d’allah. Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le cri des mécréants avant eux. Qu’allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ? »
Intéressons nous maintenant aux trois inégalités fondamentales de l’islam.
Le musulman est supérieur au non musulman :
« Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les hommes, vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à allah. Si les gens du livre (chrétiens et juifs) croyaient ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d’entre eux sont des pervers. »
L’homme est supérieur à la femme :
« Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’allah accorde à ceux là sur celles ci et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris) et protègent ce qui doit être protégé pendant l’absence de leurs époux, avec la perfection d’allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez les, éloignez vous d’elles dans leurs lits et frappez les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car allah est certes haut et grand. »
Le maître est supérieur à l’esclave :
L’islam n’a pas encore abrogé l’esclavage, encore pratiqué en Arabie Saoudite et au Soudan où la traite des noirs est encore d’actualité. Si l’islam n’a pas aboli l’esclavage c’est tout simplement que son objectif est d’établir le califat mondial où les non musulmans auraient le choix entre la conversion, la mort ou, dans le meilleur des cas, la dhimmitude pour les gens du livre (chrétiens et juifs) qui est un statut de sous homme.
Peine de mort pour celui qui quitte l’islam :
« Mais sans aucun doute je les aurais tués puisque le prophète a dit : si quelqu’un s’écarte de sa religion, tuez le ». Nous sommes bien là dans une spécificité, car l’islam, au travers du coran, est bien la seule religion qui prône le meurtre des apostats.
Intéressons nous maintenant quelque peu à mahomet en nous arrêtant sur quelques traits de caractère, trouvés dans les hadiths ou le coran, de celui que tout bon musulman se doit d’imiter.
Ce prophète était un tortionnaire :
« Quand l’apôtre d’allah eut coupé les pieds de ceux qui avaient volés ses chameaux et qu’il leur eut enlevé les yeux avec des clous chauffés au feu, allah le gronda et il révéla : la punition de ceux qui font la guerre à allah et à son apôtre et qui les affrontent avec toutes leurs forces pour semer la discorde sur la terre sera l’exécution (par décapitation) ou la crucifixion. »
Ce prophète était un assassin :
« L’apôtre d’allah a lapidé à mort une personne de la tribu des Banû Aslam, un juif et sa femme. »
Le prophète était un pédophile :
« Khadija (première femme de mahomet) est morte 3 ans avant que le prophète parte à Médine. Il y ait resté environ 2 ans et il se maria ensuite avec Aïcha qui était une fillette de 6 ans, elle était âgée de 9 ans quand il a consommé le mariage. »
Le prophète était un pillard :
L’apôtre d’allah conduisait de nombreuses expéditions de pillages, sachant que « ghazw ou ghazwa, signifiant razzia en français, constituait un aspect du jihâd. Dans ces cas là, le butin est à allah et à son messager.
Tel est l’islam depuis quarante siècles ! Cela se confirme, preuves textuelles et littérales à l’appui, l’islam est bien une idéologie qui instrumentalise une religion visant à soumettre l’humanité, au même titre que le nazisme ou le communisme stalinien. Répétons le, l’islam est donc incompatible avec la déclaration universelle des droits de l’Homme et du Citoyen qui constitue les lois de notre République.
Mais, continuons notre démonstration en nous intéressant plus particulièrement à une autre pierre angulaire de l’islam, à savoir ce qu’il est convenu d’appeler les « écoles coraniques » ou madrassa. Nous pourrons constater que le mot « école » est, ici, un abus de langage et une escroquerie intellectuelle, si nous partons du principe que l’école doit avoir une vertu émancipatrice et d’ouverture au travers d’apprentissages pluralistes. Il est maintenant acquis que les extrémismes religieux reculent et les droits des femmes sont d’autant mieux respectés que l’éducation, au travers de l’école, est importante.
Le propre de toutes les idéologies totalitaires est de vouloir façonner, formater et programmer l’individu pour qu’il devienne un futur « apôtre » fanatique de cette idéologie. Pour atteindre ce but, tous les fascismes comme le communisme stalinien et le nazisme ont bien compris qu’il fallait commencer par l’endoctrinement des plus jeunes en commençant à « l’école ». En effet, quoi de plus malléable qu’un jeune enfant innocent et plus tôt on commence, plus l’imprégnation est grande voire indélébile. Le fascisme islamique n’échappe pas à la règle et applique ce principe.
« L’école » coranique est toujours présentée, par les takiistes (falsificateurs et dissimulateurs) professionnels de l’islam comme l’endroit où les petits musulmans viennent apprendre l’Arabe pour mieux appréhender leurs origines. Ceci est une grossière escroquerie car, certes, le jeune musulman vient à « l’école » coranique pour apprendre l’Arabe, mais cet apprentissage ne se fait pas avec des manuels scolaires classiques, mais bien avec le coran comme seul outil pédagogique. C’est bien le seul contenu de ce livre que ces « élèves » ânonnent phonétiquement sans rien comprendre au texte, en s’agitant de manière répétitive d’avant en arrière, au moins les premières années. C’est comme si les petits français apprenaient notre langue avec la bible ou les évangiles comme seul outil pédagogique … Accepterions nous cela ? Assurément non.
Il n’y a donc rien de commun entre une « école » coranique et les écoles telles que nous les connaissons de manière traditionnelle. En effet, dans ces « écoles » seul le coran est « enseigné » et les enfants doivent apprendre à répéter par cœur le son des mots Arabes du coran, alors que, le plus souvent, ils ne comprennent pas cette langue. D’autre part, si nécessaire, le « maître » pourra recourir à des sévices physiques pour « encourager » les mauvais élèves et les mettre dans « le droit chemin de l’islam ». Le plus souvent, le « maître » en question utilise une baguette (al falqa) avec laquelle il frappe les enfants qui se trompent dans leur récitation.
Dans une « école » coranique, l’enseignement des matières traditionnelles, comme les mathématiques, la littérature, l’histoire générale, la géographie ou d’autres, n’a pas sa place et l’enseignement des sciences est inexistant. Un « bon » musulman doit surtout apprendre … à obéir aveuglément, à se soumettre au coran et aux « guides spirituels » de l’islam. Nous voyons bien qu’il n’y a aucune dimension émancipatrice dans ce genre « d’enseignement », bien au contraire, nous assistons plutôt à une entreprise d’asservissement, d’autant plus efficace qu’elle s’adresse à de jeunes enfants.
« L’école » coranique est l’institution « pédagogique » principale pour l’intégration morale et culturelle de l’enfant dans la société musulmane. Comme partout en pays musulmans, les jeunes enfants, dès qu’ils ont atteint un certain âge, sont confiés à une « école » coranique. Cet « enseignement »primaire comprend cinq phases, dont trois sont consacrées à la lecture et deux à l’écriture. Ce qu’apprennent ces « élèves », c’est uniquement le rituel de la récitation par cœur du coran.
Avant d’apprendre à répéter par cœur le coran, les enfants sont imprégnés de l’idée que les paroles contenues dans ce livre contiennent un pouvoir mystérieux et boivent, au sens propre comme au sens figuré, la parole divine. Effectivement, à son premier jour de classe, l’élève doit lécher un verset du coran que son « maître » lui a écrit sur la paume. Par cet acte, le jeune élève s’incorpore les forces soi disant attribuées aux sons des mots du coran et aux paroles d’allah qui « ouvrent son intelligence ». Pendant toute leur « scolarité », les enfants ne bénéficient quasiment d’aucune explication à propos des mots qu’ils apprennent.
En tout état de cause ces « écoles » coraniques devraient être interdites sur le territoire de notre République. Elles sont le ferment de la violence, l’endroit où les enfants apprennent à vénérer un criminel notoire, mahomet, à haïr tous ceux qui ne sont pas musulmans, les infidèles, et à sanctifier la guerre et les crimes, le djihad. En fait, ce ne sont certainement pas des écoles, mais des lieux d’endoctrinement, d’asservissement et de décérébration, où les seuls apprentissages sont la violence et la haine de tout ce qui est différent de soi.
Intéressons nous maintenant à la question de l’implantation de mosquées en France. Tous les jours, nous apprenons la construction d’une mosquée. Alors, disons le tout de suite, il est bien question de laïcité et le problème est bien le financement, le plus souvent par des systèmes de subventionnements indirects, de ces mosquées par des pouvoirs publics, donc avec l’argent public des contribuables, ce qui rappelons le tout de même est formellement interdit par la loi de 1905. Alors, pourquoi nos élus, de quelque appartenance politique qu’ils soient, s’activent-ils ainsi dans le financement de genre de construction ? Pour s’attirer la bienveillance des musulmans, ainsi que leurs votes. Arithmétiquement, c’est un mauvais calcul, car, in fine, ils favorisent 10% de la population contre 90%. Et puis, il y a là du favoritisme pour une communauté spécifique, cela s’appelle le communautarisme et c’est totalement antirépublicain. Ou alors, il conviendrait que ces mêmes élus financent les constructions de temples, de pagodes, de synagogues et d’églises. La loi de 1905 est très claire et ne prévoit aucun « rattrapage » au prétexte qu’à cette époque là l’islam n’était quasiment pas représenté en France, cet argument est complètement fallacieux.
Reste la question fondamentale de savoir pourquoi les musulmans désirent-ils tant construire des mosquées ? Pour disposer d’un endroit pour prier ? Certes non ! Là encore, l’imposture de l’islam est totale car le mot « prière » b’a pas d’équivalent dans la religion islamique. Le musulman ne va pas à la mosquée pour prier, au sens chrétien du terme, mais pour manifester encore et toujours sa soumission entière et totale à allah. Quand nous entendons ces élus islamo compatibles parler des mosquées comme étant des lieux de prière pour nous amadouer et sous entendre que l’islam est une religion comme les autres, il y a de quoi être scandalisé et révolté. Même le terme « les cinq prières quotidiennes » est à rejeter et à remplacer par « les cinq séances de soumission à Allah ».
Par contre, il s’agit bien de montrer la force de la « oumma » qui est la communauté des musulmans. C’est là que réside le génie maléfique de mahomet, à savoir inventer une religion au service de ses visées politiques de conquête en donnant aux tribus Arabes, à l’origine très divisées, une raison de s’unir. Il s’agissait bien de conquérir les territoires peuplés d’infidèles, avec comme but ultime le fait de soumettre les peuples à allah. Et, moyennant cette soumission totale à allah (rappelons que le mot « islam » signifie soumission en Arabe), on pouvait alors en toute impunité, avec l’assentiment d’allah et sous ses ordres, massacrer les infidèles, violer leurs femmes, les réduire à l’esclavage et se partager le butin. Autrement dit, voila une religion qui ne fait que flatter les bas instincts humains.
Pour résumer, une mosquée n’est pas un gentil lieu de « prière », mais un lieu de soumission à allah et d’endoctrinement. D’autre part, la mosquée est essentiellement un lieu de rassemblement de la « oumma » pour montrer sa force, ce qui n’est pas un acte cultuel mais bien politique afin d’envoyer un message à la société. Et puis, signalons au passage que la réciprocité est refusée dans les pays islamiques comme l’Arabie et l’Algérie où la construction d’églises est interdite.
N’oublions pas de dire que, à certaines occasions, une mosquée peut, en cas de conflit, servir de place forte aux musulmans et elle abrite l’imam qui est, en cas de djihad, un chef militaire improvisé. Propos délirant ? Alors, prenons un seul exemple. Le trésorier général de la mosquée de Lyon, de nationalité algérienne, son épouse et son fils ont été incarcérés pour détention d’armes et recel de vols aggravés.
Pour illustrer cela, citons Erdogan, ancien premier ministre Turc : « Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats ». On ne peut être plus clair n’est-ce pas ?
Il faut comprendre que l’islam, ontologiquement, contient une dimension politique avec une volonté d’expansion et de conquête. En France, cela fait maintenant longtemps que la religion catholique a abandonné ce positionnement. A partir de quand ? Environ depuis la promulgation de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’Etat, il n’y a pas de hasard. Bafouer cette loi équivaut à accepter l’introduction d’autant de chevaux de Troie au sein de la République française et quant on sait ce qu’il advint aux troyens, il y a de quoi être inquiet. Il est bien question de réaffirmer cette nécessaire séparation entre le politique et le religieux, sauf à mettre à mal le fameux pacte républicain qui nous honore et qui pose les règles du bien vivre ensemble en société. S’il en existe vraiment, il serait grand temps que ceux là mêmes qui se nomment « musulmans modérés, voulant promouvoir la tolérance et la paix » se manifestent plus fortement et plus visiblement afin de condamner cet islam combattant, violent et intolérant, mais aussi, et c’est là le travail le plus important à accomplir, pour le sortir de toute dimension politique et publique et pour n’en faire plus qu’une religion et une affaire exclusivement privée.
Concernant certains élus et certains représentants de l’Etat, il conviendrait qu’ils se recentrent sur certaines valeurs de base de notre République comme l’anti communautarisme et la laïcité, afin d’éviter tous les « accommodements raisonnables », avec cet islam politique et intolérant, qui vont finalement nous faire basculer dans cette exécrable « laïcité positive », pour, in fine, supprimer complètement cette valeur. Ne nous y trompons, c’est bien cela qui est en jeu.
Hervé BOYER

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