Les intégristes infestent l'enclave musulmane de Barbès

Quand on se promène dans l’enclave musulmane de Barbès, le vendredi à midi, on ne peut qu’être frappé par le nombre très élevé d’hommes et de femmes vêtus de tenues musulmanes intégristes que l’on croise dans les rues.
Pour les femmes intégristes, c’est un véritable défilé de mode, allant du hijab à la burqa, en passant par le jilbab, le tchador, le niqab, le sitar.

(Le Figaro, Enquête sur l’islam radical en France, 6/11/2009)
Les hommes intégristes, par contre, portent presque tous la même tenue, le kamis, une sorte de robe blanche, déclinée en deux modèles : le kamis long (modèle arabe) ou, plus rarement, le kamis court, s’arrêtant au niveau du genou (modèle pakistanais). Souvent, en raison de l’hiver qui approche, ils ont enfilé par-dessus leur kamis une veste, voire un anorak.

Kamis long
Nous présentons ci-dessous quelques spécimens d’intégristes qui infestent l’enclave musulmane de Barbès.
Et que l’on ne vienne pas nous dire que ces tenues ne sont qu’une anodine expression culturelle, une banale manifestation d’un cosmopolitisme de bon aloi.
En effet, ces hommes et ces femmes, habillés comme le sont les islamistes dans les pires régions musulmanes de la planète, ne suivent pas une simple coutume vestimentaire (comme le font les Africaines que l’on croise parfois en boubou), mais décident délibérément, en revêtant cette tenue intégriste, de faire du prosélytisme et de la propagande en faveur de l’islam.
Car il s’agit bien, pour ces extrémistes, d’imposer en public leur accoutrement médiéval, d’habituer les Français à les voir et à les côtoyer, bref de conquérir l’espace public sur le plan vestimentaire, comme ils tentent de le faire sur les autres plans (constructions de mosquées et de minarets, occupation illégale des rues, diffusion illégale par haut-parleurs de la prière musulmane, exigences répétées de viande hallal, demande d’horaires réservés aux femmes dans les piscines, refus que les femmes musulmanes soient examinées par un médecin homme, etc.).
Après le poids des mots, voici donc le choc des photos :

Rue Myrha, vendredi 9 octobre 2009.

Rue Léon, vendredi 9 octobre 2009.

Rue Myrha, vendredi 9 octobre 2009.

Rue Léon, vendredi 30 octobre 2009.

Rue Myrha, vendredi 6 novembre 2009.

Rue Myrha, vendredi 6 novembre 2009.

Rue Léon, vendredi 6 novembre 2009.

Rue Myrha, vendredi 13 novembre 2009.

Rue Myrha, vendredi 6 novembre 2009.

Rue Léon, vendredi 6 novembre 2009.

Rue Myrha, vendredi 23 octobre 2009.

Rue Léon, vendredi 30 octobre 2009.

Rue Léon, vendredi 30 octobre 2009.

Square Léon, vendredi 6 novembre 2009.

Square Léon, vendredi 6 novembre 2009.

Rue des Poissonniers, vendredi 16 octobre 2009.
Oui, vous n’avez pas rêvé, toutes les photos qui précèdent ont été prises en France, à Paris, à 500 mètres du Sacré-Cœur de Montmartre…
Maxime Lépante

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