Nouvelles agressions par la milice musulmane de Barbès

Comme nous l’avons déjà mentionné, il est dangereux de vouloir exercer ses droits de citoyen français dans l’enclave musulmane de Barbès, dont les rues, chaque vendredi à midi, sont occupées illégalement par des musulmans pour leur prière.
Les agressions, verbales voire physiques, de passants par des musulmans des mosquées Myrha et Polonceau ne se comptent plus : parmi les victimes, un journaliste du Parisien, des touristes canadiens, des passants qui essayaient d’emprunter la rue Myrha, d’autres passants qui prenaient des photographies et dont des musulmans ont cassé ou menacé de casser les appareils photos (rue Myrha et Polonceau), et des femmes expulsées sans ménagement pour la simple raison qu’elles étaient en train de regarder les « fidèles » musulmans en train de prier (rue Myrha).
Un de nos informateurs nous a indiqué qu’un homme blanc a été interpellé, vendredi 20 novembre 2009, rue des Poissonniers, par des membres de la milice islamique de la mosquée Polonceau, qui croyaient qu’il était en train de filmer : « Vous avez une caméra, là ? On veut pas de photos ici ! ».
La semaine suivante, vendredi 27 novembre, sur le boulevard Barbès, au commencement de la rue des Poissonniers, c’est un cameraman, qui tenait à la main, à son côté, une grosse caméra professionnelle, qui a été refoulé manu militari par les miliciens de la mosquée Polonceau : « Vous filmez pas ! On veut pas de ça ici ! ».
Ces miliciens islamistes ne se doutaient pas que Maxime Lépante rôdait dans la foule, invisible mais présent, et a pu prendre une photographie de ce cameraman, juste avant qu’il ne soit expulsé :

Ce cameraman se trouvait, vendredi 27 novembre 2009, sur le boulevard Barbès, au commencement de la rue des Poissonniers, où il regardait paisiblement les musulmans priant dans la rue.

A droite, un membre de la milice musulmane de la mosquée Polonceau, qui vient de remarquer la camera du cameraman, et qui va, dans quelques instants, expulser ce dernier manu militari.
La semaine dernière, vendredi 11 décembre, c’est un adhérent parisien de Debout La République (DLR) qui a été agressé rue des Poissonniers, par les miliciens de la mosquée Polonceau, alors qu’il se contentait de filmer les musulmans assis sur leurs tapis de prière.
L’auteur de cet article était malheureusement à Clichy, en ce vendredi 11 décembre, pour y filmer des prières musulmanes illégales en pleine rue, et n’a pu être témoin de l’agression contre le courageux membre de Debout La République.
Mais celui-ci a réussi à filmer la plus grande partie de l’agression dont il a été victime, et à la mettre en ligne. Nous ne saurions trop conseiller à nos lecteurs de regarder les 13 minutes de cette vidéo exceptionnelle :
http://www.dailymotion.com/video/xbinl5_dlr-75018-la-laicite-remise-en-caus_news
Les propos que l’on entend dans cette vidéo sont ceux de délinquants qui s’imaginent pouvoir donner des ordres aux citoyens français et plus largement à tous les passants ; qui veulent édicter leur propre loi, au mépris des lois de la République française – des propos comme ceux-ci :« On ne veut pas que vous filmiez ! Point final ! C’est tout ! » – ou encore : « Moi j’vous dis la vérité, [dès que] la prière est finie, j’vous prends votre caméra sans pitié avec de la violence ! ».
La nature des propos tenus par les miliciens de la mosquée Polonceau, leur violence, leur répétition, prouve à quel point ces sinistres personnages représentent un danger pour les passants qui s’aventurent dans cette zone que la police nationale leur livre, sur ordre des autorités, chaque vendredi.
Après cette agression en règle contre un citoyen qui ne faisait qu’exercer ses droits, l’on ne peut qu’exiger des autorités françaises qu’elles cessent de tolérer ces comportement intolérables, et qu’elles mettent fin, le plus rapidement possible, au comportement criminel des nervis qui ont pris le contrôle de la place publique, qui y font régner leur loi, et qui agressent les passants – et qu’elles mettent fin aux occupations illégales de rues entières du quartier Barbès par des musulmans.
Quant à lui, Maxime Lépante continuera à filmer dans les rues du quartier Barbès, malgré les agissements criminels de la milice fasciste de la mosquée Polonceau et des employés de la mosquée Myrha, afin de continuer à informer les lecteurs, et le plus vaste public possible, de ce qui se passe dans l’enclave musulmane de Barbès.
Maxime Lépante