Monsieur le Maire, Daniel Vaillant, Monsieur le Commissaire Central, Henri Clouzeaux
Ce matin 7h30, je descends pour me rendre à la boulangerie qui fait le coin de la rue Léon-Doudeauville. Une bande menaçante d’individus d’origine subsaharienne, était installée sur chaises, devant le square Léon, beuglant, buvant des canettes de bière si tôt le matin. En outre, dans le coin extérieur du square Léon, adossés au mur de l’immeuble EGO, une autre bande, de drogués profonds cette fois, était stationnée.
Je passe devant ces individus, un vrai regroupement des ténèbres de l’humanité et, en remontant de la boulangerie, à 7h45 environ, une voiture de police occupée par des jeunes femmes policières, patrouillait en provenance de la rue Myrha. Je les ai interpellé pour leur faire part de la peur viscérale que ces individus distillent. Et, en effet, repassant devant eux, ces petits fachos, ces terroristes en herbe, osaient m’interpeller violemment, m’intimant l’ordre de ne pas parler à la police.
Je passais bien entendu mon chemin calmement, ignorant leurs invectives. Messieurs, si c’est cela vivre en république, que j’ortographie désormais sans majuscule ? Laisser ces ressortissants d’origine subsaharienne, au passeport français, cracher leur haine sur les habitants du quartier. Je vous le dis comme je le pense, le vivre ensemble est impossible. Nous ne nous sentons pas protégés contre cette vermine. Cessez enfin d’être animé par un sentiment de culpabilité post-coloniale. Ce sont désormais ces petits fachos qui nous colonisent. Merci de tenir compte de mon témoignage.
En outre, je prends connaissance d’un article sur France Soir, rapportant que Barbès est enfin nettoyé des trafiquants de cigarettes et autres objets volés. C’est un billet de pure désinformation, en effet, je constate que rien à changé. Que cette vermine là, nous devons la subir depuis plus de 20 ans pour certains résidents, pour ce qui me concerne, depuis que je vis ici, cinq ans ! Ces voyous clandestins qui, selon France Soir auraient été expulsés du territoire, sont toujours là et leur nombre s’accroît.
Enfin, quand vont cesser les prières illégales dans les rue de notre quartier, alors que les mosquées sont vides ? Quand allons nous enfin vivre en toute liberté sans craindre pour notre sécurité ? Quand cessera cet ensauvagement de notre quartier ?
Je vous prie de croire à l’expression de ma considération distinguée.
Hildegard von Hessen am Rhein