Totalement irresponsable, Alliot-Marie ouvre les vannes de l'immigration algéro-musulmane

Vous rentrez dans votre appartement et ô surprise, vous constatez une énorme inondation. Quel est votre premier réflexe ? Appeler les pompiers ? Non. Vous précipiter sur le seau et les serpillières pour éponger le sol ? Non. La première chose à faire, c’est évidemment de voir d’où vient la fuite et d’y mettre fin le plus tôt possible. Car il ne sert à rien à d’écoper l’eau si on ne coupe pas la source de l’inondation dont le débit est supérieur à celui de votre assèchement. Vous allez donc tout simplement, selon le cas, fermer le robinet de la salle de bain que quelqu’un a laissé ouvert, ou couper l’arrivée d’eau de l’appartement, ou rendre visite au voisin du dessus si la fuite provient du plafond, ou fermer la fenêtre par laquelle la pluie est entrée, etc. Et ensuite seulement, vous allez éponger vos sols et vos tapis. Puis vous préviendrez votre assurance et vous réparerez ou ferez réparer les dégâts des eaux.
Tout cela est évidemment très logique, et pourtant cette raison élémentaire échappe totalement à Michèle Alliot-Marie. A moins que notre actuel ministre de la Justice ne joue un double jeu au profit d’intérêts qui ne sont pas les nôtres ?
En effet, elle revient d’un voyage en Algérie, où elle a – entre autres – promis au président Abdelaziz Bouteflika de donner aux Algériens encore plus de privilèges – par rapport aux autres étrangers extra-européens – quant à leur immigration et leur séjour en France. Dans une interview au journal El-Watan, elle déclare : « L’accord conclu en 1968 entre la France et l’Algérie a déjà été amendé à trois reprises. Il prévoit pour les Algériens des avantages par rapport au droit commun. Or, le droit commun a tellement progressé que, sur certains points, le droit applicable aux Algériens, qui devait être plus avantageux, est en réalité moins favorable. Nous souhaitons que l’Algérie continue à bénéficier d’un régime spécial, plus favorable. La France est prête à ces avancées. »

Il est étrange qu’aucune association « antiraciste » ou que la Halde ne dénoncent pas cette « discrimination positive » en faveur des Algériens. Mais il y a bien plus grave : Michèle Alliot-Marie réouvre tout simplement les vannes de l’immigration algérienne et donc musulmane. Et en avant pour les visas !
Pourtant, il apparaît de plus en plus en France, mais aussi partout en Europe, que l’immigration musulmane n’est pas « une chance », mais au contraire une source de multiples problèmes. Même la chancelière allemande Angela Merkel vient de le reconnaître officiellement ! Et on ne compte plus les études officielles ou officieuses qui démontrent l’échec de toutes les politiques d’intégration ou d’assimilation d’une importante immigration islamique.
Il ne s’agit pas de jeter la pierre aux Algériens ou aux Franco-algériens qui résident sur notre sol. Ils ne font que profiter – parfois en échange d’une force de travail, parfois en n’apportant rien, et parfois illégalement – des avantages que leur offre la France, sur laquelle pourtant nombre d’entre eux crachent tant et plus, nous désignant comme « racistes » et nous reprochant une colonisation terminée depuis deux ou trois générations. Quelle hypocrisie !
Mais même si le nombre de ceux qui sifflent notre hymne national, qui brûlent notre drapeau, qui incendient nos écoles, qui vandalisent le stade Charlety, qui « niquent la France », qui mènent une véritable intifida – comme en ce moment à Nanterre et à Lyon –, qui veulent imposer leur loi religieuse et leurs imams analphabètes – et l’Algérie en fournit plusieurs dizaines à chaque Ramadan –, qui prient dans nos rues en toute illégalité, qui exercent des pressions physiques sur des élus peureux pour qu’on finance leurs mosquées avec l’argent public, etc., même si tous ceux-là restent une minorité, il est évident que cette minorité sera d’autant plus importante et problématique si on ouvre davantage notre pays à l’immigration musulmane. Et d’ailleurs, ce seront les musulmans « parfaitement intégrés », ou ceux qui ont fui la charia en Algérie et ailleurs, qui pâtiront les premiers de la poursuite d’une islamisation de peuplement.
Evidemment, le gouvernement algérien ne peut que se réjouir de cette ouverture des vannes de l’immigration musulmane, puisque cela lui permet de se débarrasser de bras cassés, d’opposants politiques, ou… d’islamistes !
Madame la garde des Sceaux est donc totalement irresponsable, puisqu’elle condamne notre pays à recevoir encore plus d’Algériens dont nous n’avons nul besoin, et dont une partie va proportionnellement apporter sa pierre à la guérilla en cours contre nos institutions, nos lois, nos biens et évidemment notre peuple. Et sans compter les impacts négatifs sur nos finances publiques et nos emplois !
Le Président de la République devrait tout au contraire tirer les leçons de son propre discours de Grenoble et de l’actualité récente. Comme le réclament de plus en plus de Français (et aussi d’Allemands, de Belges, de Néerlandais, de Suisses, d’Italiens, etc.) : il faut un moratoire total sur l’immigration tant que nous n’avons pas résolu – si tant est que nous y arrivions – les problèmes posés par cette véritable colonisation de peuplement, en particulier celle en provenance de pays musulmans.
Ce moratoire devra porter sur tous les flux d’immigration ou de naturalisation :
– l’immigration clandestine, où les chiffres annoncés par Eric Besson sont ridicules, et totalement gonflés par des expulsions de Roms qui reviennent aussitôt ou par ce qui se passe à Mayotte ;
– la régularisation de clandestins, dont le même ministre de l’immigration refuse de communiquer les chiffres alors qu’ils devraient être publics ;
– le regroupement familial, et en particulier les « mariages mixtes » qui consistent à aller chercher un époux ou une épouse « au bled » pour en faire un nouvel immigré sans travail, parfois à coup de mariages blancs ou « gris » ;
– le droit du sol, qui devient totalement ridicule quand des parturientes musulmanes viennent exprès accoucher en France, soit avec un visa de tourisme, soit illégalement ;
– « l’immigration choisie » chère à Nicolas Sarkozy, qui permet de faire baisser les salaires des employés et cadres français après avoir fait baisser celui des ouvriers, et qui n’est qu’une sorte de « délocalisation intérieure » ;
– les naturalisations à tout va, qui deviennent de simples formalités et qui vident de sens la notion même de citoyenneté ;
– etc.
Ce moratoire exige évidemment que la France retrouve sa souveraineté en matière d’immigration et le contrôle de ses frontières, donc sortie du traité de Schengen et de tout traité européen attentatoire à cette souveraineté. (Or c’est exactement le contraire que vient de voter le parlement, en transposant dans notre droit la « carte bleue » européenne qui nous empêche de décider qui a le droit de venir travailler chez nous !)
Moratoire sur l’immigration, souveraineté nationale, contrôle de nos frontières et de notre immigration, expulsion définitive de tous les clandestins, etc. Voilà la politique qu’il faut exiger de nos dirigeants, pour préserver non seulement nos acquis sociaux, nos finances publiques et nos emplois, mais également pour éviter tout simplement que la France subisse le sort de l’ex-Yougoslavie ou du Kosovo, et que demain la charia règne à Saint-Denis, à Marseille ou à Mulhouse.
Voilà la politique diamétralement opposée à celle appliquée par Nicolas Sarkozy et – avec encore plus de zèle – par Eric Besson, et relayée jusqu’à Alger par Michèle Alliot-Marie. Les gesticulations du locataire de l’Elysée et de ses ministres-godillots ne doivent plus nous tromper une seconde fois : tout ce gouvernement se conduit en ennemi des intérêts de la France et des Français.
Evidemment, ce n’est pas mieux à gauche, quand des élus – comme par exemple le maire de Paris – se couchent devant les exigences et les pressions physiques des barbus, quand d’autres – ou les mêmes ! – achètent des voix musulmanes à coup de subventions à des associations fictives et crapuleuses, et quand ils réclament la régularisation des clandestins ou le droit de vote des étrangers.
Le peuple de France doit sortir du dilemme d’avoir à choisir entre la peste UMP et le choléra PS, d’autant plus que tout ce beau monde est d’accord sur l’essentiel : la grande braderie de notre Nation sur l’autel de la mondialisation mortifère.

Michèle Alliot-Marie vient de nous montrer une fois de plus sa duplicité – volontaire ou non ? – : rentrant tout juste d’Alger où elle a promis d’ouvrir un peu plus les vannes de l’islamisation de la France, elle appelle sur Europe 1 à « la fermeté face aux casseurs ». Alors que toutes les photos et les vidéos de la « guérilla urbaine » de ces jours montrent que les fauteurs de troubles sont quasi tous issus de l’immigration africaine et nord-africaine ! D’un côté de belles déclarations d’intention, de l’autre des actes diamétralement opposés. Comment peut-on faire confiance à de tels bonimenteurs qui, depuis 30 ans, gauche et droite confondues, ont mené notre pays à la ruine pour la plus grande gloire de l’oligarchie capitaliste mondiale et… d’Allah ?
Si la garde des Sceaux use de duplicité volontaire, il faut la virer pour tromperie et mensonge envers les Français. Si cette duplicité est involontaire, il faut la virer pour incompétence et dangerosité. Dans tous les cas, elle est indigne de notre confiance et de nos suffrages, comme la quasi-totalité de l’oligarchie UMPS. Dans tous les cas, le peuple de France doit désormais refuser toute collaboration avec cette caste politicienne et entrer en résistance.
Roger Heurtebise

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