Cette vidéo, prise par les caméras de la RATP, dure 6 minutes. Elle est insupportable.
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Comment ne pas s’identifier à ce malheureux jeune passager, qui n’a rien demandé à personne, et qui se fait agresser sauvagement, gratuitement, par des racailles, même s’il paraît que l’utilisation de ce terme là est politiquement incorrecte ?
Comment ne pas se dire que cela peut être nous-même, nos enfants, notre famille, nos amis, qui peuvent un jour tomber sur ce genre de crapules psychopathes ?
Comment ne pas se rappeler les manifestations de 2005, où les lycéens furent frappés au faciès, et “dépouillés”, c’est le mot à la mode, par les mêmes voyous que ceux qu’on voit dans ce bus ? Pourtant, le politiquement correct interdit de parler de “racisme anti-blanc”.
Comment ne pas se souvenir des trois semaines d’émeutes, en novembre 2005, des 300 écoles incendiées, et de ces deux pauvres hommes, battus à mort par des barbares, sans avoir droit, eux, à la moindre marche silencieuse ?
Comment ne pas se rappeler les manifestations contre le CPE, où il fallut que les services d’ordre syndicaux, alliés aux forces de l’ordre, s’unissent pour protéger les manifestants des agresssions de bandes d’adolescents violents, pour la plupart issue de l’immigration post-coloniale ?
Comment ne pas serrer les poings contre ces sociologues gauchistes, contre toute cette gauche bobo et compassionnelle, qui passe son temps à minimiser la gravité de cette délinquence, voire à la nier, tel l’Indigène de la République Laurent Mucchielli. Cette même bien-pensance qui a tout fait pour qu’une loi datant de 1945 continue de protéger ces jeunes racailles qui agressent, volent, et parfois tuent d’honnêtes citoyens ?
Comment ne pas comprendre la trouille des passager, devant ces barbares néo-racistes déchaînés ? Comment ne pas voir que le jeune qui essaie d’en retenir un se fait deux fois frapper au visage, gratuitement ? Comment ne pas comprendre le désarroi et la peur du chauffeur de bus, qui dit qu’il ne peut rien faire ?
Comment ne pas sentir la colère monter contre ces juges, imprégnés de l’idéologie du syndicat de la Magistrature, qui trop souvent relâchent ces jeunes crapules qui se permettent de narguer les policiers qui les ont arrêtés la veille ?
Comment ne pas demander des comptes à la droite, qui, quand elle est dans l’opposition, hurle contre l’angélisme de la gauche, et qui, telle Alliot-Marie, une fois au pouvoir, est incapable de juguler cette violence de plus en plus juvénile ?
Comment ne pas demander des comptes à Sarkozy, élu sur la défense des valeurs de la République, dont le droit à la sûreté, et qui ne parle plus que de diversité et de discrimination positive, avec des personnages comme Yazid Sabeg, et des officines comme la Halde ?
Comment ne pas se dire, quand on voit de telles images, quand on a regardé “La journée de la jupe”, quand on sait ce que subissent de plus en plus d’enseignants à l’école, qu’il y a quelque chose qui est en train de pourrir dans la société française, et que c’est réellement la paix civile de notre pays qui est en danger ? Comment ne pas voir dans ces images insupportables les conséquences du discours de haine contre la France, développé par toute une frange des élites de gauche ?
Comment ne pas se dire que les balivernes qu’on entend depuis plus de trente ans ne sont absolument plus d’actualité. Bien sûr qu’une immigration non maîtrisée conduit à la catastrophe qui est en train de saper notre pays ! Bien sûr qu’une immigration où on n’intègre plus conduit au communautarisme ! Bien sûr que la haine du blanc et des Français se développe, alimentée par des discours racistes de rappers, des Indigènes de la République et de certains gauchistes. Bien sûr que la montée du chômage va aggraver la situation ! Bien sûr qu’il y a un problème particulier avec des garçons issus de l’immigration maghrébine et l’immigration subsaharienne, il faut être sot ou aveugle pour ne pas le constater ! Bien sûr que continuer à réclamer, dans ce contexte, la libre immigration, voire à la régularisation de tous les sans-papiers est une politique jusqu’au-boutiste criminelle !
Il convient réellement de reconquérir les “Territoires perdus de la République”, par tous les moyens dont la République dispose, voire qu’elle se donne des moyens exceptionnels.
C’est seulement ainsi que la France redeviendra ce pays qui sait accueillir, qui sait intégrer, autour du creuset républicain, grâce auquel un tiers des citoyens de ce pays a un grand-parent issu de l’immigration. Mais il faut arrêter de nier l’évidence, et la gravité de la situation à laquelle est confrontée notre pays.
Que les bien-pensants gauchistes ou bobos qui ne manqueront pas de me qualifier de fasciste, de raciste, de sécuritaire réactionnaire, et autres gentillesses, se souviennent de la phrase de Engels : “Le Lumpenprolétariat, cette lie d’individus dévoyés de toutes les classes, qui établit son quartier général dans les grandes villes est, de tous les alliés possible le pire. Cette racaille est absolument vénale et importune. Quand les ouvriers français écrivaient sur les maisons, à chaque révolution, l’inscription : “Mort aux voleurs !” et qu’ils en fusillaient même plus d’un, ce n’était certes pas par enthousiasme pour la propriété, mais bien parce qu’ils savaient très justement qu’il fallait avant tout se débarrasser de cette bande. Tout chef ouvrier qui emploie ces vagabonds comme gardes du corps, ou qui s’appuie sur eux, prouve déjà par là qu’il n’est qu’un traitre au mouvement.”
Extrait de “La guerre des paysans en Allemagne” de Friedrich Engels
Jeanne Bourdillon