Une semaine d'actu en vrac : de l'Eglise espagnole à Laurence Parisot, archaïsme et bonnet d'âne !

De l’usage de la protection animale pour lutter contre la légalisation de l’avortement en Espagne : L’Eglise toujours plus moderne !

Le gouvernement de Zapatero en Espagne veut rendre l’avortement pleinement légal dans un délai de grossesse limité, comme c’est déjà le cas dans la plupart des pays européens. La Conférence épiscopale espagnole en réaction a lancé lundi une campagne anti-avortement dénonçant le fait que les espèces animales menacées sont, selon elle, plus protégées que les embryons humains. “Si nombre d’espèces animales bénéficient d’une grande protection, y compris pénale, pourquoi protège-t-on moins la vie d’êtres humains qui vont naître?”, s’est interrogé le porte-parole des évêques, Mgr Juan Antonio Martinez Camino.
Il a présenté les affiches d’une campagne qui aura lieu à partir du 25 mars, instauré “journée de la vie” par l’Eglise espagnole. On y voit côte à côte un jeune enfant habillé, marchant à quatre pattes, et un lynx ibérique, une des espèces animales les plus en danger d’Espagne. Une mention “lynx protégé” est apposée sur l’animal et le bébé demande “et moi?”, au-dessus d’un slogan “protège ma vie!”. Dans un bandeau, en haut, apparaissent des embryons ou fœtus à divers stades de développement. L’affiche sera collée sur 1.300 panneaux en Espagne.
Plus archaïque que ça … Y’a pas !

Le sida et la visite de Benoit XVI en Afrique : un continent qui doit mourir par où il a péché !

La Pape Benoit XVI a choisi son voyage en Afrique pour monter encore d’un cran sur l’échelle de l’arriérisme. Il a fait l’unanimité contre lui, après avoir déclaré mardi dernier dans l’avion qui l’emmenait vers le Cameroun, que le problème du sida ne «peut pas être réglé» par la «distribution de préservatifs» et qu’«au contraire, leur utilisation aggrave le problème».
«Très clairement ce sont des paroles gravissimes quand on voit l’impact que ce type de message peut avoir en Afrique où vivent les deux tiers des personnes séropositives», estime ainsi Béatrice Luminet, responsable de Médecins du Monde. «Ces paroles seront relayées sur le terrain et auront évidemment un impact en terme de perturbation des messages de prévention notamment sur le continent africain où le catholicisme est influent.»
Le président de l’association Elus locaux contre le sida, Jean-Luc Romero, « considère qu’il s’agit d’«un message de mort adressé aux Africains». Côté politique en France, la secrétaire nationale du PCF et présidente du groupe d’études Sida à l’Assemblée nationale, Marie-George Buffet, s’insurge: «les paroles prononcées par le pape pour inaugurer son premier voyage sur le continent africain peuvent être qualifiées d’irresponsables et de criminelles.» On notera au passage qu’il serait temps de prendre conscience pour la dirigeante du PCF que la politique de rapprochement mené depuis toujours par son organisation entre communistes et chrétiens, qui se rejoindraient dans un même humanisme, est un leurre, et que le Pape n’est jamais que le reflet du dogmatisme religieux dont il ne faut rien attendre à cet endroit.
En France, l’évêque Jean-Michel Di Falco, a tenté de se porter au secours du Pape. Selon lui, Benoît XVI n’a fait qu’exprimer «l’idéal» catholique de fidélité et d’abstinence. Mais c’est bien sûr ! Y compris, quant il rejette l’avortement thérapeutique et la contraception dans l’esprit de cette si belle religion qui nous a tant apporté, si on en croit le livre de Frédéric Lenoir « Le Christ philosophe » (Plon, 2007).
Il y exprime sans rire que, la démocratie et les Droits de l’Homme, l’égalité, l’émancipation de l’individu à l’égard du groupe et de la femme à l’égard de l’homme, la liberté de choix, la séparation du politique et du religieux, la fraternité humaine, ont une même racine chrétienne. Si c’était vrai, il y aurait un sacré problème avec ce Pape vis-à-vis de l’héritage… Mais il n’y a pas de mystère, c’est faux, la religion ici comme ailleurs est égale à elle-même, toujours rétrograde, jouant sur l’ignorance et niant la science, jusqu’au passé qu’elle tourne à sa façon pour le mettre de son côté contre toutes les évidences.
Ce fervent qui dirige Le Monde des religions oublie de nous dire qu’avant le christianisme il y a eu la Grèce de l’Athènes démocratique, renvoyant aux hommes la responsabilité de leur vie terrestre par déduction des dieux, l’invention alors de l’idée du gouvernement des hommes par les hommes et du citoyen, que les droits de l’homme ont été édifiés contre le trône et l’autel en 1789, que la séparation des Eglises et de l’Etat s’est faite contre l’Eglise catholique qui tenait tout sous sa férule et constituait l’obstacle principal à l’édification des libertés publiques et de la démocratie en France, que c’est la République par laquelle les femmes finirent par obtenir le droit de vote et l’émancipation de la puissance paternelle qui était au coeur du catholicisme, sachant qu’aucune religion n’a jamais proposé l’égalité entre hommes et femmes pas plus celle-ci qu’une autre.
D’une certaine façon, à travers le discours de Frédéric Lenoir qui ramène toutes les conquêtes émancipatrices de l’homme au christianisme, il y a comme les relents de ce mythe biblique qui veut que tout soit venu d’un point de départ unique, dieu ! Une réécriture de l’histoire qui ne peut tromper personne à la lumière de la pensée du premier représentant actuel de cette Eglise qui a fait tant de mal par tous les siècles, en raison de son conservatisme et de ses cerveaux plats reclus dans le syllogisme et le rejet de toute évolution des mœurs.
Si certains peuvent dire de Benoit XVI, pour tenter de comprendre « qu’il vit au ciel et nous sur terre », on devrait en vérité surtout ne jamais laisser, ici entre les mains de non-pratiquants le pouvoir d’une telle influence, l’absence d’expérience altérant ici nécessairement le jugement.
On apprenait que même chez les catholiques l’image du Pape s’est fortement dégradée en France, selon le CSA. Ils déclarent avoir une mauvaise opinion du Pape à 55%, tous français confondus c’est encore mieux avec 57%.
Autre cause, autres conséquences, « le cerveau pourrit à partir de 27 ans » selon le professeur Timothy Salthouse de l’Université de Virginie. Le chercheur n’avait pas de Pape parmi ses spécimens, mais si un seul peut confirmer cette théorie, c’est bien le Saint homme !

Enquêtes et révélations : Après le scandale de la statue de Jean-Paul II à Ploërmel, les citoyens de la ville sont mis sous surveillance !

Une enquête de l’émission de TF1, « Enquêtes et révélations », mardi 17 mars, portait à notre connaissance qu’à Ploërmel, la ville où on a construit la statue de Jean-Paul II qui veille, a vu se réaliser un drôle de projet de Monsieur le maire, qui a mis sa ville sous surveillance.
Après dieu, il sait à présent tout ce qui se passe sur le territoire communal en raison de l’installation de 60 caméras – coût 10.000 euros- un dixième du budget municipal. Le but, lutter contre la délinquance locale et la consommation de drogues, une ville qui est pourtant en dessous de tous les chiffres nationaux. Ploërmel connue pour être évidemment la plaque tournante d’un trafic de drogue international !
Le plus surprenant est d’apprendre que ces images ne sont en réalité regardées par personne, pas même la gendarmerie qui reste très mesurée selon le reportage, quant à leur utilisation possible y compris leur simple intérêt.
Dernières nouvelles ! Des plaisantins auraient décidé d’installer sur la tête de la statue de Jean-Paul II au nez et à la barbe de ce système de surveillance des citoyens, un énorme préservatif pour faire participer la ville au Sidaction. De quoi faire frémir Benoît XVI qui est convaincu que c’est par le préservatif que vient le sida, faut être con tout de même !
Une façon de tourner en dérision l’arriérisme religieux et de permettre de ramener, vis-à-vis du détournement de l’argent des contribuables qui a servit à l’édification d’une statue ayant le caractère de propagande religieuse, bafouant ainsi la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905, un peu de l’usage de leur argent vers le bien commun. « Aimez- vous les uns les autres » qui disait !

Boutin et la politique du logement : Conseils en charité et assistanat tout compris…

La nouvelle a surpris et il y a de quoi ! Voilà que Christine Boutin avec sa nouvelle loi sur le logement déclare qu’il n’y aura plus une seule expulsion, une question d’humanité. On pensait avoir atteint le sommet de la démagogie avec le droit opposable au logement (5mars 2007), et bien non ! Voilà de quoi il s’agit : les personnes en situation d’être expulsables pourront dès les premiers retards de loyers, faire appel à une association qui servira d’entremetteuse avec les pouvoirs publics afin qu’on finance immédiatement ceux-ci, sur un budget alloué par le gouvernement sur nos impôts, une dotation de 1,8 milliards d’euros dédiés au bâtiment et au logement ! Et ce, dans l’attente d’une solution alternative, un autre logement qui, tant qu’il ne sera pas trouvé, permettra aux personnes de rester dans l’appartement initial avec loyer payé ! D’ors et déjà toutes les expulsions ont été suspendues par les Préfets appliquant l’esprit de la nouvelle loi.
Lorsqu’on lui pose la question « Mais ne pensez-vous pas que cela va encourager les mauvais payeurs à encore moins se responsabiliser ? » Elle répond « pas du tout ! » et explique qu’on ne soutiendra pas les mauvais payeurs de mauvaise foi. Il faudra qu’il s’en aille et s’adressent aux CHRS (Centre d’hébergement et de réinsertion sociale). Il est certain que les mauvais payeurs n’auront aucun intérêt à se déclarer être de mauvaise foi, car tout est fait pour que de bonne ou de mauvaise foi, ils bénéficient avec ce système de la solution à la résolution de tous leurs problème en matière de logement. Les mauvais plaisants qui peuvent profiter de la situation n’auront aucun intérêts à ne pas respecter la loi qui leur est devenue à ce point favorable !
C’est non seulement une véritable invitation à ne plus payer son loyer pour ceux qui fonctionnent déjà sur le mode de l’assistanat édifié en système, mais y compris un signe donné aux squatteurs de tous acabits. Le DAL va pouvoir s’en donner à cœur joie et continuer de justifier par ce jeu la priorité donnée à des familles venues d’ailleurs qui prennent en otage notre République laïque et sociale en réclamant le respect de droits sur lesquels il y a là comme un holdup.
Pendant ce temps, la plupart des familles qui se débattent avec des salaires de misères et se font un honneur de payer leurs loyers, vivant dans des logements privés à la surface réduite au minimum vital, pourront toujours attendre que leur dossier de demande de logement social monte vers le haut de la pile… Il y a ici un potentiel d’exaspération à travers ce qui va opposer les pauvres entre-eux et quelque chose d’immoral, apportant sa pierre à la logique de diviser pour régner du petit Nicolas.
Nous n’avons pas besoin de cet esprit entièrement tourné vers la charité publique qui déresponsabilise mais de valeurs communes exigeantes dont on puisse être fier au lieu d’inviter à se réfugier dans la dépendance qui signifie aussi soumission. Sachant, il faut le préciser au passage, qu’il existe déjà tout un arsenal de moyens pour aider les familles en difficulté dans ce domaine par-delà le droit opposable au logement.
Les familles ont droit au recours auprès du service de l’action sociale départementale d’un fond de solidarité logement, qui permet d’effacer tout ou partie de la dette, de rééchelonner celle-ci, en accord avec l’organisme gestionnaire dont l’appartement dépend. Lorsqu’il est question de surendettement, un plan avec la Banque de France au titre du surendettement peut être mis en place avec suppression de tout ou partie de la dette, voire un moratoire qui en diffère le paiement pour l’étaler ensuite sur des années…
Ce nouveau dispositif va fabriquer de l’assistanat de masse bien en phase avec la conception du social de cette dame qui ne le voit qu’à travers la charité chrétienne : sa logique procède de rendre dépendant le débiteur vis-à- vis de son donateur, car en lui assurant sa pérennité il se garantit son silence et son renoncement à la révolte. Un dispositif fait pour réaliser une opération de diversion visant à nous faire totalement oublier qu’il manque des centaines de milliers de logements, que la loi SRU (loi relative à a solidarité et au renouvellement urbain) est loin d’être entrée dans la réalité avec son obligation de construction de logements sociaux, bien des villes préférant payer des amendes plutôt que d’en construire.
Mais méfiez-vous de cette charité chrétienne là, car ce que dieu donne de la main gauche il peut le reprendre de la droite, ce dont notre bon président en chanoine de Latran use, il faut bien le dire, merveilleusement.

Avec ses “kebab débat”, le PS décroche le mickey de la semaine !

L’initiative au nom insolite s’inscrit dans la politique du logement et du contre-plan de relance, présentée ce mercredi par le parti socialiste. L’idée? Organiser des rencontres de proximité, des “kebab débats” dans les quartiers pour “écouter” et “travailler sur la question des droits de l’Homme dans les cités” (L’express du 18/03/09). Pour justifier l’intitulé de cette initiative, le PS explique qu’« il y a beaucoup de kebabs au pied des immeubles”.
Comment mieux identifie les banlieues, à travers cette symbolique exotique, une fois de plus à l’immigration, jouant du lien entre jeunes, question des origines et victimisation, ramenant la question du logement ou des droits de l’homme, l’air de rien, à une unique partie de la population. Façon de la prendre opportunément dans le sens du poil tout en éludant de cette façon une partie essentielle des vrais problèmes de nos banlieues, où le vivre ensemble est frappé de plein fouet. Une situation directement liée à la montée du communautarisme, qui doit beaucoup à l’islam politique, ce fascisme.
Mais cette campagne suit une inspiration qui vient d’une véritable tradition pour le PS en matière d’accommodements raisonnables. La première secrétaire en donne l’un des plus beaux exemples à Lille, en réservant à des femmes voilées la piscine municipale à des horaires spécifiques, avec personnel uniquement féminin, et ce, par l’entremise du centre social, un comble !
« Aucune expulsion en 2009″, voilà le mot d’ordre du PS dans le contexte de cette démarche. Encore de l’assistanat, toujours de l’assistanat, pour ne pas se mettre en dessous de la nouvelle œuvre de grande charité publique de Sainte Christine Boutin. Nathalie Perrin, secrétaire nationale, a demandé un “moratoire sur les expulsions” en 2009, reprenant les demandes des associations, qui ont bon dos de servir ainsi de cache-sexe à la responsabilité politique.
Reprenant son plan de relance de janvier, le PS souhaite une “augmentation de 10% des allocations logement” et le “gel des loyers en 2009 sur les zones tendues…”. Autrement dit, demain avec le PS, on rase gratis ! Ça a comme un parfum de déjà vu…. dans la plus grande tradition de la démagogie politicienne dont le PS décroche ici, le mickey !

Fait divers : Elisabeth Fritz, la fille du «monstre d’Amstetten» : «Il existe aussi des hommes bons et honnêtes» Ça c’est dit !

Voilà une réflexion qui ne passera pas inaperçue. Quoi que, pour bien l’apprécier à sa juste valeur, il fallait passer par-dessus l’énormité de la présentation haute en couleur du procès de ce personnage peu fréquentable qu’en faisaient les journalistes, toujours à la recherche de « la » grosse émotion et du superlatif, dont ils nous disaient qu’il s’agissait là, du monstre du siècle !
Josef Fritzl qui a séquestré et violé pendant 24 ans sa fille Elisabeth dans une cave-cachot, où il retenait aussi les enfants qu’il avait fait à celle-ci, plaidant finalement coupable, a été condamné jeudi en début d’après-midi à la prison à vie et à l’internement psychiatrique. Les jurés de la cour d’assises chargés de juger ce père incestueux, l’ont notamment reconnu coupable du meurtre d’un bébé.
Avant ce verdict, Josef Fritzl avait déclaré qu’il “regrettait de tout son coeur”. Un dernier mot tout de même malheureux, l’image de cet organe à exprimer les sentiments étant en ce qui le concerne quelque peu terni par les faits. Mais enfin, c’était tellement bien dit pour être par les médias repris sans changer la virgule, que des dialoguistes n’auraient pas mieux fait. Une mise en scène en tous points parfaite pour la presse people, il faut dire qu’elle n’a pas toujours aussi bien à se mettre sous la dent pour faire frissonner voire estomaquer le lecteur.
Heureusement qu’Elisabeth Fritzl allait sauver cette débauche d’émotion en s’adresser à la population de cette petite ville d’Autriche pour dire qu’il existait aussi « des hommes bons et honnêtes ». La façon dont la presse en France a repris dans ses gros titres cette déclaration était l’objet d’un décalage… Si celui-ci pouvait être compréhensible concernant cette femme qui n’a finalement connu que l’inceste, rien n’était fait pour remettre parallèlement en mémoire que les pères incestueux sont heureusement peu nombreux. Un fait qui n’est jamais que le reflet d’un état d’esprit qui veut que, on ne manque jamais une occasion dans notre pays de mettre une touche supplémentaire à l’idée de tuer le père.

Du bonnet phrygien de la CGT au bonnet d’âne de Parisot

“La mobilisation a été bien plus importante que le 29 janvier tournant à la démonstration de forces avec plus de 3 millions de manifestants et 213 manifestations. Il y avait même tellement de monde dans la manifestation parisienne de la République à la Nation, qu’il a fallu la diviser en deux cortèges.
La CGT se taillait la part du lion en nombre dans cet événement. Une réponse cinglante à Laurence Parisot qui avait violemment attaqué le syndicat en le rendant responsable de la disparition d’entreprises et de provoquer des licenciements, ainsi que d’être coupable à ses yeux de démagogie et de créer des illusions, manifester n’était pas pour elle la bonne réponse… On s’en serait douté ! Mais ce qu’il ya encore de plus honteux de son côté, c’est d’avoir fait ces déclarations au moment où par sa voix le MEDEF refuse d’encadrer les salaires du grands patronat qui continuent de rouler sur l’or et les stocks -options…
Elle ajoutait même, “La journée de jeudi c’est une facilité » Et bien qu’elle vienne le dire à la sortie d’une usine en grève et ce ne sera pas facile pour elle face aux vraies victimes de la crise d’un capitalisme financier qui, après avoir prélevé ses dividendes, fait payer la facture à ceux qui travaillent.
Invité de l’émission “Politiques” de FRANCE 24, l’ancien Premier ministre Alain Juppé estimait que la nouvelle journée de mobilisation de ce jeudi, en France, était le signe d’une “vraie angoisse dans l’opinion”. Il en sait quelque chose pour en avoir fait les frais en son temps, et ce n’est qu’un début. La grève était sans surprise, dans cet état d’esprit, justifiée pour 7 Français sur 10.
Mme Parisot, vous méritez bien le bonnet d’âne de la semaine ! Ah ça ira, ça ira, ça ira…
Guylain Chevrier
Historien

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