Le vendredi 20 novembre 2009, l’auteur a surpris des trafiquants vendant à la sauvette des produits devant la mosquée Myrha, à peine la prière finie, dans la zone de la rue Myrha bloquée par les barrières, juste à côté des grands tapis déroulés sur le sol par les employés de la mosquée. (1) Nombreux étaient les clients intéressés par ces produits, y compris parmi les intégristes barbus en kamis. Ainsi, à peine la prière finie, certains de ces saints hommes musulmans s’empressent-ils de devenir des délinquants. Une preuve de plus qu’islam et délinquance ne sont pas incompatibles, loin de là…
Un de nos informateurs dans le quartier nous a depuis précisé qu’un de ces vendeurs à la sauvette, qui s’installe en général près du carrefour avec la rue Léon, est spécialisé dans la vente illégale de chaussettes, de caleçons et de maillots de corps, et qu’un autre, qui s’installe plus près de la mosquée Myrha, se consacre à la vente illégale de chaussures à 10 euros la paire. Ces ventes illégales ont lieu chaque vendredi, juste après la fin de la prière ; les acheteurs sont tous des musulmans qui viennent de prier.
Les responsables de la mosquée Myrha ne font rien pour lutter contre cette délinquance dans la zone qu’ils ont pourtant réquisitionnée pour la prière des musulmans. Il est vrai que les responsables de la mosquée Myrha sont eux-mêmes des délinquants, puisqu’ils bloquent illégalement la rue Myrha, sur plus de 100 mètres, chaque vendredi midi…
Si les policiers n’avaient pas l’ordre de livrer aux musulmans tout ce quartier, chaque vendredi, pendant plus d’une heure, ils pourraient faire respecter les lois de la France, et arrêter ces trafiquants ; mais leur hiérarchie s’y oppose !
Merci, monsieur Brice Hortefeux, qui interdisez aux policiers français placés sous vos ordres d’accomplir leur devoir !
La rue Myrha, en ce vendredi 20 novembre 2009, est livrée par les autorités françaises, comme chaque vendredi, aux musulmans.
La prière à peine finie, des vendeurs à la sauvette s’installent juste à côté des tapis. Le trafic de chaussettes, caleçons, chaussures, est florissant. Les musulmans, y compris les intégristes barbus en kamis, sont nombreux à acheter ces produits. Sur cette photographie, on peut voir le grand sac bleu qui contient les produits apportés par le trafiquant.
Ce jour-là, c’est tout un stock de chaussettes qui est écoulé illégalement…
Et très rapidement…
Un intégriste a lui aussi acheté des chaussettes, en toute illégalité. La pratique la plus rigoureuse de l’islam n’empêche donc pas les petits trafics.
Maxime Lépante
(1) Voir nos deux vidéos tournées ce jour-là dans le quartier Barbès :
Prière musulmane illégale – Boulevard Barbès (20 novembre 2009) [1:23]
http://www.youtube.com/watch?v=2bwy_dQAN2I
Prière musulmane illégale – Rue des Poissonniers (20 novembre 2009) [2:24]
http://www.youtube.com/watch?v=Wt14QNUF0Lc