“À mort le flic” de Sébastien Jallamion : rappel d’un scandale d’État
éditions Riposte Laïque, Paris, 2017, pp. 150
Notre ex-policier Jallamion a des très beaux yeux et cela nous a attirés à acheter son roman judiciaire de sa “mise à mort” policière. Il commence en nous disant qu’il a commis une erreur grave en orientant une collègue policière vers son compte FB. “Je n’imaginais pas que ce serait là une erreur magistrale” (op.cit. page 24). Son beau roman est présenté comme un montage d’actes judiciaires qui l’ont conduit à son passage à tabac en 2016 et à sa révocation professionnelle. “J’ai adhéré ensuite au Front National pour lequel j’ai activement milité et exercé les fonctions de responsable de secteur” (op.cit.page 66). Au fil des pages défilent les terroristes islamistes qui ont agi entre 2012 et 2016 sur le territoire français : Mohamed Merah en 2012, les frères Kouachi et Amedy Koulibaly en 2015, Yassin Salhi en 2015 également, Larossi Abballa en 2016, Mohamed Lahouaieij-Bouhlel en 2016 ou Adel Kermiche et Abdel Malik Nabil-Petitjean la même année.
Notre beau héros sera passé à tabac par plusieurs islamistes le 22 avril 2016. “Alors que je m’étais rendu à Lyon visiter un ami et que je quittais son domicile pour me rendre à mon véhicule, je fus brutalement agressé par plusieurs individus qui me projetèrent au sol avant de m’asséner une pluie de coups au visage” (op.cit. page 113). “La seule faute de ce policier, dénoncé par une collègue musulmane : avoir critiqué sur un réseau social privé les assassins islamistes de nos compatriotes” (écrit sur la couverture au dos). Son association ANDELE (Association nationale de défense égalitaire de la liberté d’expression) a été créée juste après son licenciement professionnel pour militer contre les cas similaires. Mais n’est-ce pas le temps de mettre un frein à l’islamisation excessive ? Le roman de Jallamion est à lire et à faire circuler au maximum !
Dionysos ANDRONIS