À Péret-Bel-Air, défendre le chant du coq serait être pétainiste !

C’est encore l’histoire d’un maire qui s’aplatit devant la bien-pensance et la dictature écolo. Cette fois-ci, cette lamentable histoire se passe dans la commune de Péret-Bel-Air, en Corrèze, 94 habitants. Nadine Courteix vient d’en être réélue maire sur une liste prétendue apolitique, intitulée sans grand effort d’imagination, comme dans toutes les cambrousses : Continuons ensemble à agir pour Péret-Bel-Air (https://elections.sudouest.fr/municipales-2020/nouvelle-aquitaine/correze/peret-bel-air/#2).

Rebondissant sur des affaires médiatisées par des écolos – bobos – bio-bio – friqués, qui ne supportent pas la vie agricole aux abords de leurs résidences secondaires rurales, cette édile a cru se servir d’un humour à deux balles pour les égratigner. Depuis le temps que cette mafia verte conduite par certaines figures d’escrocs qui polluent ou ont pollué tout ce qui pouvait l’être, sur terre et sur mer, l’heure ne devrait plus être aux écriteaux puérils. Des actions plus fortes seraient indubitablement plus efficaces contre ces loustics, à condition que bien des communes, départements et régions ne les câlinent pas à longueur d’année pour accueillir leurs éoliennes et leurs panneaux solaires.

Mais droite dans ses bottes d’agricultrice, et ceinte des trois couleurs de la République, Nadine Courteix, agacée paraît-il par des nuées de moralisateurs, a planté sa pancarte revendiquant le chant du coq. À dire plus exactement, cette pancarte, au demeurant fort maladroitement rédigée, lui a été inspirée par un élu du gardois, et pour faire bonne mesure, elle en a même planté deux.

Bref, l’esprit était là : des cloches chrétiennes qui sonnent à toute volée, de bonnes odeurs de purin et de fumier, des vaches qui meuglent et qui font des bouses fort nuisibles selon les élites écologistes, des moutons qui bêlent, des tracteurs agricoles (au gas-oil sans doute) nécessaires à une production de produits de terroir. Notez que les chèvres, les poules, les oies, les dindes, les pintades, les lapins et les chevaux de trait ont été oubliés. Et en gros, le message se terminait par quelque chose comme : si vous n’êtes pas contents, allez voir ailleurs. Pas de quoi donc casser trois pattes à un canard.

Mais c’était sans compter sur la vigilance des pourfendeurs de l’extrême droite et du Maréchal. On raconte dans le village que même la palette bleu blanc rouge agrémentant la pancarte les a indisposés. Certains y auraient vu les empreintes de Le Pen et Pétain.

Un solide Pérétois, rescapé des heures sombres de la République, suivant la formule gagnante, (la preuve puisqu’il a gagné l’enlèvement des deux pancartes), s’est paraît-il fendu d’un curieux amalgame : « surtout qu’ici tout le monde est bien intégré », dixit le quotidien La Montagne : https://www.lamontagne.fr/peret-bel-air-19300/actualites/les-pancartes-vantant-le-chant-du-coq-et-le-monde-rural-sement-la-zizanie-a-peret-bel-air-correze_13822343/

« Ce panneau, c’est un manque de tolérance complet », regrette Jacques Caraminot, un habitant de Péret-Bel-Air, lassé par le ton trop « cocorico » de la pancarte. « Ma génération, celle des plus de 80 ans, y a vu le reflet d’une sale période. Beaucoup de gens l’ont très mal ressenti, surtout qu’ici tout le monde est bien intégré », insiste celui qui voit dans cette initiative municipale une « maladresse ».

Le monde rural n’est absolument plus le gardien des traditions familiales françaises, ni un foyer de contestation de la politique européenne et immigrationniste 

C’est pourtant une croyance erronée que je lis et entends régulièrement au sein de la mouvance patriotique, nationaliste, souverainiste et identitaire. Le volet accueil des migrants en zone rurale suffit à lui seul à une pertinente réflexion. Il est étonnant de comparer le rejet larvé du Français venu d’autres régions françaises, parfois même de la commune voisine, avec l’accueil à bras ouverts de populations entières qui n’ont pas la moindre intention de se plier aux lois républicaines, sauf quand elles leur sont expressément favorables. Je ne compte  d’ailleurs plus le nombre de villages jumelés ou en relations avec des contrées lointaines dont l’attrait culturel, cultuel, social, économique, politique et stratégique, m’échappe.

Les lecteurs de RL connaissent l’appréciation peu reluisante que je porte sur ces pions de mairies fleuries (1) en rase campagne. Avec leurs collègues des grandes et moyennes villes, ils n’ont vu aucun inconvénient à exonérer les criminels de l’État-Macron dans l’affaire du coronavirus, pourvu que eux aussi, bénéficient de cette impunité (2).

C’est dans le même état d’esprit qu’ils acquiescent à la propagande gouvernementale imposant le port du masque, pourtant controversé médicalement : les masques imposés par Véran regorgent de staphylocoques https://ripostelaique.com/les-masques-imposes-par-veran-regorgent-de-staphylocoques-et-de-streptocoques.html

Ces baudruches de la politique apolitique ne verront pas non plus de problème à un dangereux prochain vaccin vénal obligatoire.

Pas un de ces maires, parfois pères ou mères de famille, ne sourcille non plus à l’exonération totale de toute responsabilité pénale des laboratoires quant aux effets primaires et secondaires des mixtures inoculées. Il est vrai que les gangs du business pharmaceutique ont l’habitude des milliers de cas d’enfants et d’adultes handicapés, en Inde, en Afrique ou ailleurs. Les interminables procès en cours, en France, ou ailleurs, ne sont absolument pas de taille à les effrayer (3).

Après avoir pris des arrêtés municipaux abusifs, contestables et contestés, mixant fallacieusement voie publique et entrée des magasins, ces faux-culs de conseils municipaux faméliques ouvrent désormais tout grand le parapluie derrière les décrets, et les arrêtés préfectoraux. Au public intelligent de réagir :  Boycott des villes qui imposent le masque, tant pis pour les commerces https://ripostelaique.com/boycott-des-villes-qui-imposent-le-masque-et-tant-pis-pour-les-commerces.html

Les mêmes qui ne voyaient pas d’objection à la tenue des élections municipales et qui se sont déjà voté le montant de leurs futures indemnités, se soucient comme de colin-tampon de savoir s’il faut exiger des dommages et intérêts aux dirigeants chinois. D’autant plus que l’on sait que le coronavirus est œuvre humaine (4) : un livre-révélation, sorti en Italie, Cina Covid-19 La chimera che ha cambiato il mondo, est destiné à provoquer un débat mondial, car il montre, avec des preuves scientifiques, que le coronavirus responsable de Covid-19 était le résultat d’une ingénierie de laboratoire. C’était l’hypothèse émise par le Pr Montagnier.

« le SRAS-CoV-2 n’est pas seulement un hybride entre le virus de la chauve-souris et le virus de la pangolin. Mais à l’intérieur, il y a de petits inserts de résidus d’acides aminés du virus VIH-1, responsable du sida. La présence de ces inserts dans un virus développé dans la nature ne pourrait jamais se produire. Et ce n’est pas tout. Le génome du SRAS-CoV-2 présente une autre modification sur ce qu’on appelle site furinique intracellulaire, comme le confirment deux études, l’une chinoise, l’autre canadienne-française. Les deux inserts ont une fonction spécifique : l’insert VIH-1 permet au CoV-2 du SRAS de s’ancrer à la cellule humaine et de pénétrer dans la cellule. Il est donc vraisemblablement responsable de la forte infectivité du virus. La modification du site de clivage furinique permet au virus de se multiplier dans la cellule et le rend hautement pathogène ». Dans quel but ce virus chimique aurait-il été créé ? Comme arme de bioterrorisme ou uniquement pour des études scientifiques ? » source : http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/07/31/covid-19-une-chimere-fabriquee-en-laboratoire-6254828.html

Covid-19 : La généticienne Alexandra Henrion-Caude vous dit tout – Le Zoom – TVL