A Roubaix, la police ne peut plus protéger les Français

Philippe-Godefroy-Roubaix-1
« 
La police Française n’a pas autorité à l’étranger… ». Un commentaire qui en dit long sur ceux qui occupent le terrain à Roubaix, ville connue pour être la zone de non droit la plus musulmane et la plus pauvre de France, en y faisant régner leur loi, celle qui oblige les Français originellement nordistes à partir pour ne pas mourir, et contraint ceux qui restent à subir leur calvaire en silence.
Au lieu de « veiller à l’exécution des lois, à assurer la protection des personnes et des biens, à prévenir les troubles à l’ordre public et à la tranquillité publique ainsi que la délinquance », la police ne sert plus aujourd’hui qu’à verbaliser les automobilistes et à protéger les squatteurs contre les dangereuses vieilles dames qui auraient des velléités coupables de récupérer ce qui leur appartient de droit.
Rue-Desaix

"Nique la BAC"
“Nique la BAC”

Le commissariat est à 300m de la rue Desaix où vit la famille Godefroy. Un policier qui a travaillé plusieurs années à Roubaix commente : « Nous n’avons pas peur de faire notre travail mais nous avons parfois des directives qui nous empêchent de le faire correctement et comme nous le voudrions… », ces fameuses directives appelant à ne pas stigmatiser la racaille et à préserver à tout prix la paix civile.
A trois rues de là, dans ce quartier où nombre de fenêtres sont murées et où d’après un auditeur de RMC « il y a des rues où la police ne va plus », un centre du Secours Catholique a été créé pour apporter du réconfort aux personnes « sans papiers » « confrontées à l’angoisse d’être un jour expulsées ». Un policier du syndicat SGP au téléphone avec le père de famille reconnaît que les quartiers fermés par des racailles sont monnaie courante mais que la police « n’a pas vraiment de solution à apporter par rapport à ça ».
Excédé par des bandes de dealers à qui il demandait de s’en aller, M. Godefroy n’y tenant plus a un jour brandi une vieille arme à feu de 14-18 hors d’état de marche pour leur faire peur.
Un enquêteur tente de minimiser les actes de ces racailles qui pourrissent la vie de tout un quartier : « Ce serait un peu simpliste de leur faire porter systématiquement le chapeau »…
Après plusieurs plaintes infructueuses, il y a une semaine, la famille Godefroy décidait de se faire connaître en se faisant photographier dans le hall de la mairie de Roubaix, des pancartes autour du cou afin de dénoncer le harcèlement impuni dont elle est victime de la part d’un groupe de délinquants trainant leur inutilité dans le quartier.
Insultes, menaces, violences, cambriolages, voiture brûlée, et même voiture de location vandalisée au lendemain de cette action de communication, c’en est trop pour Philippe, le père de cette famille de quatre enfants qui, las de subir ce que la Pravda française persiste à appeler « un sentiment d’insécurité » et faute de protection policière, a décidé de prendre les choses en main.
« À chaque fois, les policiers nous expliquent que la seule solution, pour nous, serait de déménager, car nous ne sommes pas en sécurité. Ceux qui nous ont fait ça devraient être en prison. Et c’est nous qui sommes obligés de partir comme des moins-que-rien. Quand on sort, on est obligé de laisser un adulte dans la maison par peur d’un nouveau cambriolage ». Un schéma devenu classique en France où c’est à la victime de partir pour faciliter la vie de ceux qui l’agressent, parce que les gouvernements successifs se refusent à maîtriser une situation qu’ils ont eux-mêmes instaurée par clientélisme électoral et par soumission à des instances supérieures, européennes, financières, communautaires, mondialistes. La mort lente de la France s’écrit à Roubaix…
Il « a voulu faire sa loi, c’est normal qu’il y ait des représailles », justifie l’une des racailles. On suppose que par « faire sa loi » ce malfrat en herbe sous-entend que M. Godefroy a souhaité faire prévaloir la loi de la République en voulant faire cesser un trafic de drogue devant sa porte et au nez de ses enfants exposés à la vision d’échanges de billets de 500 euros, mais que la racaille surprotégée par le régime en place ne l’a pas entendu de cette oreille. Les voisins ont été plus conciliants avec la bande, ils ont baissé leur pantalon et ont dialogué : « Il y a d’autres familles dans la rue avec lesquelles ça se passe très bien ». A moins que les voisins ne soient des « frères » des racailles…
« Il y en a qui fument des joints et sont un peu durs (…) On est une quinzaine. Beaucoup ont grandi là mais n’y habitent plus : ils sont de la Potennerie, des Trois-Ponts… Moi je reviens parce que je ne connais personne dans mon nouveau quartier », justifie l’un de ceux qu’on a coutume de nous dépeindre avec force persuasion comme étant une « chance pour la France », ces remplaçants à qui est offert notre pays en même temps que notre arrière-train.
Ce quartier de la Potennerie qu’il cite semble être un territoire de désoeuvrement que se partagent ceux qui survivent avec les dealers, des sans-cerveaux bêtes à manger du foin au point de confondre des ouvriers en tenue orange réparant le tout-à-l’égout avec des membres des renseignements généraux !
Là-bas, les dealers trafiquent en famille, les parents apprenant à leur progéniture comment prévenir les autres de l’arrivée de la police. Depuis des décennies le trafic de drogue est devenu une sorte d’institution roubaisienne en lieu et place des filatures d’antan. C’est donc cela l’enrichissement culturel…
Quant au quartier de Trois-Ponts, il est à la même image. Il y a quelques années, un centre social y avait été pris pour cible à coups de pistolet mitrailleur 9mm par un mineur dénommé « Kadouche » par ses proches, contrarié qu’un animateur du centre lui ait refusé une sortie chez Disney, et à qui un commentateur sur un blog donnait ce judicieux conseil : « faut tiré sur lé keuf mon frére, qu’est-ce quon sen ba lé couille de tiré sur un centre ».
L’enrichissement qu’on vous dit !
« Et avant, il y a deux ans, on faisait bien pire », continue le jeune harceleur de la famille Godefroy. Bien pire ?
« Il y a une femme là-dedans qui nous a laissé rentrer chez elle après que son mari est parti. Elle connaissait un jeune de notre bande. Sa maison, c’est devenu une boîte de nuit. On buvait, on cassait tout, on faisait du bruit jusqu’à 4h du matin. Mais bon c’est de sa faute, elle avait qu’à pas nous inviter au départ. Depuis, on s’est quand même calmés », raconte le délinquant, évoquant tout au plus quelques « petits problèmes » et surtout une crainte pour leur réputation d’être assimilés à ce qu’on appelle des « cassos », c’est à dire des cas sociaux.
Ce quartier c’est la zone, le désert, avec ses fenêtres aux stores baissés même en plein jour quand elles n’ont pas été murées après le départ de ceux qui ont fui, chassés de leur propre ville, celle de leurs parents parfois, par les nouveaux arrivants. Il n’y a pas de travail et certains dealers n’y viennent que pour affaires mais ils se sont appropriés un territoire qu’ils ont fait leur en y instaurant la force, l’intimidation et la terreur et dont ils n’entendent pas partir, d’autant qu’ils sont encouragés à rester par le laxisme et la bienveillance des autorités locales qui ferment les yeux et n’appliquent plus la loi. « Attends, on va pas partir, on est chez nous ici, qu’est-ce qu’ils croient ? », proteste la racaille. C’est donc à la famille Godefroy de s’en aller puisque c’est elle qui ne serait pas chez elle… A croire qu’un traité a été signé en secret pour faire valoir que Roubaix, la ville aux 80 nationalités, ne fait plus partie du territoire français.

« Demandez vous simplement pourquoi tant de familles se sont enfuies de certains quartiers de Roubaix, et ne veulent “jamais plus” y revenir !!! Demandez vous pourquoi il y a quelques semaines, une marche blanche pleurait un malheureux père de famille qui s’était fait assassiner parce qu’il ne souhaitait qu’un peu de calme au bas de son immeuble pour sa famille… »

« rue de lannoy la BNP et une ancienne petite boucherie ont vécu le même problème résultats ils on déménager pour la boucherie ils sont partis en retraite après cela ils ont publié un article dans le journal racontant toutes les incivilités qu’ils on eu pour la BNP pareil mais sont restés plus discret »

Suite à la forte médiatisation de leur situation, le maire UMP Guillaume Delbar se sentant obligé de montrer qu’il sert à quelque chose, alors qu’il connaît parfaitement la situation désastreuse de sa ville en termes d’insécurité et de trafics, a pris la décision de prendre en charge le financement d’un hébergement à l’hôtel pour la famille qu’il s’est engagé à reloger dans le parc social de la ville d’ici une quinzaine de jours.
Les autres habitants qui n’ont pas été médiatisés et qui acceptent le « dialogue » avec les délinquants pourront tranquillement continuer à subir leurs méfaits, en toute impunité et discrétion. La paix sociale reprendra son cours normal, la police continuera d’obéir à l’ordre du ministre de ne pas faire appliquer la loi, l’insécurité redeviendra un simple sentiment, le maire redorera son petit blason électoral et tout rentrera dans l’ordre. Surtout pas de vagues…
Caroline Alamachère

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