À une amie “écolo” qui me prend pour un “facho” !
Merci pour tes compliments. Je me doutais que ma barbe de deux jours te plairait.
C’est mon côté de gauche avec les idées qui vont avec. Car je suis plus souvent ainsi.
Barbu. Sauf quand je sais que je vais avoir le plaisir de m’attarder entre tes cuisses.
Je t’irrite déjà bien assez comme cela avec mon esprit, toi qui me prends pour un “facho” !
Tu te bats pour un monde écologique et je suis avec toi dans ce combat.
Ainsi mon article de juillet 2017 sur l’imposteur Hulot et ses conflits d’intérêts.
Avec ses dividendes sur produits “Ushuaia”, concentrés de “merdes” pétrochimiques.
Tout le contraire de ce que fait ton ami Alec avec ses produits naturels.
https://ripostelaique.com/les-bons-comptes-et-les-conflits-dinterets-de-monsieur-hulot.html
Mais tu me reproches de défendre notre monde culturel contre l’islam conquérant qui gangrène notre société.
Avec la complicité de nos gouvernants de tous bords qui ne veulent pas voir le péril qui délite notre démocratie.
Mais que vaudrait le monde qui serait livré à l’idéologie totalitaire mahométane ?
On a vu ce qu’en a fait Al Baghdadi avec Daech et son califat islamique de mai 2014 jusqu’à son éradication récente.
Avec l’élimination de tous ceux qui n’étaient pas musulmans ou convertis. Avec la loi islamique imposée sur toute la zone du califat.
Avec les exécutions sommaires des opposants, mécréants, homosexuels et la mise en esclavage des femmes.
Avec la destruction massive des sites historiques et des lieux d’émancipation, écoles et bibliothèques.
Et Kamel Daoud a mis en garde la France et sa frange d’islamo-collabos :
https://ripostelaique.com/kamel-daoud-accuse-la-gauche-islamo-collabos-de-racisme.html
Voici ce qu’a dit Kamel Daoud de l’idéologie totalitaire, du Coran, livre de mort, et des intellectuels du monde arabe :
“J’avais aimé des livres qui racontaient le monde et je m’en remettais à un livre, le Coran, qui racontait la mort, et j’avais 20 ans. Il y a un choix d’instinct qui s’impose…
On ne peut pas sortir d’une idéologie totalitaire si on n’a pas les moyens intellectuels de le faire. Sortir du religieux, ce n’est pas claquer une porte, mais en ouvrir une nouvelle.
Et il faut que celle-ci ouvre sur un sentier. Aucun intellectuel dans le monde dit arabe d’alors ne m’a proposé ce chemin. Si on n’était pas islamiste, on était communiste. Quelle alternative désespérante !”
Comme l’a dénoncé aussi l’écrivain algérien Boualem Sansal, prix Goncourt du premier roman, avec ce cri d’alarme édifiant :
« L’urgent n’est pas de sauver l’islam de l’amalgame, mais de sauver les enfants de la mort. Les Algériens qui ont de l’amitié pour la France sont inquiets et effarés de voir l’Europe se déliter et devenir un amplificateur de crises.
Les fabricants d’un islamisme européen véritablement monstrueux, qui, par ses prétentions totalitaires et ses haines tous azimuts, s’apparente au nazisme-fascisme d’antan qu’il contribue de la sorte à ressusciter.
La France doit retrouver l’usage de la parole libre et en faire une arme. Si le terrorisme se combat dans la discrétion et la patience, par le renseignement et l’infiltration, l’islamisme se combat par la parole dite au grand jour, haut et fort. Ce combat a toujours été celui des journalistes et des écrivains, qu’ils reprennent le flambeau, il est à eux. »
Alors ma chère amie, je te félicite pour ton engagement écologique remarquable qui ne te quitte pas.
Fait de convictions construites sur des études, des recherches et beaucoup de travail. Et donc de mérite. Ce pourquoi tu as été distinguée.
Entre nous, je te trouve bien plus désirable aujourd’hui qu’à ce moment-là.
Mais je suis contrarié. Contrairement à Alec, je n’ai pas encore été uni à toi.
De corps en même temps que d’esprit, même pour un soir et encore moins pour une nuit.
Car tu dois combattre avec moi le totalitarisme islamique comme je combats avec toi l’hégémonique Monsanto.
Puisque tu me cites souvent George Orwell, n’oublie pas qu’il affirmait que “la dictature s’épanouit sur le terreau de l’ignorance”.
Et tu devrais comprendre, comme le disait aussi Orwell, que “dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire”.
Sinon je crains, ma chère amie, que notre été tourmenté n’annonce un automne crépusculaire.
Alain Lussay