Ce mardi 5 septembre, le Conseil d’État a étudié deux requêtes contre l’interdiction du port de l’abaya dans les établissements scolaires. L’une émanait de l’association islamiste Action droits des musulmans, qui est en cela parfaitement dans son rôle. L’autre, de La « France » insoumise dont on connaît le clientélisme pro-muzz [NdA : j’assume les guillemets autour de « France » pour ce parti qui est clairement celui de l’étranger] et qui, elle aussi, est parfaitement dans son rôle. Le Conseil devrait rendre son jugement jeudi soir.
Fin août dernier, le nouveau ministre de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, demandait que le port de l’abaya soit interdit dans tous les établissements scolaires publics : « L’école de la République s’est construite autour de valeurs et de principes extrêmement forts, et notamment de la laïcité. La laïcité ce n’est pas une contrainte mais une liberté. La liberté de se forger son opinion et de s’émanciper par l’école. […] Et donc j’ai décidé qu’on ne pourrait plus porter l’abaya à l’école », avait martialement déclaré le ministre, le 29 août sur France Inter.
Mohammed Moussaoui, président du Conseil français du culte musulman (CFCM), lui a benoîtement rétorqué que, selon lui, l’abaya n’est pas un signe religieux. « Je pense que le ministre aurait pu échanger, demander l’avis des responsables religieux. Pour moi, l’abaya n’est pas une tenue religieuse, mais plutôt une forme de mode. »
Vendredi 1er septembre, Emmanuel Macron a fermement soutenu son ministre, estimant que les autorités « devaient être intraitables » face aux atteintes à la laïcité. Durant l’année scolaire 2022-2023, on en a dénombré 4710, contre 2167 l’année précédente. Chiffres a minima naturellement, les proviseurs et principaux, conformément à leur doctrine du “Surtout pas de vague” préférant ne pas faire remonter tous les incidents vers les rectorats.
Pourquoi, très vraisemblablement, le Conseil d’État se couchera-t-il devant le lobby muzz ? Parce qu’il s’est déjà couché devant ce même lobby à propos d’une question infiniment plus importante qu’un simple bout de chiffon. Une question qui porte sur des risques majeurs concernant la santé publique et qui a trait au mode d’abattage des animaux de boucherie :
Selon l’association Vigilance Halal présidée par le docteur vétérinaire Alain de Peretti, l’abattage rituel ne permet pas une exsanguination satisfaisante : le cou est tranché jusqu’aux vertèbres, en sectionnant tous les organes de la zone, veines jugulaires et carotides mais aussi la trachée artère et l’œsophage. Dans l’abattage standard (non rituel), l’animal, parce qu’il a été préalablement étourdi, est immobile et détendu. On procède à une incision limitée qui ne sectionne que les carotides, alors que l’abattage rituel sectionne également l’œsophage, provoquant une régurgitation du contenu de l’estomac. Durant une agonie qui peut durer jusqu’à un quart d’heure, l’animal continue de respirer de façon spasmodique très forte du fait de la section du nerf vague, car le cerveau continue d’être irrigué par les artères vertébrales et l’animal ressent une sensation intense d’étouffement. Par la trachée béante, il inspire les matières gastriques riches en germes de toutes sortes régurgitées par l’œsophage. Ces matières, inspirées jusqu’aux alvéoles pulmonaires, disséminent leurs germes dans le sang d’autant plus facilement que la paroi des alvéoles pulmonaires est très mince et que la circulation sanguine se poursuit. Elle est même accélérée par le stress au niveau des organes essentiels. Les germes peuvent donc être disséminés dans tout l’organisme et pas seulement au niveau de la plaie d’égorgement. On peut tracer ces souches microbiennes, parfaitement identifiées, jusqu’à l’hôpital, où elles représentent 95% des cas d’antibiorésistance. Elles posent des problèmes insolubles aux médecins lorsqu’ils veulent traiter des infections, même banales. L’Organisation mondiale de la Santé classe d’ailleurs l’antibiorésistance parmi les problèmes majeurs de santé à l’hôpital.
En estimant que l’abattage rituel pouvait déroger à la loi de la République qui impose l’étourdissement préalable de l’animal et une incision limitée aux carotides, le Conseil d’État avait considéré que la liberté religieuse passe avant la santé publique et la souffrance animale :
https://www.conseil-etat.fr/actualites/pratique-de-l-abattage-rituel
On objectera qu’en matière d’égorgement rituel, le Conseil d’État avait également dû tenir compte des vœux d’un autre lobby, le lobby juif. L’égorgement halal et l’égorgement casher ont en commun de pratiquer un égorgement sur l’animal conscient (non préalablement étourdi comme l’exige la loi française) et un égorgement large, avec les conséquences sanitaires calamiteuses que l’on vient de voir. La différence est que, économiquement, les deux lobbies n’ont pas la même « force de frappe » : l’abattage halal représente environ 65% de l’abattage en France (pour des raisons de rentabilité économique, 100% des abattoirs d’Île-de-France se sont alignés sur l’abattage halal) – alors que les musulmans ne représentent « que » 20% de la population française. En revanche, l’abattage casher représente à peine 1% du total (soit le poids démographique de la communauté juive) et est plutôt en perte de vitesse.
Il convient néanmoins de remarquer que certains courants de la communauté juive ne sont pas très au clair au sujet de l’abaya. C’est par exemple le cas du mouvement Loubavitch (40 000 adeptes en France) dont le porte-parole, le rabbin Haim Nisenbaum, s’est récemment exprimé sur le sujet au micro de la radio communautaire, Radio J :
L’association Action droits des musulmans ne désavouerait pas certains propos de M. le rabbin…
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Bonus : les rues de Dacca, capitale du Bangladesh, un jour d’Aïd el kébir :
In girum imus nocte ecce et consumimur igni
Il y a un mot pour qualifier ceux qui pratiquent cette horreur. Ce mot, c’esT “BARBARES”.
Oui, les musulmans reflêtent l’immoralité perverse de ceux qu’ils qualifient de “bon exemple”; le chamelier anlaphabète, assassin de masse, immonde obsédé sexuel et pédophile.
L’islam est une abomination, bien pire que le nazisme et le communisme réunis…
Et de plus, dans vos boucheries halal, vos poulets ils sont pourris ..,😂
On se demande bien pourquoi on claque des millions dans un gouvernement, des ministères, des assemblées puisque ce sont les conseil d’état et constitutionnel qui prennent toutes les décisions. On pourrait économiser pas mal de milliards pour les retraites avec ça.
c’est ben vrai ça, si on interdit l’abattage “halal”, il faut interdire l’abattage “casher”…c’est d’ailleurs pour ça que le Zemmour il est pour l’abattage “halal” comme il est pour tendre la main “à ses frères musulmans” car, pour lui aussi, l’islam fait partie de la République.
S’agissant de l’abattage rituel et de la circoncision,les musulmans de France peuvent dormir tranquilo ! Quel homme politique ou journaliste ou expert aboyeur sur Cnews pourrait déclarer d’un ton martial qu’il faudrait interdire ces deux rites religieux . Faites moi confiance que si les juifs n’étais concernés par ces deux pratiques,cela faisait longtemps qu’on aurait interdit ça ou du moins qu’on ne aurait arrêté de parler de cela sur toutes les chaînes ! Ah la culpabilité des années 40 a du bien
@ Sarah Milmann
Par contre, vous et vos coreligionnaires muz, ce ne sont ni la honte, ni la culpabilité qui vous étouffent …imbecile heureux va !!!
C’est honteux ! Personne ne parle de ces horreurs, encore moins les “verts” qui ne veulent pas stigmatiser les communautés
L’islam est la religion du diable, le diable qui veut se faire passer pour Dieu.
On va voir le courage ou pas