Accidents de chasse : prétextes à désarmer les Français

 Je suis un chasseur sous-marin.

Du gibier à poils, seul celui qui portait jarretelles m’intéresse.

Même si, dans ma jeunesse, il m’est arrivé de braconner des lapins et des écureuils avec d’autres galoupiots. Au collet ou à la fronde. On n’avait pas les moyens de s’offrir une carabine. Et c’était souvent la seule viande qu’on pouvait espérer manger.

Les bobos-écolos des beaux quartiers ne peuvent pas comprendre…

 Des accidents moins graves que des assassinats !

Ils veulent interdire la chasse. À cause des accidents et de la souffrance animale.

Leurs arguments seraient recevables si les anti-chasse n’étaient pas, dans leur majorité politicienne, des islamo-gauchistes qui refusent d’admettre que leurs protégés font infiniment plus de victimes chaque année que les chasseurs. De nombreux crimes prémédités, moins graves à leurs yeux que quelques accidents.

Quant à la souffrance animale, ils n’ont d’autre réponse que de traiter de « fachos » ceux qui osent critiquer l’égorgement rituel barbare des animaux de boucherie, conscients. Souvent sans hygiène et hors de tout contrôle vétérinaire. En violation de multiples règlements français et européens. Que les sourcilleux défenseurs de la loi et de l’ordre, quand il s’agit de manifestants hostiles au paltoquet, préfèrent ignorer.

Mais il faut comprendre les différences culturelles. Elles seraient si enrichissantes. Surtout pour les politiciens que les émirs du pétrole arrosent.

Islamisation forcée des campagnes « parce que c’est notre projet »

 Tous les partis, à l’exception de « Reconquête », affirment que la religion mahométane serait compatible avec la civilisation française.

Les plus chtarbés, centristes et gauchards, prétendent que les Arabes nous auraient tout appris, et que sans eux le génie français n’existerait pas. À force de rabâcher ces inepties à l’école comme sur les télés, les blaireaux finissent par le croire.

On ne doit donc pas s’opposer à l’inéluctable retour de nos « bienfaiteurs ».

Il faut même l’encourager en saupoudrant la moindre bourgade, le plus petit village, le plus modeste chef-lieu de canton de nouveaux occupants. Qui ne se sentent pas du tout français de leur propre aveu. Rejettent indistinctement nos lois, nos coutumes et notre art de vivre. Et prétendent nous imposer leurs interdits alimentaires et vestimentaires.

L’esprit de Munich jamais éteint

Accepter la défaite sans se battre était le comportement des profs des sixties. Bolcheviks ou sous la coupe des bolchos dont dépendait leur carrière, ils délaissaient les programmes officiels pour nous commenter Marx et Lénine, et le seul exotisme qu’ils valorisaient était celui des kolkhozes, des sovkhozes et des sovnarkhozes.

Avec cet argument définitif : « Que vous le vouliez ou non, la terre entière sera communiste avant l’an 2000. Alors il faut vous y préparer !»

Plutôt rouges que morts. Leurs successeurs, ou les mêmes s’ils ne sont pas encore crevés, ont remplacé leur antienne par : « Plutôt verts que morts. » La verdure étant la couleur de prédilection des zékolos et des mahométans.

Ma grand-mère prétendait que le vert portait malheur. Et pour certains psychanalystes, le vert est souvent associé à l’expression vestimentaire des esprits instables, perturbés, tourmentés, déséquilibrés. Au mieux des névrosés. Au pire des psychopathes.

Vous noterez que Jean-Britt arbore souvent, dans ses tenues, cinquante nuances de vert : verdâtre des marécages, vert flashy des sauterelles ou vert de gris des nazis.

Problème des mondialistes : une majorité des ruraux a les pieds sur terre

Ou dans la glaise. Eux et leurs proches. C’est bien le moins qu’on puisse en attendre. Moins influençables et moins grégaires que les citadins abrutis par la propagande des télés, ils ont du mal à gober les fariboles du vivre-ensemble, contredites par la réalité.

Plutôt que se laisser envahir, menacer, molester, dépouiller et violer avant d’abandonner la place aux hordes barbares, ils décrocheront les fusils des râteliers.

Dois-je rappeler que, sous la précédente occupation, leurs grands-parents ont infligé de lourdes pertes aux nazis qui, dès 1942 ne pouvaient plus circuler qu’en convois blindés à travers la France profonde ? Tandis que les Résistants liquidaient aussi pas mal de collabos, sans trop se soucier des procédures légales.

Les Résistants d’antan étaient presque tous des campagnards !

Les ¾ au moins étaient des villageois qui n’avaient pas remis leurs armes aux zotorités  quand les gendarmes collabos étaient venus leur en donner l’ordre, en investissant leurs fermes et leurs hameaux.

Les fusils, carabines et machines à fabriquer des cartouches furent soigneusement entreposés dans des puits à sec, rangés en pièces détachées dans des granges ou planqués au fond de grottes. Sinon enfouis à la cave dans les maisons dont beaucoup avaient alors un sous-sol en terre battue.

Par la suite, des armes de guerre et des explosifs leurs furent parachutés par les Anglais. Après la fin du conflit mondial, un certain nombre de ces cadeaux tombés du ciel furent stockés en douce, bien graissés, au sec et à l’abri, au cas où. En se disant que ça pourrait toujours servir si, comme on le craignait à l’époque, les soviets envahissaient la France.

Et je subodore que quelques-unes de mes connaissances n’ont toujours pas rendu leur arsenal familial, malgré les insistantes campagnes de sensibilisation pour les convaincre.

J’ai eu un beau-père qui commandait un réseau de maquisards dans le Sud-Ouest de la France. Ancien de la Coloniale, évadé d’un stalag, il avait conservé, avec ses décorations, des photos où on le voyait en compagnie de son supérieur direct, le colonel Berger, plus connu sous le nom d’André Malraux.

C’était un régal de l’entendre narrer comment il avait exterminé avec ses hommes les occupants d’une kommandantur de bourgade, dégommé des Boches dans des embuscades, fait sauter des trains de munitions, et noyé l’épicier du village, pour économiser une balle sans faire de bruit, après avoir piégé ce collabo délateur,  enrichi au marché noir.

La trouille des petits marquis poudrés et de leurs larbins lustrés et calamistrés

Ils  savent, de tradition familiale, collabo pour la plupart, de quelles réactions étaient capables des Français agressés, en un temps où on ne les avait pas encore écouillés.

Et ils craignent, atavisme oblige, que les gueux finissent par se rebeller pour de bon, comme leurs anciens, si on les emmerde trop. Pas seulement en défilant avec des pancartes et des drapeaux,

Voilà pourquoi ils veulent impérativement les désarmer avant qu’ils leur taillent des costards qui jureraient avec ceux de Savile Row dont ils ont l’habitude.

Par leur mode de vie, en semi-autarcie et en habitat dispersé, avec l’avantage stratégique de bien connaître le terrain, les chasseurs ruraux, capables de se défendre, sont des candidats survivalistes. Certains le sont d’ailleurs déjà plus ou moins.

Ces hommes et ces femmes rudes pourraient s’opposer aux mercenaires du tyran, les armes à la main, dans des zones boisées ou montagneuses, comme autant de citadelles naturelles, difficilement accessibles aux half-tracks et aux hélicos.

Le passé plaide en leur faveur. Dézingués par ces bouseux et ces croquants, les redoutables SS à tête de mort avaient envoyé pour combattre les maquis de Dordogne et de Corrèze, la brigade nord-africaine de la Gestapo française sous les ordres du sous-off-truand Mohamed El Maadi. Ces « guerriers » plus enclins à terroriser et dépouiller des civils désarmés qu’à affronter les Résistants, détalèrent prudemment dès les premiers accrochages sérieux.

L’histoire peut se répéter, avec le psychopathe tout est possible !

Les pleurnicheries des zélites sur les pauvres bambis et les petits zoizos ne sont qu’un prétexte pour manipuler la sensiblerie des citadins afin de justifier un désarmement général des vrais Français. Tandis que des kalachnikovs et des copies d’Uzis parviennent dans les banlieues, par camions entiers, en provenance du Kosovo.

Le jour où Monsieur Z décidera de reprendre à l’ennemi intérieur les enclaves étrangères hostiles qu’il occupe indûment, il faudra faire appuyer les forces spéciales par des blindés et des drones armés de missiles. Car en face, ils ont du répondant.

Sinon, je suis sincèrement désolé que Brigitte Bardot, que j’apprécie beaucoup par ailleurs, n’ait pas intégré ces données ethno-polémologiques dans son équation.

Christian Navis

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